n° 08176 | Fiche technique | 52640 caractères | 52640Temps de lecture estimé : 31 mn | 25/11/04 |
Résumé: Jeune femme très excitée pendant sa période d'ovulation et pleine d'initatives aventureuses. | ||||
Critères: f fh ff ffh intermast fellation pénétratio collection lingerie cunnilingu | ||||
Auteur : Eresse |
DEBUT de la série | Série : Une période extraordinaire Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Je connais bien cette sensation qui me prend ou plutôt qui m’envahit impérieusement chaque mois, lorsque commence ma période d’ovulation. Je me sens alors merveilleusement langoureuse, voluptueuse, parfois un peu, mais le plus souvent très excitée, et je sens bien que dans ces moments là, je fais aux hommes un effet maximum : Plus que jamais, sur mon passage, ils expriment leur admiration et leur désir.
Lorsque j’ovule, je le sens au moment même où cela se produit dans mon ventre, et je me sens dans l’instant terriblement femme, jusqu’au bout des cheveux. Je dégage alors une aura irrésistible de féminité, ce qui, je l’avoue, me plaît énormément. Davantage encore pendant cette période, les hommes me font, eux aussi, beaucoup d’effet : j’ai terriblement envie qu’ils me trouvent belle, qu’ils me touchent, qu’ils me caressent, qu’ils s’aventurent de toutes les manières possibles dans mes cavités et replis les plus secrets. Rien que de voir certains mecs virils, je deviens toute mouillée et langoureuse, tellement j’ai envie de faire l’amour. Ce qui me rassure, et me fait du bien, c’est de constater l’impression évidente que je leur fais aussi, un effet bandant pour être précise. Je ne sais pas comment, mais à l’évidence, eux aussi se rendent compte que j’ovule, que je suis bonne à baiser et à féconder. Ou plutôt si, je sais, c’est moi qui irradie tellement de sensualité et de désir qu’il faudrait qu’ils soient vraiment aveugles pour ne rien percevoir.
Autant j’espère leur éjaculation, autant ils ont alors envie de me l’offrir de toute leur puissance, pour ensemencer mon joli ventre, et qu’il reproduise des petits à leur image, perpétuant leurs gènes. Mais si je suis certaine de vouloir faire un jour des bébés, je ne suis pas pressée. Je suis jeune, j’ai le temps, je veux d’abord profiter au maximum de mon corps mince et pourtant bien rond et dodu là où il faut, là où les hommes et moi, nous aimons le plus : mes seins, mes fesses, et le gracieux bombé fendu de ma vulve si appétissante. Je veux d’abord baiser pour le plaisir, on verra plus tard pour l’utilitaire, quand j’aurai rencontré le gars qui m’aimera tout entière, corps, cœur et âme, et que j’aimerai moi aussi de la même manière.
Pour l’instant, je rêve d’éjaculations puissantes, abondantes, crémeuses et odorantes, sur mes seins, mon ventre, mes fesses, au plus profond de ma chatte et même dans le petit trou à côté, qu’ils auront su attendrir, élargir et forcer. J’adore quand un mec éjacule, que ce soit dans mon corps ou sur ma peau. Mais l’éjaculation que je préfère, c’est quand ils explosent dans ma bouche. C’est là que je sens le mieux la montée de leur désir, le moment du non-retour, que je sais justement retarder, pour qu’ils éjaculent encore plus fort et plus abondant. Ma langue apprécie les reliefs de la tige et du frein, et mes lèvres se régalent du gland si bien galbé, si doux et si ferme à la fois. J’aime tenir leurs couilles durcies et pleines. Ils sont alors à ma merci : j’ai vraiment l’art de les vider de leur fureur, de leur rage, de leur semence, j’en suis très heureuse et fière. Je les bois consciencieusement, jusqu’à la dernière goutte, ils adorent et moi aussi. Les faire éjaculer dans ma bouche, en m’aidant de mes mains, je le ressens toujours comme une victoire, et ça me fait du bien partout. Oui, c’est vraiment ainsi que j’apprécie le plus qu’ils me donnent toute leur force d’homme, leur crème blanche et épaisse parfumée à l’anis. Dans ma bouche, je sens les moindres giclées, je perçois les plus petites pulsions de leur pénis dilaté au maximum. Je jouis de leur jouissance, que demander de plus ? Les yeux fermés, un bandeau sur les yeux, je pourrai reconnaître chacun de mes anciens amants, rien qu’en les prenant en bouche, à l’odeur et au goût aussi. Je les ai si souvent et si longtemps pompés, léchés, sucés, que ma bouche garde en mémoire les moindres détails et particularités de leurs organes virils, dans leurs différents états d’expansion.
Aujourd’hui mes ovaires m’aiguillonnent, et il faut que j’attire le regard des hommes, que je les trouble ; je voudrais tous qu’ils me désirent, qu’ils bandent pour moi, superbement pointés vers mes ouvertures qui les désirent terriblement. Je suis femme dans tout mon être, et cela s’expose visiblement : mes seins sont gonflés, leurs bouts se tendent, ils appellent véritablement les caresses, que je leur donne bien volontiers maintenant, dans l’intimité. Mes grosses lèvres sont un peu plus gonflées aussi, et mes nymphes un peu plus colorées.
J’aime mon corps, je trouve que ma peau est très fine, très douce, et j’éprouve un très grand plaisir à me toucher, à me caresser, sur n’importe quelle partie de mon anatomie. Mes mains et mon corps s’entendent vraiment très bien. Quant à mon ventre, il attire encore plus particulièrement mon attention, surtout pendant ma période d’ovulation. Je sens en lui une légère tension, au plus profond, très voluptueuse. Ce n’est pas très conscient, mais je m’en rends bien compte, malgré tout, lorsque je suis seule, et que mon minou se rappelle à moi, comme en ce moment, avec une insistance telle que je ne peux pas lui résister ; il est spontanément mouillé, onctueux, souple et accueillant, un peu ouvert, et j’ai vraiment très fort envie de me toucher, de me caresser là, de m’explorer partout, de me masturber, pour employer les vrais mots. Mes mains sont irrésistiblement attirées entre mes cuisses si douces, qui s’ouvrent grandes au plaisir, et je réinvente ou reproduit, plein de délicieuses manières de me faire du bien.
