n° 08389 | Fiche technique | 17119 caractères | 17119Temps de lecture estimé : 11 mn | 02/01/05 |
Résumé: La suite d'un pari où le plaisir se mèle à la douleur et à l'humiliation | ||||
Critères: grp jeunes copains école humilié(e) fmast cunnilingu jeu fouetfesse | ||||
Auteur : Frspanko Envoi mini-message |
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Je suis à peine sorti de la chambre de Véro que je croise Béné dans le couloir : « A tout à l’heure. Tu te souviens que tu es la première à tirer ! » Béné me retourne : « S’il y a une justice, ce soir c’est le tour d’un garçon ! »
A neuf heures me voici de retour chez Véro. Elle s’est vêtue d’un bas de survêt ample et d’un tee-shirt collant. Sur la table trônent les instruments du destin : dé, brosse et cravache. Béné nous rejoint. Jacques arrive enfin.
Véro semble avoir retrouvé la forme : « Tout le monde est partant ? Douleur et humiliation au menu ! A toi l’honneur, Béné. »
Béné se saisit du dé. Elle attend et laisse le calme s’installer. Ce soir elle porte un jean collant et un sweat-shirt qui cache les formes de sa poitrine. Nous la sentons agitée, à la fois inquiète et tentée de nous montrer qu’elle non plus ne reculera pas.
Jacques décide de faire monter la pression : « Alors tu nous fais attendre, tu veux te faire désirer ! Après la blonde, la brune va-t-elle dévoiler ses charmes ? La peau des brunes marque-t-elle autant ? Je suis sûr que tu rêve de montrer tes fesses bien rouges à toute la résidence ! »
Béné lance le dé. Après quelques rebonds et alors que tous retiennent leur souffle, il s’arrête sur le deux. Déception de Jacques, soulagement de Béné qui lui tend le dé : « Alors, c’est le tour des gars, tu crois que leur peau marque ? »
Jacques lance le dé sans attendre : trois. Déception de Béné, nous sentons qu’elle aurait bien aimé découvrir le corps de Jacques et probablement tester sa volonté. En lançant aussi vite, il gâche une partie de notre plaisir.
Ce jeu a un gros défaut : c’est trop souvent à moi de tenter le diable ! Personnellement, me mettre nu en public ne me branche vraiment pas, être fessé encore moins. C’est surtout le côté humiliant qui n’inquiète. Mais enfin, puisse que Véro a été jusqu’au bout je ne peux pas faire moins !
Je lance le dé : six, c’est mon jour de chance.
Deux tours complets de roulette russe et une victime : Véro. La soirée vient à peine de commencer, nous sommes tous excités, personnellement j’aimerais bien que Béné soit notre prochaine victime mais je souhaite épargner Véro… Je vais proposer que l’on saute son tour car elle est déjà morte !
Mais sans attendre, Véro prend le dé et nous regarde. « Le problème dans notre jeu, c’est que l’on peut mourir deux fois ! Mais la seconde mort doit être moins douloureuse : vous avez déjà tout vu. »
Béné, toujours aussi excitée, lui lance : « Tu as raison, pour ce nouveau tour de table il faut monter la barre pour toi ! Je propose que cette fois-ci l’humiliation soit sans limite, tu devras faire tout ce qui te sera demandé et nous laisser te faire tout ce qui nous passe par la tête ! » Je soupçonne Béné d’en rajouter pour essayer de tout arrêter en en rendant Véro responsable. Et Jacques, qui ne rate pas une occasion d’en rajouter : « Coté douleur aussi, plus de limite si ce n’est notre conscience ! »
Véro est un instant désarçonnée. Je sens qu’elle va lancer le dé en acceptant ces conditions. J’interviens alors pour faire céder Béné : « Il faut être juste. S’il y a de nouvelles conditions c’est pour tout le monde ! » Béné est prise à son propre jeu mais elle ne cède pas : « OK ! »
« Puisse que nous sommes tous d’accord, c’est parti pour un nouveau tour ! » Véro s’en remet au sort et le sort s’acharne sur elle : un.
