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Temps de lecture estimé : 7 mn
03/10/04
Résumé:  Une jeune fille de bonne famille, un peu coincée, vierge, rencontre un homme qui la trouble et alimente ses rêves
Critères:  f fh hplusag inconnu gros(ses) grosseins groscul complexe campagne fsoumise hdomine humilié(e) exhib fmast fdanus init journal ecriv_f
Auteur : Pitounette  (Célibataire pas soumise (merci mais non))      

Série : Premiers pas

Chapitre 01 / 02
La rencontre avec mon Maître & Rêves de stupre

La rencontre avec mon Maître




Ma famille est catholique pratiquante. Mon père est chirurgien, ma mère s’occupe de gérer notre vie, familiale et sociale.

J’ai grandi dans ce milieu, qui ne manque de rien, sauf de fantaisie.

Ma vie s’écoulait conformément à ce qu’on attendait de moi. J’étais sage, vierge, bien sûr.

Et un jour…

Mes parents ont décidé de rénover l’électricité de leur maison de campagne.

J’y séjournais, avec ma mère, pour les vacances. J’avais 19 ans.


L’électricien qui était chargé de ce travail était employé depuis peu dans l’entreprise du coin. Ma mère se méfiait un peu, car il n’allait pas à l’église, mais mon père avait tranché.


La première fois qu’il est venu à la maison, j’étais avec ma mère. Il n’aurait pas été convenable qu’elle le reçoive seule.

Il avait la quarantaine, grand, les cheveux très bruns, coupés courts, et des yeux noirs très calmes, très francs. Il était assis à la table de la cuisine. Il répondait calmement aux questions de ma mère, sans sembler s’étonner de sa méfiance.

Elle a terminé son déluge de questions, et il a expliqué simplement ce qu’il comptait faire.

Quand il est parti, le téléphone a sonné, et ma mère m’a demandé de le raccompagner à la porte.

Quand j’ai voulu refermer le battant sur lui, il a mis son pied pour bloquer la porte, et il m’a regardée, des pieds à la tête. Je portais, comme la plupart du temps, une jupe et un chemisier.

Je me suis sentie rougir sous son regard. J’avais l’impression que mes seins gonflaient, et j’avais le ventre en feu. Personne ne m’avait jamais regardée comme ça.

Il a souri, d’un air un peu moqueur, et il est parti.


Le soir, j’ai eu du mal à dormir. Je revoyais cet homme, assis, calme, dans la cuisine, répondant sans sourciller aux questions inquisitrices de ma mère. Et puis je sentais ses yeux sur moi, comme des lames de feu. Le drap pesait sur ma poitrine, le tissu agaçait la pointe de mes seins. Je les ai touchés, du bout des doigts. Je les ai pris dans mes paumes, je les ai massés.


Puis j’ai posé ma main sur mon sexe. Le majeur a glissé entre mes lèvres mouillées. J’imaginais les mains de l’ouvrier, la sensation de ses doigts sur ma chatte, et j’ai passé les miens le long de ma fente humide. Sans bruit, retenant mes gémissements, j’ai tourné avec mon index et mon majeur autour de mon clitoris. Ma chatte était en feu. J’avais envie que cet homme si troublant soit là, près de moi. Je fermais les yeux, et je l’imaginais, debout près de mon lit. Mon corps brûlait. Je rabattis le drap, perdue dans mon rêve éveillé. Je l’imaginais me regardant, et j’ouvrais mes jambes vers lui, ma main s’activant sur mon sexe. Je l’imaginais en train de me dire d’écarter les cuisses encore plus, pour exposer ma chatte ouverte et humide. Je voyais, dans ses yeux, mon corps trop gras, allongé, les jambes repliées de chaque côté de mes fesses, ma chatte bien écartée, et mes mains indécentes en train de me caresser. Je risquais un doigt vers mon anus. C’était bon, mais je n’osais pas le rentrer. Je me contentais de le toucher parfois, comme par inadvertance. Je le sentais palpiter sous mon doigt, se resserrant sous l’effet de l’excitation. Je n’arrivais pas à me décider à faire pénétrer mon doigt. Je ne l’avais jamais osé. Je me contentais de me faire jouir honteusement, en caressant mes mamelons et mon clitoris, en passant mes doigts sur ma chatte en en rêvant qu’un jour, je mettrais mes doigts dans tous les trous, j’avais envie de m’enfoncer des objets, j’étais troublée par la simple vue d’un cierge. Mais j’étais vierge, et je ne voulais pas risquer qu’un jour on sache que j’avais été une mauvaise fille. Je me fis jouir comme ça, avec mes doigts qui voulaient s’enfoncer, et qui se contentaient de caresser. Même le plaisir était frustrant. Je tournais et je retournais dans mon lit, le corps en sueur, brûlante de désir, avec des rêves agités, me voyant, toujours sous le regard de cet électricien si troublant, m’imaginant me lever insolemment pendant la messe et aller le rejoindre, lui qui n’y allait pas, ou bien me déshabiller pendant la messe, et me coucher, nue dans l’allée, et me caresser comme une possédée, j’imaginais le regard choqué de mes parents, de mes voisins, découvrant enfin ma vraie nature de mauvaise fille.




Rêves de stupre




(La veille, j’ai rencontré l’ouvrier électricien engagé par mes parents. Mes rêves de la nuit avaient été agités, troublants, sauvages, honteux.)


