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Temps de lecture estimé : 24 mn
11/09/04
Résumé:  Jacques et Claire donnent des leçons particulières
Critères:  fh fplusag extracon profélève intermast fellation fist fsodo
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message

Série : Inondations

Chapitre 05 / 06
Accident de ski


Aux vacances de Noël, Alice, en tant que professeur d’E.P., est allée accompagner un groupe de lycéens de terminales à un stage de ski. Elle se faisait une fête de pratiquer un de ses sports préférés avec des jeunes sportifs.


À la reprise des cours, Jacques la retrouve et lui demande des nouvelles de ce séjour.



Quand il lui en a parlé, elle a été d’accord, cela leur permettra de changer d’ordinateur, le leur date un peu.


Ils ont rencontré les parents de Thierry, Pierre et Nadine et sont rapidement tombés d’accord. Les leçons auront lieu les jours où ils terminent plus tôt, cela ne les dérangera pas.


Thierry, bloqué par sa jambe plâtrée, s’ennuie dans sa chambre malgré la télé, tous les gadgets électroniques qu’il a et les derniers CD. Quand son père lui a annoncé qu’il lui avait trouvé deux professeurs particuliers, il a fait la gueule. Il pensait pouvoir passer un mois tranquille, les copains allaient venir le voir et l’on se marrerait. Pourtant, quand il a su qu’il s’agissait de son prof de math et surtout lorsqu’il a vu Claire, il a changé d’avis. Il connaît Jacques, pas de problème il perdra pas de temps. Quant à sa femme, elle est vachement chouette, je me la ferais bien, pense-t-il. D’accord, c’est une vieille, elle est mariée, mais c’est quand même plus agréable de travailler avec elle qu’avec une bique.


Rendez-vous a été pris pour le lendemain. Les parents ont donné une clé de l’appartement au couple afin qu’il puisse entrer s’il n’y avait personne avec Thierry.


Si Claire a plu au fils, Jacques a conquis la maman. N’ayant rien à faire de toute la journée, elle occupe son temps dans les magasins, avec des copines ou au club de gym. Elle a la quarantaine certes, mais s’entretient bien. Pas très grande, mince, elle a pourtant des rotondités là où il faut. Sa poitrine tend son polo et la jupe est bien remplie par une paire de fesses musclées. Son visage, s’il n’a rien de remarquable, est agréable. Elle suppute déjà s’il n’y aurait pas moyen d’avoir elle aussi des leçons, mais d’un autre genre.


Le premier soir, Claire est arrivée. Nadine l’attendait. Après quelques minutes de discussion, elle l’a conduit auprès de son fils puis elle s’est excusée, ayant des courses à faire. Thierry l’accueille gentiment. Les copains ont apporté les cours et Claire en prend connaissance. Elle parle, l’interroge, mais elle s’aperçoit bientôt qu’il est plus intéressé par son corsage que par son enseignement. Elle lui en fait la remarque.



Quelques jours après, quand Jacques vient donner son cours, Thierry juge préférable de bien écouter et travailler, au moins il rattrapera son retard. Pendant les trois jours qui le séparent du deuxième cours de français, n’ayant pas grande occupation, il travaille sérieusement et surtout calcule ce qu’il pourra demander.


Claire a été choquée par la demande du garçon. Mais elle a aussi été troublée par la beauté de ce jeune et surtout par son talent de baratineur. Elle se doute bien qu’il va lui demander une récompense plutôt délicate, peut-être un peu libertine. En son for intérieur, elle espère une telle requête et ce ne serait pas pour lui déplaire. Quant à la satisfaire, on verra bien..


Elle a pris un visage sérieux en entrant dans la chambre. Thierry de son côté pense avoir bien travaillé. Avec un léger sourire il tend ses feuilles. Claire est surprise par le devoir. En silence elle le lit. Certes la copie n’est pas parfaite, mais elle voit qu’il y a eu beaucoup de sérieux, de volonté de bien faire. Lorsqu’elle a terminé, elle lui fait les remarques, lui indiquant les inexactitudes ou incorrections, soulignant le fautes d’orthographe et grammaticales. Il écoute et répond aux interrogations. Puis il lui demande si elle est satisfaite. Souriante elle lui dit :



… »


Claire a ramassé ses documents, est partie sans dire un mot. Thierry est perplexe, que va-t-elle faire. Pourvu qu’elle n’en parle pas à son mari !


