n° 07596 | Fiche technique | 25137 caractères | 25137Temps de lecture estimé : 15 mn | 10/09/04 |
Résumé: Emplettes au sex-shop | ||||
Critères: fh couple sexshop hotel volupté fsoumise humilié(e) voir noculotte fdanus uro init | ||||
Auteur : Olivier (H 50 ans amoureux du plaisir des femmes) Envoi mini-message |
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Malgré notre excitation sexuelle de retour, la semaine se passe en pensant d’abord au travail si bien que ce n’est qu’après une - petite - baise du samedi matin que je rappelle à Alexandra qu’il nous faut aller au sex-shop. Elle parait ennuyée à cette idée:
« Oh chéri, vraiment ? Tu crois ? Es-tu bien sûr de toi ? Ça me gêne.
Nous prenons la route vers ZZ, je suis en jeans et blouson de toile, Alexandra porte un petit haut gris léger en coton, sans soutien-gorge, qui laisse transparaître ses pointes de seins, sur une jupe noire fantaisie avec des volants en dentelle qui s’arrête à 2 doigts au-dessus du genou.
J’ai préfère acheter ces ustensiles dans une boutique, plutôt que sur Internet, car je tiens a y amener Alexandra. Je ne doute pas qu’elle sera gênée et je m’attends à sa résistance, mais je prends ça pour un parcours érotique, presque un dépucelage mental que je veux faire vivre à notre couple.
Arrivé sur place, la boutique est bien ouverte, comme nous approchons par les petites rues de la vieille ville, Alexandra essaie encore une fois de me faire changer d’avis :
« Tu sais, Patrick, nous n’avons pas besoin de trucs comme ça, je trouve que c’est un peu sale, vulgaire. On va croire que je suis du genre foldingue, prête à se donner au premier venu!
Nous entrons dans la très petite échoppe, où les magazines, vidéos et livres XXX se côtoient en désordre sur les rayons entre lesquels une personne a tout juste la place de passer.
Il n’y a qu’un vendeur, un homme maigre de la cinquantaine, qui ne semble pas nous prêter attention après un vague ’bonjour’ quand nous sommes entrés.
Alors que nous tournons en silence, examinant les produits d’un air consciencieux depuis quelques minutes, il finit par nous demander :
« Puis-je vous aider ? »
Alexandra s’immobilise, dans un silence crispé et fixe avec intensité une vitrine exposant des strings, des porte-jarretelles et des culottes fendues d’un goût plutôt discutable.
Je me décide à produire un son :
« Nous sommes intéressés par des accessoires érotiques … mais je ne les vois pas dans vos rayons.
Nous y allons, Alexandra est rouge de confusion, et nous trouvons dans une pièce encore plus petite garnie de vitrines où sont en effet alignés godemichés de tous styles et tailles, allant de sexes en plastiques moulés très réalistes, à des vibromasseurs à l’aspect médical. Le vendeur qui semble connaître son affaire, nous laisse encore un peu de temps et retourne dans l’autre pièce. Comme nous regardons chacun de notre côté les divers ustensiles, je jette un coup d’œil de biais à Alexandra et la trouve en contemplation devant une boite sous verre qui contient un chapelet de 5 boules couleur ivoire reliées par un cordon de soie noire, leur diamètre est de 3 cm environ. Je reconnais des boules de geisha. Alexandra, est de profil et je crois discerner que ses seins sont érigés sous le coton de son corsage. Je m’approche et lui dis :
« Ce sont des boules de geisha, on les introduit, bien graissées dans l’anus et on les retire, au moment de l’orgasme, l’effet est étonnant parait-il !
« On peut aussi les porter toute la journée, comme certaines de nos clientes le font régulièrement. » intervient le vendeur.
Alexandra est cramoisie et se tourne vers la vitrine opposée pour se donner une contenance et peut-être cacher ses pointes de seins turgescentes.
Dans cette vitrine on peut voir, circonstance aggravante pour le trouble de ma femme, des godemichés de taille imposante, tous au-dessus de 20 cm, entourant un engin de science-fiction qui doit faire plus de 30 cm et 7 ou 8 cm diamètre. Parmi eux, mon attention se fixe sur les doubles godes, aux formes et tailles diverses. M’interposant entre les deux, je viens vers Alexandra qui oscille entre le fard le plus total et l’excitation érotique et lui demande à voix basse:
« Vois-tu quelque chose qui te plait ? »
Elle me regarde avec l’oeil éperdu de celle qui voudrait dire oui, mais ne sait comment.
