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Sur la plage (2)

Il caressait le dos et je caressais ses cheveux dont la texture était de soie. Nos respirations se faisaient saccadées, je sentais à nouveau l’excitation monter en moi, comment cela se pouvait-il ? …

Il m’embrassait passionnément comme pour me remercier du plaisir que je venais de lui donner. J’étais étourdie, assommée. Il caressait maintenant mes fesses, les malaxant doucement, pétrissant ces petites choses rebondies. Je riais doucement, me mêlant ainsi à son souffle chaud. Il rit lui aussi. Un rire sensuel, rauque…. Je ne pouvais détacher ma bouche de la sienne, lui non plus, nous étions comme aimantés….. Quel étrange phénomène nous poussait l’un vers l’autre avec autant de force ? Pourquoi, au-delà de l’attirance physique, nous ne pouvions nous détacher l’un de l’autre ? Comme si nous avions une soif infinie de nos corps…

Il me mordit alors l’épaule, ce qui me fit sortir de mes pensées…Riant sous cape, je décidais de me venger et lui mordit à mon tour le cou…Il me retourna alors sur la veste d’un seul coup, emprisonna à nouveau mes lèvres et me soulevait dans ses bras. J’eus alors très peur que quelqu’un nous voit, mais je me rendis vite compte que plus personne ne passait sur les bords de la plage. Je pensais alors qu’il devait être tard et que la plupart des gens étaient partie se coucher…

Il m’entraîna vers la mer. Un peu inquiète et malgré tout obligée de le suivre, il entra dans l’eau. Je reçus quelques éclaboussures, qui me montrèrent combien l’eau était bonne. Il me laissa glisser doucement de ses bras, me faisant mettre debout face à lui. J’avais de l’eau jusqu’aux genoux…

Je l’éclaboussai alors ! Jouant les petites filles rebelles, me mettant à courir pour échapper à ses bras. Je riais comme une adolescente. Son rire rejoignit le mien, nous étions heureux comme des enfants. Puis soudain, il me plaqua au sol, les vagues venant lécher nos corps nus….

Il m’embrassa sauvagement et je sentis alors un goût de sel se mêlant à notre salive. J’aimais beaucoup ça…. Il me caressa alors les seins d’une main, pendant que l’autre essayait de s’aventurer plus bas… de ses jambes, il m’écarta les cuisses et je sentis alors son sexe tendu contre mon pubis. J’étais très excitée, et maintenant libre, je laissais mes gémissements franchir mes lèvres. Je sentis que cela lui plaisait.

Il continuait à me lécher, me mordillait la pointe des seins, et posa un doigt délicat sur mon clitoris. Ce fut comme une décharge électrique qui traversa soudain mon corps. Tout ça était encore amplifié par l’eau qui léchait nos corps en vagues régulières.

Son sexe était dur, gonflé de désir…. Ne pouvant plus attendre, je m’ouvris d’avantage, prenant son sexe dans ma main, j’en guidai le gland vers mon entrée secrète. Mais il voulait prendre son temps, et vint caresser d’abord, du bout de sa queue, mon clitoris, comme s’il voulait leur faire faire connaissance…. Cela augmenta mon excitation. Puis il vint à nouveau à l’entrée de ma grotte, ne me pénétrant que de quelques millimètres, j’étais aux anges….

Puis d’un violent coup de rein, il entra en moi. J’eus un cri de douleur mélangé de plaisir, et bien que très étonnée de cette violence, j’y prenais une jouissance nouvelle. Il se mit à limer dans ma grotte mouillée, parfois lentement, très lentement, puis parfois très vite. Ponctuant parfois le rythme d’un grand coup de rein. Jamais on ne m’avait donné autant de plaisir, je gémissais de plus en plus fort, mes hanches s’accordant au rythme de ses coups… Sa queue emplissait pleinement mon sexe… Il ralentit le rythme et posa un doigt sur mon clitoris, le caressant doucement….

Je gémissais de plus en plus fort, je sentais mes muscles se contracter sous l’effet du plaisir… Puis vint alors la délivrance et je jouis dans un cri, secouée par un orgasme

gigantesque….

A travers ma brume de plaisir, je voyais son sourire… Mais lui n’avait pas encore joui…. Je retirai son sexe de ma grotte, me mit à genoux sur le sable, offrant mes fesses à son sexe tendu. Il approcha ce dernier à l’entrée de ma grotte… Je voulais lui faire comprendre, que je désirais son sexe dans mon anus pour une vraie sodomie, que je souhaitais la lui offrir, j’avançais mon bassin, lui refusant l’accès de mon sexe….

Surpris, il croisa mon regard, et sûrement y lu une demande de ma part…

Comprenant mon message secret, heureux et surpris, il approcha alors sa queue de mon anus. On ne m’avait jamais sodomisée auparavant et malgré un certain dégoût je voulais lui offrir ce plaisir, en réponse à celui qu’il venait encore de me donner….

