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Temps de lecture estimé : 27 mn
14/09/04
Résumé:  Dix ans de la vie sexuelle d'un couple depuis la rencontre jusqu'à la vie commune avec des enfants.
Critères:  fh couple fépilée plage jardin caférestau voyage voiture amour nudisme noculotte vidéox photofilm lingerie pénétratio jeu ecriv_c
Auteur : Pierre et Carole            Envoi mini-message

Série : Une éducation conjugale : initiation et perfectionnement

Chapitre 04 / 06
Une éducation conjugale : chapitre 4

CHAPITRE IV : la vie avec des enfants



L’arrivée d’un premier enfant puis des suivants, associée à la fin de notre séparation géographique, a bien entendu modifié notre vie sexuelle. Si, au début, la présence d’un nourrisson laisse encore un peu de temps à deux et permet de conserver une certaine spontanéité, assez vite, lorsque les enfants grandissent et se multiplient, il devient difficile d’avoir une activité sexuelle autrement qu’en planifiant et programmant nos rencontres.


Dès le premier enfant, nous avons compris qu’il faut se garder des moments de liberté à l’abri des enfants, et donc pris l’habitude de sauter sur les occasions pour nous retrouver à deux. Dès que nous en avons la possibilité, nous partons donc quelques jours ensemble. Cependant, nous habitons une région éloignée de celle de notre famille, et il nous est toujours difficile de nous organiser un week-end en amoureux pour se retrouver. Cela ne se produit donc que deux ou trois fois par an à l’occasion des vacances ou de la visite de parents. De plus, s’il est aisé de caser un enfant, cela devient plus difficile quand ils sont plusieurs. Quand nous le pouvons, nous essayons donc de nous échapper même qu’une journée ou un après midi, ce qui peut parfois être suffisant.


Une autre difficulté tient dans les baisses de désir observées à certaines périodes, principalement chez la femme, lorsqu’elle doit concilier la maison, les enfants, sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Lorsque tous les éléments se conjuguent cela devient quasiment mission impossible d’avoir une vie sexuelle digne de ce nom. Ainsi depuis quelques années, nous avons remarqué lors de certaines périodes des baisses de notre activité sexuelle, qui, si nous n’y prennons pas garde, pourraient être dommageables à notre couple.


Sur ce plan là nous n’avons pas tout à fait la même approche Carole et moi. Elle serait plutôt du genre à dire que dans ces cas là il faut attendre, et que tout rentrera un jour dans l’ordre. Moi je dirai plutôt qu’il faut susciter l’envie quitte à trouver des artifices pour éveiller le désir. Ne voulant me résigner à avoir une vie sexuelle morne, un rapport sexuel le samedi soir et quelques branlettes la semaine, je m’évertue depuis quelques temps, avec plus ou moins de succès et certainement aussi plus ou moins d’originalité, à essayer de mettre au point des stratagèmes pour susciter l’envie chez Carole. C’est ce que je vais vous raconter maintenant.


Tout tient à mon avis dans la diversité des situations, la chose à éviter étant de se retrouver systématiquement dans le même lit à la même heure, et de se dire « aujourd’hui on fait l’amour ».


L’outil le plus facile à mettre en œuvre pour susciter l’excitation, il n’est pas pour autant à négliger, est le recours aux livres et aux films. Assez vite après notre rencontre nous avons testé en couple les lectures érotiques, et elles ont toujours eu sur nous un effet immédiat. C’est après notre premier enfant que nous avons visionné ensemble notre premier film pornographique ; je devrais dire le début de notre premier film pornographique car pour peu que je m’en souvienne, nous n’avons jamais réussi à aller plus loin que quelques scènes et avons toujours fini l’un sur l’autre ou plutôt l’un dans l’autre bien avant la fin. Lorsque vraiment l’envie n’y ait pas c’est un moyen sûr, bien qu’un peu mécanique, pour arriver à mes fins. La difficulté tient cepandant à faire accepter à Carole de rester devant la TV pour le début du film. Elle aurait en effet plutôt tendance à dire que l’on n’a pas besoin de cela et à aller se coucher pour s’endormir dans les cinq minutes. Pourtant, de temps en temps, cela ne fait pas de mal, d’autant que l’on peut en tirer parfois quelques idées pratiques. La dernière fois cela se passait il n’y a que quelques jours. J’avais tout prémédité et la cassette était engagée dans le magnétoscope. Les enfants étaient couchés depuis longtemps, et le film que nous regardions venait de finir. J’ai alors lancé la lecture de la cassette. La 1ère scène est assez quelconque et pas trop excitante. Dans ces cas là, j’appuie sur avance rapide et nous zappons la scène. Par la suite, un couple faisant l’amour dans la cage d’escalier d’un immeuble a plus d’effet. Alors que nous sommes à moitié allongés sur le canapé et qu’elle regarde la scène avec une curiosité certaine, je lui caresse légérement le corps, en lui massant de temps en temps le sexe à travers son slip. Comme souvent dans ces cas là, elle retire rapidement sa culotte et me demande de la prendre sur-le-champ avant qu’elle ne jouisse. Je prends la position assise sur le canapé, et elle, sans enlever sa robe, vient se positionner sur moi en me tournant le dos. Vous me croirez si vous voulez, mais c’est la première fois que nous essayons cette position. L’effet n’en est que plus efficace, et elle me confiera par la suite avoir eu ici l’un de ses meilleurs orgasmes. Pour ma part, je ne suis pas à plaindre, car il faut avouer que la voir prendre ainsi son plaisir tout en lui caressant les fesses m’excite et je jouis rapidement après elle.


