n° 08331 | Fiche technique | 69527 caractères | 69527Temps de lecture estimé : 41 mn | 21/12/04 |
Résumé: L'aviateur arrive au bon moment pour s'intercaler entre les deux amies. | ||||
Critères: ff ffh fbi intermast rasage fellation cunnilingu anulingus fgode fdanus fsodo attache yeuxbandés | ||||
Auteur : Eresse (Une période extraordinaire 3) |
Épisode précédent | Série : Une période extraordinaire Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Il a dû grimper quatre à quatre, car il sonne déjà. Comme les autres fois, aussitôt entré, et la porte refermée, il me serre très fort dans ses bras, me soulève, tourne en m’embrassant fougueusement. Nous entreprenons aussitôt un déshabillage, comme si le premier qui arrive à mettre l’autre nu allait gagner le gros lot au loto. Aujourd’hui, le gros lot, c’est moi qui l’ai gagné : Que c’est bon de sentir son torse nu, musclé et un peu velu contre mes seins. Que c’est bon de sentir sa bite toute raide contre mon ventre, et ses mains puissantes étreindre mes fesses, les ouvrir, les pétrir tandis que sa langue explore ma bouche dans tous les coins. Je sens son odeur de mâle propre et sain, qui me fait défaillir de désir. Je crois que c’est encore plus bon que les autres fois, car Vally nous regarde discrètement, et ça doit lui faire de l’effet, de voir ce qui lui est promis : une amante et un amant superbes, pour elle, les deux en même temps.
Comme je sais si bien le faire quand je l’accueille, je plie lentement les genoux, ma bouche descend une ligne de baisers sur son torse et sur son ventre jusqu’à ce qu’enfin, je me trouve à la hauteur de son formidable engin qui pointe vers ma bouche comme une épée vers son fourreau. Je lèche un peu son gland, malaxe ses testicules, enserre son engin de mes doigts, intensifie son désir et le mien. J’adore son soupir de soulagement, son gémissement de bonheur, quand enfin je l’embouche lentement, mais très profondément dès le début. Bien entendu, je me suis placée de telle sorte que, dans ma position très inclinée, mes fesses se reflètent dans le grand miroir de l’armoire afin qu’il puisse se régaler de la vue de mes cibles intimes pendant que je le pompe goulûment. Nous sommes de profil par rapport à Vally cachée qui ne doit rien perdre du spectacle aphrodisiaque pour voyeuse invétérée. Bientôt il gémit sans arrêt, c’est un bonheur pour moi de l’entendre, et de sentir combien il est à ma merci. C’est le moment que je choisis pour m’interrompre.
Dans l’état où il est, je lui ferai promettre n’importe quoi !
Et je le reprends en bouche en même temps que Vally, ravissante, et un peu intimidée, surgit devant ses yeux ébahis. Je sens son sexe grimper encore d’un cran, se dilater encore un peu plus.
Je suis obligée de le sortir de ma bouche pour répondre.
Avec la docilité soumise que j’aime tant en elle, et avec son naturel que j’aime tant aussi, elle me laisse lui enlever son tee-shirt blanc lentement, par le haut, levant les bras, révélant ainsi ses seins merveilleux et libres qui n’ont absolument pas besoin d’être soutenus par autre chose que des mains caressantes. Lui ayant indiqué de se tenir la nuque à deux mains pour encore mieux offrir sa superbe poitrine aux bouts érigés, je la fais tourner lentement sur elle-même, et autour de Will ; toujours au garde-à-vous comme les soldats qui présentent leurs armes à l’horizontale. Sauf que la sienne d’arme, elle remonte vers son nombril avec un angle d’au moins 45 degrés !
Je touche gentiment les seins de Vally, pour mon plaisir certes ! Mais aussi pour exciter encore plus mon Will chéri. Avec les yeux seulement il peut, en me voyant faire, apprécier la douceur, l’élasticité, et la sensibilité des seins merveilleux dont les pointes s’érigent encore davantage, tandis qu’elle étouffe discrètement de voluptueux gémissements et soupirs. Je les tète un peu, ses bouts qui se tendent vers mes lèvres, pour les exciter davantage tous les deux. Je parle de Will et de Vally, évidemment, car les seins de la belle expriment déjà son état de désir avec grande éloquence.
Ensuite, je défais la fermeture éclair de sa jupe, et descend lentement cette dernière tandis qu’elle ondule gracieusement des hanches pour me faciliter la tâche, et aussi par instinctive séduction. Lorsque son nombril apparaît, je me mets à genoux pour y fourrer ma langue. Bientôt la jupe tombe à ses pieds, et il ne lui reste plus que ses bas qui tiennent tout seuls, et le fameux petit slip que je lui ai prêté. Il est vraiment petit, rose vif, en dentelle transparente, et il est maintenu de chaque côté par un petit nœud que mon Will adore défaire, surtout avec ses dents. On voit tous les poils de son pubis à travers la dentelle, et elle est vraiment sexy, adorable. Posant une de mes mains sur le devant de son slip, et l’autre dans le dos, je la pousse vers Will, et lui dit :
Sans hésiter, il s’exécute, mais le slip ne tombe pas car je le tiens. Je demande à Will de défaire le second nœud. Alors, tenant le slip d’une main devant et de l’autre derrière, j’entame un gentil va-et-vient, frotte la vulve, que je sais bien mouillée, avec l’entrejambe du slip, je fais même en sorte de l’incruster un peu dans la sublime vallée de Vally, et amène ensuite la dentelle parfumée sous le nez de mon amant pour qu’il apprécie la délicate et aphrodisiaque senteur. Il hume avec beaucoup de conviction. Alors je lui ôte la dentelle parfumée de dessous son nez, et place le slip à cheval sur son sexe tendu ou la fine dentelle semble s’abandonner comme une femme comblée. Cela me fait aussi penser à un trophée fièrement exhibé. Ce petit slip rose est associé dans mes souvenirs à d’intenses ébats amoureux avec Will, et de le voir à cheval sur le puissant destrier de Will, mais parfumé à l’odeur de Vally, me fait un sacré effet !
J’intime à Vally de se mettre à genoux, en même temps que moi.
Je lui présente le bel objet de nos désirs.
Sans hésiter, elle le prend gracieusement en main, comme pour s’assurer de sa forme, et de sa grande fermeté, et l’embouche lentement, les yeux fermés, concentrée sur ses sensations. En alternance, je l’admire dans ses œuvres, qui me semblent de grande qualité et efficacité ou bien je suce les testicules bien gonflés ou bien bécote les cuisses, le ventre, et les fesses de Will. C’est au tour de ce dernier de pousser des soupirs et des gémissements éloquents. Il prend le slip rose pour le respirer en même temps. C’est sans doute la première fois pour lui qu’une fille le prenne en bouche dans les cinq premières minutes de la rencontre, et qui plus est, sans qu’il l’ait touchée ni même embrassée sur la bouche.
A tour de rôle, Vally et moi absorbons sa tige virile, en étant nous-mêmes très absorbées par nos sensations, et par celles du mâle, que nous devinons. En le gardant bien embouché, nous vérifions parfois, en levant les yeux vers son visage, ses expressions du plaisir. Les hommes adorent que nous les regardions sous cet angle ! Nous leurs paraissons alors au comble de la soumission, et eux-mêmes sont si comblés qu’ils n’ont plus rien à demander de plus.
Chacune à notre tour, nous faisons quelques lentes et profondes allées et venues de notre cavité buccale enveloppant son pénis, aspirant, et repoussant le viril pistil, l’enveloppant de notre langue, et de nos muqueuses humides. Puis, nous glissons simultanément tout au long de la hampe nos lèvres mouillées qui se touchent en fin de parcours tandis que nos langues se mélangent entre elles, et sur son gland. Au bout d’un moment, je glisse à l’oreille de Vally :
Ayant le pénis bien embouché, elle me fait " oui " de la tête ce qui fait beaucoup de bien à mon amant.