« Oui, euh, c’est-à-dire, il y bien ces strings à cotés … pour ici, je … je préfère te laisser choisir, enfin, si, euh … si tu vois quelque chose de bien. Euh …
Tous deux retournent vers la boutique principale ou je les entends choisir une pièce de lingerie, parler de taille de bonnets. De mon côté, aucun doute, elle aura ses boules de geisha car je sais que ça l’excite, et je prendrai un vibreur à pile dont la tige pas trop épaisse est porteuse de cinq renflements successifs garants de sensations fortes. Après quelques instants le vendeur revient seul, Alexandra préférant sans doute garder un maximum de ’dignité’ dans la première pièce. Je lui indique mes choix, il semble m’approuver mais ajoute : « Je me permettrais de vous conseiller ce très beau double dong couleur chair. C’est un accessoire délicat, vraiment très délicat, je vous assure », dit-il à voix suffisamment haute pour être entendu à coté. « C’est à porter tout le temps, et en position assise surtout, les femmes sensuelles en retirent de grandes satisfactions. » Il me montre un objet rose recourbé en forme de U de 25 cm en tout, avec une extrémité vaginale épaisse de 3 cm de diamètre et l’autre plus fine pour l’anus. Les deux cotés sont couronnés chacun par une partie plus renflée, ovale. J’acquiesce de la tête en le fixant dans les yeux et le voilà qui empaquette le tout. Je règle en liquide et nous voici dans la rue, chacun avec son petit paquet mystérieux, accompagnés d’un cordial : « A bientôt messieurs dames ».
Alexandra s’éloigne à grandes enjambée de l’endroit, elle me précède et j’admire ses longues jambes, à la courbe accentuée par ses talons hauts, la jupe qui bat sur l’arrière de ses cuisses, et je ne peux m’empêcher de l’imaginer portant les boules de geisha, sans culotte avec la ficelle sortant de son cul.
Nous regagnons notre Renault Espace, et sans mot dire, prenons le chemin du retour. J’ai une trique d’enfer, Alexandra est rêveuse à mes cotés. Je me tourne vers elle à un feu rouge, elle regarde par la vitre, et je vois sa poitrine respirer plutôt vite et ses seins toujours dressés sous le coton gris.
Nous filons maintenant sur la 4 voies et mon excitation ne diminue pas au contraire. Alexandra me parle enfin :
« J’ai choisi le joli string rouge en dentelle et le soutien-gorge à balconnets qui va avec : tu sais il laisse les pointes des seins sortir. C’est drôle hein, non ? Ça va te plaire ?
Nous sommes à mi-chemin de cette route que je connais bien et j’aperçois à 3 Km la silhouette d’un motel B&B, je n’y tiens plus et je dis à Alexandra :
« Tu vas me montrer ton achat, bébé, je te paye un petit essayage.
Cinq minutes après, je règle par carte bleue et nous montons vers une chambre, munis de notre code d’entrée. À cette heure précoce, les femmes de chambre sont en train de faire le ménage et regardent passer d’un air entendu, ce couple pressé, qu’elles croient adultère. Alexandra passe, royale, le menton haut regardant ’ailleurs’, je leur fais un clin d’oeil.
A peine entrés je l’embrasse fougueusement, mais Alexandra se rebiffe et reculant me gourmande : « Mon cher mari qu’est-ce que cette précipitation? Je croyais que nous étions ici pour un essayage ? Un peu de tenue, je veux ! »
Elle se dirige vers la salle de bain où elle s’affaire quelques instants. À travers la porte elle me crie : « Enferme-toi une minute dans les WC, je t’appelle de suite ! « Je m’empresse de le faire. Je l’entends sortir et aller dans la chambre, puis elle me lance : « Venez monsieur le fripon, venez donc voir comment votre fidèle épouse vous accueille ! »
Je sors des toilettes, encore vêtu, pour voir Alexandra, allongée à plat ventre, avec le string et le soutien rouge pourpre. Surprise : un porte jarretelle avec des bas assortis complète le tableau hallucinant que m’offre ma si sérieuse épouse. Seule une lampe de chevet est allumée. Elle s’est mise en travers du lit la tête à l’opposé, son dos est un peu cambré, ses cuisses ’innocemment écartées’ si bien que je distingue la ficelle du string passant entre ses grandes lèvres qui la bordent de chaque côté avec les derniers poils de sa toison châtain. La ficelle se perd ensuite entre ses fesses. « Quel spectacle!».