Un autre outil est ce que l’on appelle les sexy toys et qui sont très en vogue aujourd’hui. J’ai donc acheté par le biais d’internet un vibromasseur et des boules de geishas. En ce qui concerne le vibromasseur, son effet a été plus que moyen. Pour le premier achat de ce type, j’ai privilégié un modèle bon marché, et je pense avoir fait un mauvais choix. Ce sera quelque chose à renouveler mais en essayant de prendre un modèle plus adapté. Concernant les boules de geishas, si Carole les a essayées dans la chambre à coucher, elle n’est pas encore sortie avec, ce qui est, en principe, leur usage principal. Un soir que nous étions au restaurant tous les deux, je les avais emmenées et lui ai demandé d’aller les mettre alors que nous étions à table. Elle s’y est refusée énergiquement. Ce sera donc à réessayer dans d’autres circonstances plus favorables. Nous avons par ailleurs essayé la lingerie érotique. Toujours sur internet, j’ai ainsi acheté une combinaison intégrale à grosses mailles, style bas résilles. Lorsque Carole l’a essayée, la réaction ne s’est pas fait attendre, et elle a été assez vite très excitée ; moi aussi par la même occasion. Il faut dire que le résultat était à la hauteur de mes espérances : une fente au niveau de l’entrejambe laisse le sexe nu, et les mailles sont suffisament larges pour laisser passer les tétons de sa poitrine, ce qui fait une vision d’ensemble très érotiques. Je n’ai pas besoin de vous faire de dessin pour vous faire deviner la suite. Régulièrement j’essaye donc de lui faire mettre une de ses tenues, le résultat étant toujours très efficace.


Récemment, je trouvais que notre vie sexuelle s’inscrivait de plus en plus dans la routine et manquait de fantaisie, et que Carole rechignait de plus en plus à se laisser aller aux choses de l’amour. J’ai donc essayé de mettre au point quelques scénarios un peu plus construits que la simple lingerie ou le visionnage d’une cassette pour mettre un peu de piment à nos ébats. Cela se passait au mois de juillet, alors que les parents de Carole séjournaient chez nous ; nous n’avions donc pas à nous préoccuper de récupérer les enfants le soir après notre travail.


Pour la première tentative, je lui avais laissé, avant de partir le matin pour le travail, une enveloppe sur le tableau de bord de sa voiture. Celle-ci contenait le texte ci-dessous ainsi que le plan pour accéder à l’endroit où je voulais la faire arriver.



J’avais été très fier de ma trouvaille dont la mise au point m’avait demandé plusieurs jours. Ainsi, j’étais allé en repérage autour de notre village quelques jours avant, et j’avais trouvé un bois calme au bout d’un petit chemin. Ensuite, j’avais fouillé un peu sa garde-robe pour trouver la tenue adéquate. J’avais choisi pour le bas une jupe très courte qu’elle porte surtout pour aller à la plage et pour le haut un bustier dos nu tenu par une bretelle passant autour du cou et très échancré au niveau des seins; pour ce que je prévoyais, elle n’avait pas besoin d’être plus habillée. C’était donc les seuls habits auxquels elle avait droit et que j’avais cachés la veille dans un tiroir sous le siège avant de sa voiture. Par ailleurs, prétextant une course à faire prochainement avec notre monospace, j’ai enlevé les sièges arrières pour pouvoir nous allonger si nécessaire.


Le jour même, je pense à mon scénario toute la journée en me demandant avec une certaine appréhension si elle se soumettra au jeu auquel je veux la faire jouer.