Jacques est venu le lendemain. La mère de Thierry l’attendait, lui a offert le café. Il a donné son cours et a été agréablement surpris du sérieux de son élève. Celui-ci a compris que sa prof n’avait pas parlé. C’est déjà un bon point. Reste à savoir si elle s’exécutera.


À la sortie de la leçon, Nadine l’attendait. Elle avait revêtu une robe fendue qui laissait entrevoir une jambe ma foi, fort jolie. Et les tressautements de sa poitrine tandis qu’elle parlait indiquait qu’elle avait négligé le soutien-gorge. Jacques a compris de suite l’invitation. Mais le terrain est délicat, d’une part parce que son fils est à coté, d’autre part d’un point de vue purement professionnel. Pourtant il accepte volontiers un apéritif. Se penchant pour le servir, elle lui offre au regard, par l’échancrure de la robe, un vue imprenable sur sa poitrine. Elle s’attarde, il avance la main comme pour prendre son verre et du dos, frôle un mamelon. Immobile, elle le regarde en souriant. Il tourne la main et soupèse le fruit offert. Le silence se prolonge, elle pose la bouteille, sans modifier sa position. La deuxième main vient prendre l’autre sein. La tête féminine s’avance et les lèvres se rencontrent.


Pourtant l’étreinte cesse rapidement, la conversation reprend afin de ne pas alerter le fils. Ils se sont compris et vont chercher une occasion pour réaliser leur désir.



Claire a été bouleversée par la demande de Thierry. Le principe qu’un élève puisse lui demander une récompense pour une bonne note, et en plus de cette nature la choque. Et pourtant, cet homme la trouble, il est jeune beau et depuis leur aventure avec Alice, elle se sent moins coincée. Elle aime Jacques, mais a compris qu’ils étaient un couple moderne et que peut-être…


Jacques lui a fait part de la proposition de venir la chercher après la leçon. Elle se sent rassurée par la présence de son mari qui empêchera tout débordement.


Avant de quitter le lycée le mardi soir, elle se décide brusquement, va aux toilettes et retire son soutien-gorge. Elle est vêtue d’une jupe et d’un polo en laine fine qui laisse deviner la pointe de ses seins. Elle a pris une veste pour camoufler cela.


La mère de Thierry était là. Claire lui indique que son fils travaille sérieusement et que s’il continue ses efforts, il ne prendra pas de retard. Elle lui précise que Jacques viendra l’attendre.



A l’ouverture de la porte, Thierry examine Claire, mais la veste le laisse dans l’incertitude. Elle s’assied à côté du fauteuil, sans retirer ce vêtement.



Troublée, Claire prend connaissance de la copie et constate avec satisfaction que son élève a encore fait des progrès. Elle décortique le devoir, se révèle particulièrement sévère et ne laisse passer aucune erreur.



Sans dire un mot, Claire quitte sa veste. Thierry est heureux, elle a été honnête. Les bourgeons lui paraissent prêts à crever le polo blanc. Les auréoles brunes apparaissent même. Il reste d’abord sans parole, puis demande :



Claire craignait et espérait cette demande. Elle aussi a envie de sentir ses mains lui caresser les seins. Mais où est-ce que cela les mènera ? Pendant ce temps, Thierry a avancé la main, frôlé le polo. En l’absence de réaction il entreprend de saisir doucement puis de caresser un puis les deux seins. Claire est perdue. Ces mains lui procurent un bien infini, car elle se rend compte qu’elle n’a pas à faire à un novice. Bientôt un main laisse sa proie et s’insinue sous le vêtement afin de la retrouver. Puis ce sont les deux mains qui le remontent et c’est une étreinte sensuelle. Il a avancé la tête, elle s’est rapprochée et c’est un baiser passionné.