Durant cette période, lorsque je suis en société, je regarde les garçons qui me plaisent, et dans ces moments-là ils sont nombreux, d’une manière assez effrontée. En effet, mes yeux sont nettement attirés par la bosse qui déforme leur pantalon, là où vous savez. C’est comme si cela me rassurait de voir qu’il y a là tout ce qu’il faut pour bien me remplir, car je sens en moi un creux, un vide accueillant, très chaud, humide, bien glissant, et qui voudrait vraiment très fort être comblé, rempli, fouillé puissamment, envahi. Quand la bosse est grosse, alors là, je sens mon cœur s’affoler et ma vulve se met même parfois à palpiter, tandis que mes hanches, malgré moi, ont tendance à bouger voluptueusement comme quand je fais l’amour, bien que discrètement, heureusement !
Si je suis avec un mec pendant cette période, je ne manque ni d’imagination, ni d’improvisation, ni d’efficacité pour le faire bander, et lui donner une irrésistible envie de me la mettre partout où il faut, là où ça fait du bien de la sentir bouger en moi, plonger longtemps et vigoureusement au plus profond de ma gaine chaude et glissante qui se mouille abondamment pour lui.
En temps normal, j’adore les longues et douces caresses, mais dans ces moments là, il y a urgence; il me faut du solide et du chaud, du consistant et du solide, et que ça bouge bien, vite, et fort, au très doux, chaud et humide milieu de moi. J’en veux tellement que je les ressuscite aussitôt qu’ils m’ont donné leur semence. De ma bouche si habile à cet exercice, je les redresse, les raffermis, leur redonne toute la conviction et l’enthousiasme nécessaire pour me pénétrer encore, avec vigueur et fermeté. J’adore goûter sur leurs queues le mélange de nos odeurs et de nos saveurs intimes, cela m’excite terriblement ; ma bouche est alors, plus que jamais, un second vagin. Lorsque leur fermeté me convient, c’est moi qui les chevauche, me transperce de leur axe brûlant, cheveux flottants et seins dansants, je coulisse, je monte et descends, je tourne et me retourne sur leur pivot flamboyant que j’inonde de ma jouissance, je leur montre tous les côtés de mon corps, et il est beau de tous côtés.
Je les épuise, mais mes amants ont toujours adoré me voir dans cet état. Ils ont vraiment le sentiment d’être désirés, ce qui est vrai, et ils aiment ça ; comme mes jouissances les valorisent, ils sont comblés et fiers d’eux-mêmes, et moi de moi.
Pendant ma période, quand un mec me l’enfonce, et que je suis toute fondante pour l’accueillir, c’est comme un propriétaire qui introduit sa clé dans la serrure bien huilée de sa maison. Alors, il est chez lui, il peut ouvrir toutes les autres portes, faire tout ce qui lui plaît. Et s’il manque un peu d’imagination, j’en ai pour deux.
Will, mon amant du moment est américain. Il est pilote de ligne, et je ne le vois que deux fois par mois, quand il fait escale à Paris. C’est peu, mais cela me convient en ce moment. Cela me permet de préparer sérieusement mes examens de licence, mais quand nous nous voyons, nous faisons l’amour avec un désir et une fougue extraordinaires, qui sont plus facilement émoussées avec un amant trop présent au quotidien, et dont la seule présence apporte une satisfaction de par son énergie masculine. Quand Will me quitte pour reprendre les commandes de son avion, il plane un peu, mais il est très calme ; moi, je sais vraiment bien calmer les hommes. S’ils faisaient beaucoup l’amour, ils seraient moins violents, il y aurait moins de guerres ou d’agressions.
Moi aussi je suis calme, après l’amour. Je suis encore plus belle quand j’ai beaucoup joui, et j’attire les hommes encore plus. Ma peau est après si douce, elle irradie véritablement la beauté et la sensualité. Mes lèvres sont plus pulpeuses que jamais, d’avoir tant été à la fête, et tout mon corps est alors extraordinairement souple, ondoyant. Il est un formidable pôle d’attraction sensuelle, tous mes mouvements sont comme une sorte de danse sensuelle, pourtant absolument naturelle. Je me sens super bien dans ma peau, très confiante en moi. Je me sens alors si merveilleusement belle, avec un éclat, une sorte de magnétisme terriblement troublant. C’est ce que je ressens, mais les hommes, et même mes copines, me l’ont confirmé. Oui, après avoir bien joui, je me sens prodigieusement bien dans ma féminité, tout le monde me sourit et m’admire, est gentil avec moi, et me désire. En plus du plaisir immense, cela n’a que des avantages, de jouir beaucoup.
Aujourd’hui, mon amant est loin, à l’autre bout du monde, et j’ai des terribles bouffées de désir. Je m’admire nue, devant le grand miroir qui habille une des portes de mon armoire dans la chambre. Quand nous faisons l’amour, Will aime bien entrouvrir cette porte, et il la cale de telle sorte que nous pouvons nous voir sur le lit pendant nos ébats. J’avoue que j’aime ça, moi aussi. Il a des cuisses et des fesses terriblement musclées, et quand il est sur moi, et qu’il me baise de toutes ses forces, il est vraiment magnifique, son cul. C’est très érotique et troublant pour moi de voir ses fesses qui se contractent très fort, et très vite pour me l’enfoncer le plus fort possible à grands coups du bassin. En tout cas, moi, j’adore. Mon corps ne fait pas que recevoir ; je me projette d’instinct, en cadence, au-devant de ses coups, j’en augmente encore la force. Mais les divines fesses de Will, je ne peux les voir dans le miroir que par intermittence, car les sensations sont si fortes qu’elles me font souvent, et malgré moi, fermer les yeux, crier, et je ne peux rien faire d’autre que jouir. Emportée par la puissance des sensations, des fois je crie, d’autres fois je pleure ou je rie, je ne sais plus très bien ce que je fais, mais c’est vraiment tellement bon ! Lorsqu’il m’arrive, par la force de mon plaisir, de ne plus pouvoir regarder ses fesses, mes chevilles nouées autour de ses reins en furie, je m’y agrippe instinctivement pour percevoir leur force, les sentir bouger, et l’attirer encore plus au tréfonds de moi, loin, loin dans mon ventre liquéfié, comme si je voulais absorber son sexe tout entier, couilles et fesses comprises. Il m’est arrivé de griffer son derrière, sans m’en rendre compte, mais Will ne m’en veut pas. Je crois bien qu’il est même un peu fier d’avoir de telles marques, qui disent avec éloquence combien il me fait jouir. La brûlure qu’il y ressent lui rappelle aussi en permanence nos ébats et notre plaisir.
