n° 07595 | Fiche technique | 26491 caractères | 26491Temps de lecture estimé : 16 mn | 10/09/04 |
Résumé: Ma femme Alexandra n'est pas aussi 'sage' que je le croyais. Elle se révèle grâce à une amie. | ||||
Critères: fh 2couples jeunes couple grossexe vacances volupté fsoumise cunnilingu anulingus fgode | ||||
Auteur : Olivier (H 50 ans amoureux du plaisir des femmes) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Alexandra : lever de lune sur Sodome Chapitre 01 / 10 | Épisode suivant |
Alexandra est ma femme depuis 14 ans, beaucoup m’envient je crois. Elle a 37 ans, fait 59 kg pour 1,71m, cheveux châtains foncés, lisses à mi cou, parfois attachés haut sur l’arrière de la tête en une courte queue de cheval qui dégage la nuque. Ses yeux sont très verts derrière ses lunettes, les sourcils curieusement plus clairs que ses cheveux, presque blonds, visage expressif au menton allongé, lèvres fines, sourire éclatant aux dents blanches rehaussé par les tâches de rousseurs charmantes.
Ses épaules sont minces, sa poitrine menue aux mamelons roses sensibles, elle a hanches fermes et longues cuisses galbées de skieuse de fond. Quand elle est nue ses cuisses ne se touchent pas sous le sexe, laissant passer la lumière : je ne connais pas plus mignon spectacle.
Alexandra, ne porte que peu de marque de sa maternité. Sa peau ne montre que quelques vergetures minimes sur les côtés des hanches et les kilos qu’elle a pris depuis sont harmonieusement répartis, avec juste un soupçon de petit ventre rond qu’elle combat en faisant des abdominaux. Nous faisons pas mal de sport (ski de fond, randonnée, kayak, nage en eau vive, para-pente) et malgré les années, ses chairs sont fermes et toniques au contact comme en mouvement. Son seul vice à ma connaissance, ce sont les crèmes glacées!
Alexandra est déléguée médicale pour un grand laboratoire, elle visite les médecins, et pour cela est presque chaque jour sur la route (elle est chargée de 3 départements). Parfois je me suis inquiété de l’effet que pourrait avoir sur elle quelque séduisant toubib. On ne peut s’empêcher de penser. Mais notre relation semble solide et nous nous entendons bien, partageons les mêmes passions et Alexandra passe presque tout son temps libre à faire du sport avec moi ce qui ne cadre pas avec des affaires extraconjugales.
Je suis à peine plus grand qu’elle, 1,75 m pour 82 kg, si bien qu’en talons hauts, elle me dépasse. Prof d’anglais, je suis blond aux yeux bleus, baraqué, endurant, et c’est ça qui l’a fait craquer parait-il. J’ai deux ans de moins qu’elle, nous nous sommes connus en Fac. Au lycée, les filles cherchant la compagnie des types plus âgés, je ne voyais cette belle plante que de loin.
Notre vie de couple est ’normale’: tous deux actifs dans une grande ville, 1 enfant, sexualité sympa sans plus, pas de vrai fantasme, quelques escapades à deux en château-hôtel ou ’auberges gastronomiques’. Plus de câlins-tendresse que de vraie folie érotique… J’adore la voir nue, et en été quand elle bronze topless, en string. Elle le sait et me fait le plaisir certains jours de vaquer à ses occupations dans la maison en tenue d’Eve. Nous en sommes arrivés à la sexualité ’hygiénique’ : le petit coup appuyé du dimanche matin, plus un ou deux soirs par semaine, ça élimine la pression … rien de démentiel. En vacances il y a quelques épisodes torrides, mais le plus souvent c’est un cours d’eau tranquille.