Alexandra, pose ses mains sur ses fesses et les étire me laissant deviner, dans l’ombre, la somptueuse obscénité de son anus. Puis elle roule sur le dos, accoudée, découvrant ses tétons dressés au-dessus des deux balconnets du soutien symbolique. Je peux voir son torse fin, son ventre plat finissant sous le string par une toison qui transparaît sous la dentelle rouge. Ses hanches arrondies continuent par deux longues cuisses musclées et ses jambes interminables, ses pieds chaussés encore de ses talons hauts. Le tout surmonté d’un regard interrogateur et d’un sourire immense découvrant toutes ses dents.
On dirait une pute de luxe ! Voir ma chère et tendre, si sérieuse mère de famille, parente d’élève modèle, professionnelle réputée pour sa fiabilité, se comporter en call-girl avec tant de naturel et de réalisme confine au surréalisme. Je doute de moi, en fait quelque part je ne la reconnais même plus, en même temps que ma tension sexuelle est au maximum du maximum.
« Tu as de quoi rendre fous tous les hommes là !
Je me déshabille à toute vitesse et suis tenté de la baiser aussi sec, mais je pense soudain à mes petits accessoires, surprise …
J’ouvre mon paquet et en sort la boite de boules de geisha. « Ha! » S’exclame ma femme en la voyant. Celle-ci contient le chapelet de boules et un petit tube de vaseline qui vient à point nommé. Alexandra retient sa respiration au fur et a mesure qu’elle voir sortir les objets.
« Viens mon bébé, tu vas adorer. », lui dis-je, elle fait glisser ses hanches vers moi, toujours accoudée, en me regardant d’un air semi narquois, semi résigné, comme si elle me mettait au défi de l’étonner, de ne pas la décevoir. Je sens bien sa confiance en moi, sa curiosité, son envie certaine, mais aussi sa crainte d’être déçue, souillée, de voir l’image que j’ai d’elle diminuée, rabaissée. Je fais basculer sa hanche droite vers la gauche, si bien qu’elle m’expose ses fesses séparées par la ficelle du string, tout en restant appuyée sur les épaules et me fixant. La suite se passe en silence, je déploie le collier et en enduit les boules de quelques touches de vaseline, puis je glisse deux doigts bien gras entre les fesses d’Alexandra. Consentante, elle bascule sûr le côté gauche, replie ses genoux vers le haut, dégageant à mon regard, toute une géographie érotique : ses fesses, deux collines arrondies blanches et tendres, définissent une sombre cuvette en entonnoir, au fond de laquelle, cerclé de quelques poils châtains, se découvre l’orifice rose de ma convoitise, un peu en avant l’abricot fermé de ses grandes lèvres.
L’instant est plein d’une excitation bizarre. Alexandra n’a jamais été sodomisée et c’est seulement depuis les dernières semaines que les caresses anales semblent lui apporter du plaisir.
L’image de mes doigts, pressant la première boule brillante de vaseline sur l’anneau délicat de mon épouse, le fil du string tiré sur le coté, son silence, sa docilité attentive, son excitation silencieuse, sont marqués pour toujours dans ma mémoire comme des photos de vacances qu’on connaît par coeur. Devant la première boule, l’anus ne s’ouvre pas mais les chairs élastiques reculent. Je masse l’anneau de chair de mon doigt graissé et introduit un peu de vaseline à l’intérieur. J’appuie de nouveau la boule et c’est très lentement qu’elle pénètre, écartant la muqueuse luisante du petit orifice. Cela fait penser à une petite bouche qui s’ouvrirait pour gober un œuf. La boule est avalée et disparaît, Alexandra, réagit par une minime secousse du bassin, et sa respiration devient sonore, je vois le duvet de la peau de ses fesses et de l’arrière des ses cuisses se hérisser, au-dessus des bas : c’est magnifique! L’anus s’est refermé sur le petit cordon de soie noire, je presse ensuite la seconde boule et successivement introduit la totalité du collier. Alexandra et moi-même sommes silencieux comme dans l’attente de quelque chose, elle est concentrée sur les sensations nouvelles qui la parcourent, tandis que je suis saisi par l’esthétique du moment et un peu éberlué par la transformation érotique de ma tendre et chère femme, ses désirs nouveaux et son acceptation de mes envies.
