n° 08392 | Fiche technique | 14906 caractères | 14906Temps de lecture estimé : 9 mn | 03/01/05 |
Résumé: A 46 ans, je donne des leçons de piano.Un grand flandrin ouvre mon appétit sexuel | ||||
Critères: fh fplusag profélève voir hmast intermast | ||||
Auteur : Bodding (Amateur de douces histoires) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : La leçon de piano Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Pour planter le décor, j’ai 46 ans et suis veuve depuis deux ans. Feu mon époux ne m’a pas laissé financièrement grand-chose et, pour arrondir mes fins de mois, je donne des cours particulier de piano, le soir, à des cancres de familles huppées de la ville.
La journée, je suis répétitrice de piano classique au Conservatoire municipal.
Pas de sorties, pas d’amant, juste des petits restos avec des copines et de temps en temps une toile.
Tout le monde me dit : " Tu devrais refaire ta vie. À ton âge tu trouveras certainement un mari etc… " C’est sûrement vrai, mais je n’avais vraiment plus le courage de tenter une nouvelle aventure, de devoir plaire et d’avoir un homme dans les pieds à demeure.
Pourtant, avec mon mètre 74, mes 67 kg, mon 90 C, mes jambes galbées à souhait, mes longs cheveux châtain foncé et mon bon caractère, j’avais encore tout pour plaire….
Quelquefois, le soir, blottie au fond de mon lit, je caressais avec douceur mon entrejambe abondamment pourvu d’une toison drue et noire, me venant d’ancêtres lusitaniens. Mon mari adorait s’en servir comme coussinet d’amour ou bien s’en repaissait de l’odeur et du goût. Comme j’aimais cela !
Maintenant, le plus souvent ma caresse ne se faisait même pas intime et mes doigts distraits ne s’aventuraient pas dans mon intimité pourtant affamée.
La douche était cependant pour moi un endroit propice et là je me laissais quelquefois aller jusqu’au bout de mon plaisir mais sans en faire une habitude.
Mes collègues masculins ne manquaient pas de me draguer avec des idées de finalité bien précise… vite sur le dos et profitons-en !!! Ce n’était pas cela que je recherchais… mais savais-je au moins moi-même ce que je recherchais ?
J’en étais à ces réflexions empreintes de nostalgie lorsque mon portable sonna. C’était le responsable de la classe de piano qui m’appelait.
Dans son bureau, il m’a présenté une dame bien mise, dans la bonne cinquantaine, me la présentant comme habitante du quartier et mère d’un jeune homme auquel elle voulait inculquer les bases d’un instrument de musique, le piano en l’occurrence.
Comme j’avais encore du temps libre, cette proposition me convenait très bien et après accord sur un taux horaire très raisonnable, j’ai interrogé la mère.
Celle-ci m’a raconté d’emblée que son fils venait d’avoir 18 ans, qu’elle l’avait eu assez tard d’un second mariage, que son mari voyageait beaucoup, que son John (prénom de son fils !) accumulait les retards scolaires, qu’il ne flashait que sur le sport, était inculte… et autres banalités du même genre, maintes fois entendues de parents trop laxistes.
À ma question de savoir si ces leçons de piano répondaient à une demande de John ou lui étaient imposées, la réponse a été très claire : mon mari et moi souhaitons que notre fils acquière au moins un vernis culturel et qu’il puisse se tenir dans le monde que nous fréquentons.
Cela me promettait une collaboration totale de ce jeune homme qui me semblait paré de toutes les qualités … ! Enfin, je dois gagner ma vie !
Rendez-vous est pris pour un premier contact et le jour venu me voici devant une belle demeure du type « hôtel de maître ». C’est « madame mère » qui a répondu à mon coup de sonnette et qui m’introduit dans un salon immense où trônait un piano « quart-queue » flambant neuf.
Je m’étais vêtue assez strictement d’un tailleur foncé à jupe étroite juste en dessous du genou et d’un chemisier boutonné ras du cou. J’avais des bas assortis mais, seule fantaisie que j’adorais, ils étaient tenus par un porte-jarretelles blanc.
