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Temps de lecture estimé : 13 mn
05/10/04
Résumé:  Une jeune fille vierge de bonne famille est troublée par un homme. Il devient son Maître.
Critères:  f fh fhh fhhh hplusag inconnu voisins gros(ses) grosseins groscul complexe campagne jardin fsoumise hdomine humilié(e) exhib fmast hmast fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo sm gifle fouetfesse piquepince init
Auteur : Pitounette  (Célibataire, pas soumise (merci mais non))      

Série : Premiers pas

Chapitre 02 / 02
Les premières fois

(Jeune pucelle bourgeoise, la veille, j’avais rencontré celui qui allait devenir mon Maître : l’ouvrier électricien de mes parents. Son langage grossier envers moi, son regard moqueur, son arrogance insolente m’avaient troublée)



Le matin, je revoyais, dans ma tête, ma fuite avec son rire qui me poursuivait. Ses mots, crus, résonnaient à mon esprit. J’avais l’impression d’avoir la fièvre, mon corps était en sueur. L’idée de le faire renvoyer m’était insupportable. J’avais trop envie de ce trouble.


J’ai réussi à l’éviter toute la journée du lendemain.

Mais le soir, quand il est reparti, j’étais dans le potager, en train d’arracher les mauvaises herbes, pour me calmer.

Il a fait un crochet pour venir me voir. Je ne l’ai pas entendu s’approcher. J’ai entendu sa voix, toujours moqueuse.



J’ai voulu me relever, mais il a mis ses mains sur mes épaules. Il était derrière moi, je n’osais plus me tourner et lever les yeux vers lui.

Il a dit :



Je ne répondais pas, toujours à genoux, dans la terre du potager, ses mains sur mes épaules, m’empêchant de me relever.



Il a accentué la pression de ses mains sur mes épaules, et m’a ordonné :



Ses mots m’ont provoqué un long frisson, il l’a senti, et a insisté.



Je ne bougeais pas. Il a enlevé ses mains, je l’ai senti se redresser, et il a dit :



Brusquement, l’idée qu’il parte me fut intolérable. Tout mon corps le réclamait. Un peu tremblante, mais sans trop hésiter, j’ai soulevé ma jupe.



Je ne bougeais pas, les joues en feu, montrant ma culotte à cet homme qui me donnait la fièvre.



Je n’hésitais plus. J’ai baissé ma culotte, offrant mes fesses à ses regards que je savais perçants. Je goûtais pour la première fois la volupté d’obéir.



Je bafouillais :



Il ricana :



Ses mots me faisaient l’effet de flammes passant sur mon corps. J’ai arrêté de penser, et j’ai obéi.


Il n’a rien dit un moment, je sentais ses yeux fixés sur mon trou. Je me sentais humiliée, et je découvrais la volupté d’être humiliée. À cet instant, j’aurais voulu qu’on nous surprenne, qu’on me voit ainsi.



Je ne voulais pas répondre, mais cet homme m’excitait trop, je ne voulais pas qu’il attende ma réponse, au risque de le voir tourner les talons et sortir de ma grisaille.



Je me repris.



J’attendais sa réponse, qui ne venait pas. Soudain, il se pencha, et, de sa main, gifla mon cul, très fort.


Quand je me retournais, les larmes aux yeux, il était parti.


Le soir, le mot résonnait dans mes rêves avec volupté. Maître… J’avais un Maître. Je lui appartenais. Désormais, j’allais être livrée à toutes ses volontés. Je repartis dans mon rêve le plus excitant, celui des hommes sur la place de l’église. Mais cette fois, mon Maître était là. Il m’ordonnait de me mettre à quatre pattes. J’obéissais, et il me frappait parce que je n’avais pas dit « Oui, Maître » en réponse à son ordre. Il écartait mes jambes, et m’ordonnait de demander à tous les hommes de venir voir mes trous de salope. Mes seins traînaient sur le goudron de la place. Je sentais le vent sur mon cul. Les hommes m’insultaient, et riaient de voir mon trou vierge. Mon Maître prit une bouteille de bière sur une table, et l’enfonça dans mon cul. Un homme de l’assistance rit, et lui dit qu’il devrait me mettre une bouteille aussi dans la chatte. Mon Maître lui proposa plutôt de me dépuceler lui-même, de ses mains. L’homme s’avança, et je sentis deux gros doigts rugueux s’enfoncer dans ma chatte.