Véro est sous le choc. Son esprit semble refuser la réalité. Jacques lui semble se réjouir de sa détresse : « Aller, ce n’est qu’un long et horrible moment à passer. Je compte sur un strip-tease sensuel ! »
Véro se résigne à faire contre mauvaise fortune bon cœur. Elle se lève et va mettre une musique douce. D’un geste langoureux, elle retire le haut lentement. Le tee-shirt s’envole, puis elle dégrafe son soutien-gorge. Elle pose les mains sur ses seins qu’elle dévoile petit à petit. Debout, elle nous laisse admirer sa poitrine. Je ne me lasse pas du spectacle, les aréoles petites et à peine plus sombres entourent des bouts que l’excitation érige.
Véro se retourne pour ôter son bas de survêtement, nous découvrons qu’elle porte un string et sur ses fesses nues apparaissent les traces des marques de cravache de la veille. Véro nous fait face et retire le dernier rempart. Les bras le long du corps, elle attend nos instructions.
Jacques est aux commandes : « Pour la fessée, premier tirage… le gagnant est… Marc ! A toi la manœuvre ! »
Véro se dirige vers moi lentement. Je dois improviser et ne tiens pas à exagérer, sans décevoir non plus ! J’ai plus envie de caresser son corps, en commençant par ses seins qui sont maintenant à portée de main, que de la fesser.
« Met-toi à genou sur le lit, la tête posée dans tes bras croisés. » Véro obéit et ses fesses se présentent à nous. Je lui fais écarter les genoux ; les fesses s’entrouvrent, son sexe est exposé aux regards. Je commence lentement, quelques coup sur une fesse, puis sur l’autre, un échauffement. Je sens que les autres attendent que je frappe plus fort. Je pose ma main gauche sur le bas du dos et me mets à asséner des tapes plus appuyées, les fesses rougissent. Je claque le bas des fesses puis le haut des cuisses. Véro commence à se crisper. J’arrête de frapper et me mets à caresser, d’abord les fesses, puis les cuisses, finalement ma main remonte et se pose sur le sexe qu’elle excite lentement. « Dernière série ! » Cette fois je porte mes coups sur l’intérieur des cuisses, zone pale et sensible qui se marque immédiatement de traces rouges. Véro s’agite et je finis par quelques claques bien sonores sur le sommet de ses fesses.
Véro se relève et se frotte. Elle reprend son souffle pendant que les autres tirent au sort l’acteur suivant. Jacques tire la cravache, Béné la brosse.
Béné nous annonce que cette fois Véro va vraiment tout montrer. Elle la fait s’allonger sur le dos puis lui demande de relever les jambes en V, de rabattre ses genoux en passant les bras par-dessus. Effectivement cette position amène Véro à avoir les fesses et le sexe exposés, il faut être une fille pour imaginer une position aussi humiliante. Rien n’est caché, les petites lèvres s’entrouvrent et le puits féminin s’ouvre sous nos yeux.
Béné lève le bras et la brosse. Le regard de Véro se porte sur cette brosse qui va retomber, cette position est vraiment perverse car elle permet de voir les coups tomber. Béné frappe les fesses et les cuisses, les coups se succèdent, appuyés sans plus. Même l’intérieur des fesses est atteint. Véro a du mal à garder la position et gémit à plusieurs reprises. Après une série plus appuyée, Béné s’arrête, regarde Véro dans les yeux et pose le dos de la brosse sur le sexe exposé. Elle lève la brosse… Véro serre les dents… Et Béné repose la brosse sur le lit, sans frapper. « Que préfères-tu ? La douleur ou le plaisir ? Si tu te caresses je t’épargne la brosse… à toi de choisir ! » Véro regarde Béné, le choix est terrible. Je commence à soupçonner Béné de jalousie. Jacques est sans voix, les yeux figés sur le sexe béant. Véro le regarde et cela semble la décider : « La brosse ! »
Béné reprend la brosse, elle est visiblement déçue. Elle souhaitait humilier Véro et le choix de celle-ci a le résultat contraire. « Tu as fait ton choix. Ecarte bien les jambes. » Elle lève le bras puis frappe. Le dos de la brosse claque sur sa cible. Véro pousse un petit cri, Béné relève le bras. Elle frappe plus fort, cette fois-ci la réaction de Véro est brutale : elle pousse un grand cri, serre les jambes et porte les mains sur son sexe.
