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n° 07493Fiche technique24325 caractères24325
Temps de lecture estimé : 14 mn
27/08/04
Résumé:  Jeune commercial, je pars sur un salon avec une collègue pulpeuse ...
Critères:  fh extracon collègues grosseins fépilée parking hotel noculotte entreseins fellation cunnilingu 69 pénétratio init
Auteur : Asfaloth  (Jeune homme plein de fantasmes)

Série : Gwendoline

Chapitre 01 / 02
Le salon


Je me présente, je m’appelle Jeff et j’ai 29 ans, blond, 1m85, bien bâti en raison d’une intense activité sportive (handball, musculation, natation). Je suis marié depuis 4 ans avec Vanessa, une petite brunette de 26 ans. Ma femme est ce que l’on peut appeler une petite bombe. Bon je sais, vous allez me dire que je ne suis pas objectif vu qu’elle est ma femme… mais il reste que Vaness’ (le petit surnom que je lui donne) est belle à faire pâlir un mort : 1m65, un petit visage mutin, une jolie petite poitrine de 85B qui pointe à l’horizon, un corps de nageuse (elle fait de la natation synchronisée) mais sans avoir les épaules de déménageurs ! On s’est rencontrés sur les bancs de la fac de socio à Toulouse. Après quelques années d’études jusqu’à la maîtrise nous avons tous les deux changés de voie, moi vers une activité de commercial chez une grosse société parisienne, elle vers l’informatique. C’est ainsi que nous sommes atterris à Paris début 2003.


Notre vie sexuelle peut être considérée comme régulière et classique. Mais d’une manière générale je crois pouvoir dire que nous aimons le sexe autant l’un que l’autre. Cependant je crois être plus porté sur la chose que ma femme. Il m’arrive régulièrement le soir en rentrant du boulot de la prendre directement par les hanches, et sans vraiment lui demander son avis, lui retrousser sa jupe pour lui effectuer un cunnilingus acharné (j’adore lécher et sucer les sexes féminins). On ne peut pas dire qu’elle s’en plaigne vu les gémissements qui sortent de sa bouche à chaque fois ! Mais si je peux difficilement passer deux jours sans faire l’amour, ce n’est pas son cas. Elle peut facilement rester plus d’une semaine sans rien faire… L’horreur ! Mais ne voulant pas la brusquer, je n’insiste pas et je me soulage souvent en me masturbant violemment devant un film X.


Je disais donc que j’avais trouvé un poste dans une société commerciale parisienne spécialisée dans les cosmétiques. J’ai une collègue qui s’appelle Gwendoline (joli prénom non ?). Je fus subjugué par cette femme de 30 ans dès notre première rencontre : 1m75, rousse, des jambes fuselées, une taille de guêpe… et une poitrine TITANESQUE ! A chaque respiration on avait l’impression que les boutons de son chemisier allaient être mis sur orbite !! J’ai toujours adoré les fortes poitrines, ça toujours été un fantasme ! Je trouve celle de ma femme parfaite, mais il reste que je fais une fixation sur les gros seins ! Que voulez-vous, on ne se refait pas !


J’ai rencontré Gwendoline la première fois à mon pot de bienvenue. Elle est venue spontanément me voir pour se présenter :


" Bonjour, je m’appelle Gwendoline, c’est moi qui vais te "parrainer" pendant ta période d’essai. Si tu as besoins de conseils ou quoi que ce soit, viens me voir"


GLUPS … Que voulait-elle dire par "quoi que ce soit" ???? Sur le coup je du lui paraître comme un vrai benêt. Je lui ai bafouillé un pauvre "Oui..oui..merci" et c’est tout ! Apparemment satisfaite de l’effet qu’elle avait produit sur moi, elle est repartie vers d’autres de ses collègues. Je ne pus m’empêcher d’admirer son cul magnifique qui se dandinait de droite à gauche … Mama mia !


Dès la semaine suivante je partis sur un salon à Marseille avec Gwendoline. Je n’avais pas cessé de penser à elle les jours précédents et lorsque je faisais l’amour à ma femme, c’est souvent son visage que je voyais… c’était la première fois qu’une autre femme m’accaparait l’esprit à ce point.


La première journée sur le salon fut très dure.. C’était mon premier salon et je ne connaissais pas encore toutes les ficelles du métier. Gwendoline venait donc souvent à ma rescousse. Nous nous sommes considérablement rapproché pendant cette journée. Lors de notre pause du midi j’ai pu ainsi apprendre qu’elle était mariée depuis deux ans avec un prof d’anglais avec lequel elle s’ennuyait à mourir ! Il semblait accorder plus d’importance à ses élèves qu’à elle (le monstre !!!!!!).