Le lendemain matin, il a commencé son travail.

Je comptais bien l’éviter soigneusement, les rêves demi-éveillés de la veille me rendaient toute honteuse. Mais à 10 heures, ma mère m’a demandé de lui porter un café.

J’ai d’abord voulu refuser, mais ma mère n’aurait pas compris pourquoi. Je ne pouvais pas lui expliquer pourquoi. Je ne pouvais même pas me l’expliquer à moi-même.

Et puis j’avais envie de le revoir. Même si son regard était presque humiliant d’acuité.


Il travaillait dans la salle de bain du bas. Quand je suis entrée, il s’est arrêté, et il m’a regardée. Avec la même insolence que la veille. Je me sentais très rouge. Très nue, aussi, malgré mes vêtements sobres. J’avais toujours pensé que mes rondeurs me mettaient à l’abri d’un tel regard. Je n’avais jamais réalisé avec cette intensité à quel point elles pouvaient sembler provocantes à un homme, même sous mes habits.

J’ai bafouillé quelque chose au sujet de la tasse de café que je tenais dans la main. Il m’a remerciée, les yeux fixés sur mes seins, il a pris la tasse, en effleurant mon poignet, et a planté son regard dans mes yeux. J’ai tremblé, et du café s’est renversé sur mon chemisier.

Il a ri franchement, et il a dit :



La colère a commencé à monter, j’allais le remettre vertement à sa place, et soudain, il s’est approché de moi. Avant que je puisse bouger, sa main était passée sous ma jupe. Je sentais un doigt pressant contre ma culotte. J’étais en déséquilibre, contre son épaule, et dans un souffle calme, à mon oreille, il a murmuré :



Et puis tout aussi brusquement, il m’a lâchée. Je me suis appuyée au lavabo pour ne pas tomber.

Il a ri à nouveau, et il a dit :



Je ne cherchais même plus à répondre, le souffle court, penchée sur le lavabo, appuyée, j’essayais de retrouver mes esprits.

Il a ajouté :



Comme je partais précipitamment, il dit :



La nuit, je ne parvenais toujours pas à dormir. Je m’étais déjà caressée deux fois, et je n’arrivais pas à éteindre le désir, l’envie d’être prise, d’être enculée, comme il avait dit. Je l’imaginais me courber davantage sur le lavabo, et relever complètement ma jupe, et baisser ma culotte, ses mots grossiers, insultants, résonnaient dans ma tête, je me sentais humiliée sous son regard, et j’aimais ça. Il était comme une clef qui me révélait que mes rêves honteux pouvaient trouver un écho dans la réalité. Il aurait suffit de si peu, pour qu’enfin je sois livrée à la pénétration, il aurait suffit qu’il le veuille. J’étais comme en rage, j’avais envie de hurler de frustration. J’avais envie de me punir de ne pas avoir osé m’offrir à lui, de ne pas avoir osé défier toute mon éducation, là, dans la maison de mes parents, la porte ouverte, enfin me révéler comme une traînée. Brusquement, j’enfonçais un doigt dans le trou de mon cul. C’était plus douloureux que je ne l’aurais cru. Je sentais l’entrée de mon cul irritée par ce contact inattendu. Et je goûtais voluptueusement cette brûlure. J’étais une traînée, je souffrais, mais au lieu de souffrir de frustration, je souffrais de plaisir.


Tout mon majeur était enfoncé dans mon cul. Je caressais ma chatte avec l’autre main. Je n’osais toujours pas enfoncer mon doigt pour violer enfin cette virginité qui me pesait. Pour me punir d’être incapable d’accepter ma vraie nature de… salope… c’était son mot si cru, si violent, si délicieux… je portais ma main mouillée à mes seins, je me caressais, étalant ma mouille sur les mamelons. J’avais l’exquise sensation de me vautrer dans ma propre fange. Mon doigt allait et venait très vite dans mon cul, accentuant la sensation de brûlure. Mon pouce caressait le clitoris, mon index était replié contre ce trou que je n’osais pénétrer. Doucement, en souffles saccadés, je m’invectivais : « je suis une petite pute, tout ce que je veux, c’est me faire baiser, me faire défoncer les trous, je veux être un animal, je m’encule, je veux qu’il me voit me conduire comme une salope, je veux qu’il me force, qu’il m’humilie encore, encore… » Mes doigts se serrèrent fébrilement contre un téton, et je le pinçais, et je jouis ainsi, en serrant toujours plus fort mon téton, en enfonçant le plus loin possible le doigt dans mon cul.


Mais je ne parvins pas à trouver un sommeil calme. Mes rêves étaient peuplés du regard de cet homme, de sa voix « salope, tu aimerais que je t’encule », je me voyais nue sur la place de l’église, devant le café plein des hommes qui n’allaient pas à l’église, vautrée sur le sol, les jambes ouvertes, et les hommes se levaient, et venaient se presser autour de moi, je voyais leur sexe qu’ils sortaient de leur pantalon, des grosses bites noueuses, dans leurs mains calleuses, tous penchés autour de moi, se branlant en m’insultant, je sentais leurs doigts entrer en moi, me fouiller, sans douceur, brutalement, comme si j’étais un objet…




(A suivre : La première soumission)