Je m’occupe d’elle maintenant, tandis qu’elle s’évertue à mener sa tâche à bon port, autrement dit le sperme dans son estomac. Je lui fais des bisous dans le cou, la nuque, sur les épaules, dans le dos. En même temps une de mes mains enveloppe un de ses seins, le pétrit, en agace le bout tandis que l’autre main glisse entre ses fesses pour atteindre sa vulve toute mouillée, si fondante, et si douce. Encore que les poils en défendent trop l’accès à mon goût, et je décide alors que je vais commencer notre exhibition par la raser de près.
Aux gémissements de Will, je sais qu’il ne tiendra plus longtemps, aussi, je lâche ma douce proie et me remets debout pour poser mes lèvres goulues sur celle de mon amant. Je l’embrasse fougueusement, mélange ma langue à la sienne. Je me dis qu’à l’accoutumée, il avait ma bouche soit sur la sienne, soit sur son sexe, mais pas les deux en même temps, ce que je lui offre en ce moment, en quelque sorte, et ce doit être vraiment terrible pour lui. De plus, il sait dans sa tête qu’il a à sa disposition, en plus de moi, une fille splendide qui fera tout ce qu’il voudra et qui a déjà si bien commencé. Entre les fesses de Will, je cherche le petit anneau frémissant et resserré par son plaisir. Je le force de mon pouce et il lâche tout, en rugissant, tandis que Wally le boit consciencieusement. Je sens autour de mon pouce les spasmes du plaisir de Will mais vite, je plie les genoux pour enlever de la bouche de Vally le splendide engin, l’engloutir dans la mienne, absorber les dernières gouttes de sperme, sentir sa force et son goût. J’ai un peu l’impression de sucer mon pouce, ce qu’adorent faire les petites filles. Elles ne savent pas encore qu’elles s’entraînent déjà pour le bénéfice et le plaisir de leurs futurs amants !
Elle dit ça un peu pour rire, mais au fond je sens que c’est vrai, et ça me plaît terriblement.
Je la sens très troublée, surtout de dire ça devant mon amant qui aura ainsi le droit de faire avec elle tout ce que moi je voudrais. Elle doit même avoir un peu peur de ce qui pourrait me passer par la tête, mais en même temps ça l’excite terriblement. C’est fou comme je la sens bien, je devine assurément tout ce qui se passe en elle, et le pire, c’est que c’est réciproque. Elle me perçoit aussi bien, c’est évident ! Elle ressent le plaisir que j’ai à la dominer, à l’angoisser un peu en la faisant fantasmer à je ne sais quelles terribles choses.
Je l’embrasse à pleine bouche, nos langues jouent ensemble et, tandis que nos corps féminins nus se pressent, notre baiser est riche de l’odeur et du goût de Will, ce qui est merveilleux. Nous pressons nos seins, frottons nos ventres, nos pubis, et nos cuisses, pétrissons nos fesses.
Je l’entraîne vers le lit, la fais se coucher en travers, ses fesses au bord, et je pose ses pieds de chaque côté de son bassin. Ainsi, elle est bien écartée, exposée.
Je comprends qu’elle appréhende l’effet du rasage de son intimité sur son copain un peu vieux jeu, mais après tout, il est certainement temps pour lui d’apprécier les belles choses toutes nues. Et puisqu’elle n’obéit pas spontanément, avant qu’elle ait eu le temps d’ajouter un mot, je lui claque sèchement l’intérieur de la cuisse. Elle sursaute, mais comprend aussitôt le pourquoi de mon geste, et ne proteste pas. J’adore ça.
Elle s’exécute, et je la place de telle sorte que son pubis se trouve juste au bord du matelas, les jambes tendues, un peu écartées, en appui sur la pointe des pieds au sol. Je lui allonge les bras en avant, dans le prolongement du corps, en lui ordonnant de les laisser ainsi. Je ne veux pas qu’elle s’en serve pour protéger ses fesses adorables, que la posture met très en valeur, magnifique écrin pour sa vulve entrebâillée et très visiblement trempée de désir.
J’administre sur son derrière quelques claques vraiment fortes, au point que je m’arrête bientôt car j’ai trop mal à la main. Elle s’est tortillée, ce qui a massé sa vulve contre le rebord du lit, elle a essayé d’étouffer ses cris contre le lit, mais n’a rien fait pour éviter la correction. Je suis très satisfaite de moi. Alors je dépose plein de baisers très doux sur ses fesses rougies, je frôle leur chaleur ronde de mes doigts légers, je suis pour elle toute tendresse, toute douceur et toute caresse, et elle ronronne en s’ouvrant encore plus. Je crois bien qu’elle a le feu aux fesses, au propre et au figuré.
Elle s’exécute très docilement, les fesses vraiment rouges et brûlantes.
Revenant dans la pièce, je trouve Will à genoux entre ses cuisses, certainement pour la regarder de plus près, et peut-être la humer. Mais il ne l’a pas touchée, j’en suis certaine. Il s’écarte aussitôt pour ne pas me gêner. Ayant posé sur le lit la cuvette d’eau chaude et le gel de bain si moussant et si doux à la peau je place la serviette sous les fesses de Vally et je contourne le lit pour venir la baiser sur la bouche, nos visages étant tête-bêche, tout en caressant ses seins. Elle aussi étend ses bras au-dessus de sa tête pour caresser les miens. Très vite troublée, elle commence à onduler du bassin ce qui trouble encore plus Will placé aux premières loges. Il ne peut pas le nier vu que son baromètre est au beau fixe, parfaitement raide, nettement plus haut que l’horizontale, comme je l’aime. Je grimpe à genoux sur le lit, et descend mes baisers vers ses seins, son ventre, et je me place au-dessus d’elle, tête-bêche comme pour un soixante-neuf, cherchant la position la meilleure pour la raser. Je la préviens :
Je prends l’éponge moelleuse et, d’une main, je mouille soigneusement, et tendrement, sa touffe et sa vulve. Prenant du gel moussant dans ma paume, j’en étale sur toute la surface concernée, et frotte doucement pour faire mousser. Je la caresse ainsi longtemps, prenant tout mon temps, et je sens qu’elle s’abandonne, à ses soupirs, et au fait que ses cuisses ont tendance à s’écarter encore plus. Enfin, je prends le petit rasoir à lames que Will m’a acheté pour me raser le minou, car il est à pile, et tout vibrant.
Cependant, ma position est incommode. Je suis obligée de m’appuyer sur une main. Comment faire pour donner à Will un maximum de spectacle excitant tout en étant à l’aise pour raser Vally ? Je pense un moment à m’asseoir sur son ventre, jambes grandes ouvertes, et ainsi le cher salaud aurait une vue parfaite sur nos deux chattes parfaitement exposées, mais je me dis que je pèserais trop lourd sur Vally. Finalement je pose mes seins sur son ventre, mon menton en haut de son pubis, et ainsi mes deux mains sont disponibles, ma bouche tout près de son minou, et je la garde exprès entrouverte pour que Will ait le désir d’y plonger son sexe qui doit lui faire mal à force de bander. J’espère ainsi l’obséder par l’idée de s’introduire alternativement dans ma bouche et dans la vulve toute proche de mon amie, et le connaissant, je suis certaine qu’il y pense fortement.
Il me répond d’un grognement de fauve près à bondir sur ses proies.
D’une main je tends la peau en tirant la vulve vers son côté droit, et je commence à raser à partir de l’aine gauche, et vers le bord interne de sa grosse lèvre. Elle doit être surprise par l’effet du rasoir vibrant qui doit éveiller des sensations intéressantes dans ses profondeurs. Surtout après nos expériences récentes avec les pénis artificiels vibrants. Je trempe souvent le rasoir dans la cuvette pour le débarrasser de la mousse et des poils. Peu à peu je dégage de ses poils toute la grosse lèvre, ainsi que le pourtour de l’anus, très soigneusement. Alors, avec la douce éponge essorée je l’essuie bien, et je pose pleins de baisers et de suçons sur les parties fraîchement rasées. Ma langue se faufile aussi à l’intérieur de sa fente, et sur son clitoris bien visible. Je fais en sorte qu’elle apprécie la différence de sensation entre la partie rasée et l’autre.