Jacques est arrivé à l’appartement. Il a été accueilli par Nadine. Rapidement elle l’a amené au salon.


« Votre épouse est là avec mon fils. Je leur ai dit que j’étais au salon afin de ne pas les déranger. Nous serons tranquilles.


Vous êtes vraiment magnifique et je ne sais ce qui me retiens… »


C’est Nadine qui a fait le premier geste et bientôt ils sont enlacés dans un baiser fougueux. Pourtant Jacques n’est pas tranquille, si jamais Claire venait. Il en fait part à sa partenaire. Ils décident d’aller voir si la leçon se déroule bien.


Très doucement elle entrebâille la porte. Par la fente, Nadine aperçoit son fils embrassant Claire qui a les seins nus. Elle sourit doublement heureuse, pour elle et son fils. Jacques intrigué par l’immobilité de sa compagne, jette un coup d’œil par dessus l’épaule. Il est d’abord surpris, choqué. Estimant qu’il a maintenant une excuse, attire Nadine qui ferme doucement la porte.


Ils ne sont pas retournés au salon, elle l’attire dans sa chambre. Plus de risque d’être dérangés, Claire est bien trop occupée. Nadine pense qu’après ce qu’il a vu, il voudra se venger et c’est elle qui profitera de sa colère. En réalité, ce n’est pas la jalousie qui le pousse. Il a lui-même trompé Claire et l’a même entraînée à l’aventure avec Alice. Mais maintenant il se sent libéré et va profiter de cette femme.


Il pénètre derrière elle dans la pièce, la plaque contre lui en saisissant ses seins, la mordillant dans le cou. Ses mains glissent dans la robe, ne trouvent aucun obstacle pour saisir les globes. Elle se laisse pousser vers le lit, puis courber dessus. Il lâche les seins, glisse les mains sous la robe. Surprise, il trouve un terrain dégagé, pas de culotte non plus : elle était prête à se donner. Il pétrit les globes encore fermes. Elle pivote pour se trouver face à lui. Rapidement les quelques boutons qui fermaient la robe sautent, elle se dégage les bras. Devant lui un corps épanoui, offert, qui est une invitation.


Ils ont peu de temps et ne s’attardent pas en préliminaires. Nadine a défait la ceinture, le pantalon tombe. Devant elle le slip est comme une voile, tendu par un mât. Elle dégage l’outil, admirant ce jeune engin, plus conséquent que celui de son époux. De la main elle le caresse, se penche, le goûte. Du bout de la langue, engage l’extrémité entre ses lèvres, puis gloutonnement absorbe le tout. Jacques est agréablement surpris par un tel empressement. Il caresse les cheveux, puis prend la tête et bientôt lui donne le rythme qui lui convient. Il sent monter un plaisir extraordinaire mais ne veut pas priver sa partenaire de plaisir. Il arrache la ventouse qui l’aspire, allonge le corps en travers du lit. Interrompue dans son œuvre, elle attend, les jambes pendantes au bord du lit. Il prend les cuisses, les écarte, présente son dard vers la plaie ouverte. Lentement il s’enfonce comme dans une figue mure. Nadine tend les bras, accroche son cou et l’attire vers elle. Le plaisir de la première étreinte, la peur délicieuse d’être découverts les font accélérer le mouvement. Rapidement ils atteignent les sommets et c’est l’explosion.


Ils ne peuvent s’attarder, passent par la salle de bain. Une toilette rapide et ils regagnent le salon.


Claire connaît un moment d’intense plaisir sensuel, se sent prête à céder. Pourtant un reste de raison, la ramène à la réalité. Doucement, elle se détache du baiser, repousse les mains et rabat son polo. Thierry est à la fois satisfait d’être parvenu jusque là et dépité de n’avoir pu aller plus loin.


Elle le regarde un peu gênée, puis reprend le cours. Aucun commentaire sur ce qui vient de se passer. Le garçon a compris ses sentiments : elle a peur d’avoir perdu son ascendant sur son élève. Pourvu qu’elle ne cesse pas les leçons !