C’était le meilleur fantasme que j’ai jamais eu, le plus excitant, et je faillis m’enfoncer mes doigts à moi, pour en finir avec ce pucelage, mais je n’osai pas. Pour me punir d’être si lâche, je pris un tube de crème pour les mains sur ma table de nuit, et j’essayais de l’enfoncer dans mon anus. Mais il n’entrait pas, il était trop gros. Je pris un peu de crème, et l’étalais sur mon trou avec mes doigts, en enfonçant un, puis deux. Ça me fit mal, mais le tube finit par entrer. Je le fis aller et venir, en imaginant le faire avec la bouteille de bière, sous les yeux des hommes du village, à quatre pattes sur la place, sous leurs quolibets et leurs injures.




Le dépucelage



(J’étais pucelle, j’avais 19 ans, et l’ouvrier électricien de mes parents, un homme dominateur qui me troublait énormément, avait pris un ascendant énorme sur moi, exigeant que je m’exhibe à lui, à ma grande honte, et pour mon plus grand plaisir.)


Le matin, à la sortie de mes rêves agités, je sentais encore la marque cuisante de sa main sur mes fesses, exposées à son regard.


C’est le lendemain qu’il me dépucela.

Ma mère était partie chez une amie organiser une fête paroissiale.

J’étais dans le jardin, sur une chaise longue, j’essayais de dormir, épuisée par mes émotions et mes insomnies fiévreuses. C’était un samedi. Mon tout nouveau Maître ne travaillait pas ce jour-là. J’étais seule.

Et soudain, j’entendis sa voix.



Je sursautais violemment, et ouvris les yeux, sous son regard toujours aussi inquisiteur.

Puis, au comble de l’excitation, je murmurais, les joues en feu, le souffle court :



Je fus prise d’un frisson, l’excitation, la volupté encore nouvelle d’obéir aux ordres.

J’enlevais mon chemisier.



Je poursuivis mon effeuillage, toute honteuse de dévoiler mes rondeurs.



Debout, je sentais mon corps s’avachir, mes bourrelets ressortir. Je n’osais pas le regarder. Mais je sentais ses yeux fouiller chaque parcelle de mon corps.

J’osai parler :



Il tourna un instant autour de moi.



J’obéis. Mes seins s’aplatirent sur mon ventre.

Il regardait mes grosses aréoles.



J’obéis.

Il prit une pointe de sein entre ses doigts, et il pinça, très fort. Mes tétons se mirent à durcir, resserrant les aréoles.



Je ne pouvais nier l’évidence.



J’obéis.

Il vit qu’elle était pleine de mouille.



Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire.

Brusquement, il me prit par les seins et me courba sous son ventre. Je me retrouvais à quatre pattes sur la chaise longue.



Je n’osais plus rien dire. Je me sentais vraiment son objet. Je n’osais plus bouger.



Il se rapprocha de mes fesses, et je sentis son sexe très dur contre moi.

Et là, il s’enfonça d’un coup dans ma chatte. Sous le choc, la chaise céda, et je tombais par terre. Il me remit brutalement en position, et recommença. Il me pistonnait sans douceur, avec brusquerie, rapidement. Mais ce n’était pas un viol. J’étais consentante, ô combien consentante. Je commençais à gémir sous ses coups de rein.



Pour montrer qu’il tenait les rênes, il se mit à me frapper très fort sur les fesses.



