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Massage et plus si affinité

Lors de l’amphi, le lendemain à huit heures, Véro était absente. À dix heures j’ai choisi de sécher le cours suivant et de rentrer à la résidence pour passer la voir.

Je frappe à sa porte. J’entends bouger. La porte s’ouvre « Ah, c’est toi, Marc ! Qu’est qui t’arrive ? » « Ne te voyant pas en amphi, je viens aux nouvelles… » « Entre. »

A ce dialogue haut en couleur fait suite une vision plaisante : Véro ouvre la porte et je la découvre vêtue d’un grand tee-shirt qui lui arrive à mi-cuisses et sous lequel je jurerais quelle ne porte rien.

« J’ai très mal dormi. C’est l’horreur, dès que je me retourne j’ai mal et je me réveille. Je n’ai pas eu le courage de m’habiller pour aller en amphi. » Sur ces mots Véro porte les mains à ses fesses.

« Béné n’aurait pas du t’écouter et taper aussi fort ! Est-ce que tu t’es mis quelque chose pour que ça passe plus vite ? Si tu veux j’ai de la pommade dans ma chambre. » Je me pose en copain attentionné, cette ouverture sur une relation nouvelle et je l’espère plus intime va-t-elle marcher ?

C’est gagné : Véro accepte et je vais chercher le tube de pommade dans ma chambre, rarement un aller-retour a été aussi rapide ! Je tends le tube à Véro. Elle me regarde, je la regarde… Silence…

Véro : « Je ne vais pas y arriver toute seule, tu m’aides ? »

Sur ces mots elle s’allonge sur le lit et sur le ventre… Je m’assois à côté d’elle et pose ma main sur le bas du tee-shirt. « Vas-y, tu as déjà tout vu hier ! » Je n’ai pas besoin de plus d’encouragements. Je remonte lentement son vêtement et dévoile ses fesses qu’aucune culotte ne couvre.

Ses deux fesses sont marquées de lignes rouges, bleues par endroit, mais ce décor n’arrive pas à les enlaidir. Deux globes bien ronds qui laissent apercevoir à leur base les lèvres du sexe couvertes d’un fin duvet blond. Mon regard continue à descendre le long des cuisses et des jambes : tout m’attire et je n’en reviens pas de ma chance (quoique cette chance j’aie été la chercher !).

Je mets un peu de pommade sur ma main et commence un doux massage. La sensation est merveilleuse, la peau est souple sous mes doigts. J’insiste un peu plus sur les marques. Le frottement doux écarte les deux globes. Mon sexe est tendu et j’essaye discrètement de l’aider à trouver de la place !

Je reprends le massage, les doigts se glissent dans la raie, descendent lentement. Véro se laisse faire, on pourrait la croire endormie. Ma main descend toujours. Mes doigts contournent l’anus. Je ralentis, j’hésite un peu et c’est Véro qui relance mon exploration : elle écarte légèrement les cuisses, son sexe se découvre… difficile d’être plus claire.

La caresse reprend, ma main descend toujours, les grandes lèvres s’entrouvrent. L’excitation de Véro ne peut pas m’échapper, son sexe est mouillé sous mes doigts. La caresse se fait plus précise, je titille ses petites lèvres, elle écarte encore plus les jambes, mon index a trouvé son clito, je tourne autour doucement, ma main gauche caresse l’intérieur des cuisses, mon index se fait plus insistant. Le souffle de Véro accélère. Mon index masse son bouton. Véro jouit, son corps se cambre, son sexe palpite, un gémissement jaillit de sa bouche. Je continue doucement à caresser ses cuisses, ma main droite revient se poser sur ses fesses.

Véro tourne la tête vers moi en souriant : « Merci ». Ma main remonte dans son dos, entraînant le tee-shirt. Véro se soulève un peu et bientôt le tee-shirt n’est plus qu’un souvenir. Je poursuis le massage en remontant le long de son dos. Puis mes mains glissent sur les cotés, deux seins s’installent dans mes paumes. Je les caresse doucement.

Véro se met sur le coté. Son regard se porte sous ma ceinture et ne peut ignorer la bosse qui signale mon excitation.

Elle se lève : « A ton tour, allonge-toi ». Ses mains se posent sur ma ceinture et quelques mouvements plus tard mon corps est totalement exposé au regard de Véro. Je m’allonge et mon sexe tendu indique s’il en était besoin l’excitation que me procure la situation.

Les mains de Véro me caressent le torse puis le ventre. Une main se saisit de mon sexe pendant que l’autre continue ses caresses. Mon excitation augmente, le bout de mon sexe laisse perler quelques gouttes. Je tourne mon regard vers Véro, une de mes mains a entrepris une exploration et remonte le long de sa cuisse…

Véro me regarde, comme si elle avait besoin de mon accord (!), penche la tête et me prend entre ses lèvres. Sa langue me caresse, je ferme les yeux tout aux sensations qu’elle me procure. Ma verge durcit encore, le plaisir n’est pas loin. Véro me relâche. J’ouvre les yeux et la vois se positionner au-dessus de moi, elle me guide, descend, je la pénètre lentement.

Mes mains se saisissent de ses seins, mes pouces taquinent les pointes. Véro m’impose un rythme lent. Mon sexe est serré dans le sien, la sensation est fabuleuse. Je ne vais pas tenir longtemps. Véro accélère, j’explose dans son ventre et elle jouit dans un cri, se laissant tomber sur mon corps.

Nous restons longtemps comme cela, sa poitrine sur la mienne, mon sexe dans le sien, mes mains caressant son dos, nos bouches collées et nos langues actives !

L’après-midi file sans que nous nous en apercevions, le repas a sauté, les cours aussi. Ce sont les bruits de plus en plus nombreux dans le couloir qui nous ramènent sur terre. Nous testons la douche à deux et en profitons pour un dernier câlin.

Je dois passer dans ma chambre. Nous échangeons un long baiser.

« A tout à l’heure ! N’oublie pas ton rendez-vous avec le six-coups ! » Ces quelques mots de Véro suffisent à me plonger dans le stress et les fantasmes…