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Temps de lecture estimé : 34 mn
19/12/04
Résumé:  Deux amies étudiantes révisent et visitent les parties habituellement cachées.
Critères:  ff fbi fmast intermast cunnilingu fgode
Auteur : Eresse  (Une période extraordinaire 2)

Série : Une période extraordinaire

Chapitre 02 / 03
Vally

Je reviens dans la chambre, et ouvre grand la bouche, stupéfaite. Valérie est assise sur le lit, les cuisses ouvertes, genoux pliés, pieds sur le lit, et elle fait aller et venir, par-dessus sa petite culotte blanche, mon petit Will doré qui vibre de plaisir donné et reçu. Quelques poils noirs dépassent un peu du slip et c’est encore plus troublant, d’autant que la pression de l’engin a moulé sa vulve, révélant de manière très troublante ses reliefs et ses creux. De plus, la culotte est nettement mouillée à cet endroit stratégique, et ce n’est certainement pas du pipi.


Elle me sourit, et dit, très à l’aise :



Elle a dit ça avec une moue quémandeuse et sexy, absolument irrésistible.


L’effet de surprise à peine estompé, je trouve la situation extrêmement intéressante, et tout mon désir réprimé, un peu calmé même par la surprise et aussi par la douche froide locale, tout mon désir me revient, mais avec une tonalité différente. Sans avoir quelque chose contre, je n’ai jamais été vraiment intéressée par les amours entre filles. Mes amours enfantines avec Virginie, ça ne compte pas vraiment, c’était pour apprendre le plaisir, et cela avait duré si peu. Bien vite, les garçons, puis les hommes, ont pris suffisamment de mon temps, et de mon corps, pour ne guère laisser de place à des amours moins traditionnelles. Mais l’occasion fait le larron, dit-on, et me voici devant une opportunité que mon humeur, associée à mon excitation, me pousse à saisir, et à explorer à fond pour jouer cette nouvelle carte du tendre. Je me demande si, faute de grive, je suis en train de me contenter de merle. Soit, mais il y a tout de même autre chose, j’ai vraiment très envie de toucher cette fille, de boire ses lèvres, de faire dresser les pointes de ses seins, j’ai même envie de lui passer ma main entre ses cuisses, de sentir sa vulve chaude et mouillée s’ouvrir heureuse sous mes doigts. J’y plongerai même très volontiers ma langue. J’ai très envie d’elle, je me l’avoue sans honte ni vergogne.



Je réagis très vite :



Valérie sourit avec une merveilleuse et troublante expression de désir et de joie ; je comprends que c’est gagné, elle veut la même chose que moi. Je défais alors la ceinture de mon kimono, que je fais glisser d’une manière fluide jusqu’à mes pieds. Je suis nue devant elle, je me tourne et retourne, comme un mannequin sur un podium ou plutôt, comme une fille qui déploie tous ses atouts pour séduire, pour se faire désirer. Je me cambre, fais saillir mes seins, je lui montre le beau morceau de fille qui s’offre à elle. Elle m’admire, je le vois bien, et elle a raison, je suis vraiment belle, j’ai un corps magnifique avec une peau merveilleusement douce, que je soigne bien, absolument faite pour les caresses et les baisers. Mes seins sont fermes, et pointus, ma taille fine, et mes fesses sont rondes et dures, mes reins cambrés presque comme les filles africaines, ce sont mes amants qui me l’ont dit, et je suis bien de leur avis. Elle regarde mon pubis tout lisse, imberbe, à l’exception de la petite touffe décorative au-dessus, et elle ouvre de grands yeux.



Elle sourit, mais je sens son trouble, elle doit mouiller encore plus.



Elle a dit ça d’un air à faire bander, même une fille comme moi ! Mon Dieu ! Elle est irrésistible si elle le veut. La coquine, elle aussi essaye de me séduire, et ça marche !


Je ne me fais pas prier, et je tire de chaque côté, mais exprès, la salope ne fait rien pour m’aider, elle laisse son bassin lourd, et je n’y arrive pas. Je dois avoir une expression désespérée qui la fait éclater de rire. Alors elle soulève gentiment et gracieusement son bassin d’un mouvement d’intense féminité érotique dans lequel je me reconnais : je crois bien que je fais exactement les mêmes mouvements quand un mec m’enlève ma culotte !


En un rien de temps, le slip arrive à ses genoux. L’ayant ôté, je le lance au loin dans la pièce non sans avoir vérifié qu’il était sérieusement mouillé à l’entrejambes, et respiré la délicate odeur intime de mon amie. J’en pousse un soupir de joie et de détente. Je sens que cela va être très bon, ma première expérience avec une fille ; mon ventre me le dit en se creusant de plaisir et de désir et mon souffle un peu oppressé témoigne de mon émotion gourmande. Elle a une touffe de poils noirs assez fournie, qui se sépare en deux pour encadrer plus légèrement, en moins fournie, sa fente entrebâillée, humide et luisante, qu’elle offre à ma vue très naturellement, en confiance, sans impudeur ni embarras. Sa fente est longue, et à l’intérieur c’est plus coloré que sa peau, un peu rouge. Ses petites lèvres sont très visibles, et un peu frisées sur les bords, s’écartant davantage en bas, comme une goutte d’eau, révélant l’entrée de son vagin tout rose et luisant dedans. Elle doit être super excitée car son minou est un peu ouvert, comme c’est le cas après qu’un mec vient juste d’en ressortir et qu’il s’y soit bien agité dedans, longtemps enfoncé et reculé pour prendre à chaque fois un nouvel et puissant élan.


