n° 07602 | Fiche technique | 23395 caractères | 23395Temps de lecture estimé : 14 mn | 10/09/04 |
Résumé: Dix ans de la vie sexuelle d'un couple depuis la rencontre jusqu'à la vie commune avec des enfants. | ||||
Critères: fh jeunes couple plage forêt campagne hotel voiture train amour exhib noculotte lingerie fmast fellation préservati ecriv_c | ||||
Auteur : Pierre et Carole Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Une éducation conjugale : initiation et perfectionnement Chapitre 02 / 06 | Épisode suivant |
Comme nous vous l’avons écrit, nous étions sans expérience lorsque nous sommes rencontrés. Ce chapitre est l’occasion de raconter quelques-unes de nos découvertes qui nous ont permis de mettre un peu de variété à notre vie sexuelle.
A partir du jour de notre dépucelage, nous avons commencé à avoir une vie sexuelle régulière. Cela ne nous posait pas de problème lorsque nous étions à notre école, et je dormais à l’appartement de Carole plusieurs nuits par semaine. Il n’en était pas de même lorsque nous étions chez nos parents, puisque nous n’avions alors aucun lieu où nous réfugier. Ce fut le déclencheur de nos premières étreintes hors d’un lit.
Ainsi, à l’époque j’avais une vieille voiture que j’utilisais lorsque je rentrais chez moi. Un soir que je ramène Carole chez elle après un après-midi passé ensemble, celle-ci me fait comprendre qu’elle n’a pas envie que l’on se sépare déjà. Je décide donc de ne pas prendre le chemin habituel et je bifurque pour passer par les routes de campagne. Lorsque je remarque un chemin en terre sur la droite, je tourne et m’enfonce de quelques mètres dans le chemin. J’arrête la voiture et je fais passer Carole sur la banquette arrière. Elle semble tout aussi excitée que moi. Nous nous embrassons en nous demandant néanmoins quelle position nous allons pouvoir adopter. Je lui enlève son pantalon et sa culotte; à l’époque elle portait encore beaucoup de pantalon, habitude que je me suis efforcé de lui changer petit à petit surtout lorsque l’on sort ensemble. Je baisse mes slip et pantalon et je m’assois sur la banquette. Carole vient sur moi en me faisant face et s’empale facilement sur mon sexe. J’ouvre son chemisier et je dégrafe son soutien-gorge. Pendant qu’elle s’active dans un léger mouvement de va-et-vient je lui caresse les fesses de mes deux mains et lui embrasse les seins. Nous venons ainsi de découvrir une nouvelle position bien agréable. Ce petit chemin deviendra par la suite l’un de nos coins préférés et nous y reviendrons à maintes reprises dans les mois suivants. En y passant de jour, nous nous sommes cependant aperçus qu’il y avait des maisons toutes proches et que nous étions peu éloignés de la route. Il n’était donc envisageable de s’arrêter ici qu’après la nuit tombée. Dans la journée, lorsque nous nous promenions ensemble, il nous fallait trouver autre chose ; nous n’envisagions en effet pas encore de faire cela chez nos parents respectifs.
Je ne me souviens plus de notre première fois. D’après Carole, cela s’est passé au mois de septembre suivant notre rencontre pendant un voyage en camionnette entre notre région d’habitation et la ville où nous étions étudiants. Elle allait poursuivre ses études près de Paris et nous devions déménager son appartement. À l’heure du déjeuner nous avons quitté la route nationale et pris un petit chemin sur environ 100 m. Nous étions encore près de la route et voyions les véhicules passer, mais ce ne devait être qu’une pause rapide le temps de pique-niquer. Nous déplions une couverture dans un champ pour être mieux installés et dévorons nos sandwiches. Ensuite, nous commençons à flirter gentiment. Cependant nous sommes quasiment allongés et la position est propice à aller plus loin dans les caresses. Trop excités pour nous arrêter et faisant abstraction de la route à proximité et du risque d’être vus, nous avons donc fait l’amour en plein champ. Alors que nous étions en pleine action, nous avons par ailleurs été survolés par un hélicoptère, ce qui n’a fait qu’en rajouter à notre sentiment de braver l’interdit.