En fin de journée, je pars de mon travail pour être un peu en avance au rendez-vous. Arrivé à proximité, je cache la voiture pour qu’elle ne la voit pas en arrivant et j’enfile ma tenue. Je me suis choisi quelque chose de très fonctionnel pour ce que j’ai prévu : un short de sport sans slip en dessous et un marcel en haut. Je rejoins ensuite le point de rendez-vous en me cachant à proximité. C’est là que les choses commencent à ne pas se passer comme elles étaient prévues. Tout d’abord, alors que j’attends, deux promeneurs passent à proximité et s’arrêtent pour discuter. Il est 17h45, les promeneurs sont toujours là et Carole n’arrive pas. Au bout de 10 minutes je vois la voiture s’approcher. Mais les géneurs sont toujours là et Carole au lieu de tourner vers le petit bois continue son chemin. De mon côté, je ne peux pas bouger sans signaler ma présence. Enfin, les deux promeneurs décident de poursuivre leur chemin, la voie est de nouveau libre. Après quelques minutes, je vois la voiture revenir et Carole va se garer en suivant les instructions. C’est le deuxième écart par rapport à mon scénario ; non seulement elle sort de la voiture en m’appelant par mon prénom, mais en plus elle n’a même pas revêtu la tenue que je lui prédestinais. Après quelques instants, je la rejoins et lui fais part de mon mécontentement. Cela devait être un jeu et nous sommes à la limite de la scène de ménage. Finalement, elle revêt sa tenue sans pour autant accepter de jouer le jeu du foulard sur les yeux. Ce qui devait être un petit jeu original se termine en accouplement classique à l’arrière d’une voiture, et on peut quasiment qualifier cette première tentative d’échec.


Je ne voulais cependant pas m’avouer battu. Quelques jours après, alors que nous étions tous les deux au travail, je lui envoie un mail pour l’inviter à sortir un soir prochain. Il y avait cependant une condition. Dans mon message, je faisais référence au fiasco précédent et je précisais que dans sa réponse à mon invitation elle devait indiquer qu’elle se plierait à toutes mes exigences ; c’était la condition pour que l’invitation soit valable. Malgré l’incertitude de ce que je lui préparai, et se sentant certainement en partie responsable d’avoir fait échouer ma tentative précédente, elle accepta mon invitation et tout ce que cela impliquait.


Je réservais donc une table dans le meilleur restaurant de la région. La scène de la pièce était choisie, il ne me restait plus qu’à en écrire le scénario. Le soir venu, je lui choisis sa tenue : une robe, d’apparence sage, en mousseline très légère et présentant un décolleté avantageux sur sa poitrine, et en dessous, un soutien-gorge et un string ficelle; étant assez frileuse, elle ajoute autour du cou un léger châle en soie. Elle est par ailleurs étonnée d’échapper au classique sans-culotte que je lui impose fréquemment, bien que cela soit souvent loin de lui déplaire. Ensuite nous partons, laissant mes beaux-parents s’occuper des enfants.


Elle est agréablement surprise quand elle voit le restaurant où je l’invite. C’est une ambiance assez feutrée avec un éclairage discret. Par hasard, nous sommes installés dans un coin de la salle à une petite table ronde munie d’une grande nappe jusqu’au sol. Nous sommes assis côte à côte, Carole étant à ma gauche, et nous faisons face au reste de la salle. Toutes les conditions semblent réunies pour que tout se passe bien. Nous commandons une coupe de champagne et passons notre commande. Commence alors mon petit scénario. J’explique à Carole que j’ai dix petits papiers dans la poche de ma chemise et que sur chaque papier figure une instruction qu’elle devra suivre à la lettre. Au cours de la soirée, Carole tire régulièrement au hasard un des petits papiers et le lit. Voilà, dans l’ordre, ce que cela a donné.


Raconte un de tes phantasmes : Carole a une difficulté à répondre ; la réponse est d’ailleurs plutôt hors sujet car elle concerne un goût plutôt qu’un phantasme. Je crois me rappeler qu’elle m’a dit qu’elle aime, lorsque l’on fait l’amour dans la position du missionnaire, sentir mes couilles aller et venir contre son sexe.

Raconte ton dernier plaisir solitaire : là encore la réponse est peu satisfaisante, car le dernier souvenir remonte à plusieurs mois et ne peut être situé avec précision.

Lis cette histoire et raconte ce que cela te fait : je lui fais lire une petite histoire érotique trouvée sur internet. Ce texte a été mal choisi et cette lecture a eu peu d’effet sur Carole.

Pour l’instant cela commençait plutôt mal. Alors que nous en étions à la seconde entrée, il ne s’était pas encore passé grand chose. Heureusement cela s’arrangerait par la suite.