Je retenais mes gémissements de douleur et de plaisir mêlés. Je sentais une tornade monter dans mon ventre.

Au moment où j’allais me laisser couler dans la vague, il se pencha et pinça très fort mes tétons.



Il pencha sa tête et me mordit l’omoplate. Je sentais sa bite me dévaster, ses doigts qui me pinçaient, son autre main qui me frappait, et ses dents entrer dans ma chair, et oui, je jouis, je jouis de douleur, sous les sévices délicieux de mon premier amant.

Il sortit de ma chatte, et arrosa mon cul de son sperme.


Puis il se rajusta, et partit, sans un mot.

Quelques minutes plus tôt, j’étais moi-même : jeune fille vierge, sage.

Maintenant, j’étais une autre . J’étais là, toujours à quatre pattes, la chatte dégoulinante de sang et de mouille, le trou du cul recouvert de foutre, la morsure à l’omoplate me lançait, et mes tétons étaient encore traumatisés par ses pincements, j’avais les fesses rouges de ses coups.

Et je m’assis, et je pleurais. Non pas de regret, ni de douleur. J’aurais simplement voulu qu’il ne parte jamais, qu’il continue.




La première sodomie



(L’ouvrier électricien de mes parents, qui me troublait tant, est devenu mon Maître. Après m’avoir dépucelée sans douceur, comme dans mes rêves les plus fous, il est parti sans un mot.)


Le lendemain, dimanche, nous allâmes à la messe. Mon père nous avait rejointes pour l’occasion. Je devais porter une robe noire, et un gilet blanc. Pendant que je m’habillais, j’entendis un sifflement sous ma fenêtre.

Je me penchais, resserrant mon peignoir autour de moi.

C’était lui.



Je suivis donc mes parents, sentant le tissu rêche de ma robe contre mes fesses. J’étais déjà très humide, je me demandais comment, à l’église, il allait vérifier.


Il était là, au café, près de l’entrée. Il interpella mes parents, et leur parla de l’avancée des travaux. Quand tout le monde se retourna, pour aller à l’église, il se colla derrière moi, releva un peu ma jupe, glissa sa main, et je sentis ses doigts pénétrer dans ma chatte nue.

Puis le mouvement m’emporta loin de lui, et de mon désir qu’il me prenne à nouveau, là, sur la place pleine de monde, sur la table du café.


Je pensais à lui tout le long de la messe, et ensuite, prétextant la fatigue de mes nuits d’insomnie, je rentrais. J’ai enlevé mon soutien-gorge derrière l’église, et j’ai ouvert mon chemisier jusqu’au nombril. J’ai traversé la ville ainsi. À pied. Les gens ne me voyaient pas, ils étaient pressés d’aller manger au repas de la fête.


Quand j’arrivais, la mouille coulait jusque dans mes socquettes de petite fille sage.

Il était au salon. Avec un autre homme.



Il se tourna vers moi :



J’eus un instant de révolte. Il le lut dans mes yeux.



Je baissais les yeux. Non, je ne voulais pas arrêter. Ce jeu, comme il disait, était devenu la révélation de ma vie.



Comme j’hésitais, il se leva, et me donna une gifle retentissante.


J’obéis.

J’entendais les commentaires insultants de son ami, et mon Maître qui racontait avec des mots orduriers comment il m’avait dépucelée, la veille, en levrette, comme une chienne.



J’obéis.


Son ami et lui palpèrent sans douceur mes fesses.

L’ami s’écria :



C’est sous les yeux d’un inconnu scrutant mon visage que mon maître enfonça brusquement son index dans mon cul. Il farfouilla un moment, pendant que j’essayais de ne pas gémir de douleur. Enfin, il retira son doigt. Puis d’un coup, il en entra deux.

L’ami ne regardait plus mon visage, il regardait mon cul, fouillé par les doigts de mon maître.