L’une des premières fois s’est passée dans une forêt à proximité de la maison des parents de Carole. Nous nous promenons en marchant main dans la main. À un certain moment, sur un chemin isolé, nous commençons à nous embrasser, et je la caresse à travers ses vêtements. D’une main, Je lui relève alors sa jupe pour lui caresser les fesses. Elle réagit très bien à mon initiative et nos baisers deviennent des plus langoureux. Je me baisse un peu pour lui enlever sa culotte, et lui dégrafe ensuite le soutien-gorge, tandis que je baisse mon pantalon et mon slip. Je l’allonge sur ma veste, et la recouvre de mon corps en prenant garde à ne pas trop l’écraser de mon poids compte tenu des irrégularités du sol. Je la pénètre aussitôt, et cette situation étant nouvelle pour nous, nous jouissons très rapidement.
Ce sont ces premières expériences qui nous ont donnés le goût de l’amour à l’extérieur, et nous avons renouvelé cela de nombreuses fois dans des situations variées ; aujourd’hui encore cela nous excite d’ailleurs toujours autant. Vous en aurez quelques aperçus par la suite. La difficulté dans ces cas là, principalement lorsque tout est improvisé, est de trouver un endroit suffisamment confortable et à l’abri des insectes. Ce que je préfère dans ces cas là, c’est quand elle porte une petite jupe et un haut facilement retroussable. Les préliminaires sont alors souvent réduits à leur strict minimum, tant la situation nous excite tous les deux.
Un autre souvenir est également mémorable, même s’il ne se passait pas vraiment à l’extérieur. À l’époque nous étions toujours étudiants, et nous participions à une rencontre sportive de quatre jours entre plusieurs écoles de toute la France. Nous dormions sous la tente dans un champ, les tentes étant très proches les unes des autres. Tous les soirs, c’était l’occasion d’une grande fête avec soirée dansante. Il y a plusieurs centaines de personnes, pour la plupart des inconnus. Nous sommes donc des anonymes au milieu de la piste de danse et pouvons nous laisser aller. À un moment donné, à force de danser l’un contre l’autre, nous sommes tous les deux bien excités et j’emmène Carole vers notre tente. De nombreuses personnes sont assises autour des tentes à discuter et nous entrons dans la notre discrètement. Nous nous déshabillons rapidement alors que nous entendons les voix toutes proches et commençons à faire l’amour. Nous avons le sentiment que tout le monde peut nous entendre, et cette situation décuple notre excitation et notre plaisir qui viendra rapidement.
Cela se passait un 1er janvier alors que nous prenions le train rejoindre des amis qui avaient fêté le Jour de l’An dans une maison de famille. Nous sommes installés pour plusieurs heures dans un train corail dans lequel les wagons présentent un compartiment unique avec les passagers installés les uns derrière les autres par rangées de quatre. Nous sommes placés à l’entrée du wagon juste à côté de la porte coulissante, et Carole est assise côté fenêtre. Il y a peu de voyageurs dans le train et nous n’avons pas de voisin proche. C’est l’hiver, il fait froid et nous sommes tous les deux en pull et pantalon, tenues peu appropriés à un quelconque batifolage, notamment dans un train. Cependant cela ne nous empêche pas nous embrasser. Petit à petit, je commence à la caresser. D’abord les seins à travers le pull, puis les fesses et l’entrejambe. Je lui enlève son pull pour pouvoir atteindre ses seins plus facilement à travers son chemisier. Elle commence à être bien excitée, et lorsque je lui déboutonne son pantalon, elle ne proteste pas. Ensuite, je glisse ma main dans sa culotte directement vers son sexe que je trouve ouvert et moite. Pour éviter d’être surpris et être obligé de mettre prématurément fin à cet épisode, je m’assois droit dans mon siège, avec juste le bras droit en direction de ma voisine. J’installe ensuite son pull sur elle comme une couverture, ce qui a pour effet de cacher une partie de mon bras ainsi que le haut de son pantalon. Ma main enfouie dans sa culotte est de ce fait à l’abri des éventuels regards indiscrets. Il ne me reste plus qu’à faire jouer mes doigts sur son sexe en m’attardant sur son clitoris tout gonflé. Quelques passagers passent pendant ce temps pour se diriger vers les toilettes ou la voiture bar, mais ils ne s’aperçoivent de rien. Il faut dire que vue de l’extérieur Carole a l’air d’être enfouie dans un profond sommeil, la tête posée au creux de mon épaule. Il faut jeter un regard attentif pour s’apercevoir à sa respiration accélérée et à ses petits mouvements involontaires du bassin pour enfoncer mes doigts un peu plus dans son sexe qu’elle est en fait en train de prendre son plaisir. Il ne lui faut que quelques minutes pour jouir silencieusement accrochées à mon bras. J’ai droit par la suite à un baiser profond en guise de remerciement. Nous n’avons jamais renouvelé une telle expérience.