Le clitoris de Vally doit être assez long si j’en juge d’après la taille du capuchon, qui semble assez ferme. Elle doit bander à sa manière.



Pour lui dégrafer le soutien-gorge, je dois me pencher vers elle, et je lui donne un petit baiser dans le cou ce qui lui fait pousser un doux soupir de bonheur tandis que je hume son parfum délicat, et séduisant, tout comme elle. Elle a des seins parfaits, dont les bouts pointent fermement, révélant son trouble. Ils sont un peu plus gros, et un peu plus ronds que les miens, et s’offrent à mes regards admiratifs. Je les frôle gentiment et elle en gémit de bonheur. Elle aussi, après avoir profité de la proximité de mon ventre devant son visage, pour y déposer des bisous légers et précieux, regarde maintenant mes seins, peut-être pour comparer aux siens ou pour les trouver beaux tout simplement. D’ailleurs, tout naturellement elle effleure un de mes seins qui se gonfle d’aise, et se tend vers sa main si douce. C’est fou ce que nous sommes belles toutes les deux, et combien nous nous ressentons et désirons, sans qu’il soit nécessaire de parler.



Je rectifie aussitôt :



Elle se laisse faire, avec des soupirs éloquents et une expression de même ; elle avance même sont buste divin vers mes mains douces et enveloppantes. C’est vraiment super agréable de lui caresser les seins, je n’en reviens pas. Mais je ne perds pas de vue mon objectif :





En disant la dernière phrase, je me rends compte du sous-entendu et, par la même occasion, de mon désir jusqu’alors inconscient d’offrir à Will celle qui n’est même pas encore ma maîtresse. Mais elle semble n’avoir pas fait attention, aussi, je laisse cela de côté.



De ses doigts gracieux, et intelligents, elle commence doucement à faire bouger en tournant la peau de son pubis et de ses grosses lèvres, aux abords du clitoris. Sûrement qu’elle ne se force pas, car je vois couler ses sécrétions de son sexe tout nacré. Que c’est beau et troublant, une femme qui se caresse ! En même temps, elle me regarde d’une manière telle, ses lèvres entrouvertes, que je ressens son désir de moi jusqu’au plus profond de mon sexe, qui la désire autant. Elle est si naturellement provocante, si féminine, si sexy ! Je me demande si elle est comme ça avec les mecs ou bien si elle se le permet totalement parce que je suis comme elle, une femme. Cependant, je constate une totale similitude entre sa manière de se caresser, et ce que je me fais moi-même assez souvent, il faut bien le dire. Sommes-nous sœurs à ce point dans le plaisir.? Ma propre main va sur mon sexe, et reproduit d’instinct les mêmes gestes qu’elle a sur elle, ce qui produit sur moi les mêmes effets délicieux. Nous soupirons ensemble, gémissons même, à l’unisson. Elle regarde ma main sur mon sexe, aussi fascinée que je le suis de la regarder faire. Elle tend timidement son autre main et effleure mes grosses lèvres, ce qui me fait vibrer de partout. C’est vraiment extraordinaire de se masturber l’une devant l’autre, je ne sais plus si c’est moi ou si c’est elle, tant nous partageons notre plaisir et notre manière de nous le donner. Qu’elle est belle ainsi ! Et que je dois l’être aussi à ses yeux dans l’expression, à pleine puissance, de ma féminité !


Je ressens envers Vally des sentiments complexes : d’une part j’ai envie d’être comme un homme - ils ont de la chance ceux-là de s’installer entre nos cuisses ravissantes, de pénétrer en maître notre chatte délicate et humide de désir, de profiter de notre beauté et de notre sensualité - j’ai donc envie de la prendre, et de la pénétrer comme un mec, de jouir de sa jouissance de femme que je saurai lui donner, et d’autre part, je me sens femme comme elle, et j’ai envie de la caresser comme je le ferai moi-même, et qu’elle me caresse elle-même aussi bien, tout en raffinement, en subtilité, en délicatesse.


Mais je sais faire durer le plaisir, et en ce moment, je remplis mes yeux, et ma boîte à souvenirs, de son offrande à la voyeuse que je suis. Je n’ai pas le moindre remords car je sens qu’elle adore s’exhiber. Moi aussi, d’ailleurs, j’aime encore plus être vue que regarder, ce qui n’est pas peu dire. Je mets en marche le petit Will doré, et le lui tend. De l’autre main elle le saisit, et l’amène en renfort tandis que ses doigts s’occupent toujours de la région clitoridienne, le bout doré de petit Will produit des torrents de sensation à l’autre extrémité de la vulve, là où elle s’entrouvre naturellement chez elle, sur son puits des délices, tout rose, et si mouillé que cela coule sur l’anus, comme pour le préparer à jouer son rôle dans notre fête érotique. Dans son vagin, en gémissant, elle mouille le gland de Will et descend ensuite plus bas, en plein sur le centre de l’anus. Elle se cabre sous l’effet, pousse son pubis vers l’avant, c’est-à-dire vers moi, et j’en suis toute remuée. Je me sens un peu responsable de son plaisir, et c’est merveilleux. De plus elle me regarde, quand ses yeux ne se ferment pas sous l’intensité des sensations, d’une telle façon que mon vagin en tressaille, avec des spasmes voluptueux. Elle me fait l’amour rien qu’en me regardant ! Je sens bien qu’elle m’offre totalement son plaisir.