En décembre nous profitons des premières neiges dans le Jura pour randonner à ski. Notre fille est chez mes parents. Nous avons loué un châlet avec un couple d’enseignants de mon lycée, Natacha et Didier. Natacha, une brunette qui ne dépasse pas 1,65 m, est volubile. Alexandra et elle ont le même âge, elles ont grandi ensemble. Elles font du sport, leurs emplêtes en duo et partagent les mêmes copines et les mêmes discussions ’de nanas’. Depuis toujours Natacha appelle ma femme par son diminutif Sandra et Alexandra l’appelle ’Nat’. Didier a 50 ans, il est longiligne musclé cependant, cheveux poivre et sel, et parle peu, et presque toujours de son travail. Natacha a confié une fois à Alexandra qui s’étonnait de ce couple disparate, que pour l’amour ce qui compte c’est pas le baratin, mais qu’il vaut mieux ’du solide’. Nous en avons déduit le reste du physique de Didier.
Après une première journée de ski épuisante – ah le manque de forme! - nous faisons des achats d’alimentation et je lance le feu de cheminée, pendant que Didier qui à la fibre culinaire s’empresse silencieusement auprès d’Alexandra pour la préparation du dîner.
Après le repas, nous sommes devant le feu, Alexandra, se tient coite dans un fauteuil, tandis que nous les profs nous parlons de nos élèves (Misère!).
Didier se lance dans un grand discours sur un devoir qu’il a reçu d’une élève de 16 ans et dont la profondeur lui ne parait pas correspondre à l’âge de la jeune fille. Natacha lance : « Ah, seize ans, que n’ai-je encore seize ans!
Quand je me couche à mon tour, Alexandra est tournée sur coté.
Je m’allonge et rêvasse dans le noir, j’entends de l’agitation dans la chambre à côté, les grincements du lit évoquent un rapprochement de couple! Les soupirs - à peine - étouffés de Natacha, décidément volubile à tout instant, me donnent des velléités mais Alexandra semble dormir profondément. Je fais bientôt de même.
Le matin, nous repartons tôt pour une longue rando. Alexandra et moi sommes plus rapide et nous attendons quelques minutes toutes les heures l’arrivée de nos amis. Alexandra est belle, son visage bronzé sous le bonnet de laine couronne une silhouette à damner un saint. Je lui reparle de l’épisode de la soirée : « Alexandra, j’ai eu l’impression que tu était fâchée, hier soir. C’était quoi le problème?
Pourtant, un peu plus tard, quand je demande à Natacha : « C’était quoi cette sortie d’Alexandra le premier soir? Le chalet numéro 12? » Elle me dit d’un air gourmand et un peu critique que je «devrais me préoccuper davantage de la sensualité d’Alexandra».
A la fin de la randonnée, je reviens de pisser dans la neige un peu plus loin et j’entends la fin d’une conversation, entre les deux femmes. Alexandra : «J’aimerais bien je t’assure, mais jamais je ne lui demanderai. » Je demande de quoi il s’agit. « Oh rien mon chéri … » Elle jette un coup d’œil a Natacha.
Je ne réagis pas sur le coup mais ces phrases me reviennent souvent, si bien que je m’arrange pour sortir faire les courses avec Natacha à la fin desquelles je lui propose de boire un chocolat chaud. Elle accepte et après quelques instants je pose la question qui me brûle les lèvres:
«Sais-tu que tu m’as intrigué avec ce que tu m’as dit sur Alexandra?
C’est la nuit, nos amis semblent emportés par un tête à tête affectueux interminable.
Après un petit câlin tendre - petit missionnaire et quelques titillements de clitoris - que je profite de l’abandon du moment pour cuisiner Alexandra.
«Bébé, tu sais quoi, j’ai pensé à toi, je me suis dit que peut-être voudrais-tu davantage dans ta vie amoureuse.