La belle lingerie est une passion qui nous anime depuis longtemps, même si mon grand plaisir est de lui enlever, voire qu’elle n’en porte pas sous ses vêtements ; mais nous verrons cela par la suite. C’est à l’occasion de l’achat d’un ensemble que Carole, ayant cédée à mon insistance, a complété le traditionnel coordonné slip / soutien-gorge par un porte-jarretelles et une paire de bas. À l’époque, elle avait déjà rejoint la région parisienne pour poursuivre ses études. À peine chez elle, elle essaye sa nouvelle acquisition. Cela a sur nous deux un effet immédiat et fulgurant. Je lui avais montré comment mettre le porte-jarretelles sous le slip pour pouvoir enlever celui-ci facilement. J’ai à peine le temps de lui arracher son slip et de pénétrer sa chatte inondée de mouille que nous jouissons conjointement et intensément. Nous venions de découvrir la magie de ce petit instrument de tissus. Je lui en ai acheté par la suite à plusieurs reprises, mais à mon grand désarroi, Carole, arguant que c’est inconfortable et peu pratique, est toujours très réticente à s’en parer. Pourtant, quoi de plus excitant que la lisière d’un bas apparaissant furtivement sous une robe un peu courte. En ce qui concerne les autres pièces de lingerie, nous en sommes tous les deux très friands et cela constitue l’un de mes cadeaux de base, avec au niveau des slips une préférence très affirmée pour le string, choix qui est loin de déplaire à Carole.
Les épisodes de ce type furent donc rares, il y en a cependant un qui reste dans nos mémoires. Cela se passait le jour de Noël de la même année, alors que nous étions en voiture entre la maison des parents de Carole et celle de sa grand-mère, soit environ 15 kilomètres. Ce jour là, Carole est habillée plutôt sexy. Une fois n’est pas coutume j’ai réussi à lui faire mettre, sous une robe assez courte boutonnée sur le devant, l’ensemble de lingerie noir et le porte-jarretelles assorti acheté quelques mois plus tôt. Nous avons déjeuné chez ses parents et devions aller prendre le dessert chez sa grand-mère. Tout le monde se suit donc en voiture. Nous sommes seuls dans la voiture, je conduis et Carole est à côté de moi. À un moment, sur une longue ligne droite où la vitesse est limitée, je pose ma main sur son genou et je commence à remonter lentement le long de sa cuisse. Ce que je préfère dans ces moments là, c’est quand la main arrive à la lisière du bas et de la cuisse nue. J’atteins ensuite progressivement son entre jambe et je commence à la caresser à travers son slip. Loin de se formaliser de l’indécence de mon geste, Carole écarte un peu plus les cuisses. Je comprends alors qu’elle a envie d’aller plus loin. Je glisse donc ma main dans sa culotte et je la branle tout en continuant ma route, bien embarrassé pour les changements de vitesse. Je peux néanmoins l’amener jusqu’à la jouissance avant que nous arrivions à destination. Une fois chez sa grand-mère, tout était rentré dans l’ordre. Alors que tout le monde était assis dans le salon, j’avais néanmoins du mal à détacher mon regard de Carole et à ne pas penser à ce qui se trouvait sous sa robe.
Assez vite, nous avons découvert le pouvoir que peut avoir une séance photo sur notre libido. J’ai donc pu au fil de nos promenades et expériences constituer un album photos assez riche. La 1ère photo de mon album est une photo de Carole sortant de la douche que j’avais prise avec son appareil de façon tout à fait impromptue très peu de temps après notre rencontre. Par la suite, j’ai pris de façon épisodique quelques clichés isolés qui constituent le démarrage de mon album. La première séance photos digne de ce nom a eu lieu à l’occasion d’une randonnée en montagne. Nous étions arrivés au point culminant de notre promenade, et après le pique-nique, je commence à photographier Carole. Je fais d’abord quelques clichés tout à fait classiques, puis petit à petit, je l’amène à se déshabiller ; d’abord le tee-shirt et le soutien-gorge, ensuite le pantalon et le slip. Si les poses sont au début relativement sages, l’excitation aidant, je la pousse à en montrer un peu plus. Je prends ainsi quelques clichés montrant l’excitation de sa chatte. Comme toujours, dans ces cas là, nous finissons la séance très excités et nous faisons l’amour où nous le pouvons. Le coït est alors très rapide et se conclut rapidement par un double orgasme.