Béné la laisse un instant : « Aller, un peu de courage, ce n’est pas fini ! » Des larmes coulent, Véro souffle et reprend lentement la position. Les lèvres de son sexe sont toutes rouges. Béné s’apprête à frapper et après une hésitation repose la brosse : « Bravo, tu m’impressionnes ! »
Véro reste couchée, elle a reposé les pieds mais garde les jambes écartées. Je sens qu’elle a besoin d’une pose et de réconfort. Je me dirige vers elle et essuie ses yeux. Elle me sourit. Mon regard se pose alors sur le sexe légèrement tuméfié. Si j’osais… Tant pis, osons ! Je me place entre ces jambes, à genou. Personne ne réagit. Je me lance, pose mes lèvres sur son sexe et laisse doucement ma langue parcourir cette zone sensible. Véro resserre légèrement les jambes, son sexe palpite sous mes lèvres et brusquement son corps se cambre dans une jouissance fulgurante.
C’est le tour de Jacques, de toute évidence mon initiative ne lui a pas plu. Il regrette probablement de ne pas avoir eu l’idée ou le cran. Il prend la cravache.
« Debout, jambes écartées, les mains sur les genoux, le dos droit ! » Véro se lève et prend la position, elle flageole un peu. Elle tend les fesses vers la cravache. « Ce soir ce sera douze, tu comptes et tu ne te relèves pas, sinon le coup ne compte pas ! Allez, compte ! »
« Un », la cravache claque mais Jacques n’a pas tapé trop fort.
« Deux », cette fois-ci une ligne apparaît. « Trois », « Quatre », le silence se fait, Véro reprend son souffle.
« Cinq » Véro sursaute, je ne pense pas qu’elle pourra tenir, elle demande le sixième : « Six », cette fois Jacques a tapé plus fort, la cravache s’enfonce, Véro pousse un cri, ses mains se posent sur ses fesses pour les protéger… « Le coup ne compte pas ! »
Véro se redresse : « S’il te plait, arrête, j’ai trop mal, trouve autre chose. » Jacques avance les mains et les pose sur les seins que Véro lui tendait. Il les caresse, Véro laisse faire. Les pointes durcissent, Jacques les prend entre ses pouces et ses index. Il serre lentement, Véro serre les poings… et Jacques s’arrête avant de lui faire vraiment mal. « La cravache, c’est fini, tu as réussi le test ! »
Véro est soulagée. Elle essuie les quelques larmes qui ont coulé sur son visage et nous regarde en souriant. Avant que Véro n’ouvre la bouche, Béné qui semblait hésiter, se lance : « Pour pousser l’humiliation jusqu’au bout, il te reste une épreuve, c’est la promenade dans la résidence ! »
Véro semble comme assommée par cette annonce. Entre l’évocation comme une humiliation ultime et la réalité, son esprit n’a pas franchi le pas. Elle se retourne vers moi, recherche mon soutien mais avant que je n’aie pu dire quoique ce soit, Jacques l’achève d’une phrase : « Tu ne pensais quand même pas que nous te ferions grâce deux jours de suite ! »
Véro cherche désespérément une échappatoire. Nous entendons tous des bruits dans le couloir. Une simple porte sépare Véro du reste du monde. Il est environ dix heures et demi et l’activité bas son plein.
Véro a son idée : « On finit le tour d’abord, on ne sait jamais, je ne ferai peut-être pas cette promenade seule ! »
Elle tend le dé à Béné. Cette dernière semble pétrifiée. Elle mesure le risque, regrette probablement ses excès. « Allez, tu te décides ? » Véro ne semble pas d’humeur à l’épargner.
Béné lance le dé et ses pires craintes se réalisent : le un. Certains trouveront que c’est justice. Béné, elle, pousse un cri : « NON ! ». Nous la regardons tous, elle tremble et est soudain toute pâle. Nous attendons qu’elle reprenne le contrôle de ses nerfs.
Véro la regarde en souriant : « Aller, montre aux gars que les filles vont au bout. » Béné se tourne vers Véro qui est debout à côté de la table, toujours nue. Elle semble y puiser un réconfort et se lève.
Elle regarde Jacques dans les yeux et porte ses mains en bas de son sweat. Les bras remontent, le haut tombe et nous dévoile une poitrine généreuse dans un soutien-gorge bleu clair et très transparent.