Thierry a hérité d’un travail très important, manière pour Claire de lui faire payer son audace tout en accomplissant son travail d’enseignante. Il ne dit rien, se jure de bûcher sérieusement afin de lui montrer de quoi il est capable.


A la fin de l’heure, Claire regagne le salon. Elle trouve deux interlocuteurs en pleine discussion sur les progrès de l’élève. Elle se joint à la discussion, affirmant être pleinement satisfaite de son comportement. Sourire ironique des autres.




Les deux époux sont rentrés ensemble en voiture. Contrairement à l’ordinaire, ils restent muets, chacun absorbé par ce qui vient de se passer. Claire tout à coup prend conscience du silence. Elle se demande quelle est la raison du mutisme de son mari. Se douterait-il de quelque chose ?


L’atmosphère a été assez lourde toute la soirée. Ils se couchent bonne heure. Claire dans l’obscurité de la chambre se décide à parler. D’une voix monocorde, sans se tourner vers Jacques, elle lui révèle ce qui s’est passé, reconnaissant s’être laissé piéger. Puis elle attend.


Jacques est resté silencieux. Cela surprend Claire craignant une colère rentrée. Mais lui aussi se met à parler et conte sa soirée. Il lui révèle qu’ils l’ont vu. Ils se regardent, puis appréciant leur sincérité, ils éclatent de rire.


Cette tension, les récits, ont échauffé leurs corps et ils se jettent l’un sur l’autre dans une étreinte passionnée, sans préambules inutiles. Ils comprennent que leur amour est plus fort que toutes ces petites incartades.


Le lendemain, en route vers leur lycée, ils analysent la situation. Thierry, de part son engagement dans ce processus sensuel, travaille sérieusement. Jacques est étonné des résultats qu’il obtient alors qu’en classe c’était plutôt un élément perturbateur. Quant à Claire, elle estime que les devoirs remis sont traités de façon exemplaire. D’un autre coté, pourquoi se fâcher avec la mère, ce seraient eux qui seraient mis en cause. Ils décident donc de se laisser un peu de liberté réciproque et de profiter de la situation, mais en se racontant tout. Le soir elle viendra attendre Jacques chez leur élève.


Jacques le soir va donner la leçon particulière et indique à Nadine que sa femme viendra l’attendre.


Il est très satisfait du travail de Thierry. Pourtant il se permet de jouer à inquiéter son élève.



Thierry se sent perdu, peut-être est-il allé trop loin la dernière fois. Pourvu qu’il ne se doute de rien pense-t-il.



A la sortie de la chambre, il retrouve les deux femmes en pleine discussion. Nadine est contrariée de n’avoir pu avoir un moment avec Jacques.


Thierry a travaillé du mieux possible et attend avec angoisse la prochaine leçon de français. Claire entre dans la chambre le visage inexpressif. Elle salue son élève et étudie le sujet qu’elle lui a donné.



Claire a décidé de jouer la provocatrice. Elle se lève, quitte son polo et ôte son soutif. Torse nu, elle demande :



Et le cours reprend, Thierry écoutant mais la vue de ce vêtement tendu par les seins lui provoque une terrible érection.



Claire plonge la main sous le plaid et trouve une trique raide.



Et elle le masturbe comme lui a appris Jacques. Il n’hésite plus, reprend comme la dernière fois les seins, s’empare de la bouche qui se tendait vers lui.


La porte s’est entrebâillée. Claire a perçu le bruit léger que cela a provoqué. Elle sourit en elle-même, décide de confondre Nadine. Brusquement elle se dégage du baiser et tourne la tête vers la porte. Celle-ci refermée trop vivement claque. Thierry a sursauté, mais Claire a repris le baiser. Désormais ils seront tranquilles. Sa main s’active de plus en plus, Thierry est aux anges, se raidit, elle le lâche et sa semence va tacher son haut de survêtement.


Reprenant le ton professoral, elle lui tend une copie :



Elle regagne le salon. Elle trouve Jacques et Nadine en train de discuter. Cette dernière ne semble pas à son aise. Claire embrasse Jacques et le regarde en souriant.



