n° 07788 | Fiche technique | 12095 caractères | 12095Temps de lecture estimé : 8 mn | 27/09/04 |
Résumé: Je visite un appartement avec la fille de la propiétaire. | ||||
Critères: fh inconnu cunnilingu | ||||
Auteur : Tintinbrun |
DEBUT de la série | Série : Visite d'appartement Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Arrivé depuis peu dans une nouvelle ville pour mon travail, j’étais à la recherche d’un appartement en location. Une annonce attira mon attention : un appartement duplex dans un quartier tranquille à un prix acceptable. Au téléphone, la propriétaire, assez âgée me sembla-t-il, me donna les détails : elle ne voulait pas de problème, pas de fête tard le soir pour respecter les voisins.. Je lui assurai que j’étais une personne posée qui ne faisait pas de bruit ; et que mon entreprise se portait caution, ce qui emporta la décision. Elle me donna donc rendez-vous le lendemain soir après mon travail pour la visite : 19 heures 30.
A l’heure dite je sonne et l’on m’ouvre. J’ai une hésitation : la personne qui se trouve devant moi est une jolie femme à laquelle je donnerais la quarantaine, 1m70 environ, mince, blonde, de magnifiques et grands yeux bleus.
Elle me fait donc entrer et commence de suite la visite. Je vois rapidement que l’appartement est propre et lumineux, ce qui était l’essentiel pour moi et je commence à m’intéresser un peu plus à ma guide que je trouve décidément ravissante. Ses beaux cheveux blonds arrivent au niveau des épaules. Elle est vêtue d’une robe simple mais de très bon goût qui s’arrête au-dessus des genoux, mets bien en valeur sa taille mince, une poitrine petite mais haute et qui semble ferme. Je peux ainsi admirer de très jolies jambes au galbe accentué par ses talons et gainées de collants noirs. Des jambes fermes aussi, probablement de sportive. J’adore les jambes des femmes, surtout aussi bien mises en valeur : une jupe au-dessus des genoux qui en révèle assez pour susciter le désir mais garde l’essentiel caché. Guetter le moment où cette robe remonte ou bien s’échancre pour en révéler fugitivement un peu plus.. J’en oublie ses explications jusqu’au moment où elle me dit dans un demi-sourire : « Vous devez avoir eu une journée difficile non ? J’ai l’impression que vous n’écoutez que la moitié de ce que je vous raconte. »
Touché. Elle me ramène sur terre. Je lui fais mon plus beau sourire et lui explique qu’en effet, mon patron attend beaucoup de moi et me confie beaucoup de dossiers à traiter. Elle a le bon goût ou la politesse de sembler croire à mon histoire et de s’intéresser à mon travail en me posant quelques questions ce qui à pour effet de me dégriser complètement. Nous sommes dans la partie salle à manger qui donne d’un côté sur un balcon et le jardin de la propriété et de l’autre sur la cuisine. Je m’intéresse à l’aménagement et au décor.
Je me retourne : elle fixe sur moi ses grands yeux bleus avec un air amusé et mystérieux. Visiblement mon admiration pour sa plastique ne lui a pas échappé.
Je décide de ne rien ajouter et de faire profil bas. Elle se dirige vers l’escalier qui prend naissance dans le couloir d’entrée, s’assure d’un coup d’œil que je la suis et commence à escalader lentement les marches.
Qu’il est raide cet escalier ! Et deux marches derrière elle, je me retrouve les yeux au niveau de ses jambes ! Deux marches encore : à chaque marche sa robe glisse légèrement vers le haut et révèle ce qui me semble être des Dim up ou des bas, je ne sais pas trop. J’ai envie de tendre la main pour caresser ses jambes adorables et trancher ce délicieux dilemme. J’en suis là des mes réflexions quand elle stoppe brusquement et se retourne à demi pour dire quelque chose. Surpris, je rate la marche, trébuche vers l’avant et me retrouve involontairement à genoux et à ses pieds, une main sur une marche et l’autre sur son mollet. Rêve et cauchemar mêlés : je caresse presque ses jambes et je me dis que non seulement je risque de me recevoir une claque bien méritée mais en plus l’appartement va me filer sous le nez. Je ne sais trop comment réagir quand je l’entends rire doucement.
Je laisse ma main sur son mollet et elle me laisse faire. Je me redresse un peu ; elle ne bouge pas, souris largement semble s’amuser follement de cette situation et de mon embarras. Pour en avoir le cœur net je frôle sa jambe de mon autre main : elle ne bronche toujours pas. Je pousse mon avantage, fais remonter mes deux mains de ses mollets vers ses genoux, elle se laisse faire. Au bout de quelques secondes elle remonte très lentement une marche, s’arrête à nouveau. J’avance de même, la regarde : elle me fixe de ses grands yeux bleus, me souris, j’ai l’impression qu’elle m’invite à recommencer à la caresser. Je vais pour poser mes mains au niveau de ses cuisses, elle monte prestement une marche avant que j’aie pu la toucher et murmure « sachez prendre votre temps ». J’avance à nouveau, pose mes mains sur ses mollets et monte très doucement. « Oui, c’est mieux » murmure-t-elle. J’arrive à ses cuisses et elle me laisse faire. Je la caresse lentement puis pose mes lèvres en un long baiser.