Sans rien perdre du spectacle qu’elle me donne généreusement, je pose un doux et léger baiser sur l’intérieur de sa cuisse. Son gémissement me récompense. Je la sens s’alanguir, s’abandonner, comme si ce petit baiser lui donnait la pleine autorisation de se laisser aller encore plus complètement. Je me rends compte alors, qu’elle est docile, soumise, et elle me laisse la diriger ; elle aime certainement que je lui donne des ordres. Que ce doit être bon d’être un homme avec elle ! Elle est totalement femme, mais aussi très simple, directe, ce n’est pas une fille à faire des manières, ni des histoires.


Elle aime faire l’amour, c’est évident, mais je sens qu’elle aime aussi se plier aux désirs du partenaire. On doit pouvoir lui demander tout ce qu’on veut, elle dira toujours oui, de bonne grâce, et elle y trouvera son plaisir. Sûrement que les hommes doivent lui demander de les sucer, ils adorent ça, et elle doit boire tout, comme ils aiment aussi. Je suis certaine qu’elle se sert très bien de sa bouche dans l’amour, et je ne demande qu’à reconnaître son talent quand il s’exercera sur mon intimité, ce qui doit arriver inévitablement, je le sais, je le veux !


Comme la plupart des hommes aiment bien nous prendre aussi entre les fesses, en constatant sa docilité je suis certaine, qu’elle se l’est fait mettre assez souvent au beau milieu de son joli petit derrière bien rebondi. Décidément, nous avons bien des goûts en commun.


Aujourd’hui, c’est moi la partenaire, et j’ai bien l’intention d’en profiter. D’ailleurs, c’est déjà bien commencé. Je prends sa main qui se caresse l’anus avec Will, et je pousse gentiment vers le centre d’elle-même. Docilement, comme je m’y attendais, elle se l’enfonce doucement, et halète son plaisir. J’ai l’impression, sans surprise, que ça rentre assez facilement. Quand elle le fait aller et venir, elle jouit, et crie son plaisir tandis que sa main vole à toute vitesse sur son clitoris qui pointe son petit museau rose. Sa vulve est ouverte à tel point que les petites lèvres sont comme escamotées, complètement aplaties, encadrant son puits des délices tout nacré de ses abondantes sécrétions.


Je déclenche alors les vibrations du vibro tortillant, le place le long de sa fente, et me plaçant comme un homme entre ses cuisses, qu’elle relève d’instinct, je colle ma propre fente toute mouillée sur l’autre face de l’engin. Nous le coinçons, tout gigotant entre nos vulves bouleversées.


Je lui tiens les poignets plaqués sur le lit, près de sa tête, comme un homme dominateur, et pousse en rythme mon bassin contre elle et contre l’engin tortillant dont les vibrations et les torsions nous font un bien immense, tandis que nous sommes cependant très attentives au contact suprêmement intime de nos vulves écartelées. Elle a fermé les yeux, et gémit sans arrêt, tandis que sa tête roule à droite et à gauche. Elle étreint mes reins de ses jambes, comme j’aime le faire avec mes amants. Dieu qu’elle est belle ainsi. À nouveau, j’ai une pointe de jalousie envers les hommes qui bénéficient, sans peut-être savoir l’apprécier vraiment, de nos somptueux trésors de beauté, de féminité et de sensualité. Elle est vraiment complètement partie dans sa jouissance, et j’éprouve un immense bonheur de m’en sentir la cause. Malgré mon propre plaisir, intense, je me maîtrise, comme le font les hommes, pour mieux jouir de sa jouissance.


Mais je me rends compte en même temps que je ne me laisse pas aller. En fait, je m’amuse à jouer les mecs alors qu’elle-même, me fait un vrai et merveilleux cadeau, de tout son être, et de tout son corps. Cette prise de conscience change tout, me fait soudain basculer dans le don total, et véritable. Je ne veux plus d’accessoire, du moins dans l’instant. J’ôte le serpent lubrique entre nous, et plaque ma vulve directement contre la sienne. Elle aussi cherche le même contact. Nos grosses lèvres s’intercalent, et nous glissons en mélangeant notre chaude humidité. Je sens ses poils, et elle doit sentir la douceur de ma vulve parfaitement rasée. C’est sublime. Je peux même sentir en me frottant contre sa vulve, les répercussions des vibrations du petit Will qui est toujours fiché dans son derrière, et qui doit lui faire des drôles de sensations dans ses profondeurs !


Je l’embrasse sur la bouche. Nos lèvres du haut se mélangent à l’instar de celles du bas, et nos langues mouillées sont comme nos nymphes enfiévrées, et pourtant si douces. Elle jouit en permanence, sans doute le vibrant petit Will doré y est-il pour quelque chose. Après un long moment dans cette position, sans l’avoir décidé, je bascule, et me retrouve le visage au-dessus de sa vulve tandis que mes genoux sont écartés de chaque côté de sa tête. Je plonge ma tête entre ses cuisses, ma langue trouve tout naturellement le chemin de sa fente onctueuse, au délectable parfum, et je lèche, lèche, comme si ma vie en dépendait. Elle gémit, et ondule très voluptueusement. Mais je sens sur mes hanches ses mains qui les attirent vers sa bouche. À mon tour d’obéir, avec joie, et je laisse doucement descendre mon bassin jusqu’à ce que je plaque mon minou en délire sur sa langue qui me sonde aussitôt au plus profond possible ou qui parcourt ma fente sur toute sa longueur, et même au-delà, sur mon anus qui tressaille de joie. Mes seins sont plaqués sur son ventre si doux, et inversement.


