Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07952Fiche technique10187 caractères10187
Temps de lecture estimé : 7 mn
20/10/04
Résumé:  Ayant rencontré enfin la femme de mes fantasmes, je la pousse à profiter de tous les plaisirs.
Critères:  fhh couplus inconnu caférestau toilettes exhib fsodo
Auteur : Xavier

Série : Découverte de l'Adultère

Chapitre 03 / 03
Un serveur très attentionné


Après mes deux précédents envois ( 7489 et 7735 ), je n’avais pas eu l’occasion de discuter avec Stéphanie et de lui révéler que notre histoire était dorénavant sur le net et consultable par des centaines de personnes. Jusqu’à hier midi où, à l’occasion d’un déjeuner à deux, j’ai pu lui raconter ce que j’avais fait. Cela ne l’a pas choqué et au bout de quelques instants, elle semblait même émoustillée à l’idée que certains lecteurs allaient fantasmer sur son corps et que peut-être certaines lectrices envieraient ses aventures.


Avant la fin du repas, elle me précisa même qu’à son tour, elle allait rédiger une de nos rencontres afin que je la diffuse. Et ce matin, dans ma messagerie, j’ai découvert le résultat que je vous adresse ci-dessous. Cela s’est passé il y a six mois et, avant de laisser la plume à Stéphanie, je vous rappelle que nous avons tous les deux la quarantaine, que je suis divorcé mais qu’elle est mariée, que nous mesurons tous les deux 1,70 m, qu’elle ne porte que des tenues très féminines qui dévoilent largement ses longues jambes et sa belle poitrine et que nous nous aimons à la folie.


Parmi tous nos fantasmes, un des plus faciles à réaliser était celui où, étant seule, je me ferais draguer par un inconnu. Xavier m’avait souvent raconté qu’il aimerait voir mes réactions et suivre la façon de procéder de l’homme. Nous avions donc décidé de passer à l’acte et avions choisis une ville de la grande banlieue pour le réaliser. Nous nous garons à quelques mètres du restaurant et je laisse Xavier s’y rendre seul.

Cinq minutes plus tard, je m’y dirige à mon tour. En pénétrant dans la salle, je l’aperçois sur une banquette et je choisis une table assez proche de la sienne, tout en étant face à face. Je commande un cocktail en précisant que j’attends une personne pou commander.

Je suis vêtue d’une robe très mini et moulante, le tissu est irisé et assez transparent, des bas noirs gainent mes jambes et la trace du porte-jarretelles se devine sous le voile de la robe. Des chaussures noires à lanières très fines où se plante un talon ultra pointu, accentuent la longueur de mes jambes et me font le mollet très galbé et nerveux. Mes seins sont soutenus par un soutien-gorge balconnet qui met ma poitrine en valeur, ils sont bien ronds, prêts à jaillir du décolleté. Mon maquillage me donne cet air de garce qui dévorerait tous les hommes à portée de la main. Bref, je ne passe pas inaperçue !


Malheureusement, nous avons sans doute fait une erreur de casting car aucun des hommes présents dans la salle n’ose s’approcher de moi. Ils me dévorent des yeux mais cela ne va pas plus loin. Au bout d’une demi-heure, je vois mon amant décrocher son portable et me contacter. Il me dit que ce n’est pas grave, que nous aurons d’autres occasions et que, étant déjà à table, autant déjeuner sur place. Je suis déçue mais il a raison, ce sera pour une prochaine fois. J’appelle le serveur et passe ma commande en lui précisant qu’on m’a fait faux-bond. Dans un grand sourire, il me précise qu’il va s’occuper de moi et que je vais oublier ma tristesse. J’avoue n’avoir pas fait attention à lui mais il n’est pas mal, grand et assez costaud. Peut-être un peu jeune à mon goût.

Lorsqu’il revient avec mon plat, je me rends compte qu’il a son regard plongé dans mon décolleté. Pour le laisser débarrasser mon verre d’apéritif, je me recule de la table en décroisant mes jambes. Je les laisse légèrement écartées et, le tissu étant remonté très haut, il ne peut ignorer la bande plus sombre du bas. Je pousse alors le vice à laisser tomber ma serviette. Il se précipite à mes pieds pour la ramasser et là, j’écarte franchement mes cuisses. Il reste figé un moment, son regard planté sous ma robe, son visage à quelques centimètres de mon entrecuisse ( s’il n’a pas compris l’appel, c’est que sa beauté l’a privé de cervelle ! ! ).

Lorsqu’il se relève, il jette des coups d’œil autour de lui pour s’assurer que personne n’a vu son trouble. Mais seul Xavier a compris mon manège. Il n’en perd pas une miette, il me dévore des yeux, il s’amuse de notre mise en scène et je devine que mon exhibition le fait bander. Lorsque le repas est terminé, la salle s’est vidée mais mon serveur est à point, il a le plus grand mal à cacher la bosse qui déforme son pantalon. Je lui commande un café et lui demande – avec un regard de chienne – la direction des toilettes. Il s’exécute aussitôt et en passant à ses cotés, je laisse mon bras frôler sa protubérance. Je sens son regard planté sur mes reins. Cette mise en scène m’a mise dans un drôle d’état et je suis complètement mouillée. Je m’apprête à quelques retouches de maquillage lorsque la lumière s’éteint. Je cherche l’interrupteur à tâtons quand soudain, un corps se plaque contre mon dos.