Les deux époux sont partis laissant la mère perplexe. Elle a compris que sa curiosité avait été découverte. Mais l’attitude de Claire est étrange. Elle semble ne pas craindre de remarque, pour quelle raison ?


À peine arrivés dans la voiture, Claire a fait part à Jacques de son aventure cet après midi. Il a bien ri et ont décidé de piéger la mère.


Nadine attendait Jacques. Vêtue en tout et pour tout d’une robe de chambre en soie elle s’est avancée tentante vers lui. Il l’a embrassé, mais s’est vite dégagé pour aller donner son cours.


La leçon de math s’est très bien déroulée. L’élève se révèle studieux et son accident aura eu au moins l’avantage d’être bénéfique pour son travail. Mais il ne se sent pas rassuré en face du mari de celle qu’il considère presque comme sa maîtresse, bien qu’elle ne lui pas accordé beaucoup de faveurs. Il a abandonné ses jeux et au contraire se lance dans des recherches sur Internet afin d’étonner Claire. Mais malheureusement, sa fracture sera bientôt réduite et il pourra reprendre les cours au lycée. Il calcule déjà ce qu’il pourra demander comme faveur pour récompenser son effort.


À sa sortie de la chambre, la mère attendait son amant dans le couloir. Elle le mène directement à la chambre, se dépouille de son vêtement et entreprend de le déshabiller. Elle baisse rapidement le pantalon, le slip. Entravé, son amant ne peut plus bouger. Se baissant, elle enserre ses cuisses et sa bouche s’empare de son sexe encore au repos. Elle le gobe entièrement et rapidement doit reculer car la bête s’est dépliée dans sa bouche et celle-ci n’est plus en mesure de l’accueillir. Prenant la tête à deux mains, il se sert de la tête comme d’un corps, il baise en bouche. Adaptant le mouvement à son désir, il s’enfonce le plus possible dans ce réceptacle. Étouffée, suffoquée, le gland plongeant dans sa gorge, Nadine accepte tout. Elle a plaisir à se sentir dominée. Elle accepte d’avance ce qu’elle juge comme inéluctable, elle va se retrouver gorgée de sperme. Elle l’a rarement fait et surtout n’a jamais accepté d’avaler ce jus. Pourtant elle sent qu’aujourd’hui elle va se soumettre à la volonté de son maître.


Lorsqu’il sent monter son plaisir, Jacques maintient la tête en place et crache sa semence. Elle s’y attendait mais ce flot la surprend quand même. Elle déglutit du mieux possible, n’ayant pas d’autre solution, son amant la maintenant fermement. De la langue elle entoure le morceau. Lorsqu’il relâche enfin sa pression, elle nettoie soigneusement la queue encore raide.


Jacques la relève, l’embrasse goûtant pour la première fois son sperme.



Claire attendait impatiente, l’arrivée de Jacques. Il lui raconte la séance avec Nadine. Il a particulièrement apprécié le fait d’avoir pu lui faire l’amour dans la bouche « et elle a tout avalé » lui précise-t-il. Cela laisse rêveuse Claire qui comprend que son mari a réalisé là quelque chose qu’il n’a pas osé lui demander.


C’est la dernière semaine de leçons particulières. Thierry a passé des examens médicaux, on va lui retirer son plâtre à la fin de la semaine. Des sentiments contradictoires s’agitent en lui : il va pouvoir enfin marcher, retrouver ses copains et surtout copines. Mais il va perdre Claire, et il a peu d’espoir d’obtenir beaucoup plus de sa part.


Claire est allée l’esprit décontracté donner sa dernière leçon. Ils ont longuement discuté avec Jacques et ils ont échafaudé une tactique pour ces deux dernières visites.


L’accueil de Nadine est un peu réservé ; elle ne sait pas comment opérer avec la professeur. Elle voudrait bien savoir jusqu’où elle va pousser le flirt avec Thierry, mais elle se sait découverte. La tentation est forte d’aller quand même observer. Claire lui indique que Jacques viendra la chercher.