Je vis des moments sublimes, et elle aussi, c’est certain. Nous jouissons plusieurs fois, comme des folles, sans nous arrêter, comme c’est le cas avec les hommes quand ils jouissent. Eux, il leur faut souvent du temps pour récupérer, les pauvres chéris.



Je tends la main vers le gentil serpent qui s’est tortillé tout seul sur le lit pendant tout ce temps. Heureusement que j’ai mis des piles Duracel, il lui reste encore de l’énergie. Je plonge l’engin dans le puits liquide et dilaté de ma délicieuse amie, et tandis qu’il se tord et ondule à l’intérieur, je le fais aller et venir doucement en elle pour donner à ma jolie maîtresse un maximum de plaisir. Mais le fin du fin, de ma langue et de mes lèvres je me donne simultanément à fond sur le clitoris qui est vraiment pointé, ferme, comme un mâle minuscule, mais qui en ce moment, ressent au centuple ce que peut ressentir un vrai mâle. Avec de puissantes ondulations du bassin, Valérie hurle en se tordant de volupté au point que je m’inquiète pour les voisins. Heureusement, dans la journée, la plupart sont à leur travail. Elle ne peut plus m’embrasser au creux de mes cuisses tant elle jouit, mais qu’importe, c’est si bon de lui donner tant de plaisir, c’est vraiment comme si c’était moi-même qui jouissais ainsi. C’est plus que "comme si" car je jouis moi aussi, par sympathie, même sans aucun contact sur ma chatte si sensible. Tout à coup, tout son corps s’arque, se tend, et soudain se détend, complètement mou, mais tremblant. Je crois que de jouissance extrême, elle a perdu connaissance un instant, et j’ôte doucement mes accessoires phalliques, les réduits au silence, ramène mon visage près du sien, et la prend dans mes bras tandis qu’elle sanglote doucement, heureuse, blottie et complètement abandonnée dans mes bras. Je l’embrasse doucement sur la bouche, et nos parfums intimes sur nos visages encore mouillés de nos substances de femme se mélangent avec nos langues, plus douces et tranquilles maintenant.


Quelle expérience ! Quel bonheur ! Quelle entente, quelle harmonie ! Quelle jouissance nous sommes-nous donnée ! Que c’est bon de sentir son sein contre le mien, de caresser doucement son ventre si doux, et si beau ! Que je me sens bien, apaisée ! Je crois que ma période a trouvé son compte, et son content de jouissance. Au bout d’un moment, je la sens s’agiter un peu.



J’adore la façon qu’elle a de dire oui, docile, soumise. Cela m’excite, et j’ai envie de la soumettre à tout ce qui me ferait plaisir.



En disant que c’est la première fois, je mens peut-être un peu, mais Virginie à douze ans, et Vally maintenant, c’est quand même autre chose.



J’adore son regard complice et excité. Elle se couche à plat ventre sur le lit, en appui sur ses coudes et les jambes assez écartées, ses fesses merveilleusement en relief par la position, et compose le numéro. Pendant que ça sonne quelque part où est son mec, je lui fais plein de bisous sur la nuque, dans le cou, les oreilles. Elle se trémousse en riant. Quand elle commence à parler, mes baisers et mes coups de langue descendent le long de sa colonne, déclenchant plein de frissons délicieux. Elle se cambre malgré elle, et s’offre encore plus quand je couvre ses fesses si douces, et si fermes, de baisers. J’embrasse maintenant l’intérieur de sa cuisse, le pli sous le genou, et remonte en léchant la face interne de l’autre cuisse. Que sa peau est douce, fine ! On dirait que Dieu, s’il existe, l’a inventée pour que nous autres, les humains mâle ou femelle, inventions les caresses, et les baisers dignes d’une peau comme la sienne, si douce et si fine. Je l’embrasse à la jonction entre cuisse et fesse, je parcours de ma langue ce pli royal tout en humant ses délicieuses et chaudes odeurs de femme énamourée. Que c’est beau et désirable une fille comme elle ! Quand elle raccroche, je plonge ma langue dans son intimité toute fondante, et chaude, et elle roucoule d’aise en se cambrant encore plus. Son corps est fait pour la jouissance, il réagit parfaitement. Elle est toute offrande. J’ai un pouce qui appuie légèrement sur son anus souple et dilaté, frémissant, et ma langue se prélasse dans sa féminité exaltée. Mon autre main est glissée sous son pubis. Elle gémit d’une manière absolument attendrissante qui me fait fondre complètement, au sens propre comme au sens figuré. Je passerai des heures à m’occuper d’elle ainsi. Son plaisir, et la façon dont tout son être l’exprime sont les plus grandes des récompenses. Je ressens tout ce qu’elle ressent, et je sais d’instinct ce qui lui convient le mieux.


