n° 07608 | Fiche technique | 16885 caractères | 16885Temps de lecture estimé : 11 mn | 10/09/04 |
Résumé: La fin d'année approche, Guillaume reste de plus en plus attiré par sa tante et sa cousine. Va-t-il enfin conclure? | ||||
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Auteur : Guillaume |
Épisode précédent | Série : Mes années d'études Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Après mettre correctement rincé l’œil et gardé un souvenir de ce moment je retournai dans ma chambre. Avant de dormir, je ne pus m’empêcher d’assouvir quelques caresses intimes.
Au levé le lendemain matin, Yvonne était assise au balcon, une culotte comme seul vêtement. Elle fût assez surprise de me voir là. Il n’y avait aucun signe de ce mystérieux homme qui avait fait passer une nuit torride à ma tante et, par procuration, à moi également. Yvonne fut surprise de me voir sortir de ma chambre mais ne fit aucun commentaire. Après avoir discuter un peu, et finit son petit déjeuner, Yvonne fila dans la salle de bain afin de se préparer pour partir travailler. Elle me laissa ainsi seul dans cet appartement.
Je n’avais pas vraiment de planning prévu pour cette journée. Je décidais donc de profiter de ce beau soleil pour parfaire mon bronzage intégral. C’était joyeusement qu’en début d’après midi je pris la voiture pour me rendre sur cette petite plage dissimulée. Allongé sur une serviette, l’excitation montait de plus en plus en moi. Le simple fait que quelqu’un puisse me voir m’excitais terriblement. Discrètement j’espérais même être surpris par une jeune et jolie jeune fille. Et un film s’était tout de suite créé dans ma tête. Tout d’abord elle aurait adopté la même tenue que moi, et la chaleur de la plage aurait fait le reste. Il ne fallut que quelques secondes à mon sexe réagisse activement à mes pensées.
Après deux heures passées sur cette plage à bronzer intégralement je décidais de rentrer. Le soleil tapait fort, et si je peux vous donner un conseil, ne prenez jamais de coups de soleil sur vos parties intimes messieurs. De retour chez ma tante l’excitation de cet après midi ne s’était pas calmé. Je me souvenais que j’avais un film plutôt instructif et intéressant à regarder. Pour me mettre dans des conditions presque réelles, je décidais de me mettre une capote, c’est aussi un très bon moyen pour ne par en foutre partout. Je savais où en trouver, en plus. Je suis parti dans la chambre d’Yvonne, ouvris le tiroir de son meuble près du lit. J’y découvris 4 boites de préservatifs différents, 2 tubes de gels lubrifiants, mais aucun godes ou objet de ce style que j’aurais aimé trouver.
Dans le magnétoscope j’insérais la bande que j’avais filmée hier soir. Je déchirais la protection de la capote, posais le bout de latex sur mon gland bien rouge et le fit dérouler tout le long de mon membre raide. Et le visionnage du film pouvait commencer. La qualité était plus que moyenne, mais je distinguais très bien ma tante se faire pénétrer par cet inconnu. Je me souvenais de chaque coup de reins, de chaque caresse que cet homme posait sur Yvonne. Le bruit du latex s’étirant sur mon sexe se mélangeait au cri de jouissance de ma tante. En quelques minutes le réservoir de la capote fut envahi par le liquide chaud et âcre, que ma tante à l’air d’apprécier tant. Bien que j’aie pris mon pied, j’ai regardé la totalité du film.