Quand Will arrive chez moi, il laisse tomber sa petite valise de pilote, nous nous embrassons fougueusement, et en un rien de temps, nous sommes déshabillés tous les deux. Il se cramponne à mes fesses, presse mon ventre contre son sexe dur et chaud, tandis que je frotte mes seins contre les muscles durs de sa poitrine. J’aime alors tomber à genoux devant lui, qui reste debout, et je prends dans ma bouche sa verge magnifique, bien tendue, plus haute que l’horizontale. Tout en faisant ce qu’il faut de ma bouche et de ma langue, j’aime caresser ou étreindre ses fesses, dont j’apprécie tant la force. Elles sont vraiment très fermes, comme un écho à la fermeté de son sexe, que j’enveloppe alors de toute la douceur fondante de ma bouche et de ma langue. Parfois, ses fesses superbes ont des contractions réflexes qui poussent son engin au fond de ma gorge, comme elles savent si bien le faire dans mon vagin. J’adore ça, et je mouille encore plus.
En même temps que je le pompe, j’aime caresser ses testicules et, quand je sens qu’il va exploser, je pousse un doigt dans son trou, et je le fais partir ainsi, homme, et femme en même temps. Je le bois jusqu’à la dernière goutte, et il est si reconnaissant, après, qu’il s’occupe bien de moi. Il me porte sur le lit, m’écarte grandes les jambes, m’ouvre de ses doigts délicats, enchanteurs, et plonge sa langue en moi, me lèche avec une formidable gourmandise. Il constate toujours avec bonheur combien j’ai aimé le sucer et le boire, car je suis toute mouillée, tout ouverte, molle et chaude, il plonge son visage entre mes cuisses, se régale de mes sucs, tout en me faisant jouir comme une folle, caressant toutes les parties externes ou internes de mon corps à portée de ses mains.
Comme l’appétit vient en mangeant, son désir de me pénétrer de son sexe, adorable engin que j’espère de tout mon être pour combler le grand creux que je sens au fond de moi, devient pour lui trop impérieux pour attendre davantage, et il m’arrange à sa façon, selon ce qu’il a envie dans l’instant. Je me laisse faire, souple, docile, confiante, offerte, car je sais que, de toute façon, ce sera bon. Comme moi, il aime bien improviser, tenter des positions invraisemblables, me mettre son gros machin chaud et viril partout dans et sur mon corps. Vraiment, nous nous entendons très bien pour faire l’amour.
Tout en revoyant dans mon esprit nos ébats amoureux, mes mains caressent mes seins, agacent leurs pointes durcies. Quand ces derniers ont eu leur content de douceurs et d’excitation, et que s’est créé dans mon sexe un besoin terriblement fort, je ne peux plus retarder mes mains qui descendent alors lentement, en glissant sur ma peau si sensible jusqu’au point de rencontre magique entre mes cuisses et mon ventre. Sur ma vulve fondante et chaude, je commence mes douces caresses, en gémissant de bonheur. Quelle merveilleuse vallée nous avons là, nous les femmes, si bien prolongée en arrière entre les rondeurs de nos fesses bien fermes, mais à la peau si douce, et si sensible. Du moins c’est vrai pour moi ; j’ai vraiment un cul magnifique, extrêmement désirable ; il fait un effet énorme sur les mecs à qui j’en ai autorisé la vue et le toucher. Bien sûr, si vous leur permettez ça, ils iront toujours plus loin et plus profond dans leur désir insatiable de nous pénétrer de toutes les manières possibles. Mais comme j’adore ça…
Je m’admire dans le miroir, sous toutes les coutures. Que ma taille est fine ! Que mon nombril est beau ! Que mes seins sont bien galbés, je les trouve parfaits de forme, de densité, et de texture de peau. Les aréoles plus foncées soulignent délicieusement les pointes érigées, avides de baisers et de suçons. Je tourne le dos au miroir, me penche en avant et regarde par-dessus mon épaule le reflet de mes arrières. Quelle croupe ! Quelles fesses adorables, si bien galbées, si harmonieuses ! La perfection n’est pas loin. Ma peau des fesses est si fine et si belle que si elle était à vendre, elle vaudrait une fortune ! Je me cambre, jambes très peu écartées, pour bien faire ressortir le relief de ma fente nue et dodue, soulignée par le dépassement souple et ourlé de mes nymphes accrocheuses. La beauté et la grâce de mes doigts qui jouent avec mon petit bouton des délices, me fascinent.
Si j’étais un homme, et si j’avais affaire à une fille aussi bien faite que moi, avec un cul aussi beau, je crois que je préférerai la prendre par derrière, en levrette, tellement la vue est magnifique et troublante. De plus, dans cette position, la fille peut merveilleusement fantasmer, je le sais d’expérience. Elle peut imaginer plein de choses qui se passent dans son dos, avec des tas de mecs différents, soit qu’elle les invente de toute pièce, tous plus mignons les uns que les autres, et super bien montés évidemment, soit qu’elle les a croisés le même jour, comme ce noir grand et athlétique qui a traversé le passage clouté, en sens contraire de moi, juste en sortant du métro. Je m’étais demandée avec trouble si sa bite était plus grosse et plus longue que la moyenne, si elle était entièrement noire ou bien si le gland était rose comme le creux de ses mains. J’en étais toute mouillée. Savait-il bien s’en servir? Tenait-il longtemps l’échange, comme on dit au tennis ?
Lorsque les premiers poils sont apparus sur mon mignon pubis, aux environs de douze ans, et surtout quand mes seins ont commencé à pousser leurs pointes contre mes tee-shirts, je m’en souviens, j’étais obsédée par les toutes les choses qui concernent le sexe. Je me masturbais tous les jours, plutôt toutes les nuits, plus ou moins longtemps, avec plus ou moins d’intensité, mais toujours avec un immense plaisir. J’avais découvert l’endroit où mes parents cachaient leurs livres érotiques, et je les avais tous lus ou plutôt dévorés discrètement, la nuit dans ma chambre, avec un trouble énorme et des masturbations insensées. Mon éducation sexuelle, bien que théorique en ce qui concerne la relation à deux, n’en était pas moins vaste.
