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Temps de lecture estimé : 9 mn
19/12/04
Résumé:  Après avoir passé une excellente soirée au restaurant, Camille était bien décidée à ramener Romain chez elle. Bien qu'elle appréhende cet instant, elle se rend compte qu'il ne trouve pas sa démarche cavalière...
Critères:  fh amour volupté intermast cunnilingu pénétratio ecriv_c
Auteur : Christy et Evangelion  (Evangelion)            Envoi mini-message

Série : Les amants du café

Chapitre 04 / 10
Chapitre quatre - Dans la chambre de Camille



Et voilà Camille qui part dans la cuisine. Ma gorge est sèche, je me mors la lèvre inférieure. Etrange ! D’habitude avec les femmes, je suis plus sûr de moi. Mais là…

Je repense rapidement au dîner, à ce qu’elle m’a dit, à ce que je lui ai dit de moi. Trop, pas assez ? Laissons faire les choses d’elles-mêmes.

Elle me plait, elle m’impressionne… J’espère qu’elle n’a pas pour habitude d’amener des hommes chez elle, car elle n’est pas la une femme que j’ai envie de sauter, non ! Je l’aime déjà, je veux autre chose… Serais-je jaloux ?

Tiens, la voici qui revient…



En fait, je la taquine ! Ce ne sont pas 10 centilitres de vodka qui vont m’effaroucher…



Sourires…



Bon, Romain, qu’est-ce que tu vas faire ? Y aller franco ou en douceur ? Mais quoi que tu fasses, faut que tu te décides, et vite ! Elle ne tient plus Camille…

La méthode directe, ce n’est pas tellement mon genre. J’aime l’approche, la séduction, la conquête… Aller, on va faire à ma manière.

Je termine mon verre, me mets à l’aise sur le canapé, approche ma main de la sienne…



Là, je lui fais les yeux doux ; dans son regard, je ressens un mélange d’excitation, de gêne, de désir…



Je lui prends alors la main sans hésitation, l’embrasse, la frotte sur mon visage tout en fermant les yeux. Je peux ainsi mieux écouter sa respiration qui prend de l’allure.

Camille semble interloquée ; malgré son hardiesse et ce qu’elle m’a dit sur ses amants d’un soir, ma méthode de séduction opère pleinement.



Elle m’arrête brièvement tandis que j’approche mes lèvres des siennes.



Camille est étourdie de bonheur, prête à défaillir ; et moi, comme un idiot, il m’aura fallu une seconde pour comprendre pourquoi !



Bon, finies les belles paroles ; il faut que tu passes à l’action, sinon !


Vives comme l’éclair, mes mains lui prennent les joues et je l’embrasse jusqu’à la faire frémir.

Là, le ciel me tombe sur la tête ! Simultanément, je goutte à sa senteur naturelle, mélangée à celle, subtile, de son envoûtant parfum. Et sa langue ! Un délice onctueux ; brûlante de désir, douce, chaude…

Si près de moi ses cheveux de feu sont encore plus étincelants ; fins et plus doux que de la soie, ils feraient pâlir d’envie le plus connaisseur des canuts.


Ce baiser est interminable et il défie les lois du temps ; impossible de savoir combien il aura duré…

Camille s’est collée à moi ; ses mains sont descendues autour de mes hanches et elle me fait sévèrement frissonner… et bander ! Mes mains quittent alors la chaleur de ses joues pour caresser une autre partie de sa personne, encore plus chaude : son corps !

D’abord le dos, pour voir comment elle réagit. Pas déçu le Romain ! A peine ai-je appliqué mes mains des deux côtés de sa colonne vertébrale que Camille m’embrasse et me lèche fougueusement dans le cou. Prends garde, Romain, si tu ne te contrôles pas, toi-aussi tu risques de défaillir…

En effet, sa bouche est redoutable pour mes sens ; et plus je la caresse avec ferveur, plus elle s’acharne sur mon cou, me réembrasse… Son regard a changé ; tout à l’heure, je percevais le désir. Maintenant, les yeux à moitié clos, c’est l’envie folle de faire l’amour que je vois ! Et quand une de mes mains effleure un sein :



Je perçois alors pleinement l’amour et la sincérité sur le visage de ma Camille. Oui ! Ma Camille, celle que je veux pour moi tout seul, celle que je veux rendre heureuse, celle que je veux mon exclusive, ma bien-aimée !


Je lui passe alors les mains sous les fesses et la prends dans mes bras :



Et bien oui, quoi ! C’est dans sa chambre que j’ai envie de lui faire l’amour !


Camille est fermement accrochée à mon cou, comme si elle avait peur que je m’envole sans elle… Mais pour aller où ? Pour retrouver qui ? Plus personne d’autre ne compte que ma sulfureuse Camille…

Arrivés dans la chambre, je la dépose délicatement au milieu du lit. Tout en déboutonnant ma chemise pour être plus à l’aise, je jette rapidement un coup d’œil autour de moi et je suis agréablement surpris ; c’est intime, douillet, romantique… tout ce que j’aime.