Elle la laisse rejoindre la chambre. Claire s’approche du fauteuil du malade, quitte sa veste. Thierry l’accueille d’un grand sourire, le polo clair laisse apparaître les bourgeons et même les aréoles des seins.



La qualité du travail la sidère : la recherche des sources, la qualité et le nombre des citations l’étonne. Elle en trouve même qu’elle ne connaissais pas. C’est du travail digne d’un universitaire. Sa satisfaction se lit sur son visage, Thierry estime qu’il va pouvoir exiger beaucoup de choses. À la fin de la correction, elle reste un long moment silencieuse.



Levant les bras, elle retire son polo. Puis elle se penche présentant ses seins à la bouche du garçon. Ébloui par une telle offrande, il les saisit, les caresses, en porte un à la bouche. Il goûte les fraises l’une après l’autre. Une main s’est emparé de sa queue et lentement le branle. C’est ce qu’il attendait. Une de ses mains se glisse sous la jupe ample et remonte doucement le long de la cuisse nue. Aucun obstacle ne vient l’arrêter, pas la moindre culotte, il parvient directement à la fourche. Elle était donc prête à le satisfaire. Ses doigts entreprennent une exploration délicate de la fente. Le pouce recherche le bouton, le trouve et entreprend du bout de l’ongle de le dégager. Les jambes se sont écartées afin de lui faciliter la tâche. Ses doigts deviennent poisseux, son amante apprécie. Et pour lui prouver elle accélère le mouvement de son poignet. Soudain elle repousse la bouche qui la tète et pivotant, c’est elle qui prend dans entre ses lèvres la tige qu’elle manœuvrait. Et c’est avec ardeur qu’elle entreprend de lécher, sucer et presque avaler le jeune membre. Elle se sent capable aujourd’hui d’aller jusqu’au bout.


Thierry se sent aux anges. Sa deuxième main libérée vient attaquer l’autre face de la lune. Il humidifie un doigt à la source qui suinte et, après une hésitation, tente une entrée par derrière. Les fesses s’écartent répondant à sa demande. Lentement il enfonce le pouce dans la pastille brune. Un, deux puis trois doigts entrent dans le con ruisselant. Ainsi prise en tenaille, Claire sent monter un plaisir énorme qui explose soudain dans son ventre. Elle se redresse poussant un gémissement. Au même moment, la queue explose et lui arrose la gorge et les seins.


Claire s’est redressée, maculée de sperme. Thierry ressent à la fois du plaisir, mais aussi un peu de honte d’avoir ainsi salie celle qu’il admire. Il lui tend une serviette qu’il avait préparé pour en cas. Elle s’essuie soigneusement, se rhabille, met de l’ordre dans sa tenue.



La leçon a été un peu écourtée, elle n’a pas eu de devoir à donner.


Comme Claire l’avait annoncé, Jacques est arrivé peu de temps après sa femme. Nadine l’attendait avec impatience, il lui a promis de nouveaux plaisirs. Rapidement elle l’entraîne vers la chambre.



Cette fois-ci, c’est lui qui la dépouille de sa robe. Elle n’a que sa culotte, étant prête pour l’action. Ses mains enveloppent ses hanches rondes, comme on le ferait d’un beau fruit bien rond. La bouche butine tout autour du visage. Les lèvres de Nadine cherchent celles de son amant, mais il préfère par petites touches, sentir la sueur qui sourd le long des tempes. Finalement, il se laisse manger par cette bouche vorace. Les dents attaquent les lèvres, puis la langue va rechercher l’autre. Les mains quittent le bassin et viennent enserrer le dos, écrasant ainsi les seins contre la poitrine masculine. La verge se dressant remonte jusqu’au nombril féminin. Ils s’effondrent sur le lit. Le corps de Jacques glisse le long de sa partenaire, la bouche léchant au passage la peau hérissée par la chair de poule. Elle s’attarde sur le ventre rebondi, comme sur un oreiller. Elle arrive finalement à destination. Le nez dans la touffe parfumée par le désir, la langue pointue s’insinue, irrite le bouton qui sort de son écrin. Les mains féminines s’accrochent aux cheveux pour guider cet outil du désir. Depuis fort longtemps elle n’avait eu droit à pareil traitement. Les jambes se lèvent et viennent appuyer sur le dos comme pour augmenter la force de cette pieuvre. Avec patience, Jacques explore toute la vallée, descend pour recueillir le suc qui s’écoule, remonte. La langue, à la fois dure et souple, s’insinue dans le tunnel d’amour. Sous ce traitement, Nadine ne peut tenir longtemps, se raidit, se mord les lèvres pour étouffer le cri de sa jouissance. Et c’est la détente, les jambes retombent, la tête de l’amant est libérée.