J’imprime une traction sur le cordon et voit les chairs d’Alexandra bomber en arrière, sous la traction de la dernière boule, je continue et voit apparaître la boule à travers l’anneau entrouvert. Je relâche le cordon et l’anus se referme brusquement sur sa proie, Alexandra lance : « Hhouu, je les sens se cogner dedans ! Houfff. C’est fort ! « Cela m’incite à recommencer. Alexandra reste immobile, et se contente de respirer plus vite, je tire, je relâche, je tire, je relâche, au rythme de sa respiration, après une dizaine de fois elle souffle plus fort émettant un cri à la fin de chaque expiration, un peu comme: « hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie … ».
Je fais durer et plusieurs minutes se passent ainsi, sans autre bruit ni mouvement, juste mes doigts qui tirent le cordon puis relâchent. Je suis assis sur le lit, ma verge est douloureuse à force d’être raide, pourtant je ne ressens pas d’urgence. Alexandra, gémit alors régulièrement quand soudain, je ne relâche pas le cordon mais d’un coup sec fait ressortir la dernière boule : elle crie à voix si haute, qu’on peut sans doute l’entendre hors de la chambre, ce dont je me moque : « AYAAaaa ! Ah !» Dans le même mouvement je réintroduis l’objet, elle frémit, et c’est tout, ne bouge plus, toujours offerte, repliée en avant, passive. Et je reprend mais toutes les cinq ou six fois je ressors la boule, et le cri d’Alexandra ébranle le silence de la chambre. Une minute ou deux se poursuivent ainsi et je retire puis réintroduit deux ou trois boules toutes les cinq, six mouvements. Alexandra est en sueur, le bas de son dos est trempé, elle gémit en permanence et crie très fort lorsque les boules sortent et entrent de nouveau dans son anneau assoupli et consentant. Puis brusquement elle se cambre, tend les cuisses emprisonnant les boules entre ses fesses, roule à plat ventre sur le drap : « Ah … je viens, ahh … c’est boon … c’est … ahhh ». Je la vois se tordre, avec ses jarretelles et ses bas, entre ses fesses serrées : la ficelle rouge du string et le cordon noir des boules de geisha, quel tableau ! Je ne peux plus tenir, dès qu’elle s’arrête, je la saisis aux hanches, la ramène brutalement vers moi et la pénètre en levrette.
Sa chatte est inondée, je la fourre bien profond, et se sens le long du dos de ma bite le chapelet des boules qui s’entrechoque, Alexandra crie quand je la pénètre et à chaque fois que les boules gigotent sous mes coups de reins. L’excitation est si grande que tout va très vite et en un instant je décharge une quantité de foutre qui me parait énorme, je tombe sur le dos de ma chérie, qui crie encore en donnant des coups de cul en arrière.
J’embrasse un moment les cheveux et le cou d’Alexandra, puis je roule sur le flanc face à son visage et croise son regard un peu vague, elle mime un baiser avec les lèvres.
«C’est le moment de la douche!» dit-elle en se levant vivement, mais elle oublie son ’chargement’ et s’arrête net à genoux : « Ouah, la sensaaaation, ça secoue là-dedans! » Elle tend la main vers ses fesses et cherche le cordon des boules de geisha. Je saisi sa main : « Pas question bébé, tu les gardes jusqu’à chez nous!
Elle se relève lentement et se dirige vers la salle de bain d’une démarche très précautionneuse; «ho le choc, je sais pas si je pourrai, oh c’est fort, c’est n’importe quoi, je n’ai jamais vu ça.».
Je la rejoins et nous nous savonnons mutuellement, avant de nous rincer jouant avec le jet sur nos parties intimes.