Je change, et enfonce lentement, mais fermement mon pouce droit dans sa féminité ruisselante tandis que le reste de la main frotte son pubis et le masse en synchronisation avec le mouvement du pouce à l’intérieur d’elle. En même temps, je lui fais la plus belle langue de rose qu’on lui a jamais faite, du moins je l’espère. Mes caresses lui plaisent énormément. Elle râle de plaisir, et inonde ma main de sa précieuse et inépuisable substance, tandis que son corps ondule, que son bassin avance et recule spontanément sur l’axe de mon pouce qui tourne en elle. Elle jouit très fort en suffoquant presque, en mordant le drap pour ne pas être trop bruyante. Je sens intuitivement le juste moment où il convient de suspendre en douceur mes caresses, et je la prends dans mes bras, son dos contre ma poitrine, ses fesses fermes à la peau si douce emboîtées dans le creux formé par mes cuisses repliées et mon ventre. Elle est toute tremblante encore, et hypersensible. Je la couvre de petits baisers sur la nuque, dans le cou, sur les oreilles, la maintenant serrée contre moi, mes mains enveloppant ses seins si doux. J’accompagne ainsi le doux reflux de son extase.


Les hommes en général ne savent pas nous accompagner, après notre jouissance. Il y en a beaucoup qui, sitôt après qu’ils aient éjaculé en nous, s’écartent, allument une cigarette, et s’isolent en eux-mêmes derrière un écran de fumée, absents, avec des yeux vitreux aussi expressifs que ceux des poissons gisant sur la glace à l’étalage du marché. Comme si d’avoir approché un instant, par leur plaisir, et encore plus par le nôtre, l’immense pouvoir de la vie et de sa joie, ils en avaient peur, et qu’il leur fallait s’en protéger. Peut-on être plus stupide ? C’est tellement bon, et important pour nous de revenir très lentement de notre extase, tout en tendresse.


Quand elle peut parler, elle me dit :



Sans jeu de mot ? Pas si sûr me dis-je, elle est bien branchée sur son pouvoir de s’ouvrir, et d’être pénétrée, cette fille. Sa langue a dit tout haut ce qu’elle pense tout bas.


Après un silence, elle enchaîne :



Elle se retourne joyeusement face à moi, et m’enlace, se cale entre mes cuisses qui s’ouvrent pour l’accueillir, presse amoureusement et délicieusement son corps contre le mien, m’embrasse fougueusement d’abord, et peu à peu, sa langue explore ma bouche, qui lui répond en harmonie, avec de plus en plus de douceur et de volupté. Elle me trouble énormément, et mes mains se réjouissent de tenir et d’écarter un peu ses fesses si rondes, et si douces. D’instinct, je le fais avec rythme. Tout doux, j’écarte, et je relâche, en alternance. J’imagine facilement sa fente juteuse et souple qui suit le mouvement que j’impose, s’ouvrant, se fermant, et soudain, j’imagine mon Will qui vient par-derrière ma copine, et qui se plante dans sa fente que je lui ouvre toute grande, projetant par ses coups de boutoir le pubis de la belle contre le mien. Je l’imagine, toute frémissante contre moi, jouissant en même temps par mon homme, et par moi qui l’embrasse et l’étreint, qui l’ouvre au maximum pour mieux l’offrir au mâle.


Je mets pour l’instant ces fantasmes de côté pour jouir pleinement du présent : le contact de nos seins m’enchante à un point que ne n’aurais pas imaginé. D’ailleurs, tout contact avec sa peau est pour moi un enchantement. Une fois de plus, je me dis que les hommes ont bien de la chance de pouvoir nous toucher, nous caresser, et encore plus de plonger en nous, qui sommes toute douceur, tendresse et beauté, et capables de leur faire cadeau de nos merveilleuses jouissances.



Dans la salle de bain, moi sur le WC, et elle sur le bidet, nous faisons ensemble murmurer nos petites fontaines, qui coulent d’abondance.


Elle en profite ensuite pour faire une rapide toilette, et je prends sa place pour en faire autant. Nous nous essuyons mutuellement avec infiniment de douceur, de complicité, et de doux baisers échangés. Elle a su réveiller en moi le feu qui couvait sournoisement, et j’ai maintenant vraiment très envie qu’elle s’occupe de moi, qu’elle me fasse plein de choses qui vont me ravir, et me faire crier, j’en suis sûre, d’un bonheur presque insoutenable.


Mon vagin chaud et trempé est déjà prêt ; il se rappelle à moi d’une manière que je connais bien, et quand il exige de cette façon, il n’est pas question de le laisser sur sa faim.


Je la prends par la main, et l’entraîne jusqu’au lit sur lequel je me jette à plat dos, jambes grandes ouvertes, la regardant de mon air le plus enjôleur.


Elle commence par me caresser les pieds, d’une manière délicieuse qui me fait ronronner de plaisir, comme une chatte. Elle y dépose des baisers, des coups de langue, aspire mes orteils entre ses lèvres. Lentement, très lentement, ses lèvres, et ses mains délectables, remontent le long de mes jambes, restent longtemps au niveau de mes genoux, que je ne savais pas si érogènes, et poursuivent leur montée inexorable sur mes cuisses, notamment à l’intérieur, si extraordinairement sensible chez moi.


Lorsqu’elle dépose des baisers sur les aines, mon bassin se tend vers sa bouche proche, ondule et bouge spontanément comme dans l’acte sexuel. Elle glisse ses mains sous moi, et prend possession de mes fesses. Mais sa bouche s’éloigne de mon sexe, remonte vers le nombril, m’y apportant suffisamment de bonheur pour estomper la frustration de ma chatte. Je sais bien qu’elle y viendra, boire à ma source, elle en a autant envie que moi, mais je sais aussi qu’elle en retarde exprès le moment pour mieux exacerber notre désir, et nous faire encore mieux apprécier et savourer notre plaisir.