En même temps, je sais qu’elle a, tout près de son visage, ma vulve écartelée et détrempée, mais elle n’a pas le droit d’y toucher ni de l’embrasser, malgré son désir qui doit être immense. Au moins a-t-elle l’occasion de regarder longuement mes trésors de femme, tout au long de la ligne magique qui sépare symétriquement les reliefs de mes fesses et ceux de ma vulve.
Je la mouille de nouveau (extérieurement car à l’intérieur c’est très abondamment et naturellement mouillé), et je l’enduis longuement de savon moussant, puis je rase l’autre côté. Il reste à traiter le haut de sa touffe. Est-ce que j’enlève tout ou bien est-ce que j’en laisse un peu pour le décor ? Les deux solutions me plaisent autant. En enlevant tous les poils, la nudité sera parfaite, comme une statue, et les formes les plus cachées de Vally ne le seront plus. Par ailleurs, en laissant une petite touffe au-dessus de la vulve rasée, le regard est encore plus sollicité peut-être, et cela est très décoratif. Il faut que je décide : je vais essayer de lui laisser au-dessus quelques poils en forme de flèche pointée vers sa fente nue. Si je n’y arrive pas, il sera toujours temps de la raser entièrement. Avec beaucoup d’attention j’obtiens peu à peu ce que je veux tandis que les vibrations du rasoir, bien qu’évitant le contact direct avec le clitoris, ont tout de même des effets évidents sur elle, et aussi les contacts de mes mains qui sans arrêt tendent la peau ici, et là, glissant sur ses vallées intimes et humides. Je sais qu’elle fait d’énormes efforts pour empêcher son bassin d’entrer spontanément en mouvements voluptueux. Une dernière fois je l’essuie avec la douce éponge essorée, et demande à Will de nous débarrasser de la cuvette et du reste.
Quand il revient de la salle de bain, il nous trouve engagées dans un fougueux soixante-neuf car j’ai écrasé ma vulve sur sa bouche tandis que ma langue prenait possession de son minou tout frais rasé. Le plaisir est intense pour nous deux, et nous gémissons l’une dans l’autre car nos doigts savent bien aussi se glisser où il faut. Après que nous avons bien joui, nous nous séparons, et je vais vite dans la salle de bain chercher un miroir pour qu’elle puisse se voir. Une des faces du miroir est grossissante, et ainsi elle peut admirer sa féminité vraiment nue, en gros, et en détail, comme elle ne s’est jamais vue. S’exposant à elle-même, elle s’expose aussi à nous, encore entrebâillée par nos ébats, humide, souple, prête encore à s’ouvrir plus, et cela se voit, cela se sent. D’ailleurs, presque malgré elle, ses doigts effleurent souvent le haut de sa fente, et esquissent un mouvement tournant. Peut-être est-ce pour entretenir son état voluptueux ou encore pour nous exciter plus, Will et moi, pour que nous la désirions encore, et encore. Probablement, ces hypothèses sont toutes vraies.
Bien que discret, Will ne perd rien de nos gestes, ravi, et superbement raide, voyeur exalté par nos féminités amoureuses d’elles-mêmes.
Un peu calmées, Vally et moi reprenons doucement nos caresses globales, imprécises. Nos langues se mélangent, se tètent, nous frottons nos seins tandis que nos pubis se cherchent, et que nos mains étreignent mutuellement nos fesses, les ouvrant, les écartant pour montrer à Will nos diverses voies d’accès si désirables.
La présence de Will ne nous laisse pas indifférentes. Je sens bien qu’elle et moi, nous faisons tout naturellement tout ce qu’il faut pour l’exciter un max. De ce fait, notre façon de faire l’amour, bien qu’extrêmement agréable, n’a pas la même spontanéité ni tout à fait la même fougue que lorsque nous étions seules. En fait nous faisons déjà l’amour à trois. Alors je décide de donner le ton. Je commence à la caresser comme seulement une femme peut le faire, et elle s’adapte aussitôt à ma manière. Nous nous effleurons, nos caresses sont à peine esquissées, sur tout le corps, elles changent toujours de localisation, nos baisers aussi, mais le tout avec une grâce extrême, une beauté et une sensualité confondantes, le tout comme dans un rêve au ralenti. Voilà Will, ce que c’est que l’amour entre deux très jolies femmes qui adorent ça.
Plusieurs fois, dans notre élan, nous perdons de vue le voyeur ou plutôt nous oublions sa présence, alors que lui, ne perd certainement pas une miette du festin que nous lui offrons en nous l’offrant. Quand, essoufflée, heureuse, et alanguie, je consens à regarder dans sa direction, je constate qu’il a l’air de souffrir, il se tient les couilles et le sexe avec une expression douloureuse. Je m’émeus soudain, et me sens vraiment prête à m’ouvrir toute à son épieu, à l’accueillir au plus profond de ma féminité, à le mouiller, et à le réchauffer de mes douces, tendres, et inépuisables sécrétions. Mais en même temps, je brûle de l’exciter encore plus en jouant avec nos joujoux vibrants. Je choisis alors un moyen terme il faut que je le soulage sinon il va se trouver mal à force de nous désirer. Tandis que je suis en soixante-neuf au-dessus de ma belle amie, et face à lui, je lui fais signe d’approcher, ouvre la bouche que je lui désigne, et il y entre aussitôt tout naturellement avec un tel soupir que le quartier tout entier à dû se détendre soudain. Je le pompe, et un abondant liquide coule dans ma bouche. Ce n’est pas du sperme, mais ce fluide au goût très fin, très subtil qui est le lubrifiant des hommes. Parfois cependant il y a des coulées de sperme plus épaisses, au goût nettement plus marqué. Le pauvre ! Il me donne à boire de quoi lubrifier une demi-douzaine de jeunes vierges ! Mais je sens qu’il ne tiendra plus très longtemps. Son gros pénis tressaute dans ma bouche amoureuse et habile tandis qu’il gémit de plus en plus fort. Pendant ce temps, la délicieuse bouche de Vally poursuit sans relâche ses investigations dans mes orifices enfiévrés, et moi, j’ai deux doigts enfoncés en elle tandis que le pouce de la même main fait rouler son clitoris. Aussi j’éprouve un plaisir extrême d’être ainsi en prise avec ces deux êtres que je désire tant.
Quand Will explose dans ma bouche, je fais l’effort de ne pas l’avaler, pour garder un maximum de son sperme entre mes joues, ma langue, et mon palais. Lorsqu’il sort de moi, son sexe toujours imposant forme néanmoins avec son corps un angle de 45 degrés vers le bas. Alors je laisse couler de ma bouche, sur la chatte de Wally, tout le sperme gardé pour elle. De ma main je l’en badigeonne dans les moindres recoins de son entrejambe. Puis, je me mets à le lécher pour l’avaler enfin. Un coup d’œil vers Will me permet de remarquer que mon petit manège a fait retrouver à son pénis un angle de 45 degrés, mais vers le haut ! Qu’importe, maintenant il va pouvoir attendre encore un peu.
Je tends la main vers le tiroir du chevet qui contient nos joujoux érotiques, et je les pose sur le lit à porté de ma main. Je saisis le petit Will doré, et le mets en marche. J’en passe le bout arrondi, et tout vibrant, sur la vulve de Vally, je le mouille de sa substance, et du sperme résiduel puis le place sur son œillet dilaté qui l’absorbe doucement, sans douleur. Même, elle se tortille un peu pour participer à son intromission. Pendant ce temps, ma langue joue avec son clitoris, et ses petites lèvres. Quand le petit Will doré est profondément enfoncé, je lui fais faire quelques douces allées et venues puis le laisse planté profondément.