Nous avons quitté le restaurant tous les deux bien excités. Avant de monter dans la voiture elle retire son soutien-gorge. Je lui ouvre la portière côté passager et, pendant qu’elle s’installe, je glisse une main sous sa robe. L’état de sa chatte me confirme qu’elle a apprécié mon petit jeu. Il est environ 23h30, et ayant toute la soirée pour nous, j’envisage d’aller dans un coin tranquille. Cependant, elle ne l’entend pas de cette oreille et me demande de rentrer à la maison. Pendant le trajet je laisse ma main entre ses cuisses, et une fois la voiture garée devant chez nous, je fais une dernière tentative d’appoche histoire de faire cela ailleurs que dans un lit ; elle refuse de nouveau. Une fois dans la maison, le charme de la soirée est définitivement rompu par l’accueil de ma belle-mère, Carole ne pouvant s’empêcher de lui raconter le menu, au demeurant excellent. Je monte dans notre chambre où Carole me rejoint un peu plus tard, et.nous faisons l’amour tout à fait classiquement. Malgré l’épilogue un peu décevant, c’est une soirée qui reste dans nos mémoires et dont nous aimons encore aujourd’hui nous remémorer les détails les plus croustillants.


Ce même été, nous avions loué une maison au bord de la mer pour les vacances. Cela a été l’occasion de franchir un pas supplémentaire dans nos séances photos. Nous sommes allés passer une journée sur une île en compagnie des enfants et d’une des grands-mères qui nous avait rejoints pour quelques jours. Une fois sur une plage, je propose à Carole de confier les enfants à leur grand-mère et d’aller nous promener tous les deux dans le village voisin. Carole est habillée d’une courte robe de plage à fines bretelles. Elle me suit sans savoir que j’ai quelque chose derrière la tête. Le village est constitué de petites ruelles, les jardins étant séparés par des murets en pierre. Au détour d’une rue, je vérifie qu’il n’y a personne aux alentours, et je m’agenouille pour lui ôter sa culotte, un string bien mignon que je mets dans ma poche. Elle ne proteste pas et semble amusée de mon geste. Quand je sors l’appareil photo du sac, elle comprend où je veux en venir. Comme d’habitude, je prends d’abord quelques photos anodines pour la mettre en condition. Ensuite je lui demande progressivement de m’en montrer un peu plus. Elle commence timidement puis s’enhardie rapidement à prendre des poses de plus en plus osées. La nouveauté tient au fait que pour nos séances précédentes nous étions habitués à faire cela dans des lieux isolés. Là nous sommes en plein village avec des touristes un peu partout. Le jeu consiste donc à touver des angles favorables pour avoir une photo sexy sans se faire voir des promeneurs. J’ai ainsi quelques beaux clichés de Carole montrant sa chatte assise sur un muret ou bien montant un escalier alors que des inconnus sont quelques mètres en arrière plan. Nous avons pris ainsi une quinzaine de clichés. Sur la fin de la séance au détour d’un chemin, je glisse un doigt dans sa chatte et constate comme d’habitude qu’elle apprécie ce genre de séance. Cependant, il y a vraiment trop de monde et nous ne pouvons pas ou n’osons aller plus loin. Nous revenons donc sur la plage retrouver nos enfants, et nous enfilons nos maillots de bain. Pour Carole cela se fait rapidement. Après la baignade, nous nous rhabillons sachant que j’ai toujours la culotte de Carole dans ma poche et que je n’ai pas l’intention de lui rendre ; elle ne me la demande d’ailleurs pas. Elle enlève son haut de maillot, remet sa robe et enlève le bas. Ensuite alors que je suis assis sur le sable pour mettre mes chaussures, Carole est debout à s’occuper d’un des enfants. Alors qu’elle se penche vers l’avant sans plier les genoux pour l’aider à s’habiller sa robe remonte sur ses fesses et j’ai une vue directe sur son sexe. Je me retourne alors et vois que, même s’il n’y a pas grand monde sur la plage, je ne suis pas le seul à profiter de cette vision. Je lui conseille donc de se baisser en pliant les genoux; comprenant où je veux en venir, elle rabat rapidement sa robe sur ses cuisses et se met à genoux. Je découvre à ce moment là le plaisir à voir que d’autres admirent votre femme surtout lorsqu’on l’a trouve belle et sexy.


