n° 07850 | Fiche technique | 8177 caractères | 8177Temps de lecture estimé : 6 mn | 03/10/04 |
Résumé: Je pousse la porte entrebâillée : la lumière n'est pas allumée, la pièce est dans la pénombre. | ||||
Critères: fh intermast pénétratio | ||||
Auteur : Tintinbrun |
Épisode précédent | Série : Visite d'appartement Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Je pousse la porte entre-baillée : la lumière n’est pas allumée, la pièce est dans la pénombre. J’avance d’un pas, la porte se referme et je sens deux mains se poser sur ma taille et se rejoindre sur mon ventre. En même temps la jolie blonde s’est plaquée contre moi : je sens son ventre contre mes fesses, ses seins dans mon dos, son souffle sur ma nuque. Elle m’embrasse dans le cou, ses lèvres sont fraîches et douces, gourmandes. Elle continue de m’embrasser ainsi tout en défaisant ma cravate. Je me laisse faire, c’est si bon. Et j’ai terriblement envie d’elle maintenant. Elle déboutonne ma chemise : le bouton du haut d’abord, puis elle descend lentement, pose ses mains sur ma peau, me caresse me mordille la nuque. J’ai envie de me tortiller sous le désir qu’elle fait monter en moi, de ronronner comme un gros matou.
Une fois la chemise déboutonnée complètement, elle l’enlève, pose ses lèvres dans mon dos, laisse ses mains folâtrer sur mon torse.. Douce torture, raffinée et très sensuelle, délicieuse. Je la laisse faire ; après tout j’ai moi aussi joué avec elle il y a quelques minutes. Elle descend ses mains sur mon ventre, me caresse du bout des doigts, dégrafe ma ceinture, déboutonne mon pantalon, fait passer ses mains entre le tissu et ma peau, fait durer le suspens. Puis fais glisser la fermeture éclair dans un mouvement qui me semble durer une éternité tant j’ai envie qu’elle me déshabille entièrement. Elle glisse ses mains plus bas maintenant, fait tomber mon pantalon à mes pieds et murmure « laisse moi faire » avant de me mordiller le lobe de l’oreille. Je sens son souffle s’accélérer comme elle pose une main sur la bosse qui tend le tissu de mon shorty. Elle me caresse : elle est douce et appliquée et moi consentant.
Puis, je sens sa bouche se poser dans mon dos et descendre le long de ma colonne tandis que ses mains se posent sur mes hanches puis descendent le long de mes jambes. Elle est accroupie derrière moi, maintenant, sa bouche posée au bas de mon dos. Elle hôte mes chaussures, mes chaussettes puis mon pantalon et me fait me retourner.
Dans la pénombre je la distingue agenouillée devant moi : elle me caresse et m’embrasse les jambes, je sens sa bouche ou sa langue se promener sur ma peau, remonter, se poser à nouveau sur mon ventre. Elle passe ses mains sur l’élastique, fait glisser le dernier morceau de tissu qui me couvre : elle prend son temps, bien sur. Sa bouche se délecte de la peau ainsi dénudée, je ne suis plus que désir, je rêve qu’elle me prenne dans sa bouche pour une longue gâterie… Je suis enfin entièrement nu et elle à genoux devant moi. Elle se saisit de mon sexe et commence à la caresser tout en m’embrassant le ventre, les hanches. Sa main gauche caresse mes fesses dans un geste d’une tendresse possessive : j’ai l’impression qu’elle aussi fait le tour du propriétaire ! Sa main droite commence un doux va-et-vient avec mon sexe rendu presque douloureux par le désir qu’elle a su faire naître en moi. Alors que j’attends que sa bouche m’engloutisse, elle se redresse, m’embrasse longuement tout en continuant ses caresses. Puis elle se recule d’un pas, avise une chaise et me fait asseoir.