Du regard il m’interrogea, me demandant si j’étais vraiment prête à me donner à lui… je répondit oui de la tête

Alors à présent convaincu, il posa un doigt à l’entrée de ma grotte, humidifiant ainsi son doigt de mon jus, puis vint le poser sur mon anus, jouant avec lui, l’excitant un peu. J’avais peur, mais mon plaisir allait grandissant…

Il introduisit son doigt, lentement, très lentement, se mettant à limer. Il avait compris que c’était la première fois pour moi et voulais me prendre doucement pour ne pas me faire mal…

Une fois mon anus prêt, il posa son gland à l’entrée, puis très très doucement, commença à le rentrer. La douleur se fit ressentir, un peu vive, mais supportable…. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier, mais il sentait que je souffrais…

Il s’arrêta un peu, me permettant de m’accoutumer à sa présence…. Puis il continua à avancer un peu plus loin, s’arrêtant quand il sentait que j’allais crier…. Quand sa queue fut presque entièrement rentrée, il me fit me cambrer davantage, me prenant les seins dans ses mains, me caressant gentiment… puis il se pencha sur mon dos, faisant glisser une main vers mon sexe, caressant au passage mon clitoris….

Je tournai alors la tête vers lui, et il m’embrassa. Soudain, il se mit à bouger en moi… et comme j’avais commencé à ne plus souffrir de sa présence dans mon anus, je ressentis alors un nouveau plaisir. Il limait doucement, ne voulant pas me faire souffrir. J’étais si bien lubrifié, que j’accentuais de mon côté le rythme… sentant alors qu’il pouvait accélérer, il se mit à bouger de plus en plus vite. Lâchant mes seins et mon clitoris, il attrapa mes fesses.

Ses coups de rein me rendaient folle. Je me caressais le clitoris. La jouissance vint à nouveau en moi…j’étais secouée de spasme, se faisant, mon anus se contracta sur le sexe de mon amant, ce qui le fit jouir dans un râle…il criait presque autant que moi…. Je sentis le liquide chaud à l’intérieur de moi, venir en jets saccadés. Et dans un dernier coup de rein, il s’allongea sur mon dos, en agrippant mes seins…

Epuisée, je me laissai tomber sur le sable, son sexe toujours prisonnier de mon anus…Une fois sa queue ayant perdu de sa vigueur, il se retira doucement et un liquide blanc s’échappa peu à peu…

Il me retourna face à lui, m’embrassa encore et encore. Puis me pris à nouveau dans ses bras, me déposa sur un banc de sable au bord de l’eau pour me laver doucement….

J’étais assise, jambes écartées. Lui était à genoux, son sexe pendant, caressé par les vagues. Il me nettoya le sexe, me caressant au passage lentement le clitoris. Comme j’étais encore sous le coup de ma jouissance, celui-ci était encore tout gonflé de plaisir….

Mon amant m’embrassa alors goulûment et accentua ses mouvements sur mon clitoris, et alors pendant que son doigt jouait dessus et que sa langue fouillait ma bouche, je jouis à nouveau….

Totalement épuisée, et comme droguée par mes jouissances successives, je ne le vis pas se relever, me laissant seule, nue, sur le banc de sable, bercée et léchée par les vagues….

Au bout de quelques minutes, j’eus soudain froid. Je me relevais lentement, émergeant de mon brouillard… Je me dirigeais alors vers ma robe et mon string qui étaient toujours là… mais plus de veste et plus d’amant…il avait disparut….

A la fois triste et heureuse, je me rhabillai. Puis arrivée à ma tente… je remarquai que mes amis étaient rentrés…. J’avais donc passé autant de temps que ça sur la plage ? J’étais complètement déroutée…..

Je dormis longtemps, épuisée par cette nuit torride dans les bras d’un parfait inconnu….

A mon réveil, mes amis me regardèrent comme si j’avais débarqué d’une autre planète. Ophélie me prit à part, et me demanda pourquoi j’avais cette drôle de tête. Je ne pus rien lui dire, mais je souris. Ce sourire étrange inquiéta mon amie, mais elle n’insista pas….

Le lendemain nous rentrions chez nous, et comme j’étais venue avec Ophélie et Kévin je repartis évidemment avec eux….

Nous sortions du camping, j’avais les yeux perdu dans le vague, repensant à ma nuit sur la plage… Et là je le vis, debout, accoudé au mur de l’enceinte. Nous étions arrêtés sur le bord de la route, attendant de pouvoir passer entre deux voitures..

Moi j’étais perdu dans le regard de cet inconnu, je voyais son sourire. Je sentais le goût et le contact de ses lèvres sur les miennes, presque comme une brûlure… Discrètement il m’envoya un baiser, auquel je répondis sans même m’en rendre compte….

Alors la voiture repartit et s’éloigna de cet être magique, qui m’avait fait connaître le plaisir d’une nuit d’amour…….

FIN