Cet épisode a suscité l’envie de poursuivre les séances photos dans cette voie, et il ne me fallut pas lontemps pour en ressaisir l’occasion. C’était un vendredi de début septembre juste après notre retour de vacances. Les enfants avaient repris l’école depuis le jeudi, alors que nous ne reprenions le travail que le lundi. Nous commençons la journée par un peu de sport en prévoyant d’aller manger un morceau en ville ensuite. Après notre activité, Carole se change en mettant la même robe que lors de la fameuse soirée au restaurant déjà racontée. Pendant le cours trajet en voiture vers le centre ville, je demande à Carole de m’offrir un petit plaisir et d’ôter sa culotte. Comme toujours elle proteste en me traitant quasiment d’obsédé et on en vient presqu’à se fâcher. Je crois que ma tentative va échouer, mais une fois la voiture garée, j’ai l’heureuse surprise de la voir passer ses mains sous sa robe et d’en sortir sa culotte de coton ; un homme à un balcon semble ne rien râter de notre petit manège. Elle refuse cependant d’enlever par la même occasion son soutien-gorge. Nous descendons de la voiture et partons nous promener dans les rues. Comme je le disais précédemment, sa robe est très légère et j’aime, la tenant par la taille, descendre la main jusqu’à ses fesses et les sentir comme si elles étaient nues. Pour commencer, nous allons manger un sandwich dans un bar. Il y a vraiment trop de monde pour que je lui demande de m’en montrer un peu. Je lui raconte que j’ai l’appareil photo et que j’aimerai que l’on s’offre une petite séance dans le jardin public tout proche. Elle ne réagit pas à ma proposition. Ensuite, nous commençons à faire les boutiques. Nous entrons dans un grand magasin. Je reviens à la charge pour le soutien-gorge en lui disant que ce sera mieux pour les photos. Nous passons alors à proximité d’un photo-mathon. Elle entre de la cabine est ressort quelques secondes après, l’objet de mes convoitises à la main. Je m’empresse de le ranger dans mon petit sac à dos. Nous ressortons du magasin, et alors que nous marchons dans la rue, la savoir complètement nue sous sa robe légère me plait beaucoup. Nous nous dirigeons vers le jardin public. C’est un très beau parc avec de nombreux petits chemins, de vieux arbres, de grandes pelouses. Nous sommes en pleine semaine, mais il y a quand même un peu de monde, cela n’en saura que plus excitant. Nous commençons les photos. Carole va s’asseoir à l’extrémité d’un banc sur lequel un couple est assis. Elle se tourne vers moi à l’opposé des personnes en remontant discrétement sa robe de telle sorte que je puisse voir sa chatte. C’est la première photo. Ensuite nous nous promenons dans le parc, Carole saisissant chaque occcasion pour me montrer un sein, une fesse, son sexe. Il ne me faut pas longtemps pour avoir une trique d’enfer. Petit à petit, Carole se prend au jeu et s’enhardit dans ses poses. Nous finissons la séance au milieu d’une pelouse assis dans l’herbe. Carole s’assoit les fesses nues à même le sol, ce qui lui permer de remonter facilement sa robe et sort un sein de son décolleté ; cela donnera de superbes photos. En quittant le parc, Carole profitera d’un petit chemin peu fréquenté pour m’offrir une dernière vision sur son cul en remontant sa robe par derrière, ce sera la dernière photo de la séance. Nous retournons à la voiture et repartons chez nous. Carole a la chatte complètement inondée. Je lui suggère de se caresser pendant que nous roulons, histoire de se calmer un peu et de conserver son excitation, mais elle s’y refuse. Arrivés chez nous, nous sautons l’un sur l’autre. J’ai cependant été tellement excité précédemment que je jouis trop rapidement ; ce ne fut donc pas l’un de nos meilleurs coups. Tout ce qui précéde a été cependant mémorable.


Les températures chaudes étant plus favorables à ce genre de pratique, il faudra attendre le printemps suivant pour connaître un nouvel épisode. Cela se passait au printemps alors que nous étions en vacances chez nos parents. Etant éloignés de nos familles et de nos amis en règle générale, nous avions enfin décidé d’acheter un appareil photo numérique pour pouvoir envoyer facilement nos photos. Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre tout l’intérêt d’un tel ustensile. À l’occasion de ces vacances et suite à l’achat de l’appareil photo, nous nous nous sommes échappés deux jours pour passer un week-end au bord de la mer. Le soir même, nous allons dans une brasserie manger un plateau de fruit de mer. Carole s’habille très sexy. Elle revêt un ensemble de lingerie string /soutien-gorge noir Chantal Thomas. Il fait frais le soir et elle enfile une paire de collants achetée récemment sur internet qui en fait se présente sous la forme de bas avec porte-jaretelles intégré. Je veille à ce qu’elle enfile son collant avant le string afin de pouvoir enlever celui-ci facilement. En haut, elle porte un petit top foncé en mousseline qui doit se conbiner avec une doublure opaque que j’ai délibérément oubliée de mettre dans le sac. Au début, elle dit qu’elle ne peut pas sortir ainsi, mais je la convaincs du contraire. Il faut en effet être assez proche d’elle pour apercevoir le soutien-gorge par transparence. Et puis, ne dit-on pas que le soir, tout est permis ! Pour le bas, elle enfile une mini noire. Pendant le repas, je ne peux m’empêcher de regarder sa poitrine mise en valeur par sa tenue ; et quand elle se lève pour se rendre aux toilettes, je suis fier des regards envieux que lui jettent les autres hommes. Une fois sortie du restaurant nous partons nous promener sur le port. Je profite de l’obscurité pour lui ôter son string et le mettre dans ma poche. Nous faisons ensuite quelques photos qui seront malheureusement de piètre qualité du fait du manque d’éclairage. Il en sera de même pour celles que je prends par la suite devant les grands hôtels de la ville. J’aurai aimé qu’à l’occasion d’un coin sombre nous en profitions pour aller un peu plus loin, mais Carole est frileuse et est très attachée à son lit. J’accepte de mettre fin à notre promenade à la condition que nous remettions la séance photo au lendemain ; elle accepte. Il ne se passe donc rien de plus ce soir-là, si ce n’est dans le lit conjugal.


