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n° 07519Fiche technique16458 caractères16458
Temps de lecture estimé : 10 mn
31/08/04
Résumé:  Après notre salon sur Marseille, nous rentrons sur Paris en train... Nouvelles rencontres en perspective !
Critères:  2couples extracon collègues grosseins voyage train fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus fsodo échange
Auteur : Asfaloth  (Jeune homme plein de fantasmes)

Série : Gwendoline

Chapitre 02 / 02
Le train


Nous voilà donc rendu à la gare Saint Charles de Marseille afin de retourner sur Paris.

Depuis notre nuit torride de la veille, nous nous conduisions comme un petit couple, nous prenant main dans la main et nous embrassant à tout bout de champ.

Gwendoline m’avait offert une nouvelle pipe mémorable sur le chemin de la gare. Afin de ne pas nous mettre dans le fossé je du garer la voiture le long de la route ! Ce fut avec délice qu’après plusieurs minutes de suçage et léchage de ma queue, je lui déchargeai toute ma semence dans la bouche. Elle n’en perdit pas une goutte la petite cochonne ! Je lui aurait bien rendu la pareille mais l’heure avançant nous dûmes reprendre la route si nous ne voulions pas rater notre train.


Arrivés à la gare, nous nous installâmes à nos places de 1er . Vu l’heure de retour (16h) et le jour (un mardi d’octobre), ce n’était pas la foule dans notre wagon, tout juste un autre couple et une gentille grand-mère et son chat !



Se trouvant dans la première voiture, nous ne devrions pas tarder à voir passer l’homme à la casquette !



Elle releva discrètement sa jupe droite pour me montrer son string. On pouvait déjà voir en effet une belle tâche sombre. Elle était déjà bien excitée ! Moi-même je bandais comme un taureau !

Ce fut à ce moment là que l’homme de l’autre couple choisit de passer devant notre compartiment pour aller aux toilettes. Gwendoline eut beau redescendre prestement sa jupe, il pu sans mal admirer l’entre jambe trempé de ma collègue. Il continua son chemin comme si de rien n’était, avec cependant un petit sourire aux lèvres …



Elle fit semblant de prendre la mouche.



Mais je sentais bien dans son regard qu’une partie à 4 ne serait pas pour lui déplaire. Je dois bien avouer qu’après les gros seins, les partouzes faisaient aussi partie de mes fantasmes les plus fous !



Quelques minutes plus tard le train démarrait et peu de temps après, comme prévu, le contrôleur passait dans le wagon. Nous voilà maintenant tranquille pendant tout le reste du trajet soit près de 3 heures !

Nous décidâmes donc de mettre à exécution notre petit stratagème en nous dirigeant vers le compartiment occupé par l’autre couple.

Nous les surprîmes en train de s’embrasser langoureusement, elle abandonnée sur la banquette, jambes écartées (elle portait une mini jupe en jean), lui lui pelottant sans vergogne sa poitrine (à mon avis un joli petit 90B !). La demoiselle ne semblait pas porter de soutien-gorge !

Je ne sais pas si c’est d’avoir vu le string trempée de Gwendoline qui l’a mit dans cet état ou simplement son baiser torride avec sa compagne, mais on devinait sans mal la bosse dans son pantalon !

Notre arrivée mit fin brutalement à leurs ébats érotiques. Si la fille semblait très mal à l’aise, son compagnon ne semblait pas plus embarrassé que ça.



Sans attendre leur réponse nous poursuivîmes notre chemin jusqu’au bout du wagon.

Une fois installés dans le kiosque ma collègue me demanda :



Sans se faire prier elle s’affala sur la banquette en relevant bien haut sa jupe. Je ne fus pas long à lui ôter son string tout poisseux de cyprine. Après l’avoir humé et même léché, je m’attaquai à son délicieux petit abricot bien rasé et ruisselant de mouille. Mes premiers coups de langue lui fit échapper un long râle de plaisir.



J’alternais les petits coups de langue et les longues léchouilles de bas en haut tout en m’attardant sur son petit bouton déjà tout gonflé ! Je profitais aussi de la position lascive de ma partenaire pour lui titille la rosette avec mon index.