Quelques secondes après rentrait dans la pièce une espère de malabar, taillé sportif, jeans, polo, basket (le tout griffé évidemment), cheveux ras. Il devait bien faire 1,80 m et dans les 70 kg. Somme toute assez sympa.
Sa mère, très femme du monde, nous a présentés, ne lésinant pas sur la qualité et les mérites des cours que je dispensais à mes élèves. Visiblement John n’en avait rien à cirer et sa seule préoccupation présente était de me déshabiller du regard. Il le faisait d’ailleurs sans vergogne, au point que c’est moi qui était gênée. Faudra que je me méfie !!
Après ces préliminaires, la mère a disposé quelques boissons sur un plateau et puis nous a quittés, disant : " Madame, je vous confie John. Mon mari et moi serions comblés s’il pouvait, dans un délai raisonnable, interpréter quelques morceaux choisis lorsque nous recevons. Je reviendrai dans deux heures, à la fin de votre cours. " Ma foi, elle prenait son fils pour une jouvencelle !
A John elle dit : " Mon fils, écoute bien les conseils de Madame. "
Nous étions maintenant seuls dans le vaste salon. John me dévisagea et me dit : " Tu t’appelles comment, toi ? "
Je devais absolument reprendre de l’autorité et je lui ai rétorqué sèchement :
" Je m’appelle « Madame » et si je suis ici c’est pour gagner ma vie et pour t’apprendre le piano. Nous ne sommes pas copains. Ceci étant dit, où en es-tu dans la connaissance du solfège ? "
Sa réponse a été dite sur un ton radouci : " Solfège connais pas et piano je n’aime pas. Ce sont mes vieux qui veulent que je leur ressemble !! "
Nous nous sommes installés à une table, face-à-face, et j’ai commencé à expliquer à John les rudiments du solfège et sa nécessité pour pouvoir lire une partition. Il semblait s’en moquer comme de colin-tampon et regardait ma bouche avec obstination comme s’il voulait s’en emparer. C’était gênant.
Après cela, nous nous sommes rendus au piano et j’ai montré à mon élève comment poser les dix doigts sur les touches. J’étais assise sur le siège ad hoc et John regardait au-dessus de mon épaule, son visage bien trop proche du mien. J’ai préféré ne rien dire pour ne pas créer un incident. Par contre je sentais son odeur très fraîche de mâle sportif bien sain et… je ne sais pourquoi, cela ne me déplaisait pas.
John m’a ensuite remplacé au piano pour quelques exercices pratiques. Cette fois c’était moi qui devais me pencher sur son épaule pour surveiller ses mains, et son odeur venait encore plus à mes narines. Comme il était très large d’épaules, j’ai veillé à ne pas le frôler avec ma poitrine, restant à distance. Mon regard était cependant attiré par son jeans ou plutôt par son entrejambe. Il avait ouvert les cuisses que je devinais très musclées et, au centre, il y avait un monticule bien confortable en dimension et cela m’obsédait un peu. L’épaisseur du jeans ne me permettait que de deviner des contours, mais ce chenapan me semblait bien monté.
Comme il ne se tenait pas bien droit sur le siège, plutôt un peu vautré en arrière son paquet d’attributs (sorry du choix des mots, je ne suis pas habitué à parler de cela..) semblait offert comme une coupe de fruits. Où avais-je mes pensées !!!!!
À un certain moment, pratiquement à la fin du cours, John a eu un mouvement arrière du dos qui m’a semblé involontaire et il est ainsi venu se coller à moi. Je suis restée sans réaction un très (trop) long moment comme tétanisée par le contact de ce jeune corps musclé.
Heureusement, j’ai été sauvée par l’entrée de la mère dans le salon. Elle venait gentiment me dire que les deux heures de cours étaient passées et m’a demandé des nouvelles de l’évolution. J’ai voulu être rassurante.
Au moment du départ, John m’a tendu la main et, me regardant dans les yeux, il a dit " Au revoir, Madame " avec un petit sourire. Je n’ai pu soutenir l’éclat de son regard et, baissant les yeux, je suis à nouveau retombée sur la vision de la protubérance de son jeans !!!!! Heureusement, madame mère n’a rien remarqué !!