Elle s’échappe à nouveau lentement, monte deux marches, s’arrête et se tourne vers moi avec un sourire et un regard qui valent toutes les invitations du monde. Je la rejoins, recommence mon approche : les mollets, le pli des genoux, l’arrière des cuisses ; comme je laisse mes mains folâtrer sur ses bas mes lèvres accompagnent le mouvement. J’arrive au niveau du bas de sa robe, commence à la remonter quand elle se dégage à nouveau pour aller à la marche suivante. Je reprends mon manège jusqu’au bas de sa robe et remonte lentement. Chaque fois elle me laisse aller un peu plus loin, chaque fois nos stations durent un peu plus longtemps. Mes mains remontent, caressant l’arrière et le côté de ses jambes, relevant sa robe. Finalement je sens des attaches sous mes doigts elle porte bien des bas… et c’est le moment qu’elle choisit pour m’échapper et m’inviter à la station suivante. Je recommence la patiente montée de mes mains et de mes lèvres. Elle pose doucement une main sur ma tête et me caresse doucement. J’atteins enfin la limite des bas : mes mains caressent enfin sa peau : satinée, fraîche et parfaitement épilée, un délice. Je sens une délicieuse odeur de vanille qui m’enivre et j’embrasse cette peau à pleine bouche. Surprise, elle frissonne, soupir et plaque ma bouche de ses deux mains pour que je continue mon baiser. Je remonte, profite de son abandon. Mes mains jouent avec les attaches de son porte-jarretelles.
Elle choisit le moment où j’arrive près du haut des cuisses pour monter sur la marche supérieure. J’en suis haletant de désir mais je reprends mon manège, remonte doucement. Je sens en même temps son désir monter. Arrivé en haut des cuisses je suis bien décidé à ne pas la laisser fuir si vite. Je plaque mes mains à l’arrière des ses jambes et les remontent rapidement au niveau des fesses en faisant glisser le tissu de sa robe : Elle hoquette de surprise devant cette accélération soudaine des évènements et moi aussi : sous mes mains je sens deux magnifiques fesses rondes, douces, délicieusement fermes et offertes, sans le tissu que je m’attendais à caresser. Elle plaque ma bouche brièvement sur ses jambes puis remonte encore deux marches : elle m’a tourné le dos, sa robe est toujours remontée et je voie ses fesses nues devant mes yeux émerveillés. Pas la moindre trace d’une culotte ou d’un string : elle était nue sous sa robe depuis le moment où elle m’a accueillie, cette jolie coquine. Ses jolies fesses rondes se balancent de droite et de gauche comme elle monte chaque marche. Elle arrive ainsi en haut de l’escalier comme une reine dénudée ou une star de revue légère, se retourne en descendant sa robe à nouveau en disant « alors, vous restez la ou bien vous poursuivez la visite » ?
Je la rejoins de suite et reprends notre petit jeu pour arriver à poser mes mains sur ses fesses plus rapidement que d’habitude. J’ai remonté sa robe ; ma langue glisse sur sa peau vers son entrejambe. Elle me guide de ses mains, doucement, tendrement même. Je pose un premier baiser entre ses cuisses. Elle murmure « oui », m’encourage, je tends la langue pour la goûter. L’odeur de vanille se fait plus forte, plus musquée ; s’y ajoute un délicieux parfum d’amande et un goût légèrement sucré. Cette jolie blondinette est une vraie friandise qui commence à fondre sous ma langue. Elle pose une jambe sur la marche supérieure pour mieux s’offrir à mes baisers. Mes mains commencent à pétrir ses fesses en rythme, ma langue se glisse plus facilement maintenant. Son désir monte rapidement comme j’alterne les coups de langues rapides entre ses lèvres entrouvertes et plus doux sur son bouton d’amour. Elle ondule doucement du bassin, se tends vers ma bouche, s’offre au maximum, soupir, murmure des « oui » des « encore » de manière désordonnée. Ses mains se crispent par instant dans mes cheveux ou bien accompagnent mes mouvements. Son odeur et son goût m’affolent et je la désir follement maintenant. J’ai envie d’elle mais en même temps j’apprécie trop ce moment délicieux pour l’interrompre si rapidement.
Je tends ma langue au maximum pour lui procurer le plaisir le plus intense, la pénétrer au plus profond ; elle se plaque encore plus à ma bouche, se cambre, s’offre. Son désir m’inonde. Je ne sais combien de temps je passe à l’embrasser ainsi quand ses mouvements de bassins s’accélèrent, ses soupirs se font plus sonores, ses mains me plaquent contre son sexe offert et consentant à toutes mes fantaisies. Je sens un orgasme la saisir comme une tempête incontrôlable. Puis elle s’apaise lentement, me repousse doucement, tendrement, s’accroupit devant moi. Elle passe une main dans mon cou, m’attire à elle et me donne un long baiser très sensuel à pleine bouche tandis que son autre main descends sur ma poitrine le long de ma cravate pour venir me caresser l’entrejambes. Elle me fixe les yeux dans les yeux, murmure un merci haletant, se redresse, remets sa robe en place, la défroisse par des mouvements réguliers de ses mains, arrive sur le palier. Je vois sa poitrine se soulever rapidement ; elle est encore sous le coup de l’émotion qui vient de nous saisir. Puis dans un souffle et avec un merveilleux sourire :
Et sans un regard, confiante en son pouvoir de séduction et dans le désir qu’elle a su faire naître en moi, elle tourne vers la gauche sur le palier, ouvre une porte et rentre dans la pièce, ma laissant seul dans l’escalier encore ébahi de cette situation inattendue. Je la désir plus que tout à cette instant. Je me sens très à l’étroit dans mon pantalon ; à y regarder de plus près, il est déformé par une bosse révélatrice. Je finis de monter les marches et me dirige vers la porte qu’elle a juste laissée entrebâillée…
Fin de la première partie…