Elle avait ouvert son chemisier et sorti ses deux obus qu’elle triturait dans tous les sens. Ces auréoles s’étaient considérablement élargies et ses tétons semblaient durs comme du bois. Avec ma deuxième main je me mis en œuvre de l’aider dans son massage mammaire !

Quelques minutes plus tard elle explosait dans un orgasme puissant. Elle m’inonda la bouche de sa jouissance … je n’en perdis pas un goutte et mis un point d’honneur à lui nettoyer sa petite chatte !



Elle s’attaqua alors à ma braguette et sortit mon chibre de sa prison de tissu. Sans attendre elle engouffra mon membre gonflé dans sa bouche et débuta une fellation des plus sauvage : elle m’avala entièrement tout en me malaxant mes deux boules. SLURP ! SLURP ! Elle avait faim de bite la cochonne !

Tout occupé à nos affaires, nous ne nous sommes pas aperçus de l’arrivée de nouveaux venus dans le Kiosque/baisodrome : le petit couple avait décidé de répondre à notre invitation !

Ce fut Gwendoline qui les aperçut la première, moi tournant le dos à la porte.



Elle avait cessé son petit jeu buccal mais continuait à me masturber.



La fille regardait avec une envie non dissimulée les grosses loches de ma partenaires. Une bi ? Chouette ! Un fantasme de plus à assouvir !



Sans attendre plus longtemps Benoît se dirigea vers Gwendoline. Arrivé à son niveau il l’a fit se relever et lui roula une pelle monumentale. Tout en s’adonnant à cette joute linguale, elle défit la ceinture de son nouvel amant et fit tomber le pantalon et le boxer sur ses genoux. Le salaud était bien monté ! Une belle bite, pas très longue mais très épaisse ! Ma salope de collègue allait se régaler !

De mon côté je me dirigeai vers Marie qui était restée à l’entrée du Kiosque, la bite au garde à vous. Elle semblait beaucoup plus réservée que son ami. Son regard était toujours fixé sur les seins de Gwendoline maintenant aux mains de Benoît qui jouait à faire passer les tétons entre ses doigts. Vu les râles de plaisir que j’entendais, elle avait l’air d’apprécier !



Doucement je l’a fis asseoir sur un fauteuil de manière à ce qu’elle soit à la bonne hauteur. Sans que j’eu besoin de lui en dire plus, elle se mit à me masturber doucement tout en me massant les couilles. Elle semblait beaucoup moins réservée tout d’un coup !



Elle se mit à donner plusieurs coups de langue sur mon gland, le long de ma hampe, sans oublier mes couilles. Puis, lentement, elle avala ma queue centimètre par centimètre. Autant Gwendoline optait pour une fellation bestiale, autant Marie me taillait une pipe tout en douceur. Elle la ressortait pour la ravaler aussitôt. J’étais aux anges !

De sa main libre, elle se masturbait le clitoris. Je pu constater que contrairement à ma collègue, Marie n’était pas entièrement rasée, elle conservait un petit triangle poilu bien taillé et aussi blond que ces cheveux. Et oui, une vraie blonde ! Par contre elle aussi avait opté pour un string en dentelle noire. Ne voulant pas venir tout de suite je repris le contrôle de la situation. Je m’agenouilla devant elle et lui écartai les jambes pour lui faire un petit cunni. J’avais moi aussi très envie de goûter à ce joli minou, blond comme les blés.



Elle profita d’avoir récupéré ses deux mains pour ôter son t-shirt. Comme je le pensais, elle ne portait rien en-dessous. Elle possédait une joli petite paire de seins en forme de poires. Ses tétons pointaient droit à l’horizon mais contrairement à ma collègue, elle ne possédait pas de grosses auréoles. Elle se mit à se caresser la poitrine tout en gémissant sous mes coups de langue. Je risquai un petit massage annal … la belle se cambra de plus belle. Ainsi elle semblait aussi apprécier l’amour par derrière !

De l’autre côté du compartiment Gwendoline et Benoît, à présents entièrement nus, s’adonnaient à un 69 effréné allongés sur la banquette. Elle s’activait sur sa bite alors que lui aspirait littéralement son clito tout en lui ayant déjà fiché deux doigts dans le cul.

Après une petite séance de broutte-minou ma nouvelle partenaire sexuelle me fit part de son désir d’être possédée plus en profondeur.