"Et toi ? C’est encore l’amour fou avec ta femme ?



Je faillis m’étrangler avec la frite que j’étais en train d’avaler !



Elle m’a lancé à ce moment là un regard qui m’a fait durcir ma queue sur-le-champ. J’avais de plus en plus envie de cette femme !!



Mon Dieu, voilà que je commençais à lui raconter ma vie sexuelle maintenant… Bizarrement, ça m’excitait énormément. Mon sexe était de plus en plus à l’étroit dans mon caleçon… j’aurais du mettre un slip !!



L’effet du vin du midi m’ayant un peu grisé, je commençais à parler de plus en plus librement.



Elle partit à rire aux éclats.



Ca je le savais bien, pour notre premier anniversaire de mariage, Vaness’ et moi étions allés acheter quelques petits matériels érotiques dans un sex shop. Ma femme avait jeté son dévolu sur un gros gode noire. On l’avait étrenné le soir même lors d’une partie de jambes en l’air mémorable !



Je crois que le vin commençait à agir sur elle aussi !


Notre conversation s’arrêta aussi brusquement qu’elle avait commencé car nous devions retourner au salon.


Le soir nous sommes retournés à l’hôtel où nous logions.



Je ne pouvais pas refuser cette invitation non ?



Une fois arrivé dans ma chambre, la première chose que je fis fut de me mettre à poil et de me masturber en pensant à Gwendoline !! J’étais dans un état d’excitation terrible ! Ma queue était déjà toute poisseuse ! (Je crois pouvoir m’enorgueillir d’avoir un sexe d’une taille un peu au-dessus de la moyenne (20 cm)). Après quelques va-et-vient énergiques je déversa dans les toilettes une quantité phénoménale de foutre ! Je vous avais dit que j’étais excité à mort !


Après avoir repris mes esprits, je passa rapidement sous la douche pour être à l’heure dans le hall.


J’étais à peine arrivée que Gwendoline arrivait habillée dans une robe noire qui faisait ressortir admirablement ses formes et surtout son opulente poitrine.


Elle se rendit compte tout de suite de l’effet que sa tenue avait provoquée chez moi !



Elle me lança encore un de ses regards qui avaient le don de me rendre dingue ! La soirée commençait bien !


Nous sommes allés manger dans un petit resto japonais du coin qu’elle connaissait. J’adôôre les restos japonais !


Après un bon repas de sushis et plusieurs verres de sakés, l’ambiance était à nouveau très détendue et la conversation revint assez rapidement sur celle qui s’était arrêtée ce midi.


Elle me parla de ses quelques aventures sans lendemain qui lui permettait de satisfaire ses envies de sexe.



C’est à ce moment que je sentis son pied commencer à remonter le long de ma jambe… Je ne savais plus trop quelle attitude adopter. Tout ce que je savais c’est que ma queue était à nouveau dure comme du bois et que j’avais de plus en plus envie de cette femme.



Son pied arrivait maintenant au niveau du haut de ma cuisse.



Je fus tellement surpris par ce mot cru que ma queue devint encore plus dure… le massage de son pied sur ma braguette n’arrangeait pas les choses !



Elle se mit alors subitement debout pour quitter le resto .


Machinalement dans un état second je la suivis vers la sortie.


Notre voiture de location était garée derrière le restaurant. Vu l’heure tardive à laquelle nous étions sortis, le parking était désert. À peine arrivée à la voiture elle me sauta dessus et me roula un patin mémorable. Le saké ayant inhibé tous mes remords envers Vanessa, je lui rendis son baiser torride. Après s’être échangé un bon 1/2 litre de salive, elle s’attaqua à ma braguette et sortit ma queue depuis trop longtemps emprisonnée dans mon slip (cette fois-ci j’y avais pensé !).



Le vocabulaire cru qu’elle utilisait me rendait fou de désir et j’avais l’impression de n’avoir jamais vu ma queue aussi gonflée !


Elle commença à donner des petits coups de langue sur mon gland tout humide. Elle s’empressa de bien le nettoyer de tout le méat que le recouvrait et me faisant comprendre par plusieurs gémissements qu’il était à son goût ! Puis elle engouffra dans sa bouche toute ma queue et commença à me tailler une pipe mémorable ! Etant déjà passablement excitée, je sentis que je pourrai pas me retenir longtemps. Je fis part à ma cochonne de collègue mon état.