J’ai toujours su bien dessiner, et à cette époque, sur un de mes cahiers, je dessinais des couples enlacés, s’embrassant ou faisant l’amour. Le plus souvent, dans mes dessins, l’homme pénétrait la femme par derrière. Peut-être est-ce parce que j’avais été très troublée par la vue de chiens en train de s’accoupler ? Ou bien est-ce quelque chose de naturel, au fond de moi, si j’ose dire ? J’aimais me masturber dans cette position d’accueil, en présentant mes fesses et ma fente dodue à un inconnu fantasmé, aux contours et au visage flous, mais au pénis précis, ferme et vigoureux, aux couilles fascinantes.
Pour que personne à la maison ne découvre mes dessins secrets, j’emportais mon cahier à l’école et c’est là que ma copine Virginie, fouillant un jour dans mes affaires pour chercher mon cahier de mathématiques, l’avait découvert. Elle l’avait bien regardé, et une fois que nous étions seules, elle me l’avait avoué en disant d’un air admiratif :
Ma première réaction avait été plutôt honteuse d’être ainsi dévoilée dans mes secrets les plus protégés, mais comme à l’évidence, elle trouvait ça très bien, une complicité chargée de sensualité trouble s’était vite installée entre nous. Nous nous arrangions de plus en plus pour nous retrouver seules, pour nous frôler, et un jour que nous étions seules dans ma chambre, cela devait arriver, nous nous étions déshabillées mutuellement, sous prétexte de comparer nos jeunes seins, nos fesses déjà bien rondes et fermes, ainsi que notre bonbon fendu et fondant, mal dissimulé derrière nos poils encore peu fournis.
Pour " voir ce que cela faisait d’embrasser un garçon ", nous nous étions mutuellement prêté nos lèvres et notre langue. Très vite, nous avions été terriblement troublées, notre corps avait exprimé son désir, et nos cuisses s’étaient mouillée de ce qui coulait de nos petites fentes vierges. Les caresses étaient venues tout naturellement et cela avait été merveilleux de partager la douceur de nos langues, de nos caresses, du contact de nos seins. Nous avions adoré réciproquement nos odeurs intimes. Nous étions stupéfiées de la surprenante et amoureuse efficacité de notre langue, si habile à s’insinuer là où nous étions déjà femmes, indiscutablement, et où le plaisir est le plus vif. Nous offrir notre jouissance était encore mille fois mieux que mes masturbations, ce qui n’est pas peu dire ! Mais mon expérience avec Virginie avait trop peu duré, nous n’avions échangé nos caresses que deux fois, car nous étions en fin d’année scolaire. Aussitôt après les classes, je partais en vacances.
Étalée sur la plage, jambes grandes ouvertes à la chaude caresse du soleil qui traversait le léger maillot de bain, je jouissais seule, immobile, en me souvenant de nos caresses avec Virginie, de sa langue, que le soleil tentait de remplacer, avec une certaine efficacité, je dois dire. Mais à la rentrée il n’y avait plus de Virginie, sa famille avait déménagé dans une autre ville.
Soudain je me dédouble : je suis à la fois celle dont j’admire la divine croupe dans le miroir, et un homme qui tient dans une main, pointé vers ma fente, son sceptre raide et décapsulé. Je ressens son émoi, son désir, sa force sauvage, totalement orientée vers la cible splendide que je lui offre. Je suis tout à fait dans sa peau, et lui s’approche encore plus de la mienne. Enfin, son gland doux et brûlant me touche entre les deux gros renflements de ma vulve dodue. Il pousse à droite et à gauche pour ouvrir ma fente, éprouver sa douceur et son élasticité, sa chaleur fondante. Il cale son gland entre mes grosses lèvres, se mouille à mes heureuses et abondantes sécrétions. Aidé de sa main, il monte et descend, doucement mais fermement, labourant mon sillon, montant plus haut que l’anus et descendant au-delà du clitoris qu’il enchante en le retroussant, en le débusquant de son gland glissant.
Longtemps, sa caresse insistante, douce et puissante, m’ouvre toujours plus à lui, prend possession de ma féminité, l’exalte, la liquéfie, exaspère mon désir. Lorsqu’il passe juste au-dessus de mon gouffre, j’essaie maintenant de me pousser vers lui, de me l’enfoncer, mais une de ses mains, posée sur mes reins bloque mon mouvement, tandis que l’extrémité de son pouce presse gentiment mon anus dilaté. Je suis contrainte de subir sa loi, d’attendre son bon vouloir. Je me soumets, encore plus mouillée, encore plus ouverte, plus offerte, dilatée en surface et en profondeur. Je me sens toute creusée pour lui, je vais l’aspirer, l’engloutir, le pomper de mes spasmes, mais seulement quand il le décidera. Cette attente est délicieusement insupportable ! Enfin il se fixe au bon endroit, son gland presque entièrement engagé en moi. Mais le salaud reste ainsi immobile, m’empêchant d’aller au-devant de lui. Je hurle :
En vain ; alors je le supplie :
Il comprend alors très bien qu’il peut me la mettre dans la bouche ou dans le cul, que je suis prête à le prendre de toutes les manières possibles, tellement je le désire. Aidé de sa main, il tourne autour de mon volcan liquide, élargit encore le cratère. Dieu que c’est bon ! Que j’ai envie de le sentir bouger en moi ! Soudain, d’un coup d’une rapidité et d’une violence extrême, il plonge en moi et s’immobilise ainsi, son ventre plaqué contre mes fesses, ses poils écrasés contre ma vulve. Toute ma sensibilité est concentrée sur la présence en moi de la colonne de feu si désirée, que je sens palpiter ou bien c’est mon vagin enfiévré qui palpite autour de lui ou bien les deux je ne sais plus. Mais quand est-ce qu’il va bouger ce type ! Mon bassin se met à tourner autour du pivot délicieux et si ferme, je le masse, le branle, et voici que très lentement, vraiment très lentement, il amorce un retour vers l’extérieur de moi. Chaque millimètre de mon vagin le sent bouger ; il révèle et fait jouir ainsi chaque parcelle de ma cavité. Enfin, il ressort complètement, mais si près, qu’il me frôle parfois ; il s’immobilise à nouveau dans une insupportable attente. Mais comme son pouce s’est légèrement enfoncé dans mon anus, c’est là que ma sensibilité se rue, que le désir d’être pénétrée à fond se transporte. Je me pousse vers son pouce, parvient à me l’enfoncer un peu plus, mais alors d’un coup aussi violent que la première fois, il plonge son sexe jusqu’au cœur de moi, puis le retire aussi vite, me laissant béante de désir et bouche-bée. Plusieurs fois, il fait cet aller et retour hyper rapide, avec entre chaque mouvement, une attente exaspérante de désir. Il aime ma béance, l’empreinte circulaire que le passage de son cylindre laisse entre mes grosses et petites lèvres. Il se délecte à plonger son regard dans mon intimité rose, trempée, nacrée. L’adorable salaud me prend des yeux autant et même plus que de sa bite. Il inverse son style : maintenant il entre en moi avec une lenteur inconcevable, par quart de millimètre, et quand, après une infiltration délicieusement lente et longue, il est enfin plaqué contre moi, que je le sens au plus profond, il reste immobile jusqu’à ce que mon corps commence sa danse autour de lui ; alors il ressort avec une extrême rapidité pour recommencer, après un temps d’arrêt, sa si lente progression dans ma fournaise liquide. J’en hurle de désir.
