n° 07772 | Fiche technique | 19038 caractères | 19038Temps de lecture estimé : 11 mn | 26/09/04 |
Résumé: Suite de l'initiation de mon épouse à l'adultère. | ||||
Critères: fhhh fplusag jeunes couplus extracon profélève fépilée plage voir exhib fellation jeu journal | ||||
Auteur : Restif (L'homme qui aime les femmes) Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent : Nathalie, ma très belle et chaste femme, de dix ans ma cadette (27 ans), enseignante, m’avoue pour la première fois son trouble pour un collègue, Christian, sensible à ses charmes. Loin de m’en formaliser, je prends plaisir à cet aveu, et j’amène ma femme à imaginer qu’en me faisant l’amour, c’est à Christian qu’elle se donne. Puis, je lui demande d’ « allumer » Christian le dernier jour de classe, ce qu’elle fait avec une délicieuse bonne volonté, et pour notre plus grande jouissance. Troisième étape : nous décidons d’inviter Christian à nous rejoindre pour nos vacances en Corse. L’épisode commence en Corse, alors que Christian n’est pas encore arrivé.
« Journal de Corse, 9 juillet.
Huitième jour de notre arrivée. Christian devrait arriver demain.
Le soleil de Corse, et les événements récents, ont magnifiquement épanoui la sensualité de Nathalie, plus appétissante que jamais. Jours fastes, véritable reverdie de notre couple : mon épouse si réservée affiche avec insolence son goût de la vie et son amour de la chair, à commencer par la sienne. Elle a, en quelques jours, pris un teint doré qui la rend ensorcelante. Il y a mieux. Pour la première fois de sa vie, Nathalie a consenti il y a trois jours à une épilation intégrale : son sexe jeune et nu, à moi seul réservé, a été un merveilleux cadeau offert à la renaissance de notre passion. Puis, il y a deux jours, nouvelle et inappréciable concession : elle a accepté de faire du monokini, laissant éclater aux yeux de tous les hommes la provocante jeunesse, la générosité arrogante de ses seins. J’aime observer en coin le regard des vacanciers lorsqu’elle s’allongeait sur sa serviette, leur muette expression d’envie lorsque, rituellement, je passais de la crème protectrice sur le corps luisant de ma femme, m’attardant sur les seins dont je sentais, sous ma pression, se raidir les pointes. Deux événements heureux ont déjà ponctué notre séjour.
Il faut d’abord que je rappelle combien Nathalie est d’un caractère extrêmement pudique. Quand nous sommes à Paris et qu’elle se déshabille, elle n’oublie presque jamais de tirer au préalable les rideaux, pour éviter tout risque d’être vue. Il m’est arrivé bien souvent de le regretter, espérant qu’un petit moment de distraction donnerait à un voisin l’aubaine de surprendre ce jeune corps dans toute sa provocante beauté. Or, c’est ici, dans notre studio d’Ajaccio, que c’est arrivé. Soit que Nathalie, dépaysée, ait perdu ses réflexes de vigilance, soit que son inconscient se soit chargé d’oublier pour elle l’existence d’un vis-à-vis, toujours est-il qu’il y a deux jours, , vers minuit, Nathalie, s’est déshabillée toutes lumières allumées et tous volets ouverts. Elle n’avait pas vu que dans l’immeuble juste en face de chez nous, à moins d’une quinzaine de mètre, la fenêtre d’une chambre trahissait une présence. Un jeune homme d’une vingtaine d’année travaillait sur son écran d’ordinateur quand ma femme est arrivée… Cela ne m’a naturellement pas échappé. Mais au lieu de courir fermer les volets, ou simplement de la mettre en garde, je dégustais ce strip-tease. Nathalie tournait le dos à la fenêtre, et j’étais bien résolu à la laisser ignorer le plus longtemps possible le regard intéressé du jeune homme. Je savais comment parvenir à retarder le moment d’éteindre la lumière et de s’enfouir sous les draps. Je proposai donc à Nathalie un petit massage – ne sait pas y résister. Elle s’allongea donc sur le ventre. Son ravissant petit cul était ainsi pour au moins un quart d’heure à la délectation de mon voyeur. Je