Camille est très excitée ; elle m’aide à déboutonner ma chemise d’un regard hardi et convoiteur. Une fois sortie de mon pantalon, elle est bien froissée…



Mon élan verbal est coupé par son sourire ; je crois comprendre où elle veut en venir.



Je fais semblant de réfléchir tandis qu’elle ne me quitte pas des yeux.



Oh là là ! Elle pense déjà à s’occuper de moi ; c’est bon signe, ça !

Elle colle alors sa bouche sur mon torse, hume, se frotte et redevient fébrile.



Et ma Camille se recolle de plus belle, encore plus excitante – et excitée ! – encore plus désirable. Et moi non plus je ne peux plus attendre, j’ai envie de l’aimer, de la prendre, de la faire jouir…


Je m’allonge alors subitement sur elle, passe mes mains sous son top et atteins sa poitrine. Elle a vraiment tout prévu la coquine : pas de soutien-gorge !

Sa respiration se coupe, elle relève la tête et s’exclame de bien-être. La sensation est pour moi presque inénarrable ! Ses fruits, délicats, menus, hypersensibles réagissent à la moindre de mes impulsions. Je les caresse, les masse, titille les mamelons durcis par tant de désir, tandis que Camille fait aller sa tête entre les oreillers, telle un balancier qui serait devenu incontrôlable.

Dans la foulée, j’enlève ses escarpins, baisse son pantalon, et ne me contrôlant plus, lui arrache son string !

Avant même que je n’ai le temps d’admirer son minou, presque imberbe, elle me saisit la tête et la plaque violemment entre ses cuisses !

Sublime ! Divin ! Sa moule trempée frétille sous mes caresses buccales ; son clitoris, ses lèvres… tout semble remuer, vivre. Si bien que je me demande même si je vais avoir assez d’une langue pour la contenter !

Mais oui, je suis rassuré ! Camille gigote, transpire… jouit ! Et alors que je me repais de sa cyprine, elle m’arrache de son intimité et tire mon visage contre le sien.



Je n’ai même pas le temps d’enlever mes mocassins ; tout juste de baisser mon pantalon et mon boxer à mi-cuisses ! J’approche mon membre turgescent – et prêt à exploser ! – de sa chatte et la pénètre avec fougue. Camille pousse un cri de plaisir en se crispant à moi.

Elle me fait mal mais la douleur est plaisante. Je commence alors à lui faire l’amour, tandis qu’elle passe ses jambes autour de mes fesses, les remonte sur mes hanches, se frotte, se frotte, se frotte…


Pour que l’on soit en parfaite harmonie, j’accorde rapidement ma respiration sur la sienne. Mais elle a un sacré tempérament et j’ai du mal à suivre. En fait, ce qui me tourmente, c’est qu’à ce rythme là je vais venir trop vite…

Ce qui ne m’empêche pas de la caresser partout sur le corps, de tâter et de peloter son petit cul, de lui dire des mots d’amour exclusifs, qui ne sont sortis de ma bouche pour quiconque avant elle…



Comment résister à une telle injonction ? On ne le peut pas, tiens !

J’accélère un peu ; puis un peu plus ; puis beaucoup plus ! Nos corps sont rutilants de sueur, je n’arrive presque plus à respirer. J’essaie de me retenir, mais en vain ; la pression est trop forte. Je suis fasciné par la jouissance de Camille, mais le plus dur reste à faire : harmoniser mon éjaculation avec son orgasme ! Vais-je y parvenir ?

Oui ! Au moment où je décharge, elle s’agrippe de plus belle – j’ai cru qu’elle m’arrachait la peau du dos ! – en gémissant si fort que je ne perçois plus mes propres râles.


Quelques instants passent…


Complètement sur les rotules, je bascule sur le côté et la tire dans mes bras. De toute façon, elle ne m’aurait pas lâché !

Un bref instant de répit, et puis :



Là, c’est plus que je ne peux supporter ! Je craque ! Mes yeux pleurent…



J’ai également touché le point sensible ; les yeux de Camille se mettent à briller, puis à couler…


Après un très gros câlin, elle se leva et alla chercher quelque chose.



Puis, après avoir regardé – admiré – la photo pendant encore quelques instants, elle la pose sur la table de nuit et se niche dans mes bras.



Elle est assez embarrassée et a l’air de se demander ce qu’il en est vraiment ; c’est vrai que je n’ai pas été très explicite à ce sujet. Pas encore…



Encore une fois, je la coupe.



Silence… Je me lève et m’assois au bord du lit.

Maintenant que j’ai commencé, il va falloir que je lui dévoile tout…



Et je la coupe une fois de plus…