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n° 08360Fiche technique5287 caractères5287
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Temps de lecture estimé : 4 mn
31/12/04
Résumé:  Un matin de janvier 1898, à Paris, Lucie (24 ans) s'éveille aux côtés d' Alexandre (48 ans)
Critères:  #historique #initiation fh hplusag couple amour fmast fellation pénétratio fsodo aliments
Auteur : Antoine  (Romancier débutant)      

Série : Extraits de mon roman, qui n'est pas que pornographique

Chapitre 01 / 05
La première sodomie de Lucie



Le dimanche Lucie s’éveilla la première aux côtés d’Alexandre. Tendrement elle le couvrit de baisers et comme, à son goût, il ne réagissait pas assez vite, elle se plaça au-dessus de lui, s’amusant à le chatouiller de la pointe des seins, qu’elle promenait sur son ventre et sa poitrine. Il gardait les yeux fermés pour qu’elle prolonge son petit jeu, mais un sourire finit par le trahir.



Elle se leva soudain et sortit de la chambre, abandonnant Alexandre à son érection matinale, mais elle revint bientôt un pot de miel à la main.



Du bout de l’index trempé dans le miel elle lui caressa le sexe, et quand il en fut entièrement recouvert, elle l’engoula presque entier. Alexandre lui lançait des regards émerveillés tandis qu’à petits coups de langue elle le préparait pour la suite. Quand tout le miel fut avalé, d’autorité elle enfourcha son amant et, après s’être langoureusement frottée sur lui, empoigna son sexe et le glissa en elle. Variant le rythme de ses mouvements, se penchant en avant ou se redressant, elle recherchait toute la gamme des voluptés de cette position.



Il la prit ainsi et elle se laissa aller, le visage dans l’oreiller, tout en se caressant par en dessous. Comme elle approchait de l’orgasme il commença à lui caresser l’anus du bout de son index droit mouillé de salive. Elle répondit par des soupirs d’aise et le massage se fit plus pénétrant, jusqu’à ce que le doigt y soit tout entier. À travers la mince cloison il sentait les allées et venues de son sexe dans le vagin, et le renflement du gland à chaque passage. Elle manifestait son plaisir de plus en plus vivement. Soudain, saisie par l’orgasme, elle se laissa tomber à plat ventre. Retirant son doigt, il la suivit pour rester en elle. Ils étaient l’un sur l’autre, encore en proie à leurs spasmes quand Alexandre vit une larme couler sur la joue de sa maîtresse.



Elle semblait enfin prête pour d’autres jeux qu’elle avait jusqu’alors dédaignés. La prochaine fois serait la bonne.


Allongée sur le dos elle humait avec délices une pomme prise dans la corbeille posée par Alexandre à leur chevet



Comme toutes les jeunes filles de bonne famille elle avait des cahiers remplis de vers, illustrés d’aquarelles et de dessins à l’encre de Chine par une technique qu’elle se flattait d’avoir inventée. À la différence de ses consœurs, futures épouses de notables et mères de familles nombreuses, elle avait un réel talent.



Le reste de ce froid dimanche passa en lectures au coin du feu, et en parties d’échecs, jeu auquel Lucie brillait toujours aux dépens de son amant.


…../…….


Sans être sortis de la journée, ils se couchèrent peu avant minuit. Elle commença à se caresser doucement, couchée sur le côté en le regardant. Puis elle se mit à quatre pattes.



Tenté, il se mit à genoux et lui effleura les fesses. L’heure avait sonné.



Il saisit dans un tiroir de son chevet un petit pot de pharmacien qu’il gardait là depuis longtemps. Du pouce il commença à la masser, et comme elle semblait apprécier cette caresse onctueuse, son doigt se glissa un peu plus loin.

Elle se laissait aller, appuyée sur un coude, la tête dans l’oreiller, toute à sa découverte. Elle sentit le gland de son amant se poser au centre de la cible. Son cœur battait la chamade. Il appuya légèrement, il n’y eut presque pas de résistance, une fois le seuil franchi son sexe fit une longue et voluptueuse glissade dans les profondeurs inexplorées.

Elle eut un grand soupir d’aise accompagnant ce mouvement. Elle n’avait pas cessé de se caresser. Il pouvait encore gagner deux centimètres. Prenant ses seins en mains par en dessous il accentua la pression pour achever la pénétration.



Il obéit, ne voulant lui causer aucune douleur qui la ferait renoncer à ces jeux. Son va-et-vient était lent, mais elle approchait déjà de l’orgasme.



Comme le matin elle se laissa tomber en avant, prise de spasmes, il la suivit pour jouir au plus profond d’elle.


Ils reprenaient leurs esprits lentement.