Le lendemain, après une matinée sportive, nous allons, chacun de notre côté, dans les vestiaires pour prendre une douche et nous changer. Carole en ressort avec une robe boutonnée sur le devant descendant jusqu’aux genoux. Nous prenons la voiture et partons visiter la côte. Nous nous arrêtons dans une petite cité balnéaire pour nous restaurer. Avant de descendre de voiture, je demande à Carole d’enlever sa culotte pour le cas où l’on pourrait faire quelques photos. Les photos de la veille étant plutôt râtées et compte tenu de son engagement de fin de soirée, elle s’exécute sans discuter. Ce n’est que le printemps et Carole enfile un blouson sur sa robe. Après avoir manger un sandwich, nous partons nous promener sur la digue du front de mer ; il y a quelques promeneurs mais nous pouvont faire quelques photos devant le portail de belles villas bordant la plage. Ensuite nous descendons sur le sable. C’est marée basse, et la plage semble immense. Nous marchons le long de la plage, et je demande à Carole de défaire quelques boutons de sa robe. Elle ouvre les boutons du bas jusqu’à son entre-cuisse et à chaque pas j’ai une vue directe sur sa chatte surtout lorsque à l’occasion d’une rafale de vent sa robe s’écarte un peu plus. Par la même occasion, elle enlève son blouson et déboutonne le haut de sa robe pour faire apparaître son soutien-gorge ; des huits boutons, il en reste trois boutonnés. J’en profite pour mitrailler avec mon appareil. Nous croisons des promeneurs à quelques dizaines de mètres, mais cela ne nous dérange pas et nous continuons notre petit jeu. Carole va même jusqu’à s’allonger sur le sable humide et je la prends en photos bras et jambe en croix, le sexe à nu. Suite à cette séance, nous reprenons la voiture et décidons d’aller boire un verre au club house d’un golf très réputé du secteur. L’ambiance y est très guindée, et nous nous installons chacun dans un fauteuil au milieu des autres clients. Je sors mon appareil photo pour immortaliser notre présence dans ce lieu. Je demande alors à Carole d’essayer de m’en montrer un peu pour garder quelques souvenirs un peu plus chauds. Echauffée par la séance précédente, elle ne se fait pas prier et remonte discrétement sa robe en écartant les cuisses jusqu’à mettre sa chatte à nu. Entre les clients et les serveurs, nous devont procéder avec discrétion. C’est pourquoi malgré le peu de lumière, je ne mets pas le flash en marche. Cela fera cependant quelques belles photos, quoique parfois un peu floues, de Carole montrant sa chatte alors qu’autour certains boivent le thé sans se douter de rien. À la fin de la journée, nous retournons chercher nos affaires dans la maison qu’une amie nous a prêtée pour le week-end. Dès la porte fermée, nous nous jetons l’un sur l’autre ; compte tenu de l’excitation accumulée tout au long de cette après-midi, l’orgasme vient rapidement et est d’une rare intensité pour tous les deux.