Par la suite, c’est devenu comme un rituel d’accompagner nos promenades de telles séances. Vous en aurez également un large aperçu par la suite. Je possède ainsi une collection bien étoffée que nous aimons regarder de temps en temps pour nous remémorer ces agréables souvenirs.
Avec la photographie, c’est une de mes préférences érotiques : les sorties de Carole sans culotte, voire également sans soutien-gorge ; Carole étant cependant souvent réticente à laisser ses seins libres. Ces situations procurent toujours chez moi une douce excitation et mettent mes sens en éveil. Cela est également vrai pour Carole, même si cela nécessite parfois quelques discussions avant qu’elle ne cède à mes demandes. Cela ne la laisse pourtant jamais indifférente compte tenu de l’état dans laquelle je trouve sa chatte lorsque la situation me permet d’y glisser quelques doigts. Elle l’a d’ailleurs bien compris, puisque ses réticences à ce sujet sont de plus en plus de pure forme. Lorsque nous arrivons à associer ce petit plaisir à la prise de quelques photos, cela devient le summum.
La femme sans culotte, ou sans sous-vêtement de manière générale, est un thème qui revient très fréquemment dans la littérature érotique, et c’est un fantasme, commun à beaucoup d’hommes, qui me suit depuis très longtemps. J’ai donc voulu assez vite le partager avec Carole, et je ne sais plus quand nous avons expérimenté cela pour la première fois. J’ai néanmoins deux souvenirs sur le sujet au cours de nos premières années.
Carole était en stage en entreprise dans une grande ville du sud-ouest. Elle était hébergée dans un très bel hôtel où je l’avais rejointe pour le week-end. Le dimanche, il faisait très beau, et nous avons décidé d’aller visiter la région. Nous sommes allés vers l’océan et ses grandes plages de sable. Il faisait très beau, mais nous n’avions pas particulièrement prévu de nous baigner compte tenu de l’eau encore certainement un peu fraîche. Carole portait une robe de plage assez courte et très moulante. Nous avons visité quelques villages. Ensuite, nous nous sommes garés dans un parking près d’une pinède et avons pris un sentier pour atteindre la plage. Nous sommes alors arrivés sur une des grandes plages de sable typique de la région. Il y avait peu de monde et nous sommes allés nous asseoir en bordure des dunes. Il y avait quelques baigneurs, et compte tenu de la chaleur cela nous faisait envie. Nous n’avions pas de maillot, mais les gens les plus proches étaient à plusieurs dizaine de mètres de nous. Carole enlève donc sa robe et son soutien-gorge, moi mon short et mon tee-shirt, et nous allons, en slip, faire trempette dans les vagues pour nous rafraîchir. Claire porte une culotte blanche tout à fait sage, mais qui, une fois mouillée, devient presque transparente. En parallèle, ses tétons se durcissent au contact de l’eau plutôt fraîche. La voir ainsi quasiment nue alors que d’autres personnes ne sont pas très éloignées m’excite rapidement. Cette vision conjuguée aux caresses furtives que nous échangeons dans l’eau me conduit vite à une érection inévitable. Heureusement mon slip mouillé est suffisamment lâche pour contenir mon sexe dressé, et mon état semble passer inaperçu auprès de nos voisins. Ensuite, sans aller plus loin dans le batifolage, nous retournons nous asseoir sur le sable pour discuter. Au moment de partir, nos slips sont bien sûr encore mouillés, et nous décidons de nous en passer en nous rhabillant. Carole enfile donc sa robe sans rien dessous et je fais de même avec mon short. En retournant à la voiture je passe régulièrement la main sur son cul ; c’est là que je découvre le plaisir que l’on peut avoir à caresser une fesse nue à travers le tissu d’une robe légère. Dès que nous sommes à l’abri des regards, je prends un malin plaisir à lui remonter sa robe pour lui caresser la peau nue. Dans la voiture, pendant que nous sommes sur le chemin du retour, sa robe remonte suffisamment pour que je puisse jeter régulièrement un petit coup d’œil sur sa chatte, et je mets ma main de temps en temps sur sa chatte pour sentir la douceur de sa toison. Une fois à l’hôtel, nous avons à monter un grand escalier en bois pour atteindre notre chambre. Alors qu’elle est devant moi, je ne peux m’empêcher une nouvelle fois de lui passer la main sur les fesses. Nous entrons dans notre chambre très excités, et sautons l’un sur l’autre dès la porte fermée.