Je prends alors l’œuf, lance son petit moteur, et l’enfonce doucement dans sa fente détrempée. Alors, de mes lèvres, et de ma langue, je m’occupe de sa vulve et de son clitoris. Elle crie d’une jouissance presque insupportable, et je soulève un peu ma chatte de son visage pour laisser librement sa tête tourner vivement d’un côté et de l’autre tandis que son bassin est agité de soubresauts, et de mouvements très voluptueux.
Au bout d’un moment, je fais signe à Will d’approcher. Je saisis son sexe dur et brûlant tout en ôtant doucement l’œuf de son logement chaud, et si mouillé. J’introduis alors le gland de Will dans le trou béant, et le tenant par la base, j’impose un mouvement tournant à son gland, enfoncée en elle, qui l’ouvre et l’élargit encore. Enfin, je tire doucement sur son sexe pour provoquer une lente intromission. Je le lâche enfin, et il s’enfonce le plus loin possible tandis que je m’active toujours de ma langue sur le clitoris. Will doit sentir vibrer au fond du vagin l’autre Will, le doré, lequel est toujours planté dans le conduit adjacent.
Mon amant commence de lents et profonds va-et-vient, et les jambes de Vally sont venues spontanément encercler son bassin, crochetées au niveau des chevilles comme pour mieux le sentir bouger en elle. Elle jouit toujours aussi intensément. Alors je me retourne, et place mes genoux de part et d’autre de son bassin pour venir la baiser sur la bouche. Nos langues se mêlent, nos seins se touchent, et en fait, c’est bien moi qui lui fais l’amour avec l’assistance de la queue de Will (le grand) tout comme je m’étais assistée de nos joujoux vibrants.
Dans ma position, mes fesses sont rehaussées au niveau de la poitrine de Will, et il s’en empare de ses mains, les pétrit, les pénètre de ses doigts, ainsi que ma vulve, et me fait des choses délicieuses qui augmentent encore mon plaisir tandis qu’il me fait plein de bisous sur les reins.
Je m’écarte de ma belle amante pour susurrer à l’oreille de Will
C’est vrai qu’il a déjà éjaculé dans sa gorge, tout au début.
Il pousse un "hum" très affirmatif.
Je me remets tête-bêche avec Vally, et j’ôte lentement le petit Will doré de son obscur conduit. Je profite d’un mouvement vers l’arrière de Will pour le faire sortir de Vally, et pour pointer son gland sur l’anus tendre et dilaté par le plaisir. Des mains j’ouvre les adorables fesses féminines tandis que, tout gluant des sécrétions de la belle, il s’enfonce lentement, mais d’un seul élan ininterrompu, jusqu’à la garde. Je reprends l’œuf, et le réintroduit dans la féminité de Vally, où il est si bien qu’il en vibre de plaisir. Will reprend ses va-et-vient, doucement d’abord, comme promis, puis de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je sens qu’un torrent de sperme se prépare à jaillir de lui, et par mes lèvres et ma langue actives sur la vulve de Vally, je sens tous les spasmes de sa merveilleuse fente de fille. J’attrape les fesses de Will pour mieux sentir sa force, participer à ses mouvements, et enculer ainsi ma maîtresse avec un sexe d’homme, poussé par des fesses particulièrement vigoureuses.
Il explose enfin en elle, grondant comme un lion superbe et généreux. Quand il sort enfin doucement, presque débandé, je stoppe la vibration de l’œuf que je laisse en place. Vally est presque évanouie de jouissance, mais elle si belle, si radieuse, si émouvante, que je pleure de bonheur, comme elle, en la serrant dans mes bras.
Je suis heureuse, et fière de moi : je lui ai tout donné, mon amour, mes baisers, mes caresses les plus osées, les plus profondes, les plus variées, et surtout, je lui ai donné mon amant avec sa bonne grosse bite, et elle l’a eue dans tous ses trous, elle a avalé son sperme. Je l’ai léchée et bue, et elle aussi m’a bue. Elle est ma sœur chérie, ma semblable, mon amie intime, elle est aussi belle que moi, et aussi sensuelle. Ses seins et sa peau sont superbes, le goût de sa chatte est délicieux, et elle mouille autant que moi.
Maintenant que je suis allée jusqu’au bout de mes désirs avec elle, je sens que nous allons vraiment faire l’amour à trois. Jusqu’à présent, je n’ai surtout pensé qu’à la faire jouir, elle, le plus possible, et par tous les moyens. Maintenant, j’ai vraiment envie de faire la fête à trois, en prenant tout notre temps, et en profitant bien de notre merveilleuse entente sensuelle à tous les trois. Nous avons, jusqu’à présent, été propulsé par le désir et la soif de jouir. Nos jouissances nous ont un peu calmés, nous avons tous eut notre compte de plaisirs, aussi nous pouvons maintenant faire des choses plus raffinées. J’expose mes intentions à mes amant-e-s, et j’ajoute, d’une voix irrésistible de séduction :
Chacun d’eux aussitôt m’embrasse, prend un de mes seins, et m’assure qu’ils va très bien s’occuper de moi. Je sens leur sincérité, leur désir, et leur affection, et c’est vraiment bon.
Dans la salle de bain, nous nous lavons avec joie et plein de caresses plus ou moins osées. Will est à nouveau au garde-à-vous. Quelle chance d’avoir un tel homme, vraiment à la hauteur. Cette dernière expression doit certainement avoir pour origine une femme dévorant des yeux un homme qui bandait comme Will, nettement plus haut que l’horizontale.
Au restaurant, Will est assis en face de nous deux et son regard gourmand passe de l’une à l’autre avec le même désir et le même enthousiasme. Sous la table, il a placé ses jambes de telle sorte que chacune d’elle est insinuée entre nos deux genoux, et il veille ainsi, à petits coups à droite et à gauche, à ce que nous restions toujours bien ouvertes, écartées par lui et pour lui. Tout en dévorant à belles dents, nous nous dévorons des yeux, et sans nous attarder trop au moment de boire le café, nous remontons dans notre chambre. Dans l’escalier, les mains de Will, qui s’est arrangé pour être derrière nous, expriment son admiration pour nos croupes et nos cuisses par des caresses ou des tapes possessives et stimulantes, comme les mâles aiment en donner, et comme nous aimons les recevoir.
Arrivés chez moi, la porte refermée, nous nous embrassons, enlacés, comme pour rattraper le temps perdu au restaurant où il fallait rester discret. Encore que nos regards et notre connivence ne sont-ils certainement pas passés inaperçus à des yeux avisés.
Qu’importe ! Mais maintenant, malgré notre désir évident, je sens notre fatigue et je pense qu’il est préférable de prendre un peu de repos avant de recommencer notre fête, qui n’en sera que meilleure.
Bientôt, dans le plus simple appareil, il est sur le lit entre ses deux nanas, nues elles aussi, chacune ayant posé sa tête au creux d’une épaule, et nous avons posé une cuisse sur la sienne en plaquant notre chatte toute chaude contre sa peau virile.
Très vite, nous sombrons dans un profond sommeil.
Je suis la première à me réveiller, et j’apprécie la puissante présence mâle tout contre moi. Ouvrant les yeux, je constate aussitôt que la flèche de Will est dressée vers le ciel. Quel type ! Même endormi, il bande. Il fait peut-être un merveilleux rêve érotique dans lequel il se voit couché entre deux nanas superbes et qui ne demandent qu’à s’ouvrir à lui, à le recevoir aux creux d’elles-mêmes.
Doucement, je descends vers son ventre ou plutôt vers son sexe dressé que je peux regarder et admirer tout à loisir, de très près. Que c’est beau et émouvant, cette masse de chair si ferme et si douce à la fois, si chaude et si vivante, avec sa grosse veine qui se boursoufle tout du long, comme pour mieux nous caresser l’intérieur ! Et ce gland si gonflé et rose, si bien dessiné, avec la petite fente au bout, et la petite perle de liquide lubrifiant qui trahit son désir inconscient de plonger dans nos conduits secrets, de les forer puissamment jusqu’à nous faire fondre de plaisir et crier de bonheur.