Je me sens un peu ridicule comme cela, nu, le sexe dressé et assis devant cette jolie femme habillée. Elle se penche, m’embrasse à nouveau : je sens sa langue agile tourner dans ma bouche et j’adore cela, j’essaie de l’attraper, elle m’échappe. La pièce est sombre mais nos yeux se sont un peu accoutumés et j’entends le froissement du tissu sur sa peau : je la devine remontant sa robe jusqu’à la taille puis elle vient tout contre moi, pose ses mains sur mes épaules puis descends lentement. Je voudrais lui enlever sa robe complètement ; elle ne me laisse pas faire. Alors je caresse ses bas, ses cuisses, ses fesses. Je sens son ventre contre mon sexe toujours dressé, elle se place au-dessus, puis descends très lentement : nos sexes sont l’une contre l’autre, palpitants, je la sens humide de son envie de moi et des longs baisers coquins que je lui ai largement prodigués, il y a quelques minutes à peine
Puis, elle commence à me prendre en elle très naturellement. En fait, elle prend appui sur mes épaules pour savourer le moment où je suis juste à l’entrée de sa grotte. Seul mon gland a pénétré en elle et elle commence un mouvement de bassin lent et terriblement excitant : c’est comme si elle m’avait pris dans sa main pour me caresser en plus sensuel encore. J’ai posé mes mains sur ses hanches, j’accompagne ses mouvements, d’avant en arrière ou circulaires, j’embrasse sa poitrine à travers le tissu de sa robe. Puis tout a coup, sans que rien ne me laisse présager, elle se laisse tomber sur moi pour me prendre au plus profond d’elle. De surprise et de jouissance je pousse un cri rauque. Elle aussi a crié sous le plaisir qui explose en nous. Comme c’est bon ! Elle se repose un peu, reprend son souffle puis remonte, reprend ses va-et-vient pour se laisser retomber quand je ne m’y attends pas. À chaque fois je cris, de plus en plus fort et j’ai l’impression qu’elle en a le souffle coupé à chaque fois. Je sens vite un nouvel orgasme l’envahir, plus long et plus profond que le premier. Elle a beaucoup d’avance sur moi !
Elle reste assise sur mes jambes en me gardant en elle ; elle sait que je suis encore en forme, ondule lentement du bassin pour me stimuler un peu. Je tente à nouveau de remonter sa robe et cette fois, elle se laisse faire. Je dévoile une poitrine adorable, elle aussi nue sous la robe. Deux petits seins fermes, haut placés et aux tétons dressés que je m’empresse d’embrasser. Je sens ma partenaire réagir, passer ses mains derrière ma nuque pour plaquer ma bouche sur sa poitrine. Je n’en demande pas plus : je la déguste avec gourmandise de la langue, des lèvres, je caresse et je pétris sans retenue cette beauté offerte à mon appétit. Au bout d’un moment de ce petit jeu très agréable, je nous fais nous relever. Elle se laisse guider maintenant. Je la fais tourner lentement puis poser un pied sur la chaise. Je viens derrière elle, la saisi par les hanches et fait glisser mon sexe entre ses cuisses. Elle se colle contre moi en passant une main dans mon dos et me caresse de l’autre. Je la laisse faire quelques instant, savourant ses attouchements puis, la faisant se pencher en avant, je reviens en elle. Elle m’accueille dans un long soupir, laisse glisser sa main entre mes jambes pour continuer de me caresser comme je commence de lents mouvements de hanches. Une main sur son ventre je l’attire à moi, de l’autre je caresse ses seins adorables. J’accélère ma cadence, nous trouvons un rythme synchronisé pour nos allers-retours. Je sens rapidement le plaisir monter en moi sous l’effet des caresses et de la situation. Elle le devine et plaque une main sur mes fesses pour me retenir en elle jusqu’à l’explosion finale qui ne tarde pas à arriver. Le plaisir nous envahi en même temps, nos cris rauques se mêlent dans un curieux duo.
Je reprends mon souffle : elle est appuyée sur le dossier de la chaise, je sens la sueur perler sur la peau de son dos. Je dois être en sueur moi aussi après un tel exercice. Je continue de la caresser, ébloui par son corps et tout le plaisir qu’elle vient de me donner.
Après quelques instants nous nous séparons, nous embrassons longuement, très tendrement. Puis elle me glisse « si j’osais, je te ferais bien une visite guidée de la douche, enfin, si tu as le temps et encore des forces, bien sur »…
« Je crois que j’ai envie d’une visite complète et une douche me ferait le plus grand bien, surtout si c’est avec toi » !
Nous avons pris tout de suite la direction de la salle de bain…
Mais ce sera la fin de cette histoire, le reste étant sommes toute, très classique.