Sa langue explore longtemps le creux de mon nombril tandis que ses mains, comme bien assouvies d’avoir palpé mes fesses, les quittent pour prendre mes seins. Je gémis. Elle me caresse divinement, et sa bouche vient à la rescousse pour mordiller et aspirer mes bouts de seins comme jamais un homme n’a su le faire. Je me laisse aller, je m’ouvre de tout mon corps, de toute mon âme, je m’abandonne à ses caresses, à ses baisers, à ses mains qui sont partout où j’ai envie qu’elles soient, et qui me font au moins aussi bien que je me fais à moi-même. Tout en plongeant sa langue dans ma bouche elle a pris dans sa paume mon sexe tout nu, et je sens qu’elle se régale de son contact autant que moi du contact de sa main. À nouveau, un fantasme surgit en flash dans lequel elle est prise par mon amant en même temps qu’elle me fait toutes ces caresses, et j’en jouis encore plus.


Au fond, c’est bien le cas de le dire, je constate qu’il me faut tout le meilleur de la femme, plus tout le meilleur de l’homme, bien agiter et servir chaud.


Tout de même, tout en vivant pleinement le bonheur que me donnent ses doigts délicats qui se sont enfoncés en moi, et qui me sondent avec un raffinement exquis, tout en s’occupant de mon clitoris exalté, je me pose des questions sur ces images d’amour à trois qui reviennent avec insistance. Est-ce que j’aurai du remords de " tromper " Will avec mon amie ? Non, ce n’est pas ça. Je me dis alors qu’avec elle, j’ai sans doute vraiment envie d’être comme un homme, et ce n’est pas Will, en fait, que je voudrais voir plonger en elle, mais c’est moi qui le voudrais, déléguant Will pour se substituer à moi. Je me dis que j’achèterai prochainement un de ces outils qui se fixent avec des ceintures, que j’ai repéré distraitement dans le sex-shop, et qui nous transforment, nous femmes fendues, en raides conquérantes de la sublime fente féminine. Il me semble que les courroies de fixation de l’un des ces objets laissait accessible la fente de la porteuse de phallus, ce qui doit augmenter encore les possibilités, surtout à trois. Ainsi équipée, je m’imagine en train de la prendre comme un mec, à grands coups de queue, jusqu’à ce qu’elle crie son bonheur, et qu’elle défaille dans mes bras.


Toutes ces idées me font jouir encore, et encore, mais elle y est tout de même pour quelque chose ; pour beaucoup même. Je me rends compte qu’elle a mis en marche la vibration de l’œuf, et qu’elle le promène sur tout le pourtour de ma vulve tout en continuant à me lécher. Elle fait maintenant vibrer mon clitoris hypersensible et excité tandis que sa langue plonge au plus profond qu’elle peut. Enfin, elle pousse avec l’œuf à l’entrée de mon vagin. J’adore cette intrusion, cet écartement, cette poussée qui m’ouvre encore plus, et pour laquelle je suis si glissante. Et soudain, j’avale l’œuf, je l’aspire jusqu’au fond de moi, ma vulve se referme sur lui qui vient faire vibrer le col de mon utérus. C’est terrible, mais sans me laisser de répit, sa langue me lèche encore, et encore, sur toutes mes parties sensibles du clitoris à l’anus. C’est trop, de mes mains, je plaque sa tête contre moi, au bon endroit, et je l’inonde de mes jouissances en criant malgré moi. C’est si abondant que je me demande si je n’ai pas fait un peu pipi en même temps, pourtant je ne crois pas. Mais voici qu’elle rajoute encore la vibration du petit Will doré, je le reconnais celui-là, contre mon anus. Après un moment délicieux pendant lequel elle joue de l’instrument sur les abords de l’orifice secret, elle le pousse vers l’intérieur de moi. Je suis si ouverte, et si mouillée, même ici, qu’il s’enfonce tout en douceur ébranlant de ses vibrations tout mon intérieur. Elle varie les rythmes de l’œuf en moi, devant, commandé par un boîtier externe, et ceux de Will, derrière, s’arrangeant pour qu’ils soient toujours différents, et ainsi je sens mieux leurs présences respectives, et leurs effets s’additionnent sans se confondre, malgré mon trouble intense. D’autant que sa langue infatigable lape éperdument ma féminité aussi brûlante que détrempée, stupéfiée. Je deviens vibrations de jouissance, je crie, je suffoque, je défaille, et vraiment, je perds complètement conscience, je ne sais combien de temps. Un merveilleux état de bonheur, total, lumineux me ramène doucement à la réalité. Elle est maintenant étendue sur moi, et me fait plein de petits baisers sur le visage et dans le cou. Il n’y a plus de vibrations, elle a ôté mon Will (a)doré, mais je sens que l’œuf est toujours là, qui me remplit. Que c’est bon ! Que sa peau est douce ! Ses baisers mouillés sentent mon odeur intime, et tout son visage est encore humide de mon plaisir. Je suis amoureuse, et formidablement reconnaissante.


Je la caresse, et c’est comme si je me caressais moi-même tant il y a entre nous une similarité, assortie d’une complicité amoureuse et reconnaissante. Je voudrais lui dire tout ça, mais je ne trouve pas les mots ou suis encore incapable de les dire. Elle le comprend, et me fait signe de ne rien dire tout en plongeant ses yeux dans les miens avec un amour et une reconnaissance infinis. Alors, je m’abandonne à ses baisers, à ses caresses que je lui rends si naturellement, et c’est un échange complet, subtil, une plénitude de l’instant, un bonheur parfait.