Au moment de se rhabiller je lui demande de rester sans culotte ni soutien-gorge, mais de remettre ses jarretelles et ses bas sous sa jupe. Comme elle est «assez déstabilisée» par ce qu’elle sent bouger en elle, elle ne rechigne pas et nous reprenons la voiture.
Chemin faisant je la surveille de temps en temps et je vois qu’elle a les yeux fermes, reposant sur l’appui tête. Je lui demande si ça va bien.
« Tu ne peux pas imaginer! Je ne savais pas qu’un corps pouvait avoir autant de plaisir … Merci chéri.
Nous arrivons dans notre rue, et la voiture garée il nous reste à parcourir un bout de trottoir avant de rentrer, c’est tout juste le début de l’après midi. Je ne cesse d’être ébloui par la beauté d’Alexandra: son ’petit haut gris’ qui ne cache rien, sa jupe noire, et les bas qui lui allongent les jambes … qui ne passent pas inaperçues si j’en crois les regards des passants. Je prend un malin plaisir à percevoir la gêne d’Alexandra qui avance d’une démarche hésitante, juchée sur ses talons hauts, cuisses et fesses serrées, et a du mal à croiser les regards. On est loin de la femme assurée, en tailleur strict qu’elle est d’habitude. Elle se hâte, je suis trois pas en arrière avec nos ’fameux paquets’. Elle doit saluer un couple du voisinage et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne s’attarde pas.
Une fois entrés, je me colle a son dos et l’embrasse dans le cou : «que tu es belle, belle ma chérie, mon bébé». Je lui flatte les fesses et glisse ma main entre ses cuisses, je sens le cordon qui pend et surtout l’humidité du lieu, Alexandra est inondée, la chatte bien sûr est trempée, mais ça coule des deux cotés sur l’intérieur des cuisses et jusqu’aux bas dont le haut a absorbé l’abondante mouille qu’elle a produit depuis le motel. «Eh bien, bébé, voila ce qui s’appelle une acquisition justifiée!» lui dis-je.
«Oh chéri, je n’en peux plus, c’est fort, si fort, je ne sais même plus si c’est bon ou si ça fait mal.
L’après-midi se passe au lit et Alexandra doit garder ’ses boules’ au nom de l’égalité entre les sexes, car lui dis-je:
« Il n’y a pas de raison que j’en ai et que tu en soit privée.» Elle me regarde mi figue mi raisin. Je la connais assez bien pour savoir que si elle ’les garde’ c’est qu’elle doit aussi y trouver son compte. Nous faisons et refaisons l’amour, Alexandra manifeste bruyamment son bonheur a chaque fois. Je crois sans me vanter qu’elle jouit au mois six ou sept fois. En fin de compte elle me dit: « Je suis morte, ça suffit, je vais les enlever, ça commence à me faire mal, d’ailleurs il faut que j’aille aux toilettes.
Elle se rend nue à la salle de bain, et fait mine de tirer sur le cordon, trop mignon qui sort de son cul de déesse. Mais je l’en empêche et la prie de s’accroupir et de l’expulser en poussant.
«Tu exagères, j’ai l’impression que tu me traites comme si j’étais une jument!
Elle se laisse convaincre et s’accroupit. Elle me dit soudain avec une voix de petite fille : «Mais je risque de faire pipi!
Elle se résout à pousser, et je vois en effet un filet de liquide jaune jaillir sur le tapis de bain, tandis que le cordon descend sur le sol, suivi par la première, la seconde boule. Elle s’arrête un temps, puis reprend expulsant les trois autres boules qui chutent lourdement. Le chapelet de boules est souillé, couvert de vaseline et d’excréments, l’odeur est prégnante, âcre. Alexandra est écarlate, elle a honte! Je ne l’ai jamais observé faire ses besoins et là après une journée de sexe torride, la voici qui pisse et fait sortir un accessoire pornographique de son derrière, sous le regard de son cher mari! Il y a vraiment de quoi avoir l’esprit à l’envers! Elle se dépêche de nettoyer, puis se douche et : «c’est fini, il faut que je dorme».
Je m’occupe de récupérer notre fille préparer son souper et la coucher. Alexandra dort d’un trait jusqu’au lendemain.
A suivre …