«Ouiiii! Comme ça chéri d’amour. Hmmmm …
Je descends sur ses seins menus et lui titille les pointes avec la langue, lui donnant la chair de poule. Puis en la regardant dans les yeux je glisse sur son ventre vers sa toison fine. Elle écarte les cuisses et je peux sentir l’odeur de nos sécrétions mêlées. Je suis dans un tel état d’excitation que ça ne me gêne pas de connaître le goût de mon sperme mêlé à sa mouille…
Elle m’encourage par de petits soupirs et tourne les yeux vers le plafond.
Je fais coulisser ma langue le long de sa chatte délicieuse, m’attardant un peu sur le clitoris bien gonflé, glissant du haut en bas pour embrasser l’entrée de son vagin et l’aspirer goulûment lui arrachant des exclamations de bonheur qui me rendent fébrile. Pour mieux y aller je prends ses deux pieds et les fais reposer sur mes épaules. Tout son entre jambe est offert à ma gourmandise, je donne alors un traitement de faveur au clitoris, alternant les chatouillements de langue aux prises à pleine bouche, suivis d’aspirations du petit organe.
Alexandra en oublie alors sa réserve habituelle pour se mettre à déclamer:
« Que c’est doux, dououou .. Oh c’est bon! C’est boOOON! …»
La scène est magnifique et me remplit de désir et de bonheur esthétique. Alexandra entièrement ouverte, offerte, cuisses remontées sous les épaules, tête rejetée en arrière hors du lit, ses seins durcis pointés aux ciel, les mains des deux cotés griffant le drap, je ne me souviens pas l’avoir vue ainsi.
Je me mets à faire coulisser la langue dont je m’arrange pour raidir la pointe, de haut en bas sur son périnée, pressant son clitoris, écartant ses lèvres, glissant sur tout le vagin pour finir par venir l’appuyer en cercle sur les plis de son délicat anus rosé.
Alexandra manifeste son contentement par un soupir continu et des exclamations de plaisir qu’elle lâche de temps à autre:
« Ahh … ahhhmmm oh, oh … Oui Hmmm».
Au fur et à mesure, j’attarde davantage ma langue sur son anus, inviolé à ma connaissance, pour m’apercevoir que Alexandra n’y voit aucun inconvénient.
Je me décide à y glisser mon index qui lui fait donner encore plus de voix - comme si c’était possible.
« Ooooh, oh ho ho ouiiii ahhh, hmmmmmmm! Oh viens, viens maintenant!»
Ma bite raide et presque douloureuse n’attendant plus que cela, je me glisse vers sa chatte, si accueillante que je m’y retrouve au fond sans ambages.
«Aie, oh vas-y, vas-y oh, fort … astique-moi!»
Je n’ai jamais entendu un tel langage dans la bouche de ma si sage épouse et me sens bien obligé de m’exécuter - joyeusement - en prenant ses deux jambes sur mes épaules.
Je remplace mon index dans son anus par mon pouce et alterne de longue allées et venues dans sa grotte lubrifiée et avide de ma queue avec un branlage de son cul par mon pouce, soit très lentement soit à toute vitesse, elle décolle avec un grand cri, pendant que je me retiens et coulisse régulièrement dans sa chatte en regardant Alexandra se tendre sous moi. Je fais aller ma verge, raidie comme jamais, de toute sa longueur sortant entièrement pour m’enfoncer de nouveau jusqu’à la garde. Cela va si bien que je ne peux m’empêcher de penser que la chatte de Mon Alexandra pourrait sans peine, accueillir un organe plus gros.
Alexandra qui vient de jouir très fort, a les yeux fermés, elle manifeste maintenant son plaisir par une respiration haletante tout contre mon oreille, et des : « oh que c’est bon, que j’aime ça, que je t’aime oh oh ho ».
J’accélère encore mon mouvement de reins, et tout en lui faisant coulisser le pouce dans l’anus, lui glisse à l’oreille : « Bébé, que tu es belle, bébé, dis-moi que tu aimes ça !