Quant à Vally, elle aussi est encore endormie, une jambe allongée et l’autre repliée, révélant ainsi ses douces et délicates vallées intimes fraîchement rasées et entrebâillées, si désirables. Ses seins sont gonflés et les pointes sont nettement érigées, elle aussi doit rêver de plaisirs sensuels.
J’ai un formidable désir pour eux deux, et je ne sais sur lequel commencer mes caresses. Si, je le sais, je vais commencer par absorber doucement dans ma bouche la fière colonne de chair de mon amant. Mon corps me fait savoir, notamment par la douce humidité que je sens couler entre mes cuisses, et par la tension de la pointe de mes seins, qu’il est autant prêt à recevoir, qu’à donner de l’amour.
Tout doucement, pour ne pas réveiller mon fier amant, mes lèvres viennent se poser sur le gland, s’ouvrent à lui et je l’absorbe lentement. Il glisse heureux à l’intérieur de ma bouche, où ma langue l’accueille en frétillant joyeusement sur le frein. Sans s’éveiller, Will pousse un soupir de bonheur, tandis que son bassin se pousse en avant, ce qui, évidemment, enfonce davantage le fier pénis dans ma bouche amoureuse. Sacré Will ! Même endormi, ce viril conquérant veut toujours aller plus loin, plus au fond. J’amorce très légèrement un mouvement d’aller et retour le long de la hampe, ma bouche se régale de cette belle et si ferme chair virile, à ma merci. Comme chaque fois que j’ai un pénis dans ma bouche, c’est vraiment les vases communicants : j’ai l’impression, par un effet de l’imagination, qu’il est en fait dans mon vagin. L’inverse est identique : quand un pénis me fouille entre les cuisses, je le ressens aussi dans ma bouche, qui est si habile à palper, à connaître, en particulier avec la langue, et qui voudrait alors le sentir dans tous ses détails troublants. La solution, c’est d’en avoir en même temps un entre mes lèvres du bas, et un autre entre celles du haut, et même, pourquoi pas, un troisième enfoncé dans mon joli derrière, comme pendant nos jeux, Vally et moi, avec les engins vibrants.
Toutes ces considérations ajoutent encore à mon trouble, et mes yeux viennent se fixer sur la fente écartée et pulpeuse de Vally. Je l’effleure de ma main, et elle gémit de plaisir tout en dormant et en se cabrant, elle aussi, pubis en avant. " En avant toute ", comme disent les marins.
Le gémissement de Vally, s’ajoutant à la caresse de ma bouche, réveille Will qui redresse la tête, constate que je suis en train de le pomper doucement, et je devine à son expression, et aux mouvements de son corps, qu’il fait un effort certain pour ne pas éjaculer dans l’instant et dans ma bouche. Bon réflexe, me dis-je, garde tes forces, tu vas encore en avoir besoin !
Je quitte cependant son sexe hyper-raide et m’installe doucement entre les cuisses de Vally pour la lécher très doucement, dans son sommeil. Elle mouille aussitôt d’abondance et ondule voluptueusement, en gémissant de plaisir, tou-jours endormie, à moins qu’elle ne fasse semblant ? Will s’est levé pour venir derrière moi, et sa langue me fait à peu de choses près ce que je fais à Vally. Que c’est bon ! J’aime les réveils de la sorte !
En jouissant comme une folle, Vally se réveille, elle dormait pour de bon, et la réalité qu’elle découvre ne contredit pas son rêve érotique. Tout de même, je sais par expérience que la jouissance, dans mon sommeil, est encore plus forte que pour de vrai, et je me dis que ça a dû être vraiment terrible pour elle. Il n’y a qu’à voir son visage extasié et son corps complètement alangui pour en être convaincu.
Will intervient :
Je suis ravie qu’il donne ce tour aux événements :
Il me prend dans ses bras, me soulève comme une jeune mariée à qui l’on fait franchir la porte de la chambre nuptiale, sauf que je suis déjà toute nue, et me dépose doucement sur le lit.
Je désigne le tiroir dans lequel je les range, il l’ouvre et revient près du lit avec une bonne partie du contenu.
J’acquiesce d’un mouvement de tête en regardant son terrible engin dressé à 45 degrés, tout prêt de mon visage. Je refrène mon envie de le prendre en main et en bouche. Je deviens passive, soumise, en attente, un peu émue, je l’avoue, et d’une manière très intéressante.
En un rien de temps, il me met un bandeau sur les yeux et l’ajuste bien de telle sorte que je n’y vois vraiment plus rien. Et aussitôt, il noue un autre foulard à un poignet et m’attache à un des barreaux du lit.
J’ai un lit en fer forgé blanc, avec des barreaux à la tête et au pied et, quand je l’ai acheté, c’était justement sous l’influence d’un de mes fantasmes favoris, qui consiste à être attachée à un lit, les yeux bandés, et autour de moi une demi-douzaine de types ou même plus, puisque je ne les vois pas, qui en profitent de toutes les façons imaginables. Suite à cet achat, un autre fantasme s’était imposé à moi, qui m’avait procuré beaucoup de plaisir pendant un certain temps : mon amant me téléphonait pour me donner l’ordre de me mettre nue, puis de m’attacher moi-même les chevilles au pied du lit, jambes écartées, évidemment, puis de lier le poignet gauche à la tête du lit. De ma seule main libre, je devais me caresser efficacement pour préparer sa venue. Je m’attachais réellement ainsi et me caressais vraiment de ma main libre. Quand mon amant fantasmatique arrivait, il fixait au montant du lit mon poignet encore libre, et vérifiait longtemps mon niveau de préparation, en m’écartant la vulve et les fesses, en faisant des commentaires. Très satisfait de moi, il ouvrait la porte de mon appartement et trois hommes masqués entraient, dont un noir très grand et athlétique. Les trois complices se déshabillaient tranquillement, en m’admirant, mais gardaient leur masque. Eux aussi, vérifiaient ensuite que j’étais particulièrement bien disposée à les recevoir. Puis l’un d’eux se glissait sous moi, tandis que les deux autres me soulevaient, m’écartaient les fesses, plaçaient précisément l’engin de l’homme dans mon dos sur mon petit trou, puis laissaient le poids de mon corps peser sur le pal qui s’enfonçait lentement en moi jusqu’à la garde. Alors le noir au sexe gigantesque me l’enfonçait devant, et les deux hommes commençaient une formidable cavalcade qui me traversait de part en part. Le troisième venait évidement se placer dans ma bouche pour me combler parfaitement. Mon amant, nu lui aussi, bandant comme un dieu, regardait mon visage de près et y suivait dans mes yeux et mes expressions, les terribles effets de la triple pénétration.
Quand les trois hommes avaient déversé en moi leur abondante semence, ils s’en allaient, et mon amant me couvrait de son corps, s’enfonçait dans mon volcan liquide, et voyageait longtemps en moi, toute brûlante, lubrifiée de mon plaisir et de sperme. Devant, derrière, devant, derrière, il m’enfilait interminablement de son épée flamboyante dans il trempait la lame dans mes profondeurs liquides pour la durcir encore davantage. Finalement, il venait bâillonner mes cris en se plaçant dans ma bouche. Je le tétais comme un nourrisson affamé et il explosait enfin, en me donnant à boire une incroyable quantité de sperme.