L’autre souvenir se passait l’été de la même année. Nous étions invités au mariage du frère de Carole. Pour l’occasion, Carole s’était fait faire par sa mère une robe qui bien que très sage avait la particularité d’être très échancrée sous les bras. La robe étant d’une teinte assez sombre, Carole a prévu dans ses bagages un soutien-gorge noir. Au moment de nous habiller pour le repas du soir, je cache discrètement le soutien-gorge de Carole. Elle le cherche partout, et ne le trouvant pas, pense l’avoir oublié. Les autres qu’elle a emmenés sont blancs. Elle en essaye un, mais s’aperçoit vite que l’effet produit lorsqu’elle écarte un peu les bras est visuellement déplorable. Elle se résout donc à adopter la solution vers laquelle je comptais bien l’amener, et se décide à ne pas mettre de soutien-gorge. Nous rejoignons ensuite les invités pour la soirée. Le tissu de sa robe est très léger, et on devine au tressaillement de sa poitrine à chacun de ses pas que ses seins sont libres sous sa robe. Et quand elle lève un bras ou l’écarte un peu de son corps, l’échancrure de sa robe laisse deviner la naissance de sa poitrine. Ces visions m’excitent toute la soirée. Dès que j’en ai l’occasion, notamment lors des danses, j’en profite pour lui caresser les seins à travers sa robe. À la réaction de ses mamelons, je sens qu’elle aussi est très excitée par la situation. Nous n’allons cependant pas plus loin au cours de cette soirée.
A l’occasion de nos études puis de notre vie professionnelle nous avons souvent eu à subir des périodes de séparation. Si ces périodes sont parfois difficiles, elles ont l’avantage d’être l’occasion de retrouvailles souvent très fortes et constituent à ce titre une découverte. La plus longue des séparations a sans aucun doute été à l’occasion d’un stage que Carole a effectué à l’étranger l’été suivant notre rencontre. Ce fut deux mois où nous nous écrivions tous les jours. Cela faisait cinq mois que nous étions ensemble, et nous en savions déjà un peu l’un sur l’autre. Ainsi, elle m’avait appris qu’elle ne s’était que rarement masturbée et qu’elle n’en voyait pas l’utilité. Je profitais donc de cette séparation pour essayer de lui en donner le goût. À cet effet, je joignais à chacune de me lettres trois ou quatre pages du livre Emmanuelle, une référence de la littérature érotique. Elle me raconta dans une de ses lettres qu’elle lisait parfois son courrier, et donc les extraits de livre, dans le métro, et que cela la faisait mouiller. Néanmoins ce n’eut pas complétement l’effet escompté, puisque d’après ses dires, elle ne se masturba que quelques fois pendant ces deux mois, alors que j’aurais souhaité qu’elle adopte un rythme un peu plus régulier. Cette séparation fut par la suite à l’origine de notre première fellation. Le sort voulut en effet qu’elle ait ses règles à son retour au mois de septembre. J’avais bien fait les choses en l’accueillant à l’aéroport et en ayant réservé une chambre dans un petit hôtel en plein Paris. À peine dans la chambre d’hôtel, nous nous sommes retrouvés sur le lit, moi avec le pantalon baissé et elle avec ma bite dans la bouche ; ce fut pas mal pour une première fois, mon seul regret étant qu’elle n’avala pas, chose qu’elle ne fait d’ailleurs toujours pas. Par ailleurs, c’est à l’occasion de ces retrouvailles que je lui offris pour la première fois un ensemble de lingerie ; à l’époque j’avais choisi quelque chose de très sage en coton, et par ailleurs trop petit. Ce fut le premier d’une longue série.
D’autres séparations furent l’occasion de retrouvailles assez chaudes. Ainsi, Carole effectuait un stage dans le centre de la France, et était logée avec un autre stagiaire chez son maître de stage. Nous ne nous étions donc pas vus depuis plusieurs semaines. Elle était venue m’accueillir à la gare et m’emmena directement à la maison. Nous étions logés dans la chambre du propriétaire, absent pour plusieurs jours. Il y avait une salle de bain attenante à la chambre à coucher. La salle de bain était constituée d’un grand plan dans lequel étaient incrustées les vasques et au-dessus duquel se trouvait un miroir sur toute la longueur. Je ne peux pas dire comment nous en sommes arrivés là, mais assez vite nous nous retrouvons nus, j’assois Carole sur le plan et je lui fais l’amour debout face à la glace ; c’est un très bon souvenir.
Par la suite, nous avons vécu de nombreuses séparations, mais rarement plus de 10 jours, et aucune de ces périodes n’a eu néanmoins l’intensité des deux mois de séparation racontés précédemment.