Comme pendant ce dédoublement de personnalité, mes doigts n’ont pas cessé de danser sur mon clitoris, je pars dans une jouissance à rendre jalouse la plus jouisseuse des filles, et le plus macho des mecs.
L’inconvénient d’être femme c’est que notre sexe est caché. Heureusement qu’on a inventé les miroirs pour compenser la frustration qui en résulte. Comment faisaient-elles, les femmes de la préhistoire, pour regarder leur sexe ? Sans doute devaient-elles s’accroupir au-dessus d’une petite flaque d’eau. Ou bien, regardaient-elles de très près la vulve d’une autre femme ? Cette dernière idée me trouble curieusement.
J’approche une chaise du miroir de l’armoire, et vais chercher dans la salle de bain un autre miroir, portable, avec une face grossissante, que Will utilise pour se raser. Moi aussi, je l’utilise pour me raser les lèvres de la vulve. Mon minou est tellement plus excitant, avec la touffe de poil au-dessus du pubis, mais les grosses lèvres nues, bien lisses et douces. Et puis, on sent beaucoup mieux les caresses des mains, et de la langue. Et les hommes adorent nous voir plus " nioues " que " nioues " comme dit Will avec son accent américain que j’adore.
Je pose un pied sur la chaise, et comme ça, je peux bien regarder mon cher trésor, entre mes cuisses, et qui plaît tant aux hommes. Pendant ma période d’ovulation, mes grosses lèvres sont un peu plus gonflées qu’à l’accoutumée, tout comme mes seins. Mes nymphes (j’aime ce mot) sont de couleurs plus vives, plus contrastées. Je suis un peu entrebâillée, mon minou laisse voir qu’il est rose et luisant de mouille à l’intérieur, même mes cuisses sont mouillées tellement je coule. Je me dis que tout mon corps a mis ses clignotants pour dire
Je me regarde avec le miroir loupe, et tout en me caressant, j’inspecte le cher trésor. Je le trouve très beau avec ses petites lèvres légèrement frisées, et dont les bords sont un peu plus foncés, comme soulignés d’un trait de maquillage ; elles dépassent nettement des grosses, pour attirer l’attention, chochottes ! L’effet grossissant du miroir loupe correspond bien à la priorité que mon sexe m’impose en ce moment : il draine toutes mes attentions. J’ai vraiment l’impression d’être complètement à son service. C’est mon maître, un maître exigeant, mais qui me donne tellement de plaisir…
Nombreuses sont les femmes qui ne trouvent pas que leur sexe est beau. Les imbéciles ! Même si elles ne le trouvent pas beau elles devraient tout de même prendre en compte l’extraordinaire pouvoir qu’il a sur les mâles. Moi je l’aime mon minou, ma source de plaisirs immenses, et rien que de le regarder dans le miroir, je vois mon clitoris devenir plus grand, se pousser au-dehors de son capuchon, et son petit bout rose me fait coucou. Je le rassure " Voilà, ça vient, je vais encore m’occuper de toi " Dans ma fente onctueuse, je plonge délicieusement mon doigt qui, ressort bien doux, bien glissant. Alors je fais avec ce doigt rouler doucement le petit pénis durci. Mumm, que c’est bon ! J’accélère, de plus en plus vite. Dans le miroir, je vois aussi le petit soleil en creux, mauve, étoilé, vibrer par sympathie et proximité. Je le trouve beau lui aussi, mon anus, et il a souvent été léché par des mecs qui aiment bien le mettre à contribution dans nos ébats amoureux. J’avoue être assez sensible de ce côté-là aussi. Se faire mettre un gros machin là, quand on est bien préparée, ça donne de sacrées sensations.
En essayant d’être la plus discrète possible, je me fais jouir comme une folle. Je suis très experte à ce petit jeu.
Après cette fête, je suis plus calme, mais pas rassasiée. Au contraire, cela m’a plutôt mise en appétit. Je prends une douche, en veillant à ne pas mouiller mes cheveux. Ils sont très beaux, et je les ai lavés hier au soir. Évidement, je me fais encore jouir avec le jet chaud de la pomme de douche spéciale, que j’ai achetée car elle possède plusieurs possibilités de jets pulsants et tournants, c’est divin, j’adore ça, et c’est très efficace ! Je pars en un rien de temps en mordant mon bras pour ne pas crier.
Il faut que je sorte, que je voie des mecs dans la rue, que je puisse fantasmer sur eux, et sur leurs attributs qui me font tant défaut en ce moment. Je sais comment je vais m’habiller. Comme le fond de l’air est encore un peu frais, je vais mettre mon manteau long, gris anthracite celui qui m’arrive presque aux chevilles, mais qui est ouvert devant jusqu’au pubis, et fendu derrière aussi haut. Dessous, je mettrais ma jupe grise hyper courte, qui arrive presque au ras du bonbon. J’adore le contraste des longueurs. Quand les fentes du manteau s’écartent généreusement en marchant, les mecs voient soudain mes jambes adorables, et ils ont un choc, ça les excite dur, et moi aussi, j’aime leur regard bouleversé, avide et vrillant de désirs à ce moment. S’ils pouvaient, comme dans les dessins animés de Tex Avery, leurs yeux jailliraient de leurs logements et viendraient voir mes trésors sous ma jupe, de tout près, à me frôler de leurs cils, et ma petite chatte crémeuse leur donnerait des larmes de plaisir.