Il enduisit mon trou de gel. Les allées et venues de ses doigts sont devenues délicieuses, fluides, attendues.

L’ami s’impatientait.



Mon maître se plaça devant moi. Je le regardais, affolée. J’aurais voulu qu’il me prenne lui, et pas cet inconnu.

Il sourit :



Il alla ouvrir. Puis reprit mes seins dans ses mains. Il était très doux. Je gémis de plaisir. Et aussitôt, je sentis la bite de son ami s’enfoncer dans mon cul. Le lubrifiant lui permit d’y aller très fort, et je hurlais de douleur. Il griffait mes hanches, ahanant, me donnant des coups de reins qui me jetaient contre mon Maître. Mon Maître passa sous moi, continuant à caresser mes seins. Je sentis sa bouche contre mon sexe, et sa langue me pénétrer, et jouer avec mon clitoris. Puis ses dents se mirent à le mordiller doucement, pendant que ses doigts me pinçaient violemment les tétons, et que la bite de l’ami continuait à m’enculer bien profondément, avec des mouvements amples, ressortant puis replongeant dans le trou maintenant béant de mon gros cul.

J’avais mal, mon cul avait été forcé, malgré le lubrifiant que mon Maître avait eu la prévention d’utiliser, et la douleur, toujours présente, m’envahissait encore plus fort à chaque coup de bite. Mon maître s’acharnait à mordiller mon clito. Ses doigts pinçaient mes seins de plus en plus fort. L’homme qui m’enculait commença à m’insulter.



A chaque insulte, il s’enfonçait plus fort, et je criais de douleur.

Soudain je sentis une vive douleur au clito. Mon maître parut devant moi, et il me dit calmement :



Il tenait toujours mes tétons très serrés entre ses doigts. Comme je ne levais pas les yeux vers lui assez vite, il les tordit.


Je relevais la tête, les yeux larmoyants. Il y plongea son regard. J’étais toujours secouée par l’homme brutal qui s’acharnait dans mon cul.



J’ouvrais la bouche pour dire oui, mais je me rendis compte que je ne voulais rien arrêter. Me faire enculer brutalement sous ses yeux, ressentir les douleurs qu’il avait choisies pour moi, me voir si chienne dans son regard, me sentir si humiliée… Tout cela m’excitait.



Il hocha la tête.



Haletante sous les coups de queue qui me perforaient, j’obéis :



J’obéis. Je me cambrais sous les coups de bite qui me faisaient mal, je hurlais, malgré la porte ouverte, et le plaisir m’envahit, multipliée par la douleur, par l’humiliation.



Mon Maître m’accrocha deux pinces sur les tétons, puis se releva. Il baissa son pantalon et commença à se branler au-dessus de ma tête.


Mon enculeur jouit, en m’agrippant les hanches. Dans le mouvement brutal qu’il fit, sa bite s’enfonça encore plus en moi, et mon buste se releva. Je me trouvai le visage face à la bite de mon Maître, la queue de l’autre homme encore dans mon cul, les tétons avec les pinces pointant en avant.

Mon Maître ouvrit ma bouche avec ses doigts, brutalement, et s’enfonça pour jouir dans ma bouche. Il maintenait ma tête contre son ventre d’une main, et baissa l’autre vers mes seins pour tordre et tirer très fort sur une pince et je sentis son sperme jaillir au fond de ma gorge, étouffant mon gémissement de douleur.


Ensuite, ils me laissèrent ainsi, sans un mot, les pinces sur les seins et sur le clito, le trou du cul ouvert, le visage barbouillé d’un peu de sperme que je n’avais pas avalé, allongée par terre.


Quand j’eus recouvré mes esprits, j’ôtais tous les instruments de torture, et j’allais me doucher.


Jamais je n’avais pensé possible de trouver ma voie d’une manière si difficile, si éloignée de ma vie, et surtout si voluptueuse…


FIN