L’épisode suivant de notre récit, certainement l’un de nos meilleurs souvenirs érotiques, se déroule pendant les vacances d’été suivantes alors que nous avions loué une maison dans le même secteur que l’année précédente. Une des grands-mères gardait les enfants et nous avions une journée pour nous deux. Nous avons décidé d’aller la passer sur une petite île accessible après trente minutes de bateau et sur laquelle il est possible de louer des vélos et faire de très belles promenades. En prévision, lors de l’habillage du matin, Carole veut mettre un short ; j’ai horreur de cette tenue lorque nous sommes ensemble, et je lui choisis une robe à fleurs boutonnée sur tout le devant ; elle en a plusieurs de ce style dans sa garde-robe. Satisfaite, elle accepte mon choix. Nous avons environ vingt minutes de route pour nous rendre à l’embarcadère. Je lui rappelle que c’est certainement notre seule escapade des vacances et lui demande d’enlever son slip. Comme toujours elle refuse pour la forme, mais une fois la voiture garée, elle enlève sa culotte avant de descendre et la laisse dans la voiture. Nous nous dirigeons vers l’embarcadère et achetons nos billets à l’entrée du quai. Le prochain départ étant dans environ quinze minutes, nous allons rejoindre une dizaine de personnes déjà présentes sur le quai. L’attente est plus longue que prévue et nous décidons de nous asseoir par terre. Malgré la longueur de sa robe, un peu en dessous du genou, la position que Carole adopte me laisse voir sa chatte. J’en profite pour sortir mon appareil de mon sac à dos et faire ma première photo au milieu des touristes. Peu après nous embarquons pour la courte traversée. Dés notre arrivée sur l’ile, nous allons louer des vélos et partons à sa découverte. Pour pouvoir s’asseoir et pédaler dans de bonnes conditions, Carole est obligée de déboutonner les boutons du bas de sa robe. L’île est sillonée de nombreux chemins et nous nous engageons vers le chemin cotier faisant le tour de l’île. Je passe le premier et jette fréquemment un regard en arrière pour voir où en est Carole. Assez vite je m’aperçois qu’au gré des courants d’air sa chatte est fréquemment visible, et je me dis que les promeneurs que l’on va croiser auront des choses à raconter le soir à la veillée. Carole s’en aperçoit et à parfois le réflexe de rapprocher d’une main les deux côtés de sa robe ; le plus souvent elle ne fait rien et laisse faire les caprices du vent. Après quelques kilomètres nous passons devant une grande plage, déserte à cette heure-ci. Le chemin longe d’abord directement la plage, mais après quelques dizaines de mètres, nous nous apercevons qu’une haie de taillis sépare la plage du chemin. Nous faisons donc demi-tour, posons nos vélos sur la plage en bordure du chemin et marchons quelques mètres pour nous mettre un peu à l’abri pour nous baigner. Quelques semaines avant, Carole avait acheté un maillot string qu’elle n’avait encore jamais osé mettre sur une plage fréquentée ; d’autant plus qu’elle n’a qu’un bas et qu’elle est peu adepte du monokini. En prévision de notre journée, j’avais mis le maillot dans mon sac au cas où l’occasion de l’utiliser se présenterait. C’est maintenant le cas. Je lui sors donc le petit bout de tissus et elle ne peut que s’exécuter ; la plage est déserte, et les rares promeneurs qui passent à vélo ne nous approchent pas à moins de plusieurs dizaines de mètres. Elle enlève sa robe et son soutien-gorge, et enfile son mini maillot. Je mets également le mien et nous nous jetons dans l’eau dont la température est très agréable. Nous nageons un peu, puis aimant me baigner nu jenlève mon slip de bain et l’enroule à mon poignet. Carole me voit faire et fait de même. Nous avons pris goût à nous baigner nus lors de nos précédents voyages, mais c’est un plaisir que nous n’avons pas eu l’occasion de mettre en pratique depuis longtemps. Nager nu à côté de Carole dans la même tenue que moi suffit à me faire bander. Nous nous approchons l’un de l’autre et nous embrassons. Nous voyons passer quelques personnes à vélo ; ils doivent juste nous prendre pour des baigneurs voulant un peu de tranquilité. Nous flirtons un peu dans l’eau mais sans aller plus loin que quelques caresses. Ensuite je remets mon maillot pour sortir de l’eau. Je demande à Carole d’attendre un peu avant de sortir car je veux faire quelques photos. Je rejoins donc nos affaires et prends l’appareil dans le sac. Carole sort alors doucement de l’eau et je fais quelques photos d’elle nue sur la plage. Il y a toujours un peu de passage sur le chemin, mais nous n’y prêtons pas attention. Nous décidons ensuite de nous rhabiller et de poursuivre notre découverte de l’île. Je remets mon short et mon tee-shirt. Carole veut remettre son soutien-gorge mais je lui dis qu’elle n’en a pas besoin. C’est donc complétement nue sous sa robe qu’elle repart. Je repasse devant elle en jetant de nombreux regard vers elle. Sa robe n’est pas plus boutonnée qu’auparavent ; en plus de sa chatte fréquemment visible, on devine la naissance de sa poitrine. Ces visions sont très excitantes et j’ai envie d’en garder quelques photos. Je demande donc à Carole de me laisser prendre un peu d’avance pour que j’aie le temps de m’installer avec l’appareil photo au détour d’un chemin. J’accélère donc et quelques centaines de mètres plus loin je m’installe sur le bas-côté avec mon appareil. Carole arrive alors doucement et je prends quelques photos d’elle pédalant la chatte à nu. Elle s’arrête ensuite près de moi et me fait une petite séance d’exhibition que j’enregistre avec mon appareil ; elle en profite pour me montrer ses seins. Suite à cela nous repartons. L’île n’est pas très grande et nous en avons déjà quasiment fait le tour. Il est plus de midi et nous nous dirigeons vers le bourg pour déjeuner.


