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Charlie

Le film venait de débuter, la première scène de cul n’avait pas encore commencée, et comme à chaque fois, mon pote Charlie et moi, on était déjà mort de rire à cause des dialogues bidons, des situations improbables, et du jeu minable des acteurs.

Première scène, une jolie gonzesse bien foutue (normal, on est dans un film porno !) se trouve obligée de faire une pipe au gars venu réparer sa télé parce qu’elle a pas un kopeck chez elle.

(Le chéquier, elle connaît pas !)

Nous, comme d’habitude, on a sorti nos bites et on s’astique lentement, pour par gicler à la première scène.

Deuxième scène, elle va se faire masser par se copine, et forcément ça dégénère en broutage de minou intensif.

• — T’as remarqué, y’a les films de cul pour "Mr tout le monde", y’a les film pour les gays, mais y’a pas vraiment de film pour les lesbiennes. Par contre, dans les films "standard", y’a des scènes entre gonzesses, mais jamais entre mec
• — Ah ouais tiens, mais bon, j’préfère voir deux nanas se bouffer la chatte plutôt que deux pédé en train de s’enculer !
• — Pourtant, si nous ça nous excite de voir deux filles ensemble, les filles, ça doit aussi les exciter de voir deux mecs ensemble non ?
• — J’en sais rien
• — Remarque, moi ça me gênerai pas de voir deux mecs se sucer la queue ! Si tu regardes bien, que tu mettes ton doigt dans ta bouche, ou la queue d’un mec, c’est de la chair que tu suces !
• — Attend, une bite et un doigt c’est pas pareil quand même !
• — Pas la même taille ni la même forme, et alors, c’est qu’un bout de chair !
• — Tu t’imagines, toi, en train de sucer une queue ?
• — Franchement ? Ca me dérangerait pas plus que ça !

Gros silence . sauf la télé qui débite (excusé le jeu de mots) des "ahh, ohhh, oui encore"

On fini de mater la scène.

• — Dit, ça te tente un film gays, juste pour voir ?
• — Ben. ok !

Direction la location automatique de DVD. On rapporte celui qu’on mâtait, et on prend ce qu’on est venu chercher.

Retour à la maison. On se regarde. Je mets le lecteur en marche.

Le film ne fait pas dans le détail : même pas deux minutes et déjà deux gars qui se sucent, puis s’emmanchent.

Je brise le silence.

• — Bon, ok, me faire enculer, ça me tente pas. Mais sucer une queue, je pense pas que ça me gène. Et toi ?
• — Ben, je sais pas trop.
• — Ah mon avis, suffit de se lancer. Après, une fois la bite en bouche, c’est bon.
• — Tu crois que c’est si facile ?
• — J’en sais rien moi, j’ai jamais sucé de queue ! Mais plus j’y pense, et plus ça me tente !
• — Tu veux dire que là par exemple, tu serais ok pour me sucer ?
• — Euh.
• — J’le savais ! Tu fais l’malin à dire qu’une queue c’est pas plus dur à sucer qu’un doigt, que tu serais capable de le faire, mais quand il s’agit de passer à l’acte, y’a plus personne !
• — Ah tu crois ça ? tu veux que j’te suce, là tout de suite ? Ok !

Vous auriez du voir la tête de Charlie quand je lui ai choppé la bite et que j’ai commencé à le branler

• — C’est plutôt doux une bite ! J’me demande quel goût ça a ?
• — Euh .. tu vas vraiment me sucer ?
• — Tu en doutais ?

Je me mets à ses genoux, et je me penche sur son membre. Timidement, je pose ma langue sur le gland. Pour le moment, mes papilles ne réagissent pas. Je ferme mes lèvres, et avale un peu le tout. Puis je commence à tourner ma langue tout autour.

• — Hum, c’est pas mauvais, en fait ça a presque pas d’odeur. Mais bon, ça c’est parce que tu reviens pas des chiottes après avoir pissé !

Il éclate de rire, et je reprend là ou je m’étais arrêté. Et j’entame sans plus attendre un va-et-vient. Il respire plus fort. Visiblement, j’me débrouille pas mal pour une première pipe !

• — Alors, t’en dit quoi ?
• — Ben . que c’est vachement bon !
• — C’est agréable aussi de sucer ! Tu veux essayer toi ?
• — Euh . franchement, j’m’en sens pas vraiment capable
• — Dégonflé !

Je m’assoie à côté de lui, et on regarde à nouveau le film, qui lui ne nous a pas attendu.