Un autre fantasme, très efficace lui aussi, avait un jour remplacé ce dernier : j’apprenais à piloter une aile volante. Le moniteur se tenait dans son harnais au-dessus de moi, pareillement harnachée. Je portais le casque réglementaire mais comme il faisait très chaud, je portais une mini jupe évasée, légère, que le vent faisait claquer sur les fesses et sur ma chatte, surtout dans les virages. J’étais sans culotte, cela va de soi. Nous planions très haut, c’était merveilleux, et le beau moniteur avait vite constaté que j’étais très accessible. D’ailleurs, j’écartais les jambes pour aérer ma fournaise intime, mais surtout pour enflammer le tison de mon beau moniteur. Ce dernier desserrait alors son harnachement, venait tout contre mon dos, posait ses mains de part et d’autre des miennes, sur la barre. J’ouvrais les jambes, je me cambrais pour m’offrir, et pour qu’il arrive enfin à m’enfiler somptueusement, après quelques coups plus ou moins ajustés, mais terriblement excitants. Adroitement, il faisait alors évoluer l’aile planante de telle sorte que son balancement latéral alterné se répercutait d’une manière terriblement bénéfique sur les parois de ma vulve magnifiquement sondée par son engin que je sentais particulièrement imposant. Je fantasmais ainsi un septième ciel de rêve, en voyant le monde défiler sous moi, de très haut.
Vally, sans dire un mot, m’a pris l’autre poignet et l’attache aussi. Ils sont certainement convenus de ne rien dire, ils doivent communiquer par gestes. Ils attachent aussi mes chevilles en m’écartant résolument les jambes. C’est merveilleux.
Je crois rêver, mais après ça, il ne se passe rien. Ils me laissent comme ça, sans me toucher, un moment qui me semble très long. Peut-être s’embrassent-ils, se caressent ou même se baisent-ils quelque part dans la pièce ? Pourtant, en tendant bien l’oreille, je ne perçois rien, sinon leur présence toute proche. Que vont-ils faire de moi ? Pourquoi ne profitent-ils pas de ma position offerte, et sans défense, pour me fouiller partout ? Ils doivent bien voir que j’en meurs d’envie, car je coule d’abondance au milieu de moi, je suis tout ouverte et mes seins sont complètement érigés, mon clitoris aussi. Mon souffle est un peu haletant, je respire par la bouche comme pour leur montrer que, là aussi, je suis ouverte.
Soudain, quelque chose de très doux me frôle sur le flanc. Une très douce caresse remonte de ma taille vers le sein droit. Un autre contact, très doux lui aussi, différent cependant, descend lentement de mon sein gauche vers le creux de la taille et la hanche. Je frissonne de plaisir avant de comprendre qu’ils se servent de mes autres foulards pour me caresser si délicatement. Je pousse un soupir de bonheur et de reconnaissance. Ils vont prendre leur temps et me donner tous les plaisirs possibles, sans que je sache qui fait quoi. Je m’abandonne sans réserve aux sensations qu’ils font courir sur ma peau, car les frôlements explorent toutes les parties de mon corps et de mon visage qu’ils peuvent atteindre dans ma position ; mais toujours très doucement, délicatement, sans s’attarder. Parfois, ils doivent changer de foulard, car le contact diffère ; je crois même reconnaître un moment le toucher de mon écharpe en mohair. Parfois aussi, ils soufflent leur haleine, tantôt fraîche, tantôt chaude, sur mes seins ou entre mes cuisses ou sous mes aisselles, ou encore dans le creux du nombril. Ce n’est pas comme cela qu’ils vont éteindre le feu en moi. Il faudrait plutôt la lance d’incendie de Will, mon pompier préféré ! Il est vrai qu’avec lui, c’est souvent moi qui fait le pompier ! Les psychanalystes diraient que je suis plutôt orale, c’est vrai, mais je suis aussi bien vaginale, anale, clitoridienne, et j’aime aussi faire jouir mon amant entre mes seins ; les freudiens ont-ils un mot pour cataloguer ce plaisir-là ?
Mes amant-e-s utilisent pour me caresser maintenant toutes sortes de matières que je ne parviens pas toujours à reconnaître, mais qui me surprennent, et me font toujours énormément d’effet. Ils ont vite repéré les zones de mon corps qui réagissent le plus à leurs caresses et ils en jouent en virtuoses. Et du fait de mes yeux bandés, je suis encore plus centrée sur mes sensations corporelles qu’en temps normal, ce qui n’est pas peu dire !
Des lèvres se posent sur les miennes et une langue s’insinue dans ma cavité. Je crois reconnaître le baiser de Will mais, après tout, je n’en suis pas tout à fait certaine, et cela m’arrange, je peux fantasmer à ma guise. Les caresses aux foulards continuent cependant. Puis, chaque pointe de mes seins est aspirée entre des lèvres goulues et habiles et ce sont des mains qui effleurent mon corps. J’ai de plus en plus de difficulté à essayer de deviner qui fait quoi, car le trouble se déploie en moi, il m’emporte de plus en plus, me fait fondre de plaisir et de douceur, de feu et d’eau. Une des bouches remonte à petits baisers vers mon cou tandis que l’autre descend tout aussi délicieusement et lentement vers les abords de ma fente ouverte qui crie, à sa manière, et avec un ouragan dans mon bassin : " Touchez-moi, prenez-moi, fouillez-moi, creusez-moi, défoncez-moi, en-gloutissez-vous en moi, tripotez-moi, explorez-moi, s’il vous plaît, je vous en prie " Je suis folle de désir, il faut qu’on me pénètre, avec n’importe quoi, mais surtout qui ressemble à la bonne grosse bite de Will !
Ils ont pris maintenant les accessoires vibrants, je les reconnais au toucher, bien qu’ils n’aient pas déclenché les moteurs, et, avec l’extrémité des objets, ils font de douces pressions sur mes cuisses, mon ventre, mes aines et même mes seins, et leurs inventions doucement perforantes exacerbent encore mon désir d’être pénétrée. Il me semble aussi qu’un vrai sexe d’homme, bien ferme, se pousse aussi contre mon corps, ici et là.
Une bouche prend possession de la mienne et une autre se met à lécher doucement le creux de mon aine et mes grosses lèvres. Je tente des mouvements du bassin pour amener ma vulve liquéfiée dans la trajectoire de cette langue mais elle s’esquive et fait en sorte de rester aux abords immédiats de ma béance. J’en pleurerai et en même temps, le désir-plaisir qui monte en moi devient si fort que je me demande jusqu’où cela ira.
Un corps est en train de s’installer près de ma tête. La langue qui fouille ma bouche s’éloigne et, presque aussitôt, une masse de chair chaude, à l’odeur d’homme prends sa place et s’enfonce dans ma bouche docile. Qu’elle est bienvenue, cette bite, encore que dans l’état où je suis maintenant, je l’aurai préférée ailleurs, plus bas !
Mes fantasmes affluent et je ne sais pas lequel des dix hommes qui m’entourent me l’a fourrée là. Tandis que je le suce et le pompe avec l’énergie du désespoir et du désir, je vois derrière mes yeux occultés, des torses d’hommes, des fesses d’homme, des bites de tailles et de formes différentes, mais toutes assez grosses et longues, tant qu’à faire. Je les aurai tous, ces phallus, je leur ferai cracher leur sève blanche et odorante, je les boirai jusqu’à ce que leur arrogance décline, qu’ils deviennent humbles et flexibles, apaisés, tendres et reconnaissants.
Ah! La langue féminine s’est enfin posée sur mon clitoris, le lèche, le caresse, le fait rouler merveilleusement. Un doigt épais, sans doute un pouce force lentement mes reins dont le creux s’ouvre joyeusement, je m’empale volontairement en ondulant du bassin. La bouche aimée prend possession de ma vulve, la langue adorable y plonge aussi loin que possible tandis que le pouce audacieux s’installe en maître dans mes arrières, va et revient sans cesse, tout en tournant comme pour m’élargir. Deux mains ont saisi mes seins et en triturent les pointes. Je jouis par tous les pores de ma peau, par toutes mes ouvertures. J’ai des spasmes partout. Je crie malgré moi et en dépit du bâillon de chair, lequel se retire pourtant, sans avoir craché sa liqueur blanche.