J’enfile maintenant des bas très clairs, toujours pour le contraste, et qui tiennent tout seuls, grâce à leur bande en dentelle élastique. La jupe est si courte qu’on voit la dentelle, mais c’est tant mieux, j’ai envie d’être hyper sexy aujourd’hui. Je complète ma tenue incendiaire avec des bottes en cuir noir qui vont jusqu’au-dessous du genou. Selon les mouvements ou si je m’assieds, on voit facilement la peau au-dessus des bas, et là, les mecs flanchent. Ils tirent une langue longue comme ça, et quand je dis une langue, il n’y a pas que ça qu’ils tirent, vous savez bien à quoi je pense. Et ce qu’ils ne savent pas, les doux chéris, c’est que je ne mettrais pas de culotte aujourd’hui. Cela va tout à fait avec mon état. Je suis prête, du haut en bas, à faire toutes les folies avec mon corps. En tout cas, je me sentirais très désirable et tout à fait abordable, et rien que ça, cela me fait jouir, autant physiquement que dans la tête.
J’espère que les mecs le sentiront aussi, ces gros nigauds. Des fois, il faut leur mettre le point sur le "i". En pensant à ça, je me représente le point comme étant ma petite chatte, et le corps du " î " comme étant un beau pénis bien raide, et bien chapeauté par mon accent circonflexe tout mignon et bien écarté qui me ressemble plus qu’un point.
Tout en m’habillant, je me caresse encore avec fougue et délice. Je m’imagine à la terrasse d’un café, croisant et décroisant mes jambes pour que les mecs qui passent aient juste le temps d’entrevoir que je ne porte pas de slip et que, de plus, je suis rasée. Mon rêve, c’est de les faire décharger dans leur pantalon, rien qu’à me voir. S’ils ont une femme qui les attend à la maison, elle n’aura pas intérêt à dire non ce soir-là, car ils se vengeront sur elle de ne pas m’avoir baisée de toute la force de leur bite insolente et pénétrante. C’est leur femme qui en profitera, et elle ne saura pas que c’est à moi qu’elle devra leur fougue et leur vigueur. Mais je suis bonne fille, et si elles y trouvent leur compte, cela me va bien. Entre femmes, vous le savez, il y a beaucoup de complicité.
Je mets un chapeau feutre, les lunettes noires et je relève mon col. Voilà, je suis incognito. Là où je vais, il faut que personne ne puisse me reconnaître. Je prends le métro jusqu’à la gare Montparnasse, assez proche de chez moi.
J’adore les ambiances de gare ou d’aéroport. Tous ces gens qui vont, et viennent, certains pressés, d’autres qui flânent en attendant leur train ou leur avion, disponibles, exilés de leurs habitudes. Je ne sais pas pourquoi, mais l’ambiance des gares et autres lieux de transit m’a toujours terriblement excitée. Comme si c’était un espace où tout est permis, où tout est possible, où des relations aussi intenses qu’éphémères peuvent se nouer facilement. En me masturbant, j’ai souvent fantasmé de faire l’amour debout, dans un recoin d’une gare, presque au vu des passants, avec un inconnu dont je ne connais même pas le prénom, mais qui, superbement raide, s’enfonce en moi, toute cambrée pour mieux m’offrir par-derrière. Je garde les jambes serrées pour mieux sentir le moment délicieux où il s’impose, où il me force, et le frottement de sa bite qui glisse en moi. Assez vite, il me donne toute sa sauce blanche tandis que je l’inonde moi aussi de mes sécrétions, en retenant mes cris. Un instant plus tard, il se perd dans la foule, et plein d’autres se présentent, se coulent en moi aussi furtivement que puissamment et délicieusement, moi qui suis si mouillée pour les accueillir, mouillée de moi-même et de tous les spermes engrangés au fond de moi. Quand bien cambrée, j’ai ainsi reçu aux creux de moi accessibles par l’arrière, plusieurs beaux gaillards aux visages vagues, mais dont les bites sont merveilleusement fermes, actives et vigoureuses, je sens mon ventre et l’intérieur de mes cuisses tout huileux de leur sperme, en imagination seulement, hélas ! Des fois, je fantasme que j’offre mes arrières disponibles à des bites complètement anonymes, je ne sais pas s’ils sont jeunes ou vieux, beaux ou laids, tout ce qui compte, c’est qu’ils soient fermes et décidés, qu’ils se ruent en moi de toute leur force, qu’ils me secouent dans un rythme d’enfer, et qu’ils m’envoient enfin les puissantes giclées qui remontent de leurs couilles durcies par leur désir, pour jaillir au tréfonds de moi, comme un ultime prolongement de leurs queues si bonnes, si puissantes, si généreuses.
Je flâne dans la gare, je m’imprègne de l’ambiance. Je suis très excitée, mais mes lunettes noires dissimulent mes désirs lubriques, et je peux regarder l’entrejambes des mecs en toute discrétion. J’en vois qui me semblent vraiment intéressants, avec des volumes conséquents et, je le devine, du poids. Alors seulement, je regarde leur visage pour voir s’ils sont beaux, ce qui alors ajoute encore à mon plaisir et à mon désir.
J’entre dans une maison de presse, et feuillette un magazine féminin. Je le prends, et vais vers un autre rayon, en haut, où sont les revues pornos. J’en prends une pour gays, la feuillette rapidement pour vérifier qu’on y voit de beaux mecs à poils, aux poitrails superbes, avec d’énormes machins bien raides en haut de leurs cuisses musclées. Je la garde aussi. J’en choisis une autre encore où on voit de superbes filles bien exposées sur toutes les coutures, et aussi des couples hétéros ou exclusivement féminins en train de se faire du bien partout. On y voit aussi des trios, des quatuors, bref, tout ce qu’il faut pour m’exciter encore plus. Les filles sont super belles, et vraiment classes. Je vais à la caisse, et tends mes trois revues en mettant "Elle" au premier plan, à sa vue. Le gars qui encaisse me fait un grand sourire complice, et il met les revues dans un sac discret, en plastique. C’est un amour, ce mec, et je lui rends mon plus beau sourire, derrière mes lunettes. Mais je passe aussi ma langue sur mes lèvres, voluptueusement, pour qu’il bande ce soir en pensant à moi, à ma bouche et à ma langue qui savent et qui aiment si bien donner du plaisir aux mecs, comme il l’a très bien compris. Celui-là, pour me le faire, je n’ai qu’à lever le petit doigt (je pense en particuliers au plus petit des mes onze doigts, celui vers lequel convergent les petites et grosses lèvres de ma vulve adorable)
Comme à l’évidence, le jeune mec est seul dans son échoppe, et qu’il ne peut pas déserter son poste, il se contentera du souvenir de mon charme, de ses fantasmes et, je l’imagine facilement avec jubilation, de sa main enveloppante secouant vigoureusement sa virilité de haut en bas, en pensant à moi et à ma bouche.