Après un long moment où nous prenons un plaisir fou à nous toucher, nous frôler, mélanger nos langues, aspirer nos seins tendus et gonflés, je propose de prendre ensemble un bain. Elle approuve avec joie, et nous allons faire couler l’eau, dont le bruit réveille en nous le besoin de faire pipi.


Je lui propose de s’asseoir sur le bidet, jambes écartées et de se retenir encore. J’enfourche à mon tour la cuvette, et bien écartée, je m’assieds sur ses cuisses, mais légèrement, sans laisser aller tout mon poids.



En riant, nous lâchons tout, et la musique de nos rires, de nos fontaines chaudes et dorées, unie à celle que fait l’eau qui remplit peu à peu la baignoire fait une joyeuse symphonie.


C’est fou ce que j’aime la toucher, avec n’importe quelle partie de mon corps, et sur n’importe quelle partie du sien. Dans la baignoire, c’est différent, l’eau enlève un peu de l’extraordinaire effet que me fait le contact direct de nos deux peaux. Après le bain bien chaud, et nous étant bien caressées chacune sur nos vulves avec nos orteils, et même un peu à l’intérieur, nous nous essuyons réciproquement et amoureusement ; j’ai un coup de fatigue, qui me semble assez justifié.



J’en rougis de plaisir comme une gamine timide. J’espère qu’elle n’est pas en train de devenir vraiment amoureuse de moi, en tout cas, pas de manière exclusive, ça me compliquerait la vie, car je tiens à Will, le vrai, pas le petit (a)doré.



Notre conversation se poursuit au lit, blotties dans les bras l’une de l’autre



Elle est super cette fille, elle pige au quart de tour ou bien elle fait de la télépathie ; tout excitée elle déclare :



Un instant, je me demande si cela n’est pas mal parti, et qu’elle va me claquer la porte au nez. Mais elle n’a pas vraiment l’air fâché, au contraire, alors je risque :



A l’idée de la fête que nous allons faire tous les trois, et de la joie de Will devant mon somptueux "cadeau", je la serre dans mes bras, je prends ses lèvres si douces et chaudes, je plonge ma langue entre elles, et joue avec la sienne tout en la caressant partout où je peux. En même temps, j’imagine la splendide érection de Will pendant que Vally et moi mélangerons nos corps si désirables devant ses yeux exorbités. Il faudra qu’il soit nu afin que nous profitions pleinement, Vally et moi, de la vue de sa puissance masculine tout en nous faisant nos chatteries. Les femmes aussi sont voyeuses, et cela nous excitera encore plus, si c’est possible.



En fait, je rêve terriblement fort maintenant d’un soixante-neuf avec elle, mais il faut être raisonnable, car de toute façon, je sais que nous le ferons très bientôt. Sans transition, je plonge dans un profond sommeil.


Je me réveille avant elle. Dieu qu’elle est belle ainsi endormie, les lèvres à peine entrouvertes, et celles du bas aussi, je le constate en y mettant mon nez. D’autant qu’elle a les cuisses largement ouvertes, une jambe repliée, comme si elle s’offrait à un amant de rêve. Mon désir de soixante-neuf me reprend, aussi fort, sinon plus qu’avant mon endormissement, et je m’installe en conséquence, plaçant délicatement mes genoux de part et d’autre de son joli visage endormi. Alors, je me penche doucement vers sa fente humide ; elle doit vraiment faire un rêve érotique ma belle amie, car son bassin ondule très doucement, voluptueusement, et elle gémit un peu dans son sommeil. C’est vraiment très érotique. Et bien, elle va être servie. Mes seins viennent toucher son ventre si doux, que sa respiration du sommeil fait doucement onduler. De mes doigts, j’écarte très doucement les poils, et les grosses lèvres (il faudra que je la rase, elle sera plus accessible encore, complètement nue et lisse autour de sa délicieuse vulve), et je comprends vraiment pourquoi Will me préfère rasée, lui qui adore me lécher longtemps, longtemps jusqu’à ce que j’aie tellement joui que je lui crie et le supplie de venir enfin en moi avec sa grosse bite bien dure.


Il adore que je le supplie comme ça, le salaud que j’adore, et alors il entre en moi, triomphalement, comme César dans Rome, et mes spasmes l’acclament !


Ma langue se pose enfin sur elle, et s’insinue dans sa fente, tourne en elle. Elle jouit très vite, très fort, toujours en rêvant sans doute. Son bassin ondule énergiquement, mais toujours si gracieusement, sa vulve dilatée se pousse vers ma bouche, elle gémit, et m’inonde de sa sève délicieuse et délicate.


Ses mains agrippent mes cuisses. Je regarde son visage pour constater qu’elle s’est éveillée, qu’elle a ouvert les yeux pour voir tout près de sa bouche ma chatte lisse et nue qui la désire, à l’évidence, trempée comme elle est, et si ouverte déjà.


Ses mains remontent sur mes hanches qu’elles agrippent, les tirent vers le bas jusqu’à ce que je me pose, écartelée sur ses lèvres et sa langue. Alors je plonge la mienne dans sa fente, et nous commençons un long et merveilleux échange parfaitement symétrique, où je perds les pédales, je ne sais plus qui je suis, moi ou elle, qui je lèche, et qui est léchée. Un plaisir fabuleux, un bonheur incroyable prend possession de tout mon être, et je sens bien que pour elle c’est pareil. Nos corps ondulent, nos bassins se poussent sans arrêt vers la délicieuse caresse buccale qui pourtant ne fuit pas, bien au contraire, nos mains écartent nos fesses pour le plaisir de les pétrir, pour nous ouvrir toujours plus, et aussi pour taquiner notre petit anus si sensible et frémissant. Nos seins, et nos ventres, s’enchantent de se toucher mutuellement. Quelle merveille d’être femme, et de disposer d’un tel pouvoir de jouir, d’une telle sensibilité aux caresses !