A peine avait-elle repris ma queue en bouche que je lui lâchais plusieurs salves de sperme dans la bouche. Elle eut du mal à tout avaler et un filet blanchâtre coula de part et d’autres de ses lèvres. Elle en avala tout de même un maximum.



Etant fan des cunni, je ne me fis pas prier ! Toutes mes inhibitions étant déjà tombées depuis plusieurs minutes, je me mis à utiliser le même langage qu’elle;



Je lui retroussa sa robe jusqu’à la taille et … quelle ne fut pas ma surprise de me trouver nez à nez avec une chatte parfaitement rasée. La petite cochonne n’avait pas pris la peine de mettre une culotte !


Sans attendre je l’allongeai sur le capot de la voiture (et oui, nous étions toujours sur le parking… désert heureusement !) Et me mis en peine de lui nettoyer sa chatte ruisselante de cyprine ! Elle aussi avait un bon goût ! Elle eut l’air d’apprécier mes coups de langue car elle se mit à gémir comme une folle en me parlant d’une manière de plus en plus crue, ce qui avait le don de m’exciter encore plus !



Je m’attaquais maintenant à son petit bouton qui était gonflé au maximum. En même temps que je la léchais, je commençais à lui titiller la rosette avec un doigt, ce qui la rendis complètement folle !



Mon doigt rentra sans trop d’effort dans le cul de ma salope de collègue. On sentait bien que cet orifice avait l’habitude de recevoir du monde !


J’avais la bouche remplis de sa jouissance et ma langue commençait à fatiguer mais je continuais à m’exciter sur ses lèvres et son clitoris et à activer mon doigt dans ses entrailles.


Au bout de 5 minutes, elle se cabra d’un coup en poussant un hurlement de jouissance.


On s’effondra tous les deux l’un sur l’autre.



Après s’être rapidement rhabillé (Gwendoline n’eut qu’à rabaisser sa robe) on repris le chemin de l’hôtel. J’avais pris le volant. Gwendoline en profita pour me sortir ma queue à nouveau raide comme du bois et commença une petite branlette. Elle ne put s’empêcher de me prendre en bouche tout en se caressant en même temps. J’avais un mal fou à me concentrer sur la route !


Au bout de 5 minutes nous étions revenus au parking de l’hôtel. Etant lui aussi désert je ne pus m’empêcher, à peine sorti de la voiture, de formuler un fantasme qui me taraudait depuis plusieurs jours.



Sur ce elle défit les boutons de sa robe et me présenta son soutien-gorge plus que bien rempli !


Elle fit rapidement sauter son agrafe et libéra ces deux mamelons : je ne m’étais pas trompé sur la grosseur de ces nibards … ils étaient énormes !


Elle s’agenouilla auprès de moi et me descendis le pantalon et le slip sur les chevilles.


Elle me reprit en bouche quelques instant "C’est pour la rendre bien dure !". Je la soupçonnais simplement d’adorer sucer les queues car la mienne était déjà raide comme une barre à mine !


Elle me coinça ensuite entre ses deux loches et commença son va-et-vient. C’était tout simplement divin de sentir sa queue emprisonnée dans cet étau de chair tendre ! Dès que mon gland ressortait elle s’empressait de l’avaler ou de lui donner des petits coups de langue. Au bout de quelques minutes de massage intensif je me vidais une nouvelle fois, mais cette fois-ci sur sa poitrine.



La petite salope s’empressa ensuite de nettoyer ma queue et de ramasser et d’avaler avec ses doigts tout le foutre répendu sur ses seins !



Étonnamment, à l’idée de posséder bientôt cette femelle en chaleur, ma queue commençait déjà à retrouver de la vigueur !


Cinq minutes plus tard nous étions rendus dans sa chambre. Nous avions choisit la sienne car je ne voulais pas être dérangé par un coup de fil inopportun de Vaness’ !


La porte était à peine refermée que nous nous roulions à nouveau un pâtin mémorable ! Ce baiser avait à la fois le goût de mon sperme et de sa jouissance à elle ! J’ai adoré !


Rapidement nous nous débarrassâmes de nos vêtements. Gwendoline n’eut pas grand chose à enlever car elle n’avait pas pris la peine de remettre son soutien-gorge !