Je sors de la gare avec mon butin, et, dans une petite rue proche, il y plusieurs Sex-shops. Aujourd’hui, j’ai tous les courages, et je pousse le rideau de l’une d’elles. Les murs, et des présentoirs au milieu exposent des couvertures de vidéos assez vulgaires, mais qui me font tout de même un effet certain. Il y en a vraiment pour tous les goûts et pour toutes les catégories d’obsédés sexuels.
Je suis la seule femme dans la boutique, mais les trois clients masculins regardent les photos, comme moi, et ils sont si absorbés par les images qu’ils ne me prêtent pour ainsi dire pas d’attention. Il est vrai qu’avec mon col relevé et mes lunettes noires, je ne montre pas grand-chose. Pourtant, le mec qui est à la caisse me sourit d’un air idiot, mais explicite. S’il savait que je ne porte pas de culotte, il se croirait acteur d’une de ses cassettes vidéo, et il s’apprêterait mentalement à me tringler en partouzant avec une demi-douzaine de nanas toutes plus sexy les unes que les autres, comme sur les photos de sa boutique, le prétentieux !
Malgré tout, je constate que je l’intéresse, lui qui vit au milieu de toute cette débauche virtuelle. Avec moi, c’est du vrai, du palpable, du pénétrable, et il le sait, le salaud ! Mais je ne suis pas pour lui, il est bien trop imprégné de la vulgarité ambiante. Il m’arrive de m’encanailler, certes, mais au fond, je ne suis pas vulgaire, et ce type ne me plaît pas.
J’arrive devant un rayon où trône un grand nombre de pénis artificiels, et autres accessoires destinés à procurer du plaisir aux femmes qui n’ont pas froid aux yeux et encore moins aux fesses. Certains olisbos sont si énormes que je me demande qui peut bien acheter cela, sauf pour faire de la décoration.
Comme s’il m’avait entendu penser, le garçon quitte sa caisse, s’approche de moi, et me dit "Il y en a qui s’en servent vraiment", et il feuillette devant mes yeux écarquillés, une revue sur laquelle je peux voir, ébahie, des hommes et des femmes utiliser ces trucs vraiment géants. J’en suis complètement sidérée, et je me demande si ma mignonne petite chatte pourrait bien absorber de tels morceaux. Après tout, elle est à même, paraît-il, de se dilater suffisamment pour laisser passer la tête d’un bébé ! Tout de même, mon choix s’oriente plutôt vers un modèle double de proportions raisonnables. Il consiste en un gros simulacre de pénis, à l’évidence destiné à la vulve, accolé à un plus petit, parallèle, dont la destination me semble être, à l’évidence, l’anus. J’en suis toute rêveuse. Toujours obligeant, le garçon du magasin me décrit un autre usage possible qu’il m’explique : le petit peut être orienté vers le clitoris qu’il fait vibrer tandis que le gros glisse bien où il faut, et fait vibrer les délicates et si sensibles muqueuses intimes de la femme. Car ces engins sont à piles, et il est possible de régler la vitesse, et l’intensité des vibrations pour chacun des deux complices. Je trouve cela intéressant, mais il me montre un autre engin, à moteur vibrant lui aussi, mais qui de plus, ondule sur toute sa longueur comme un serpent lubrique. Rien que de voir la démonstration dans les mains du garçon, j’en suis toute chose, le souffle coupé et la chatte complètement mouillée. Ne portant pas de culotte, je sais, je l’ai déjà dit, mais ça m’excite de le redire, ça coule sur mes cuisses nues, je ne raconte pas d’histoire. Ce machin qui ondule en vibrant, cela doit faire un drôle d’effet quand on l’a dedans !
Ces engins sont vendus un prix que j’estime exorbitant. Ils doivent drôlement gagner leur vie à ce tarif là. Mais aujourd’hui, je ne suis pas en état de résister à mes pulsions, et prends celui que je baptise déjà " le serpent lubrique ", et qui se tortille d’une manière si troublante. Il ne fera pas double emploi avec celui que Will m’a offert, vibrant lui aussi, mais tout lisse, et tout doré, et sur lequel il a gravé son prénom pour que je pense à lui quand je m’en sers. Celui que j’achète a un toucher et un aspect qui évoquent vraiment ce qu’il veut imiter, et il a beaucoup de reliefs qui doivent faire du bien en bougeant là où il faut. Il est d’une bonne taille tout en restant dans les limites du raisonnable. Il existe en plusieurs teintes mais je choisis celle qui imite le mieux la nature de chez nous, après avoir longtemps hésité entre ce dernier et le même aux couleurs de l’Afrique noire et rose.
Je choisis encore, c’est mon jour de folie, deux petites boules reliées par un fil, que l’on doit se mettre dans le vagin pour se faire caresser de l’intérieur en marchant ou en se balançant sur un rocking-chair. Il y la taille jeune fille, et la taille femme, c’est cette dernière que je choisis. Cela fait tout de même un bail que je suis dépucelée. Je vous raconterai ça un autre jour.
Je prends aussi une sorte d’œuf vibrant dont le vendeur me vante les mérites, en particulier lorsqu’il est bien logé devant, et qu’un homme astucieux s’enfonce derrière. Ce type a tout de même le don de me faire mouiller, avec ses explications apparemment très techniques.