Les deux mecs du film sont en train de se rouler une pelle.

Doucement, je prend la queue de Charlie dans la main, et je commence à le branler.

Les gars sont maintenant en train de se sucer mutuellement dans un beau 69. On ne voit que ça à l’écran.

Je sens une main qui glisse sur ma jambe. Je jette un œil : ça y est, Charlie se décide. Il attrape à son tour ma queue, et me masturbe lui aussi.

La scène se termine, et une nouvelle commence. Encore des pipes en gros plan.

Je me penche sur lui, et recommence à le sucer. Il se laisse aller en arrière en soupirant, et continue de me branler. Il semble apprécier le petit salaud !

Après quelques allées et venues, je me relève. Il me regarde, hésitant.

• — Je . Je sais pas si je peux le faire .
• — Essaye tu verras bien !

Il se penche à son tour sur moi, mais s’arrête à quelques centimètres.

• — Prend une bonne inspiration, ferme les yeux et vas-y !
• — c’est quand même dégueulasse ce qu’on fait !
• — Mais non, ce n’est que de la viande !

A ces mots, il ouvre sa bouche, et d’un coup, je le vois engloutir totalement ma bite !

Putain, il y va franco ! C’est pas plus mal.

Lui qui hésitait, le voilà maintenant à me pomper sans retenue, en me branlant à toute vitesse, et je sens sa langue qui s’agite furieusement sur mon gland.

• — Hé, vas-y mollo tout de même
• — Désolé, j’me suis lancé d’un coup, à fond !
• — J’avais remarqué !

Il se relève. Les deux mecs de l’écran terminent leur scène. Le premier fait jouir l’autre en le branlant, le deuxième dirige les jets directement dans sa bouche. Et il avale.

• — T’as déjà goûté le sperme toi ?

Il me regarde avec un petit sourire avant de répondre :

• — Le mien, plusieurs fois, et j’ai pas trouvé ça trop mauvais. Et toi ?
• — Non, moi j’y ai jamais goûté. L’aspect est pas génial.
• — Vu que je suis en train de te sucer, tu veux que je goûte le tien ?
• — Euh . c’est ta première pipe et tu veux déjà avaler ?
• — Pourquoi pas, au point ou on en est !
• — OK !
• — Tu me préviens avant quand même !
• — Pas de problème !

Lui qui était réticent à l’idée de sucer, voilà qu’il veut direct avaler ! Et le voilà reparti, en gorge profonde, avant de remonter doucement pour s’arrêter sur mon gland qu’il titille du bout de la langue tout en me branlant doucement. Il est doué le con !

Je m’installe confortablement dans mon fauteuil. Il continue de me sucer la queue, et me lance de temps en temps des regards, pour vérifier l’effet qu’il me fait. Et de l’effet, il m’en fait ! On dirait qu’il a fait ça toute sa vie. Il ralenti sa main tandis que sa bouche s’active, et puis inverse la tendance. Il monte et descend en cadence. Il y prend plaisir en plus.

• — Continue comme ça, je vais pas tarder à jouir !

Il relève la tête, sans cesser sa lente branlette.

• — Euh, on s’y prend comment exactement ? Tu me joui directement au fond de la gorge, ou alors tu préfère un truc façon porno, où on s’en prend plein la gueule ?
• — Ben, j’sais pas ! C’est toi qui vas recevoir alors bon, gère comme tu le sens !
• — J’me sens prêt à tout maintenant ! Met toi debout, et préviens moi quand c’est bon.

Je m’exécute sans trop comprendre, et il reprend sa pipe avec ardeur. Cette fois-ci, je sens le plaisir monter rapidement.

• — Ah c’est trop bon, j’vais jouir ce coup-ci !

Il penche sa tête en arrière, ouvre sa bouche, et tend sa langue. Le salaud, il copie les films de boules, et il semble terriblement apprécier la situation.

Puisqu’il a pas l’air gêné, ben, j’vais pas me gêner non plus !

Et c’est dans un râle révélateur du plaisir qu’il me procure que je lâche ma semence sur sa langue et sa bouche, en longues giclées bien remplies. J’y vais de bon cour, et lui ne semble pas le moins du monde être dérangé. Il accueille tout ça sans broncher, continue à me branler, et fini le travail en me léchant la bite, et en récupérant une dernière goutte qui coule.

Je vois sa bouche remplie, blanche comme s’il venait de boire un verre de lait. Il me regarde, l’air satisfait, ferme les yeux, et dégluti. Quel obsédé ! Il a tout avalé, mis à part les jets qui sont arrivés un peu à l’extérieur de ses lèvres.