Elle choisit de défaire ensuite son jean. Elle porte un string assorti. Elle se retourne nous faisant admirer des fesses amples puis nous fait face à nouveau. Ses mains s’affairent dans son dos et le soutien-gorge se relâche. Elle fait glisser les bretelles et nous dévoile ses seins.
La pesanteur les fait pencher légèrement, je ne peux m’empêcher de comparer avec ceux de Véro. Il y en a pour tous les goûts, Véro a une poitrine ronde et arrogante, Béné des seins en poire plus gros, plus longs et que l’on a envi de saisir, de palper…
Pendant que je fais ses comparaisons, Béné fait glisser son string. Elle nous découvre son ventre dont la toison brune, soigneusement taillée pour ne pas dépasser, masque totalement le sexe.
Les deux filles sont cote à cote, Véro la sportive tout en finesse et Béné la brune tout en courbes.
J’installe Béné sur mes genoux pour une bonne fessée. Je pense qu’elle l’a bien méritée et je choisis de partir sur un rythme soutenu. Je couvre toute la surface. Béné s’agite, elle est plus douillette que Véro. Rapidement elle cherche à se protéger avec ses mains. Je dois demander à Jacques de les tenir. Je caresse les fesses, puis reprend la cadence. Des fesses je suis descendu aux cuisses que je claque elles aussi vigoureusement. Béné pousse des petits cris et me demande d’arrêter, ce que je fais aussitôt, à son plus grand soulagement.
Véro s’est emparée de la brosse. Elle demande à Béné de prendre la même position qu’elle, sur le dos, les jambes en arrière. Béné doit regretter ses idées car cette fois-ci c’est elle qui est exposée. Sa toison, plus fournie que celle de Véro, masque encore trop son sexe au goût de cette dernière. Elle glisse son doigt dans la fente qu’elle ouvre et dégage bien. Sentir une autre fille la caresser n’est visiblement pas du goût de Béné qui cherche à la repousser. Véro retourne la brosse et c’est avec les poils de celle-ci qu’elle finit de dégager les lèvres de Béné. Nous découvrons alors le clitoris bien érigé par tous ces frottements ! Béné s’en aperçoit et devient toute rouge.
Véro commence à claquer le dos de la brosse sur les cuisses qui s’offrent à elle. Au bout de quelques coups Béné relâche ses jambes. « Tu vas devoir choisir entre douleur et plaisir ! » lui signifie Véro. Tout le monde se rappelle la proposition que Béné lui a faite tout à l’heure… Béné ne bouge pas, alors Véro lève le bras. « Stop ! » Béné vient de choisir et sa main droite se glisse sur son sexe. Elle est rouge comme une pivoine mais son doigt s’agite, va-et-vient dans sa fente, s’humecte à un bout pour mieux caresser le bouton qui s’allonge encore. Mais les circonstances ne sont pas favorables et le plaisir ne vient pas. Véro la délivre. « Est-ce que l’un d’entre vous peut l’aider ? » Cette fois Jacques ne laisse pas son tour, il s’agenouille et se met à lécher Béné dont les mains remontent et s’emparent de ses seins. La jouissance vient, accompagnée d’un grand cri.
« La cravache maintenant. » Véro rappelle Jacques à l’ordre, on ne le sent pas très motivé. Béné est très inquiète, nous lui demandons de s’allonger sur le ventre sachant que c’est la position la plus simple. Jacques frappe une première fois, sans y mettre beaucoup de conviction. Béné pousse un cri, plus par peur. Véro demande à Béné si elle accepte au moins un vrai coup pour connaître la sensation. Béné n’ose pas refuser. Jacques frappe un bon coup, comme il le faisait avec Véro, la cravache s’enfonce un peu puis ressort. Béné pousse un grand cri. Une belle marque rouge décore ses fesses.
Véro la relève et la laisse essuyer ces larmes et reprendre son souffle. Elle sert un grand verre à tout le monde et nous nous rendons compte que nous avons tous soif. Béné qui a repris ses esprits explique à Véro qu’elle ne pensait pas être aussi douillette. Véro lui répond qu’à faire de l’équitation elle a appris à supporter la douleur, en particulier les chutes ! Jacques s’est rapproché de Béné et sa main s’égare sur sa voisine qui n’est clairement pas contre. Je me rapproche de Véro.
C’est Béné qui casse l’ambiance : « Vous avez oubliez que nous avons encore une promenade à faire ! »
…