Après avoir merveilleusement joui toutes les deux, je ne sais combien de fois, j’entame un mouvement de retrait. Mes lèvres se déplacent vers son nombril, et je sens sa bouche suivre le même chemin sur mon corps. Je continue jusqu’à ce que je prenne un de ses mamelons entre mes lèvres, et bientôt je sens qu’elle aspire un des miens. J’ai à nouveau un fantasme dans lequel je vois Will se placer entre ses cuisses, qu’elle a gardées grandes ouvertes, et il la perfore de son bel engin puissant et rapide. En même temps, ma délicieuse amie lève les bras au-dessus de sa tête, ce qui met ses seins encore plus en valeur, mais permet aussi à ses mains de prendre possession de ma vulve. Et là, j’imagine mon Will qui me prend en levrette, guidé par les mains de Vally qui s’occupe en même temps de mon petit bouton rose si excité tandis que j’aspire en alternance les pointes de ses seins.


Décidément, mon amour, et mon désir pour Valérie, si nouveau et si intense ne m’a rien enlevé de mon goût pour les hommes, et c’est super. Je suis encore plus femme, et plus sexy grâce à cette nouvelle dimension du plaisir entre femmes, mais je sais que je garde intacts ma sensibilité, et mon désir pour la virilité. Et je sais intuitivement que le summum, ce sera l’amour à trois. J’ai souvent fantasmé de faire l’amour avec deux hommes, mais je ne suis jamais passée à l’acte. Maintenant, je sais que cela ne saurait tarder. Il faut absolument que j’essaye toutes les combinaisons possibles. Rien que d’y penser, je sens que je m’inonde entre les cuisses, car j’imagine un nombre, imprécis, mais assez important, d’hommes nus et bandants qui s’occupent de moi tous ensembles, de toutes les façons possibles. Mais là, je sais que cela restera un fantasme. Je ne vais tout de même pas passer une annonce du genre :



Ravissante jeune fille, aimant beaucoup faire l’amour, cherche nombreux garçons beaux et bien membrés pour s’occuper d’elle tous ensembles.



En attendant, ce qui va se faire très bientôt, c’est l’amour à trois, Vally, Will et moi, et cela ne peut être qu’hyper-super ! Mais pour l’instant, je n’en peux plus, je suis lessivée. Il faut que je récupère. Je le dis à Vally qui est tout à fait d’accord, elle aussi est repue, tout comme moi, mais elle est plus belle que jamais, et je suis certaine qu’il en est de même pour moi. Toutes ces jouissances nous ont, semble-t-il, ennoblies, embellies, notre peau irradie de beauté et de douceur, mais il est temps de dormir. Après une toilette intime vite expédiée, nous nous blottissons dans le lit l’une contre l’autre, et nous sombrons rapidement dans un sommeil bien mérité.


Bip, bip, bip ! Je suis tout embrumée par le sommeil, et il me faut un moment pour réaliser que le téléphone insiste, le vicieux, pour me voir toute nue au réveil, après beaucoup d’amour donné et reçu. À tâtons, je trouve l’engin (le téléphone, pas ce que vous croyez), et décroche. Il s’agit d’un télégramme téléphoné, la confirmation écrite viendra plus tard. "Arrive ce matin même, j’ai remplacé un collègue. Je serai là pour ta période. Mille baisers partout. Will".



Je constate qu’elle est très émue, son souffle est amplifié, et elle rougit même un peu. Je jurerai qu’elle mouille autant que moi à l’idée que Will peut être là d’un moment à l’autre. Il ne s’agit plus de fantasmer, il arrive pour de bon. La voilà au pied du mur, moi aussi d’ailleurs, et je l’imagine bientôt aux pieds de mon amant, à genoux et la bouche active, bien remplie.



Je l’entraîne dans l’action pour qu’elle ne réfléchisse pas trop, ni ne se défile.


Toujours nues, nous faisons rapidement le lit, chacune d’un côté, avant de foncer vers la salle de bain pour vider notre vessie, l’une sur le bidet l’autre sur la cuvette du WC.


Nous nous douchons soigneusement, mais rapidement, nous effleurant juste un peu pour rester dans l’ambiance, mais concentrées sur l’efficacité de notre toilette intime, tout en fantasmant terriblement sur ce qui va arriver d’ici peu. Mon cœur bat fort, et je suppose que le sien aussi.



Je la connais bien maintenant, et je peux deviner à l’expression de son visage ce que vivent les lèvres de sa vulve, et le plus profond d’elle.



Nous nous habillons, devant le grand miroir, brossons nos cheveux (j’ai plusieurs brosses), nous faisons nos cils, et mettons une touche d’un rouge à lèvres brillant, et d’une couleur rose vif, assez proche de la couleur naturelle de notre intimité lorsqu’elle est bien échauffée.



Toute fondante, essoufflée, je fais signe à Vally de se cacher dans la cuisine, et j’appuie sur le bouton qui ouvre la porte de l’immeuble. Je fonce cependant vers ma commode, en extrait un minuscule et léger slip de couleur rose intime, que je passe à Vally en lui chuchotant :