Après le repas, nous décidons de partir à la recherche d’un coin tranquille. Les plages étant quand même un peu fréquentées, nous essayons de trouver un endroit plus calme. Le matin j’ai repéré un petit bois en bordure du sentier cotier et nous en prenons la direction. Nous arrivons en lisière de ce bois qui domine la mer d’une dizaine de mètre et près duquel sont installés des bancs. Nous descendons de vélo. Avant de nous enfoncer un peu plus dans les arbres, je demande à Carole de faire quelques photos entre les arbres avec la mer en arrière plan. Elle commence alors à poser en me montrant sa chatte. À ma demande elle ouvre quelques boutons du haut pour montrer ses seins. À ce moment, un couple assez agé de promeneurs à pieds arrive par le chemin et nous surprend. Carole a juste le temps de se retourner, mais nul doute qu’ils s’aperçoivent de quelque chose ; ils ne s’attardent d’ailleurs pas près de nous. Après leur départ, nous prenons les vélos et nous dirigeons vers le bois. Nous trouvons rapidement une petite clairière et laissons les vélos à proximité. J’embrasse Carole et glisse une main entre ses cuisses ; sa chatte est toute humide. Je suis heureux de découvrir que tout cela lui plait également. J’installe nos serviettes de bain par terre. Elle s’y allonge en ouvrant complètement sa robe et me demande de la prendre tout de suite. Avant de m’exécuter, je veux prendre une dernière photo. Je photographie Carole en train de se caresser le bouton les cuisses écartées et la fente béante. Ensuite, je la pénétre et nous jouissons tous les deux très rapidement.


Après une petite sieste, nous repartons en promenade à la découverte de nouveaux chemins. Il fait très chaud et nous avons envie de nous baigner. Nous nous arrêtons à l’extrémité d’une plage pas très fréquentée et bordée de belles propriétés. Les premiers baigneurs sont assez loins et Carole enfile le même maillot que le matin. Dans l’eau nous recommençons à flirter. Une fois hors de l’eau, je reprends mon appareil et fais quelques photos de Carole dans son string de plage. La plage se finit par des gros rochers qui nous cachent la vue du reste de la côte, nous décidons d’aller nous y promener. Carole enroule sa serviette autour de son corps. J’emmène l’appareil photo et lui suggère d’ôter son maillot. Nous faisons quelques mètres et nous nous retrouvons sur de gros rochers. Je demande à Carole d’écarter sa serviette et je prends de nouvelles photos de nu. Ensuite, je lui demande de s’asseoir à même les rochers, et je fais une nouvelle série. Nous retournons à nos serviettes en nous embrassant. En glissant une main discrète entre ses cuisses, je découvre une nouvelle fois son sexe rempli d’humidité. Elle m’avoue alors avoir de nouveau très envie ; il ne m’en faut pas plus pour bander comme un cerf. En nous promenant, nous avons aperçu derrière les rochers une sorte de petit renfoncement qui semble pouvoir contenir nos ébats. Nous nous rhabillons, rassemblons nos affaires et nous dirigeons excités vers l’endroit. Nous nous y installons en constatant que nous y sommes à l’abri du regard des autres personnes de la plage. Je baisse mon short et m’assois sur un rocher ; Carole n’enleve pas sa robe et vient sur moi en en écartant juste les pans. Elle s’empale sur mon sexe et commence à bouger. Nous sommes invisibles d’une personne qui se trouverait sur la berge, en revanche, il y a de nombreux bateaux sur le plan d’eau, et un œil attentif pourrait nous repérer. C’est peut-être une des raisons qui fera qu’il ne nous faudra pas beaucoup plus de temps que la fois précédente pour arriver à l’orgasme. Il y avait bien longtemps qu’il ne nous était pas arrivé de faire l’amour deux fois à 2 heures d’intervalle. Ensuite nous réajustons notre tenue et constatons qu’il est l’heure de rejoindre le bateau pour retourner à nos enfants. Cette journée nous aura beaucoup marqués.


Par le biais des quelques épisodes racontés ici, vous venez d’avoir un bref aperçu de notre vie sexuelle et de comment nous arrivons à y apporter un peu de fantaisie. Il reste maintenant à voir comment cela va pouvoir évoluer.