Sans pouvoir l’expliquer une main vint me caresser le torse. J’ai tout de suite reconnue cette main. Il s’agissait d’Yvonne. Elle me lança un grand sourire et me chuchota à l’oreille : « Je sais que tu en meurs d’envie ! » Ces paroles étaient si inattendues que je n’ai pas su quoi répondre. Je me demandais même si j’avais bien compris, et lorsque j’ai senti sa main se poser sur mon sexe en pleine forme je me disais que j’allais être à la place de l’inconnu d’hier, et ça me plaisait terriblement. Sa main experte commença à me masturber. C’était l’une des caresses les plus fantastiques que l’on ne m’a jamais fait. Jamais je n’étais passé entre des mains si expertes. Son doigté et sa tendresse me faisaient prendre du plaisir en un rien de temps. C’est le plus rapidement possible que je lui fis quitter ses vêtements. Enfin ses seins, ses fesses, sa chatte allait n’être rien qu’à moi. Une certaine timidité m’empêchait de la toucher comme je l’aurais fait avec n’importe quelle autre femme. Devant mon manque d’initiative Yvonne prit ma main et la posa sur l’un de ses seins. Je n’ai eu aucune réaction, je suis resté bloqué tellement la sensation de ce sein laiteux me plaisait. Je lui demandais si je pouvais faire de même avec l’autre sein. Elle sourit et acquiesça de la tête. Ma main alla timidement vers son sein. Dans la paume je sentais son téton. Quelle agréable sensation ! Je commençais à caresser ses seins, j’appuyais doucement, remontaient mes mains vers le haut, puis en dessous du sein. Ne comprenant pas bien ce qui m’arrivait, je m’imaginais déjà me branler en repensant à ce moment.
Une des mains d’Yvonne me caressait le dos. Cette main remonta le long de ma colonne vertébrale, puis sur le cou. Et finalement elle passa sa main dans mes cheveux. Elle retira mes mains de ses seins, je pensais que mon petit moment de bonheur s’arrêtait là. Au contraire cela n’était qu’un début. Elle saisit ma tête et la propulsa sur sa poitrine de femme mûre. Je me suis retrouvé la bouche collée sur son téton. Très vite ma langue vint effleurer ce téton que je sentais durcir. C’était presque instinctivement que mes mains se sont dirigées sur sa poitrine. Ma tante, qui avait délaissé pour un instant les caresses sur mon membre, les repris de plus belle. Un immense frison m’envahissait. C’était un sentiment indescriptible. Yvonne s’en rendit compte lorsque, par réflexe j’ai serré un peu trop fort l’un de ses seins. Elle eut un petit sursaut qui lui fit faire un grand coup sec sur ma verge. À ce moment là, je croyais bien que j’allais jouir. Je retirais ma tête de son sein pour lui susurrer un pardon au creux de l’oreille. Elle me sourit. Elle était tellement irrésistible que je lui volais un baiser. Je ne voulais lui faire qu’un bisou, mais je suis resté sur ses lèvres un moment, et d’un coup je sentis sa langue pénétrer dans ma bouche. Nos langues ne tardaient pas à se mélanger. Sa langue chaude était contre la mienne, et elles s’emmêlaient. Puis sa langue sortie de la ma bouche, et Yvonne dirigea sa tête vers mon cou. Elle m’embrassa dans le cou, puis vers l’oreille. Je ne pus m’empêcher de lui caresser son dos. C’était la seule partie d’elle que je voyais.
Je passai ma main le long de son dos, sa peau est si douce. Les baisers de ma tante étaient tellement bons, sensuelles, excitant, bandant ! Elle arrêta de me branler, mais elle se remise à me caresser la bite, les boules… Son autre main, était dans mes cheveux. Quel moment inoubliable ! Jamais je n’aurai pensé que ma première fois avec ma tante se ferait comme ça. Lorsqu’elle se redressa, je me précipitai pour lui faire la même chose qu’elle venait de me faire. Je lui faisais de doux baisers dans le cou, près de l’oreille, je l’entendais pousser de petites expirations de plaisir. Puis elle s’allongea sur la moquette du salon. Je l’embrassais au niveau des épaules, puis je commençais à descendre doucement vers ses seins. Ses deux mains étaient sur ma tête, et je les sentais se crisper lorsque je donnais de petit coup de langues sur ses tétons. Pendant que je léchais un sein, je caressais l’autre. Yvonne se redressa et me chuchota à l’oreille de façon très sensuelle : « mets-toi à califourchon au niveau de mon ventre pour mettre ton sexe entre mes seins ! »
Je ne reconnaissais plus ma tante. Certes elle est ouverte d’esprit, mais la j’avais l’impression d’avoir à faire à une garce en manque de sexe. L’homme d’hier lui aurait-il réveillé sa libido ?