Alexandra, n’exprime rien de plus mais se met à lancer son bassin très fort à la rencontre de ma bite et de mon pouce réunis dans un seul mouvement de pénétration de son con et son cul. Elle est splendide, je la trouve transfigurée par le bonheur, un fin liséré de transpiration sur sa lèvre supérieure, comme une petite moustache d’amour que je lèche tendrement tout en la pistonnant, et je décharge comme un malade en m’oubliant et en criant son prénom.
Elle me répond en me mordant le cou et me griffant le dos pendant que j’inonde son vagin.
Nous restons ainsi, ma verge se dégonflant dans sa chatte et mon pouce dans son cul, soufflant l’un sur l’autre.
Je pense à nos amis à côté et me demande s’ils nous ont entendu. Mais le grincement régulier du sommier me parvient toujours: bon sang ce Didier!
Nous basculons sur le flanc et tandis que nos sexes se séparent Alexandra vient nicher sa frimousse sous mon menton et m’embrasse doucement le cou. Après un moment :
« Oh dis-donc je t’ai mordu ! Et fort encore.
Le reste du séjour se passe dans la frénésie sexuelle, une sorte de deuxième lune de miel, qui me fait voir à quel point Alexandra peut se montrer avide de sexe. À la fin du séjour, Natacha, me félicite avec une pointe d’envie de si bien m’occuper d’Alexandra maintenant. « Au revoir, à bientôt. On vous aime. » Nous dit-elle en nous embrassant. « Vous étiez très choux ces derniers soirs les enfants! ».
Nous rentrons chez nous et ça continue. Au cours de nos ébats dans la soirée, épuisé par plusieurs assauts, elle est à genoux et je lui fais une pince d’amour (pouce dans le cul et 2 doigts dans la chatte) qui lui fait de nouveau chanter l’amour à voix si stridente que je pense à davantage et cours à la cuisine (« Ne bouge pas, je reviens ») me saisir d’un beau concombre que je fais glisser sans difficulté dans sa chatte dilatée par les exercices des dernières vingt-quatre heures. Le concombre fait plus de 25 cm et a un diamètre de 6 cm au bas mot, il est courbe presque en forme de croissant.
Alexandra, à genoux se cambre alors avec vivacité et se retourne vers moi avec un regard de reconnaissance en s’ouvrant totalement. Lorsque j’entreprends les allées et venues avec ce mandrin bien plus gros ma verge, elle s’abandonne complètement. Alexandra se tient le torse aplati en avant, la tête sur le côté regardant vers la table de nuit. Son cul est haut dressé offert sans retenue, elle gémit continûment une série de sons inintelligibles. C’est si beau qu’une fois de plus je pose ma bouche sur son anus et lui élargis la rondelle avec le bout de la langue durci, tout en faisant aller et venir le concombre dans sa chatte. Je le fais de plus en plus vite, Alexandra, souffle et crie sans arrêt.
Je lui demande : « Ce n’est pas meilleur une grosse comme ça ?
A ce moment là, je suis si fatigué que malgré mon extrême excitation ma bite est seulement à demi dure. Je crache sur le tendre anus de ma divine Alexandra, et retirant le mandrin de sa chatte entreprend de le lui glisser dans le cul. L’introduction est vraiment délicate et Alexandra se recule vivement. Je m’interrompt et retourne à la cuisine enduire l’objet d’un peu de margarine. Mais malgré cela elle a trop mal, et après plusieurs essais et je préfère ne pas insister.
J’ai enfin la trique et la faisant basculer sur le dos, la pénètre dans le con, je la lime un bon moment avant d’éjaculer au fond de sa chatte. Tout du long elle semble hors d’elle, griffant le lit, gémissant sans aucun mot articulé.
Elle se pelotonne en silence dans mes bras.
« C’était trop bon, mon bébé » lui dis-je « On va le refaire. On ira dans un sex-shop acheter de vrai godes et je te ferai jouir encore et encore. OK ?