Hop ! Deux secondes plus tard nous voilà étendu sur le lit elle en train de s’activer sur ma queue et moi en train de le titiller le clito et les lèvres. Elle était à nouveau trempée !


Rapidement je lui insinua un, deux puis trois doigts dans son con. Elle trémoussa son cul de plaisir !


Après 10 minutes de léchouilles mutuelles, je décidais de prendre les choses en main.


Je la basculais sur le dos et lui écarta les cuisses. Elle compris tout de suite !



Ma queue trouva rapidement le chemin et s’engouffra sans aucune peine malgré sa grosseur dans son antre tout humide de cyprine et de salive.



EExcité par ses paroles je me mis à la pistonner de plus en plus violemment. Ma queue sortait de son con pour y rentrer immédiatement ! Elle hurlait de plaisir.



J’étais dans un état second, je me mis à mon tour à l’insulter.



J’accélérais de plus en plus le rythme de mes va-et-vient. Au bout de 10 minutes, je sentis mon foutre remonter le long de ma hampe et quelques secondes plus tard je me vidais pour la troisième fois de la soirée les couilles, dans sa chatte cette fois-ci ! Elle eut un orgasme violent en même temps que je déchargeais.


Nous nous écroulâmes dans les bras l’un de l’autre pour récupérer de notre effort. Nous étions tellement exténués par nos "exercices" que nous nous sommes endormis immédiatement.


Quelques heures plus tard je fus tiré de mon sommeil par une douce sensation au niveau de mon bas-ventre.


Cette assoiffée de sexe était à nouveau en train de me sucer la queue… on ne peut pas souhaiter mieux comme réveil !



Elle reprit sa pipe et j’en profitais pour malaxer ses deux obus tout en lui caressant son mont de venus !


Ces petits gémissements m’encouragèrent à m’aventurer plus bas vers son petit trou. Je commença à lui masser doucement sa rosette et à l’humidifier avec ma salive. Je n’avais qu’une idée en tête : je voulais l’enculer ! C’était le dernier trou que je n’avais pas encore visité ! J’introduisis un premier doigt sans problème. Rapidement un deuxième vint le rejoindre. Je débutai alors un mouvement tournant afin de bien lui dilater l’anus. Elle gémissait de plus en plus et avait abandonné sa fellation. Elle se contentait de me masturber doucement.



Je lui roula un pâtin en même temps que je continuais à lui élargir avec mes deux doigts sa rosette. Un troisième doigt vint rejoindre les deux premiers. Après quelques minutes je décidais qu’elle était fin prête pour recevoir ma bite dans ses entrailles.



Je la coucha sur le dos, les jambes bien écartées.


Doucement je positionnais mon gland à l’entrée de son cul et je commençais à la prendre, centimètre par centimètre.


Après quelques instants, mon gland était entièrement fiché dans son cul.


Après avoir esquissé un premier rictus de douleur, Gwendoline commença à s’habituer à la grosseur de mon sexe. Je commençais alors à effectuer quelques va-et-vient. Je voyais sur son visage que la douleur faisait rapidement place au plaisir. Je n’avais pas une grande pratique de la sodomie. Ayant un sexe assez gros, Vaness’ n’aimait pas trop cet exercice !


Mais Gwendoline ne semblait pas, elle, être gênée par cette grosseur !



Celà m’encouragea à la pistonner de plus en plus vite.


Elle haletait de plus en plus tout en se masturbant la chatte.



Je pouvais maintenant sortir et rentrer ma bite sans problème ! Je faisais l’amour à une véritable furie assoifée de sexe ! Je commençais moi aussi à perdre pied !



Gwendoline hurlait maintenant (pauvres voisins de chambrées !!)



Au bout de quelques minutes de ce traitement je déchargeais dans ces entrailles, en même temps qu’elle arrivait à son énième orgasme de la soirée !


J’étais cette fois-ci complètement vidé !


Affalés sur le lit nous reprenions notre souffle ! Ma queue ramollie ressortie d’elle-même de son cul en faisant un drôle de bruit, ce qui nous fit partir dans un fou rire incontrôlable !


Finalement, après quelques instant de repos, nous allâmes nous doucher tranquillement tout en s’embrassant et en se caressant. Nous étions trop fatigués pour remettre ça encore une fois !


Je décidais de m’endormir avec elle, histoire de bien finir cette soirée que fut mémorable !


Le lendemain nous avions notre deuxième journée de salon et le soir même nous retournions en train sur Paris.


Ce retour donna lieu à d’autres ébats épiques… mais c’est une autre histoire !