C’était sans me faire prier que je me mis en place. Elle comprima ses seins contre mon gourdin que je n’ai jamais senti aussi épais et elle commença à secouer sa poitrine. Les deux premières minutes je la laissai faire, et ainsi profiter de chaque mouvement. Par moment elle levait sa tête et me donnait de petits coups de langues sur mon gland rougi par les différents va-et-vient. Moi je donnais quelques coups de reins tellement je ne pouvais pas résister. Ensuite je posais mes mains sur les siennes, et j’accompagnais le mouvement. À un moment je croisais son regard. Elle me fixait depuis pas mal de temps je crois, mais à partir de cet instant nos regards ne se sont plus lâchés. J’étais si concentré à la regarder que je n’ai senti qu’au dernier moment que j’allais jouir. J’ai tout de même essayer d’avertir Yvonne en lançant un petit « Attends… » Mais ça ne servi à rien. Elle fut arrosée par ma jouissance. Elle en avait dans les cheveux jusqu’aux creux entre les deux seins, en passant par la figure, sur un œil qu’elle avait eu le temps de fermer, le nez, les lèvres, le cou.
Je croyais qu’elle allait s’énerver, et peut être même me gifler, mais après un moment de surprise, elle ouvrit un œil, celui qui n’avait pas reçu ma semence, me regarda, et éclata de rire. Il me semblait bien que c’est à ce moment là que l’on entendis : « Oh! Mais que faites-vous ? » C’était Marie, plantée devant nous. Ni ma tante, ni moi ne l’avions entendu rentrer, mais elle avait eut le temps de revêtir sa tenue la plus décontractée, c’est à dire complètement nue. Comme un gamin pris en faute, je me redressais en baissant la tête. Ma tante avait l’air moins soucieuse. Marie prit la main de sa mère pour la mettre debout, et au moment où je m’attendais à ce qu’elle fasse un scandale, j’ai vu sa langue sortir et entrée en contact avec les lèvres d’Yvonne inondées de mon liquide blanc. Je n’en croyais pas mes yeux. Marie était en train d’avaler tout le sperme présent sur sa mère. Elle lui embrassait le nez, lui lécha l’œil, l’embrassa, lui suça chaque goutte de mon plaisir qui ruisselait dans le creux des seins de ma tante. Yvonne trouvait ça normal. « Avaient-elles déjà fait cela auparavant ? » M’interrogeais-je. « C’est un véritable délice pour elles le sperme » me suis-je dis.
Puis Marie s’était agenouillée devant moi et n’avait fait qu’une bouche de mon sexe encore dégoulinant mon liquide chaud et blanc. Yvonne c’était approché de moi pour m’embrasser de nouveau. Marie semblait vouloir avaler chaque goutte contenue dans mes bourses. Quand elle sentit qu’elle n’avait plus rien à attendre de mon membre, elle se releva. Chacune des deux filles me prit par l’épaule et me fit asseoir sur le canapé. Des mains vinrent me caresser le corps. Impossible de distinguer à qui appartenait chaque main, ni même où elles me caressaient précisément. Alors je me suis mis au jeu aussi et j’ai donc commencé à caresser les corps près de moi. La peau de ma cousine était très douce, surtout celle de sa poitrine. Des mains se baladaient sur nos trois corps. Il m’était impossible d’identifier qui caressait qui. J’avais la nette impression que les mains d’Yvonne se promenaient sur les seins de sa fille. Marie, quant à elle, semblait aimer faire courir ses doigts sur la toison pubienne de sa mère. Moi je n’étais pas en reste pour autant. On s’occupait bien de moi et de mon attribut. Mes mains passaient des seins généreux de Marie aux fesses charnues de ma tante. De plus, je ne me privais pas d’attarder un doigt dans le petit orifice de ma tante, qui n’en était pas farouche. Mais ce fut sur le sexe bien taillé et appétissant de ma cousine que ma langue vint toucher en premier. Ce petit goût amer était en véritable délice. Pour moi, la fin de sa chatte n’était pas une barrière infranchissable. Bien au contraire, j’ai franchi sans aucun complexe cette fin de féminité pour introduire ma langue au même endroit où se trouvait, sur Yvonne, mon doigt.