ne voulais pas me contenter d’imaginer, il me fallait voir. Je choisis donc de masser le corps nu de ma femme en me tournant du côté de la fenêtre. D’abord, l’air de rien, feignant de ne rien voir… Je malaxais le bas de son dos, m’attardai sur ses fesses, sans oublier les jambes et les pieds que je relevai vers moi, jetant des coups d’œil furtifs pour vérifier que le jeune homme était fidèle au poste. Dès que je relevai les yeux, je le voyais se reprendre, et retrouver devant son ordinateur une position respectable ! Croyait-il vraiment me donner le change ? Mais, à un moment, nos regards se croisèrent et j’eus le temps de lui sourire : il comprit alors que je ne voyais aucun inconvénient à lui offrir ma femme en spectacle et, dès lors, repris confiance et ne nous lâcha plus des yeux. Et moi, j’en rajoutai. Je ne me contentai plus de masser les jambes et les pieds de ma femme, je les lui embrassai longuement. Cette situation m’excitait tellement que, franchissant un seuil insoupçonné de moi-même quelques minutes auparavant, je n’y tins plus et me mis moi-même nu, m’exhibant à mon tour.
A ce moment-là, je vis qu’il éteignit sa lumière ; sa chambre resta cependant suffisamment éclairée pour que je comprenne aussitôt, en le voyant se déshabiller, la raison de son geste. Il voulait profiter de l’obscurité pour se caresser en nous regardant. Je n’y voyais naturellement aucun inconvénient. Eût-il sonné chez moi que je lui aurais volontiers proposé davantage que le spectacle de ma femme, ma femme elle-même ! Pendant ce temps, je léchais avec volupté les pieds de ma femme, qui adore cela. À partir de là, l’idée de se coucher après le massage ne nous effleurait plus. Je voyais le sexe de ma femme luire et couler : m’allongeant sur son dos, la tête dans son minou délicieusement lisse et tendre, je lui offris un ardent hommage de ma langue. Au bout de quelques minutes, elle se retourna : « Eteins la lumière et viens ! » me dit-elle, « j’ai trop envie de toi ! » Moi, je ne pensai qu’à une chose : mon voyeur avait un panorama magnifique sur le sexe épilé de ma femme.
Lui disant cela, je pénétrai dans la chaude taverne…
J’osai alors : « Je n’ai pas à imaginer, lançai-je. C’est la réalité. Depuis tout à l’heure, un charmant jeune homme t’admire de sa fenêtre…
Nathalie se débattait, voulut se libérer de mon étreinte. Je ne la lâchai pas, je lui fis presque violence.
« Non, chérie, tu es belle, ça me plaît qu’il te voie…
Elle résistait moins, ses bras faiblissaient, et ses soupirs se faisaient plus profond.
« C’est la première fois qu’un autre homme que moi te voit nue ma chérie, que tu fais l’amour sous les yeux d’un autre homme que ton mari ! Goûte ce plaisir, jouis de ce bonheur, Nathalie. Jouis de mon désir et du sien !
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, elle hurla, de ces hurlements qui sont des chants de sirène… Ce fut sa plus fulgurante explosion de jouissance.
L’autre événement est survenu hier.
Un détail a attiré mon attention dès notre premier jour ici. Il y a à la plage un groupe de trois jeunes gens, fort agréables de leurs personnes, probablement à peine remis de leur baccalauréat, passant leur journée à nager, à bavarder et à commenter, sans discrétion excessive, la beauté des jeunes filles. Or, je me suis rendu compte que, depuis le début de ces vacances, c’est Nathalie qui décidait du coin de plage que nous occuperions, et qu’elle nous conduisait systématiquement à quelques mètres de ces jeunes hommes, même quand l’espace était beaucoup plus dégagé ailleurs. Hasard ? Je n’y croyais guère, d’autant que les conversations murmurées, les clins d’œil, les rires étouffés ou gênés, l’insistance de leurs regards ne laissaient aucun doute sur le goût que prenaient les trois garçons au voisinage de mon épouse. Comme quelques jours plus tôt avec Christian, je me surpris moi-même à trouver particulièrement émoustillante cette promiscuité volontaire.
