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n° 08375Fiche technique11670 caractères11670
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Temps de lecture estimé : 9 mn
01/01/05
Résumé:  En rentrant tard chez lui Alexandre perçut dans le noir la présence de Lucie , qui avait les clefs ...
Critères:  #humour #historique fh ff fbi hplusag couple extracon copains enceinte amour fsodo
Auteur : Antoine  (Romancier débutant)      

Série : Extraits de mon roman, qui n'est pas que pornographique

Chapitre 02 / 05
Lucie en redemande. Les écrivains sont des cochons.



En rentrant tard chez lui Alexandre perçut dans le noir la présence de Lucie , qui avait les clefs . Un parfum subtil ? Un souffle ? Un objet déplacé ? Il la découvrit dans la chambre où entrait un discret clair de Lune. Elle était sur le lit , presque nue , à quatre pattes et le visage dans les draps. Elle balançait doucement ses fesses offertes entre lesquelles subsistait un peu de dentelle noire.



S’étant mis nu et à genoux derrière elle il admirait ce cul sans se décider à l’effleurer , savourant son plaisir à le voir frémir dans l’attente des caresses. Elle commençait à se trémousser d’impatience .



Pour faire durer l’attente sans la frustrer il lui glissa deux doigts qu’elle reçut avec soulagement. C’était la première fois qu’elle demandait à être sodomisée sans avoir d’abord fait l’amour chrétiennement. Elle avait bien vite pris goût à ce plaisir pour lui même et non plus en simple variation…Il lui massait tendrement le trou du cul tout en éprouvant son érection de l’autre main. Elle se branlait discrètement par en dessous. Retirant ses doigts il posa une main sur chaque fesse pour les écarter légèrement et pointa son sexe là où elle l’espérait. D’une première poussée il ouvrit la voie et à la seconde il y était en entier. Les mains confortablement calées sur les hanches de sa maîtresse il la faisait aller et venir lentement et profondément. En bout de course elle accentuait la pression pour se sentir encore mieux prise . Il accéléra le mouvement au rythme des «Ah» et des «oui» de Lucie. Elle se redressa complètement et il se plaqua derrière elle en lui empoignant les seins. Leurs bouches se trouvèrent tandis que , d’un petit mouvement sec et vigoureux il l’enculait à fond. Elle poussa un râle et s’effondra , entraînant son amant qui l’inondait .



…/…



Lucie et Marie de Heredia, n’avaient que quelques mois de différence d’âge. Elles s’étaient connues par l’entremise d’une sœur de Lucie, qui fréquentait le même cours de peinture que Marie. Un thé littéraire, organisé régulièrement par madame de Heredia, leur donnait l’occasion de se croiser, et ce jour là Marie entraîna discrètement Lucie vers un boudoir. Elles ne s’étaient jamais revues en tête à tête depuis leur baiser échangé un soir d’été dans le bois de Vasouy.



guette !



Egayée Lucie répliqua :



Un silence s’installa, bientôt rompu par Marie.



Lucie s’interrompit, sentant qu’elle était tombée dans un piège .




…/…





…/…




L’attitude de défi de sa jeune maîtresse provoqua chez Alexandre une fameuse crampe d’écrivain contre laquelle un seul remède est efficace. Elle fut vite nue sur le lit. Il la prit d’abord comme un bon chrétien, mais elle ne semblait pas s’en satisfaire. Elle se mit à quatre pattes devant lui. Du bout des doigts il lui donna l’onction tout en soufflant :



Son sexe s’enfonça facilement entre les deux moitiés de noblesse de Lucie. La brève douleur fut balayée par une onde de plaisir. Après quelques instants Alexandre se laissa aller sur le côté droit, entraînant sa partenaire en qui il restait aussi profond que possible . Couché sur le flanc il l’enlaça du bras gauche pour prendre ses seins . Du bassin il accélérait et amplifiait le va-et-vient de son sexe. Elle se masturbait et commençait à pousser de petits cris. Il lui en arracha deux ou trois plus forts en poussant en elle autant qu’il le pouvait, et s’arrêtant une seconde en bout de course . Puis glissant son bras droit sous elle il saisit un sein dans chaque main et roula sur le dos dans un mouvement qu’elle ne pouvait que suivre . Il la tenait prisonnière, allongée sur lui, pantelante . Pour finir il la fit asseoir, empalée, lui tournant le dos, les genoux sur le lit . Cambrée, en appui sur une main, elle se caressait de l’autre . Par dessous il continuait à s’agiter autant que la position le lui permettait . Pris d’une brève frénésie ils jouirent presque au même instant et elle se laissa tomber à la renverse.