Les jambes en coton, je me laisse retomber dans mon fauteuil.

• — Hum, il a pas mauvais goût ton sperme ! Tu veux le tester ?
• — Euh ? (il m’a prit au dépourvu là !)

Rapidement, il récupère du bout du doigt un peu de sperme qu’il lui reste sur la tronche, et me le fait lécher. Je suis un peu surpris. C’est un peu gluant, l’odeur est plutôt forte, mais le goût est pas mauvais, plutôt fade, avec une note salée.

• — He ben petit con, t’es un sacré suceur de bite toi !
• — C’est vrai que c’est pas désagréable ! Mais je préfère quand même brouter une belle chatte !
• — Ouais c’est sûr !

Il se rassoie à côté de moi. Nos yeux se dirigent à nouveau sur l’écran. Trois mecs allongés, dont un qui se fait sucer par les deux autres, pendant qu’il les branle.

Je regarde Charlie : il bande toujours. Je le reprend en main et le masturbe doucement. Il ne dit rien et laisse faire.

Les trois mecs ont changé de position, et font le petit train : chacun suce une bite.

• — Euh .. tu veux sans doute que je suce encore un peu, non ? (bizarrement, je me fais tout timide)
• — J’osais pas te le demander, mais oui j’en ai bien envie maintenant !

Amusant, lui qui vient d’avaler mon sperme n’osait pas me demander de reprendre ma pipe !

Bref. Je me met à l’ouvrage, un œil rivé à l’écran. Les mecs n’ont pas changé de position, et visiblement, ils vont aller comme ça jusqu’au bout. Je continue ma pipe ; langue en action sur le gland, bouche serrée qui fait des allées et venues, petite branlette bien cadencée.

Il respire de plus en plus fort à chacun de mes coups de langue.

Sur la télé, un de mecs joui, le sperme dégouline de la bouche de son suceur. Je continue à sucer.

• — Hum, continue, je sens que ça vient !

Je stoppe ma pipe.

• — Euh, je sais pas si je vais avaler, c’était la première fois que je goûtais du sperme moi !
• — Ben, qui ne tente rien n’a rien !
• — J’te promets rien !

Je reprends ma pipe, et immédiatement, il se remet à soupirer. À l’écran, les deux autres mecs éjaculent simultanément. Je sens sa queue se raidir. C’est sûr, il va jouir. Je ne sais pas trop à quoi m’attendre. Mais je suis prêt. Ça y est, il me prévient.

Encore deux coups de langue, et je reçois un giclée au fond de la gorge.

Ah ! Surprise ! Y’en a pas qu’une petit goutte, et c’est chaud ! Enfin, tiède ! C’est con, mais je m’y attendais pas. Quand j’ai goûté mon sperme sur son doigt, il était "froid", mais là, il sort direct de sa queue !

De surprise je lâche sa bite et recrache tout sur son ventre. Mais il continue à jouir, et je prends une giclée sur la gorge.

• — T’arrêtes pas, continue de me branler !

Je le masturbe à fond, et il expulse encore une giclée, sur mes lèvres fermées cette fois-ci.

Je ralenti la cadence. Il fini de jouir.

• — Désolé, j’ai été trop surpris !
• — C’est pas grave !

Il essuie le sperme sur mon visage avec son doigt, et dirige le tout vers ma bouche. Je ne peux pas refuser, et j’avale ce qu’il me propose.

• — Promis, la prochaine fois, j’avale correctement.
• — Ah, parce que tu crois qu’on va remettre ça ?
• — Ça me dirait bien, oui.

C’est à ce moment que le fameux "the end" est apparu à l’écran. Ça tombait bien, nous aussi on avait fini nos expérimentations.

• — Tu comptes en causer à ta copine ?
• — Euh, je pense pas . déjà qu’elle c’est foutu de ma gueule quand je lui ai dit que je venais chez toi pour mater un film de cul !
• — Remarque, t’as de la chance, toi t’en a une au moins, de copine !
• — Ouais, et elle suce mieux que toi, même si pour le moment elle a encore jamais avalé.
• — C’est marrant, j’ai beau la connaître depuis un bon bout de temps, j’arrive pas à l’imaginer en train de te sucer !
• — Désespère pas, toi aussi tu t’en trouveras une à baiser !
• — T’inquiète pas pour moi, j’ai déjà quelques vues sur des jolis petits culs, je te raconterais ça un de ces quatre.