On me détache les jambes mais c’est pour les relever au-dessus de ma tête et les lier à nouveau en me laissant très écartée. Les liens des chevilles sont maintenant fixés à la tête du lit, de part et d’autre des poignets. Je ressens combien ma vulve et mon anus sont ainsi exposés, ouverts, disponibles. Ils sont en première ligne, ouverts à toute proposition, prêt à l’assaut final… qui ne vient pas : ils ont repris leurs foulards pour me caresser !
Ce n’est pas ce que j’attendais, mais c’est bon tout de même. J’accepte de dépendre entièrement de leur bon plaisir, de leur bon vouloir ; au fond de moi, je suis vaincue, je me rends, et c’est bon. Allez-y, faites tout ce que vous voulez, je sais bien que vous finirez par user et abuser de votre situation de maîtres, et que je vous recevrai tout au fond de moi, là où je me creuse toujours plus pour vous accueillir, et vous subir dans la plénitude de joie.
Un corps s’installe de part et d’autre de ma tête en se faufilant entre mes jambes toujours tirées vers l’arrière. Une délicieuse odeur de femme s’approche de mon visage et je ne suis pas surprise quand une vulve douce et mouillée, odorante et onctueuse, se pose sur ma bouche. Avec ma langue à la rescousse, ma bouche se donne à cœur joie sur cette merveilleuse offrande. Tandis que mes seins sont saisis et malaxés, une bouche féminine se pose sur ma vulve et me rend la pareille tandis que presque aussitôt, une autre langue s’intéresse de très près à mon anus, tout offert par ma position et par le plaisir qui le dilate. Dieu ! Que c’est bon tout ça ! Je m’abandonne au plaisir, aux sensations intenses qui m’envahissent de tous côtés ! Je jouis d’une manière continue, avec des pics plus intenses, mais sans jamais redescendre vraiment.
La bouche qui s’occupait si bien de mon petit trou est partie mais quelque chose de plus ferme s’y place et s’y pousse. Je me fais encore plus molle que je suis, et je sens un gland s’insinuer en moi, m’ouvrir, m’écarter, me dilater, franchir une première porte, puis une seconde et entrer de plus en plus profondément en moi, irrésistiblement, m’emplissant, de sa force, comblant mon désir d’être pénétrée. Comme l’autre bouche continue de s’activer sur ma vulve et mon clitoris, dès que la chose énorme, douce et ferme qui s’est plantée dans mon cul se met en mouvement, doucement d’abord et de plus en plus vite, de plus en plus fort, mon excitation et ma jouissance montent d’un cran, et même de plusieurs. Je crie ma joie et la puissance de mes sensations dans la vulve détrempée qui se maintient cependant sur ma bouche.
Après une longue et merveilleuse enculade, pendant laquelle je fantasme tant que je peux, tant les circonstances s’y prêtent, le fier pénis se retire doucement, me laissant toujours ouverte, je le sens.
Je me fixe alors sur les merveilleuses sensations que me procure la douce et savante bouche féminine laquelle, fidèlement, et à la perfection, explore toute ma vulve en surface et en profondeur.
L’homme est allé se laver, probablement car voici qu’un pénis, fleurant bon l’odeur de mon savon, s’efforce de se glisser entre ma bouche et la vulve de la femme qui est sur elle. Vally, docile, soulève un peu son bassin et il fait quelques allées et venues entre ses lèvres du bas, à elle, et mes lèvres du haut, à moi. Puis je comprends qu’il l’a enfilée et je sens son va-et-vient par le mouvement de ses couilles sur mon visage, et les secousses rythmées du matelas. Je m’efforce de participer en léchant tout ce qui passe à ma portée, d’elle et de lui. Mais voici qu’il ressort d’elle pour plonger dans ma bouche, profondément, jusqu’à ma gorge, tout parfumé et glissant de ses sécrétions à elle. Il recommence son va-et-vient, dans ma bouche cette fois-ci, tandis que de ma langue je fais de mon mieux pour lui donner un maximum de plaisir et de sensations. Je fantasme encore : je vais me faire percer la langue pour y mettre une petite perle avec laquelle je pourrais leur faire des choses sur le gland et sur le frein de ce dernier, si sensible. Ce doit être terrible pour un homme, d’ajouter à la chaleur mouillée et à l’habileté de la langue, le contact affolant de la petite perle agitée en rythme, latéralement. Je me demande, rêveuse, au bout de combien de fellations la perle sera-t-elle usée au point de devoir être remplacée…
Je ne sais pas s’il imagine la même chose, en tout cas, je sens qu’il ne va pas tenir encore longtemps. Je le comprends à ses mouvements plus désordonnés, plus brusques, aux soubresauts de son bélier, aussi, qui semble dans ma bouche se gonfler encore plus, par secousses. Ça y est, il vient par saccades, se laisse aller en rugissant, il gicle dans ma gorge, car il est entré au maximum en moi et j’avale tout avec bonheur, avec un sentiment d’amour et de victoire, je ressens du bien partout. J’ai toujours le curieux sentiment, quand l’homme qui me fait l’amour, et qui me plaît, jouit dans ma bouche, qu’il jouit en même temps au fond de mon vagin, que je suis pleine de sa semence, et ça me fait un bien fou ! J’aime le goût du sperme, à la fois douceâtre et entêtant, comme le parfum des fleurs de sous-bois, et qui reste en bouche longtemps après que la grosse masse de chair ait giclé et se soit retirée.
La fente juteuse sur ma bouche, et le corps de la femme se sont aussi retirés. On me détache les jambes. On place sous mes fesses d’épais coussins, et la femme vient à nouveau sur moi, dans le même sens cette fois-ci. Je remonte mes genoux et noue mes chevilles sur les reins de ma belle amante qui plonge sa langue dans ma bouche et emboîte ses seins avec les miens. Elle frotte son pubis contre ma vulve qui s’ouvre pour elle. Que c’est bon de se faire faire l’amour par une femme comme elle ! Mais voici qu’une chose ferme et chaude, que je reconnais bien, se glisse entre nos chattes amoureuses et y commence des allées et venues. Nous la pressons, la malaxons de nos grosses et petites lèvres, de nos clitoris exaltés. Lui va en avant et en arrière, nous, nous ondulons de concert latéralement, et le tout c’est génial !
Soudain il plonge en moi et c’est merveilleux ! Deux trois coups et il ressort. Je comprends qu’il bouge en elle maintenant, aux réactions du corps féminin contre moi, à son souffle rythmé par les coups masculins qui poussent le corps de mon amante contre le mien. Il revient en moi, alterne ses allées et venues tantôt dans l’une et tantôt dans l’autre. Il est trempé et glissant du mélange excessivement abondant de nos substances d’amour et de plaisir. Mon corps et celui de mon amante jouissent l’un sur l’autre. Je fais l’amour avec une femme pendant qu’un splendide sexe d’homme a finalement élu domicile dans mon ventre et me bourre longtemps de coups puissants et délicieux qui font monter en moi un ouragan de plaisirs. Je crie mon bonheur, ma plénitude. Je m’ouvre encore plus, je suis béance, liquide et chaude, je l’absorbe au plus profond de moi. Ses coups de boutoir résonnent sur le col de mon utérus, éveillant des sensations indescriptibles. En même temps, je jouis de la douceur de la peau d’une femme contre moi, de la douceur de ses seins, de sa langue enroulée autour de la mienne. Je ne sais plus où j’en suis, je suis soulevée par une vague immense qui déferle avec une puissance incroyable et me laisse exsangue, alanguie, domptée, comblée, royale, magnifique, somptueuse, complètement relâchée, abandonnée.
Quand je reviens à moi, une chose douce et ferme continue d’explorer lentement mon ventre liquide et chaud, qui vibre encore, et produit parfois des spasmes délicieux. Il s’immobilise et je le sens palpiter en moi, avant qu’il ne décroisse lentement dans mon antre secret, au centre de mon corps, au centre de ma joie.