Je n’ai pas le temps de réagir que déjà une bouche se pose dans mon cou, me mordille la nuque, m’envoyant une série de décharges électriques. Des mains m’enlacent, parcourent mon corps, palpent mes seins avec fougue et les font jaillir du décolleté. Je devine que Xavier n’a pu attendre d’être dans la voiture pour épancher sa soif de mon corps. Je ne réagis pas et je me contente de tendre les bras vers le lavabo pour ne pas tomber. Mon agresseur en profite pour remonter le tissu de ma robe sur le haut de mes reins et pour frotter son paquet sur mes fesses. Je l’entends baisser le zip de sa fermeture et il glisse sa bite nue le long de ma raie. Il me pousse en avant et je ne peux que me pencher davantage, en cambrant involontairement ma croupe. Il glisse sa main entre mes cuisses, écarte franchement le voile de mon string et enfonce directement ses doigts dans ma chatte. Je suis trempée et cette douce violente me convient à merveille. Il pince mon clitoris, le malaxe, le titille. Je suis aux anges, une vraie fontaine. J’ai besoin de sa bite tout de suite, et je suis ravie d’entendre le bruit d’une pochette de préservatif qui se déchire. Je devine que Xavier se couvre et je sens rapidement son gland chercher son chemin à l’entrée de mon vagin. Il ne tâtonne pas longtemps et s’enfonce d’une seule poussée royale. Enfin, je sens sa bite dans mon ventre, quel régal ! Il agrippe mes hanches et m’impose quelques va et viens puissants.

J’aime ça !

Mais il se retire brusquement. Je suis frustrée et tends ma croupe vers lui. Soudain, je sens la pointe de son pieu à l’entrée de mon anus. J’ai à peine le temps de sentir l’humidité gluante de son gland recouvert de plastique que, brusquement, il pose ses mains sur mes hanches et m’attire fermement vers lui. Sans faiblir, son manche écarte mes chairs intimes. Je pousse quelques gémissements de surprise mais mon excitation m’empêche de réagir contre cette pine qui me fait un bien énorme. Elle continue sa progression jusqu’à ce que je sente son bassin cogner contre mes fesses.


Soudain, la lumière s’allume et dans le miroir, je découvre avec stupeur, que ce n’est pas Xavier qui est dans mon cul : c’est mon beau serveur qui est derrière moi, en train de m’enculer avec frénésie. Ma chatte s’inonde encore plus à cette découverte et je glisse une main entre mes cuisses pour me triturer le bouton.

La porte s’ouvre alors et j’aperçois Xavier entrer dans les toilettes, le sourire aux lèvres. Mon serveur le voit aussi mais ne ralentit pas sa chevauchée. Il continue à me défoncer en me malaxant les fesses. Je tourne la tête légèrement vers mon amant. Le spectacle doit lui plaire car il s’est rapidement dégrafé et qu’il me présente sa bite bien raide. J’ouvre largement la bouche et elle s’y engouffre rapidement.

Je me retrouve coincée entre deux morceaux de chair, défoncée par deux belles queues à chaque extrémité. Je me laisse projeter par les mouvements de va et viens du serveur et la queue de mon amant s’enfonce profondément dans ma gorge. Je suis une poupée de chair soumise à leur plaisir. Je suis folle d’excitation d’être traitée comme cela, je ne vis plus que par mes deux trous qui sont obstrués. J’explose alors violemment, sans savoir si ma jouissance est provoquée par ma pipe ou mon enculeur.


Le serveur englobe mes seins pour les triturer de ses mains avides et Xavier m’attrape par les cheveux pour accélérer ma fellation. J’entends les gémissements et les soupirs de mes deux mâles et je devine la fin est proche. Comme si eux aussi l’avaient senti, ils explosent au même moment. C’est un feu d’artifice de sperme qui pulse dans ma bouche et je m’applique à avaler chaque giclée crémeuse. Derrière moi, le serveur s’est rapidement retiré pour asperger mes fesses et ma chatte de son foutre brûlant. Lorsque ses couilles sont vides, je le sens qui glisse son pieu entre mes jambes, sur mes bas, comme s’il était déçu de n’avoir pas pu résister plus longtemps.


Je suis exténuée. J’ai encore les yeux dans le vague et dans le miroir, je les vois remettre leur pantalon, en me jetant un regard complice et en quittant les lieux. Je remets de l’ordre à mon tour dans ma tenue et je réajuste mon maquillage. Je ressors enfin comme si de rien n’était. J’ai du mal à traverser la salle, heureusement qu’elle s’est vidée car ma démarche est assez hésitante. Par contre, le regard des autres serveurs est éloquent. À croire qu’ils devinent que je ne suis qu’une chienne toujours prête à se faire défoncer. Je constate que Xavier est déjà sorti et qu’il doit m’attendre sur le parking. Mon enculeur me signale que l’addition est déjà réglée et me raccompagne à la sortie. En me tenant la porte, il m’adresse un « A votre service, Madame, en espérant vous revoir très vite » plein de sous-entendus…