Elle saisit la queue, la met en place, attire son amant. Longuement ils baisent, elle a noué ses jambes dans son dos et guide la cadence. Le mandrin pénètre dans un véritable puits tant il est humide. Mais l’homme ralentit, retient son envie de plaisir. Il fait durer longuement, s’arrêtant même parfois. Il se dégage, la retourne en travers du lit, jambes pendantes.


A nouveau il a repris ses caresses, mais maintenant elle sent sa langue qui s’attaque à sa rosette. Avec les doigts, il va recueillire le liquide féminin directement à la source, le réinsère dans la nouvelle cible. Un doigt vient se glisser à la faveur de cette lubrification. Nadine le sent s’enfoncer. Il y a longtemps qu’aucun visiteur n’est entré par cette porte. Elle n’est pas une fervente de ce genre d’union, mais aujourd’hui elle est prête à tout. Des doigts s’insèrent par-devant, un, puis plusieurs autres préparent le terrain à l’arrière. Ils se dégagent et c’est un tout autre outil qui se présente. Envahie par-devant, de plus en plus, elle se sent transpercée par l’arrière. Le mandrin en s’enfonçant lui fait mal, mais la pénétration avant, énorme, lui fait oublier cette douleur. Il lui semble que tout est démesuré. Jacques vient lui prendre les seins. Comment est-ce possible ? Comment puis-je avoir une aussi grosse présence dans le con, dans le cul et les deux seins pris. Cette double pénétration monstrueuse est à la fois une douleur effroyable et un plaisir infini. Mais comment peut-il…


Le cri s’est échappé de ses lèvres serrées. C’est une jouissance éclatante dans une douleur infernale. Je suis masochiste, pense-t-elle. Elle se sent enfin remplie par la semence de son partenaire. Celui-ci se redresse, libère ses fesses. Son vagin expulse l’énorme masse qui l’envahissait. Libérée, elle peut enfin se retourner.


Devant ses lèvres, une main gluante jusqu’au poignet, vient se faire nettoyer. Elle est très fine, féminine. C’est elle qui l’a à la fois, tant fait souffrir et jouir. Elle la lèche docilement, lève les yeux. Claire la regarde en souriant et, de l’autre main, lui caresse les cheveux. Jacques l’embrasse doucement.


Ils la laissent épuisée sur le lit, vont se doucher en s’enlaçant.


Elle est affalée, se sent sans force ni volonté, perdue, ils ont joué avec elle.


Et ils partent sans venir la revoir, tirent la porte doucement.




Jacques est venu donner la dernière leçon. C’est Pierre, le père de Thierry qui l’a accueilli.



Jacques est un peu inquiet après cette phrase. Se douterait-il de quelque chose, Nadine aurait-elle parlé ?


Thierry a rendu un travail impeccable. Le professeur lui dit sa satisfaction et surtout son désir de le voir persévérer lorsqu’il se retrouveront en classe.


Au salon, Jacques retrouve le père devant des dossiers.



Jacques est reparti avec un chèque particulièrement important. C’est elle qui a voulu exprimer toute la reconnaissance pour les leçons qui avaient été données. Elle n’a pas précisé lesquelles.


Jacques et Claire ont changé leur ordinateur et surtout se sont crée des souvenirs pour leur nuits.