Je dis au vendeur de me préparer l’addition, il me remet mes joujoux dans un sac anonyme, je paye, mais avant de partir, j’entre dans une cabine dans laquelle on peut visionner plein de cassettes pornos, dont des images, très hard, sont plaquées tout autour. Je n’enfile pas de pièce dans la fente de l’appareil, mais j’enfile dans ma mignonne fente ruisselante, les deux boules de geisha. Sans culotte, et dans l’état où je suis, c’est facile, ça glisse tout seul. Tout excitée, je reviens vers la caisse, et tend au vendeur l’emballage vidé de ses boules que je sens gentiment bouger au creux de moi quand je marche. Le regardant bien dans les yeux, j’ai ôté mes lunettes pour l’occasion, je lui dis de ma voix la plus langoureuse :
Il est ahuri, bouche ouverte mais je ne lui laisse pas le temps de me répondre, je claque des doigts, et lui lance :
Je marche vite, pressée maintenant de rentrer chez moi pour tirer profit de mes achats. Les petites boules bougent au creux de moi, ce n’est pas très spectaculaire, mais tout de même, c’est bien agréable, et cela entretient parfaitement mes humides obsessions du moment. De plus, la sensation de marcher sans culotte est divine, surtout quand je croise un mec tout mignon, et qui n’imagine pas ce qu’il perd car, en imagination, et protégée par mes lunettes noires, je lui fais faire avec mon corps des choses qui lui plairaient énormément.
Je pénètre dans la bouche du métro, m’engouffre dans une longue rame qui, elle-même, plonge dans un tunnel sombre qu’elle illumine de son passage. L’arrivée à la station, dans la lumière, tandis que le tunnel s’ouvre, devient plus large, m’évoque l’extase amoureuse, l’orgasme. Je ne suis pas cinglée, mais en ce moment, tout me parle de sexe, de pénétration, de jouissance ; même le métro, c’est dire.
Je sors du métro à la station La Motte-Piquet Grenelle, encore un nom à consonances érotiques (La motte piquée, greluche) Je n’attends pas l’ascenseur et grimpe à toute vitesse jusqu’au deuxième étage, vers mon deux-pièces (je ne parle pas d’un ensemble de lingerie sexy, mais de mon appartement) De temps en temps, je contracte mon vagin pour être sûre de ne pas perdre mes chères petites boules, car je suis vraiment très mouillée. Cela coule sur mes cuisses de biche en chaleur. Vivement qu’il me prenne, mon beau cerf, en attendant, puisqu’il n’est pas là, je vais le faire cocu avec mes précieux et onéreux gadgets.
Sitôt chez moi, je me débarrasse du manteau, admire mes superbes jambes dans le miroir ainsi que mes fesses provocantes, désirables, qui aimantent si bien les yeux lubriques des mecs. Une mini jupe, portée sans culotte en haut de jambes aussi jolies que les miennes, c’est vraiment bandant. Je constate cependant la douce présence de mes seins, gracieusement moulés sous mon tee-shirt à côtes fines ; les pointes sont plus saillantes que d’habitude ; elles se préparent déjà à la fête ! Je vais dans la salle de bain pour laver soigneusement, avec du savon doux, mon futur amant mécanique. Cela me rappelle aussi comment nous nous lavons ensemble sous la douche, Will et moi. Bien sûr, nous adorons nous laver réciproquement, tout particulièrement nos parties sexuelles, en relief, et en profondeur, ce qui est très agréable.
Je me déshabille vite fait, et m’installe sur le lit avec le cadeau vibrant de Will, avec celui que je me suis offert aujourd’hui, plus l’œuf, le tout bien équipé de leurs piles. J’ôte délicatement les boules de Geisha en tirant sur la ficelle qui pend entre les lèvres humides de ma petite chatte tout excitée. Je leur fais un petit bisou reconnaissant. Je déploie mes deux revues pornos, et commence à feuilleter en premier celle où il n’y a que des mecs, super-musclés, et vachement bien montés. Ce n’est pas visible sur leur tête qu’ils sont homos, et je ne prive pas de les admirer et de les désirer tout en passant mes mains douces un peu partout sur mon corps. Je m’imagine volontiers avec autour de moi une demi-douzaine de ces solides gaillards, que je choisis sur catalogue en quelque sorte, et qui exigent de moi pleins de trucs auxquels je me soumets de très bonne grâce.
J’imagine les mecs debout autour de moi. J’ai le corps suspendu, car je m’accroche des mains à deux solides pénis, tandis que mes pieds s’appuient sur deux autres branches qui partent de la base du tronc de deux mâles particulièrement puissants. Une cinquième bite me fourre le vagin dans tous les coins, et une autre s’enfonce dans ma bouche ou plutôt dans ma gorge tellement elle va loin en moi, comme pour rencontrer le bout de celle qui me perfore en bas.
Tout en imaginant ces exploits, je me caresse les seins d’une main, et de l’autre, je fais glisser le vibro doré de Will sur mes lèvres du bas toutes gonflées de désir. Je mets les vibrations au maximum d’intensité et, avec l’engin, je frôle mon clitoris qui réagit en m’envoyant des vagues d’intense volupté. C’est merveilleux, plus je me caresse, et plus j’ai envie. Les vibrations me pénètrent au plus profond, je sens mon vagin et mon anus s’ouvrir et se fermer alternativement, avec des spasmes voluptueux, la décharge arrive, je le sens, je plonge enfin avec délice l’engin vibrant dans ma chatte liquide et chaude et…
Dring !
Pendant une ou deux secondes, je me demande ce qui m’arrive, tandis que l’immense vague de volupté hésite à déferler de toute son inconcevable puissance. Dring ! Un second coup de sonnette me fait ressaisir, très difficilement je dois le dire, et vraiment à regret. On sonne à la porte. Puisque ce n’est pas l’interphone, il doit s’agir du facteur ou d’un relevé du compteur, d’eau ou d’électricité ou bien c’est un plombier qui entretient l’immeuble. S’il est baisable, je me le fais sur-le-champ, pensé-je, et je vais à la porte dans le plus simple appareil, les cuisses trempées de mon nectar intime, les pointes de mes seins tendues vers des baisers d’inconnu.
Je me souviens soudain de notre rendez-vous, qui m’était complètement sorti de la tête. C’est ma chouette copine de fac, qui habite près d’ici, et qui vient réviser du droit avec moi. Je suis confuse, et lui dis d’attendre un instant. Vite, je cache mes revues et mes objets de plaisir dans le lit, rabats la couverture dessus, enfile mon kimono en fine soie imprimée, et lui ouvre la porte.
Elle me regarde d’un air bizarre ou simplement attentif.
Dans la salle de bain, je m’installe vite sur le bidet, et fait pipi tout en faisant couler de l’eau froide sur ma vulve. D’abord, il faut calmer le feu, et aussi enlever mon odeur d’amour, sinon, la futée pourrait bien la percevoir.