Hier, mon excitation a atteint un nouveau palier. Il était huit heures du soir, l’heure la plus agréable, parce que la chaleur y est moins accablante et que la plage commence à être quasiment vide. J’étais allé, comme d’habitude, piquer une dernière tête, laissant Nathalie allongée sur le dos. Le coin que nous occupions s’était complètement dépeuplé, à l’exception de notre trio de jeunes gens qui, fait notable, ne quittaient jamais la plage avant nous. Nathalie se prélassait donc, exposant tout son corps et ses beaux seins luisants à la convoitise des trois garçons, qui n’en perdaient pas une miette. De la mer où j’étais plongé, je regardais ce spectacle et vis soudain que l’un d’entre eux, sous un prétexte sans doute quelconque, avait osé engager la conversation avec Nathalie. Celle-ci s’était, pour l’occasion, redressée et répondait, visiblement avec entrain et amabilité, aux questions des trois jeunes gens. Pour banale qu’elle puisse paraître à certains yeux, la situation constituait pour Nathalie un comble d’impudeur : c’est une chose de faire du monokini en profitant de l’anonymat de la foule, c’en est une autre que de parler, comme si de rien n’était, à trois inconnus de dix-huit ans à peine, en feignant (mais si mal…) d’ignorer qu’ils vous dévorent les seins des yeux.
Car Nathalie, et c’est ce qui m’étonnait le plus de sa part, ne faisait rien pour dissimuler sa poitrine, ne fût-ce qu’en repliant les genoux ou en serrant les bras : au contraire, jambes dépliées, elle s’appuyait sur ses mains en tenant ses deux bras très en arrière, ce qui faisait de sa poitrine une véritable proue, digne de la Victoire de Samothrace…Pouvait-elle ignorer, ma Nathalie, non seulement les regards, mais aussi la voix troublée de ces jeunes gens ? Ne voyait-elle pas aussi bien que moi, qui étais revenu me sécher (ce qui n’était pas pour combler d’aise mes trois garçons : le mari, par définition, est toujours de trop), la bosse indécente qui déformait le slip de bain de ses trois interlocuteurs ? Tiens, tiens…
« C’est amusant, chéri, ils ont deviné que j’étais prof, me dit-elle quand j’arrivai, et ils me demandaient quelques conseils pour leur orientation à l’université. Ils viennent de passer le bac. » Je saluai poliment, mais froidement, et serrai les mains qui m’étaient tendues : « Thomas …, Jean-Pierre et Silvio », me dit Nathalie, qui avait décidément bien vite appris les prénoms. Jean-Pierre était un grand brun, au torse large et aux cheveux courts (c’était, je l’appris plus tard, le seul Corse des trois, les deux autres étant parisiens) ; c’était incontestablement le plus viril du groupe. Les deux autres avaient quelque chose d’encore adolescent dans l’expression et dans le corps. Thomas était mince et roux ; Silvio était particulièrement beau, les traits de son visage étaient fins et sa longue chevelure brune, qui lui descendait jusqu’aux épaules, lui donnait une apparence très féminine. « Eh bien, enchanté… Je crois que nous allons avoir l’occasion de nous revoir, lançai-je au trio. Mais Nathalie, il me semble qu’il faudrait songer à rentrer. »
Cette froideur que je manifestais n’était pourtant qu’affectation. Une petite perfidie avait germé en quelques minutes dans mon esprit surexcité. Il faut, auparavant, que je précise que chaque retour de plage est soumis à un rituel immuable. Nathalie me tend une serviette dont je lui couvre la taille, ce qui lui permet de retirer sur la plage son slip de bain (elle n’aime pas être assise dans la voiture vêtue de son maillot) et d’enfiler rapidement une robe de plage. Bref, une de ses «cabines de bain» de fortune que tous les plagistes connaissent bien. Nathalie s’était donc levée, et m’avait tendu la serviette dont je lui ceignis la taille, comme à notre habitude. Toujours sous les regards attentifs et scrutateurs de nos trois gars. Il n’était pas difficile de deviner qu’ils attendaient une aubaine, aussi sûrement que les jeunes gens de Fragonard guettaient les « hasards heureux de l’escarpolette »… J’osai donc trahir Nathalie – mais était-ce vraiment une trahison ? – : lorsque ma femme, à l’abri sous la serviette, eut retiré son slip, je fis mine de vouloir réajuster la serviette et, simulant un geste maladroit, je fis tomber la fragile protection aux pieds de ma femme. « Oh, désolé ! », dis-je, hypocritement. Nathalie poussa un cri, on devine pourquoi : elle se retrouvait entièrement nue sous les yeux de ses trois bacheliers ! Personne d’autre, sur la plage, ne s’était rendu compte de ce qui se passait.