Après avoir ôté sa jupe, elle se mit à quatre patte sur la banquette et me présenta sa fente tout humide de ma salive et de ses sécrétions vaginales.



Je ne me fis pas prier ! Je me défis moi aussi de mes vêtements et je positionnai mon gland à l’entrée de sa grotte et commençai à la pénétrer. Elle était beaucoup plus étroite que Gwendoline. Sentir ma queue emprisonnée dans ce puits de chair quel bonheur ! Je commençais à m’enhardir.



J’accélérai la cadence, je n’hésitais pas à venir buter contre son con et à repartir en arrière … en avant … en arrière … elle haletait de plus en plus.



A côté de nous Gwendoline était elle aussi en train de se faire pilonner la chatte par la bite de Benoît. Allongée sur le dos elle subissait les coups de butoirs de son amant avec délice.



Marie me demanda alors de changer de position. Je compris assez vite où elle voulait en venir. Elle se mit à quatre patte sur la même banquette que l’autre couple. Elle pouvait ainsi s’occuper des grosses loches tant convoitées de ma collègue pendant que je lui trouais la chatte par derrière.



Elle ne se fit pas prier longtemps : elle prit ses tétons en bouche les uns après les autres tout en malaxant sa grosse paire. Gwendoline couinait de bonheur. Elle commença à s’occuper du petit bouton de Marie et à caresser en même temps ma queue qui rentrait et sortait à une cadence effrénée. Benoît se décida à abandonner la chatte de ma collègue pour s’occuper de sa rosette. Il se mit à lui faire une petite feuille de rose afin de préparer le terrain. Sa queue étant plus large que la mienne, l’entrée de son gland fit légèrement grimacer sa partenaire.



Il continua sa progression centimètre par centimètre. Après s’être arrêté quelques instants pour qu’elle s’habitue à sa grosseur, il finit par rentrer totalement son chibre dans son fondement. Rapidement Gwendoline se décontracta et commença à imposer son rythme en remuant son petit cul.

Je commençai moi aussi à m’intéresser au petit trou de Marie en l’humidifiant avec sa mouille. Tout en continuant à la besogner, je lui introduisis un doigt, puis deux. Après plusieurs mouvements tournants pour lui dilater l’anus, je me décidai à quitter sa chatte pour entreprendre son trou noir. Tout comme Benoît j’enfonçai doucement mon gland afin de l’habituer à cette nouvelle présence en elle. Devant être habituée à la bite plus épaisse de son copain, je n’eut aucun mal à m’enfoncer entièrement en elle.

On se retrouva donc Benoît et moi en train de sodomiser en même temps nos deux partenaires qui pendant ce temps là gémissaient tout en se roulant un patin endiablé ! Marie malaxait toujours les seins de Gwendoline pendant que celle-ci lui masturbait le con avec trois doigts.

Au bout de plusieurs minutes d’orgie, je fus le premier à inonder le cul de Marie de foutre. Benoît remplit Gwendoline peu de temps après en même temps que nos deux cochonnes de partenaires attrapaient chacune un orgasme puissant. Le Kiosque fut rempli de couinements et de long râles de plaisirs, preuves de nos jouissances successives.

Une fois leurs culs libérés de nos deux bites redevenues flasques, Marie et Gwendoline se terminèrent en 69, chacune s’appliquant à nettoyer l’autre de tout ce qui pouvait ressortir de leurs trous.

Nous échangeâmes alors nos places pour que ces dames nous nettoient nous aussi. Elles ne se firent pas prier pour nous reprendre en bouche malgré l’état peu ragoûtant de nos deux chibres. Nous avions vraiment deux salopes pour nous satisfaire !

Une fois bien propres nous nous sommes rhabillés et avons passé le reste du trajet à discuter de tout et de rien.

Arrivés à Paris, nous nous sommes promis de nous revoir pour remettre ça !

Gwendoline m’embrassa en me donnant rendez-vous le lendemain au bureau « pour de nouvelles expériences » me promit-elle. Rrrrrrrrrrrrrr !

De mon côté je pensais à mon retour auprès de Vaness’ : comment allais-je réagir après ces deux jours d’orgie sexuelle ?


A suivre …