Devenu petit et attendrissant comme un sexe de petit garçon, il sort lentement de moi, trop faible désormais pour se maintenir en place et régner en maître au cœur de ma féminité. Je ressens son abandon avec une légère frustration, sans que cette dernière ne ternisse vraiment ma joie immense.
Ils inversent la position de leurs corps. Lui vient sur moi, me serre amoureusement dans ses bras et baise ma bouche aux lèvres gonflées tandis qu’elle, vient boire entre mes cuisses, me toilette de sa langue avec une douceur exquise et confondante.
Je vis un moment de grâce exceptionnelle, je me dis qu’il est impossible de se sentir mieux, plus comblée, plus satisfaite, plus apaisée, plus femme. Je me sens tellement belle ! Chacun de mes gestes est une perfection de beauté, de sensualité, d’aisance souveraine, de féminité désirable, de séduction parfaite et parfaitement naturelle. Je me sens la plus féminine et la plus comblée des femmes de l’univers.
Je m’endors dans les bras puissants qui m’enlacent et me protègent. Quand je m’éveille, ils sont de chaque côté de moi. Je n’ai plus de liens aux poignets ni de bandeau sur les yeux. Je peux voir leurs regards pleins d’amour et d’admiration.
Mais ils n’ont pas encore été au bout de leurs désirs, de leurs fantasmes. Voici qu’ils me lient à nouveau en fixant chaque poignet à la cheville correspondante. De la sorte, mes genoux sont pliés et il est facile de m’écarter les cuisses pour faire ce qu’ils veulent. Mais ils me font basculer sur le côté. Là encore, je me sens à leur disposition, incapable de les empêcher, si toutefois telle était mon intention, de faire ce qu’ils ont envie avec mon sexe et mon anus. Mais ils me basculent encore et je me retrouve à genoux, cuisses verticales, le sommet du crâne sur le lit, mes fesses bien relevées, parfaitement offerte à tout envahissement sur mes arrières. Will a relevé mes pieds qui sont maintenus talons près des fesses, toujours liés aux poignets. Que mes cuisses soient serrées ou écartées, elles laissent mes trésors de femme entièrement à leur merci. Mais Will m’écarte gentiment, et se place derrière moi. Il pose ses mains sur mes plantes des pieds et peux ainsi balancer doucement mon corps en avant ou en arrière d’une légère poussée. Je peux voir son sexe énorme sous mon ventre, ses couilles encore gonflées. Sans préambule il se place à l’entrée de mon vagin et entre d’une seule poussée car je suis déjà ou encore, toute trempée. Il donne des coups profonds, mais doux et lents ; mon corps, en équilibre sur les genoux et le sommet du crâne, balance doucement à son rythme, revenant de lui-même s’empaler, quand il se retire après m’avoir poussé en avant d’un coup de rein. De ses mains sur les plantes de mes pieds, il maîtrise parfaitement mon balancement, qu’il peut amplifier ou réduire à sa guise, et même ralentir ou accélérer dans une certaine mesure.
C’est sublime, d’autant que dans cette position, la voyeuse en moi s’extasie devant l’absorption et la réapparition du pilon de mon amant, le balancement de ses couilles, la force qui se dégage de ses cuisses musclées et poilues.
Comme il fallait s’y attendre, ma douce amie ne se contente pas d’admirer le spectacle. Elle place ses genoux de chaque côté de ma tête. Ainsi, ses cuisses et son pubis servent de butoir à mon dos, empêchant de la sorte que des coups trop forts n’imposent un effort excessif à ma nuque. Ses mains divines, tantôt caressent et ouvrent mes fesses, et ma vulve, tantôt glissent sous mon ventre pour taquiner mon clitoris, palper le fier pénis, caresser les couilles. Je jouis longtemps, doucement, balancée hors du temps, coulissante et concentrée sur l’axe viril qui en moi se meut et, si profondément, m’émeut. Il n’y a plus de distinction entre lui qui pénètre et moi qui m’empale tant nos mouvements, toujours induits par lui, s’harmonisent. Mes doux gémissements rythment le balancement magique, je voudrais que cela dure éternellement, tellement c’est bon. Je suis vraiment sans dessus-dessous, sens fondants de partout. Will doit avoir les yeux fascinés par mes fesses et par mon anus mais comme il y est déjà venu et qu’il peut y aller selon son envie, il se sent d’autant mieux dans mon vagin, si bien adapté à son engin. Il lui suffit sans doute de regarder mon autre cible étoilée pour enrichir encore son voyage au fond de moi.
Cela dure merveilleusement longtemps, car Will a tant donné sa semence que ses réserves doivent être épuisées. Tant mieux dans un sens, car je peux jouir sans arrêt, tranquillement, pendant de très longues minutes, une heure peut-être, je ne me rends pas compte. Le balancement est stabilisé dans un rythme lent et très régulier, qui permet au piston de coulisser inlassablement en moi, sur quasi toute sa longueur. Je suis tellement liquéfiée, si dilatée, que j’ai l’impression de voyager sur un rêve de verge, laquelle parcourt en moi d’incroyables distances. C’est si bon, incroyablement bon !
Le fait d’avoir la tête en bas, associé au balancement provoqué par les doux coups de bite de mon amant induit un état au-delà de tout ce que je connaissais. J’ai beau regarder, fascinée, le piston entrer et sortir de moi, voir le ballottement des testicules, j’ai beau admirer les mains délicieuses, amoureuses et si inventives de Vally, et dont je sens pourtant si bien les effets, j’ai un parfait sentiment d’irréalité, ou de supraréalité. Je suis comme dans un autre univers, où la jouissance parfaite est la loi, hors du temps et de toute autre considération.
Peut-être du fait que j’ai tant joui auparavant, cette fois-ci la jouissance est étonnamment douce et continue ; pas de cataclysme, pas d’ouragan dévastateur, mais un orgasme incroyablement doux et régulier, prolongé, comme un état naturel dans lequel toute ma peau, et toutes mes cellules ont vraiment le loisir d’éprouver un plaisir sublime et permanent.
Le bruit très " mouillé " de l’entrée et de la sortie du pilon masculin me font prendre conscience que mes cuisses, comme celles de mon infatigable pourfendeur, sont ruisselantes de mes substances d’amour. Ces observations semblent flotter légèrement dans une autre dimension, superficielle, de ma conscience, laquelle est profondément immergée dans un bonheur absolu. Je m’élargis, je me dilate, je m’ouvre infiniment. La fusée Will fonce maintenant dans un espace immense, au milieu des étoiles, plonge et disparaît dans la lumière et dans la joie infinies.
Il me semble que Will n’éjacule pas, lors de cette dernière, magique et extraordinaire enfilade. Très longtemps après avoir commencé, il sort de moi, épuisé, à demi-raide encore. Il me couche doucement sur le côté, défait mes liens, tandis que je vibre encore de partout, en extase. Il m’étend à plat dos, jambes grandes ouvertes, et lui, il vient s’allonger entre elles, pose sa joue sur mon aine et ma cuisse, qu’il enlace, et s’endort d’un seul coup. Vally se blottit contre mon flanc, la tête dans le creux de mon épaule, sa vulve proche du visage de notre amant, et elle aussi s’endort assez rapidement, après m’avoir gratifiée de quelques très douces caresses, et de baisers légers sur mes seins.
Je reste dans mon état, ni endormie, ni éveillée, parfaitement bien, sereine, en contact bienheureux avec mon amant et mon amante, qui semblent avoir trouvé dans le sommeil, comme un moyen de m’accompagner, essayant peut-être ainsi de se hisser jusqu’à mon indicible extase. Mon souffle est très léger et étonnement conscient.
Je me souviendrai toujours de cette période vraiment exceptionnelle. Elle a joué un rôle décisif dans ma vie. Je crois que c’est là que j’ai vraiment réalisé la plénitude de ma Féminité et l’incroyable bonheur qui en résulte, au-delà des mots et de toute pensée, dans la lumière-joie qui transcende ce monde ordinaire.