Le plus émouvant était encore de voir son embarras. Car Silvio était face à elle, tandis que Thomas et Jean-Pierre étaient derrière elle. Tempête sous un crâne : que devait-elle protéger en priorité ? La nudité de son sexe, livrée au regard de Silvio, où les rondeurs de ses fesses ? Elle choisit de dissimuler son sexe, dont Silvio avait eu le temps de voir qu’il était épilé. Mais elle ne se rendit pas compte qu’à l’instant même où elle plaçait, en un geste délicieux de pudeur, ses mains entre ses deux cuisses serrées, elle se courbait vers l’avant, comme par réflexe, exposant de manière encore plus provocante sa croupe enchanteresse à Jean-Pierre et à Thomas, effarés d’une telle aubaine.
La scène, qui n’aurait pu durer que trois secondes, s’éternisa en raison de mon évidente mauvaise volonté. Rouge de confusion, elle m’avait regardé d’un air de détresse, me demandant aussitôt de ramasser la serviette et de l’en couvrir. Moi, je feignis d’éclater de rire et d’être momentanément incapable de saisir quoi que ce fût ! Nathalie, nue, exhibée (mais d’autant plus paniquée, pensai-je, qu’elle avait sans doute inconsciemment désiré s’exposer ainsi aux désirs des trois garçons), Nathalie ne savait que faire, n’osant retirer les mains de son entrecuisse pour saisir la serviette. Au bout d’une bonne minute, ce fut Jean-Pierre qui, galamment, la ramassa, se rapprocha – je le vis distinctement effleurer les fesses nues de ma femme –, et lui passa lui-même la fragile protection, non autour de la taille d’ailleurs, mais à la hauteur de la poitrine. Il prit prétexte de cette délicate opération pour furtivement lui frôler les seins… Elle sursauta légèrement, mais ne protesta pas. « Merci, merci beaucoup, Jean-Pierre… », dit-elle les yeux baissés. De quoi le remerciait-elle, au juste ?
J’aurais pu clore l’épisode, déjà suffisamment excitant. Mais j’allai plus loin.
Dans la voiture, sur le retour, elle me lança, sur un ton de reproche :
« Demain, nous n’irons pas à la plage, ni après-demain. J’ai trop honte. Tu iras leur dire que le rendez-vous est annulé et que je suis malade…
Nathalie me regarda, silencieuse. Elle détourna le visage, fixa la route, et dit, un sourire en coin : « Tu es odieux . Que cherches-tu à la fin ? » Je ne répondis pas, laissant ouvert le champ des suggestions. Mais la modération de ses protestations me comblait : elle me montrait que désormais, Nathalie était prête à vivre d’autres expériences de ce genre, et même, peut-être, à aller beaucoup plus loin. Je ne la reconnaissais plus, j’étais dans un épouvantable état de désir. Rentré au studio, je lui laissai à peine le temps de déposer ses affaires. Ce fut un hymne à la beauté de ma femme. La nuit elle-même a dû rougir de nos ébats et de nos cris… »
à suivre…