Une main me masturba de plus belle. Une sensation chaude et humide vint se poser sur mon gland. Je n’avais pas compris sur le moment ce que c’était. En réalité ce n’était rien d’autre que la bouche de ma tante. Et encore et encore des mains se baladant sur nos trois corps. En quelques minutes, je partis au fond de la bouche d’Yvonne qui avait l’air d’apprécier mon offrande. Le vagin de Marie s’emballait. Il coulait comme une véritable fontaine, se contractait. Marie gémissait de plaisir et semblait profiter de chaque seconde qui passait.
Yvonne qui commençait à s’ennuyer, se mis devant moi à quatre pattes. Offrant ainsi à mes yeux la vue sur ses fesses. « Message reçut Yvonne » lui dis-je. Je délaissais donc les orifices de ma cousine pour m’occuper du petit anus de ma tante. Avant d’y introduire mon pénis, c’était ma langue qui fut la première à pénétrer Yvonne. Quelques coups de langues plus tard, c’est mon membre au garde à vous qui est venu se réfugier dans ce petit orifice serré. Marie préférait nous regarder en continuant à stimuler son plaisir toute seule, par de petites caresses sur son bouton magique. Les coups de reins donnés à ma tante pouvaient s’accélérer. Son anus était de plus en plus ouvert, laissant ma verge incroyablement épaisse circuler sans trop de difficulté. Ma tante gémissait en fonction des coups de reins que je lui donnais. Marie accompagnait nos gémissements de plaisir. Maintenant elle attardait ses mains sur nos corps. Je pouvais sentir Yvonne au bord le la jouissance et moi aussi par ailleurs. Je sentais que ça allait être le meilleur orgasme de toute ma vie.
Mais, soudain, un bruit de porte me perturba. J’ouvris les yeux, et j’ai eu du mal à comprendre ce qui m’arrivaient. J’ai eu une demi seconde de flottement avant de comprendre. Ce n’était qu’un rêve. Car devant moi il n’avait que la télé où j’ai regardé la cassette filmée hier. Ma main était sur mon sexe au repos et toujours enveloppé dans ce bout de latex dûment remplis de sperme. Et c’était Yvonne qui rentrait de son boulot. Le plus rapidement possible, j’ai sorti du magnétoscope la cassette, et j’ai couru, en tenant la capote sur mon sexe, le plus vite possible dans ma chambre. Ouf ! Elle ne m’a pas vu. Ce réveil m’avait dégoutté. Ce rêve semblait tellement vrai, je m’y croyais. En retirant le morceau de caoutchouc je me rendis compte que ce rêve était bourré d’aberrations, la première était que Marie ne reviendrait pas avant la fin de semaine, et qu’il était impossible qu’Yvonne agisse ainsi. En voulant Jeter la capote à la poubelle je me suis aperçu que j’avais oublié de prendre l’emballage. « Il est sûrement sur la table basse devant la télé » Pensais-je. Je me suis essuyé mon pénis comme j’ai pu, pour ne rien laisser deviner à ma tante, et je suis sorti pour me diriger le plus discrètement possible vers cette table où se trouvait l’objet du délit. Alors que j’allais m’emparer de cet emballage se fut la main de ma tante qui le saisit en premier. Etrangement, c’est elle qui est devenue toute rouge. Elle se tenait devant moi, nue, le visage rougit par l’émotion et bafouilla un peu.
« Heu ! Pensant que j’étais seule, hier, j’ai amené un homme à la maison, et enfin bon tu devines ce que l’on a fait. »
Pour plaisanter je répliquais : « Maintenant je sais à qui demander des préservatifs. »
Et Yvonne fila dans sa chambre, ouvrit un tiroir et revint me voir. Elle me tendit une boîte de capote et tube de gel lubrifiant.
« Ne dis rien pour ça à ta mère, mais ça peut d’être utile. »
« Merci, Yvonne. » Et je suis allé dans ma chambre pour ranger les cadeaux que ma tante m’avait offerts, cadeaux inhabituels de la part de sa tante, il faut bien l’admettre.
Mais je n’eus pas l’occasion de les utiliser avec elle, ni Marie d’ailleurs car la fin d’année arrivait et j’allais bientôt repartir chez moi. Mais je profitais de chaque instant pour mater ces deux corps nus en fantasmant. J’avais tout de même une consolation : en septembre, je reviendrais vivre chez elles pour finir mes études. Et, qui sait ? Peut-être se passera-t-il quelque chose…