Le soir venu, sous la douche, je me suis mise à rêver et à fantasmer sur ce corps jeune, beau et fort qui m’avait tant troublé l’après-midi. Eh bien OUI, cela ne m’était plus arrivé depuis longtemps, je suis parvenue à la jouissance sans usage de mes doigts, rien qu’en serrant fortement mes cuisses ruisselantes sous l’eau chaude de la douche et en pensant aux trésors que je devinais sous le jean serré de John.
En m’essuyant, j’ai tenté de rejeter toutes ces pensées inhabituelles pour moi, puisque du temps de mon mari j’étais comblée sexuellement. Dans mon lit cependant, je me suis endormie la main solidement agrippée dans mon abondante toison, imaginant une jeune bouche gourmande venir s’y repaître ….
Trois jours après, nouvelle séance de cours. J’avais réussi à éloigner de mon esprit toutes ces pensées aventureuses et bien éloignées de l’enseignement du piano à un cancre de 18 ans bien bâti et n’en étant certainement pas à sa première conquête.
Je m’étais habillée de la même manière que la première fois. Comme il faisait chaud en ces premières journées de printemps, John se trouvait en t-shirt et boxer-short, donc jambes et cuisses à moitié nues.
En le voyant ainsi j’ai senti une boule de feu se former à mon pubis…. Faudra que je veille au grain pour ne pas me laisser entraîner. Faut dire qu’il est musclé ce gars et que la pilosité qui recouvrait ses mollets et ses cuisses était celle d’un mâle adulte !!
Madame mère, toujours accueillante, nous avait préparé un plateau de boissons et quelques biscuits et nous a laissés seuls en s’excusant auprès de moi de n’être pas là pour la fin du cours car elle partait en « expédition shopping » comme elle disait joliment !
John s’est installé au piano et je lui ai fait faire des gammes autant pour qu’il positionne bien ses doigts que pour qu’il aie la souplesse de mouvement. Au début il s’est fort appliqué et puis, ostensiblement, il s’est mis à se caresser l’entrejambe de la main gauche, se malaxant les bourses …. Je lui ai dit : " John, le piano se joue à deux mains SVP ". Savez-vous ce qu’il a osé me répondre ce sale gamin : " Madame, cela me chatouille… si je dois jouer des deux mains, alors occupez-vous de mes démangeaisons !! "
J’en suis resté interloquée, un peu prise au dépourvu. J’ai néanmoins su réagir et lui ai dit : " Allons, trêve de plaisanteries, soyez un peu appliqué à votre travail ! "
Il se marrait, le coquin.
Nous avons fait une pause et, pendant que je me servais un café, John tapotait le piano… Lorsque je suis revenue vers lui, j’ai vu avec horreur qu’il avait abaissé son boxer short et qu’il avait sorti sa verge et qu’il la caressait doucement, en cadence avec la musique….
Drôle de situation !! J’avoue avoir mis pour réagir plus de temps qu’il n’aurait fallu car j’étais subjuguée par ce sexe.. Cela faisait maintenant deux ans que je n’en avais plus vu.
De plus, comme je m’en doutais, il s’agissait d’une verge imposante, déjà bien bandée par la "manuellisation" de John. C’était bien dressé, long et gros et le gland largement décalotté était noueux. Les veines étaient bien apparentes….
Finalement je lui ai dit : " John, SVP, soyez sérieux et rangez cet instrument. Nous sommes ici pour apprendre le piano, sans plus. Que dirait votre mère si je lui racontais cela !! "
Il me répondit : " Ma mère s’en fout.. elle se tape ses amants et ne s’occupe pas de moi. Toi, madame, j’ai bien vu que tu avais envie de ma jeune queue… alors, si tu veux, tu peux jouer de la flûte avec … ne te gêne pas ! "
Tout en me parlant il avait sorti ses bourses et c’est maintenant tout son sexe que j’avais sous les yeux….
J’étais tétanisée et ne savais que dire, que faire ….
J’avais attendu trop longtemps car John plein d’audace s’était mis à me caresser la jambe, remontant sous ma jupe….. Je devais stopper cela par une vigoureuse gifle à l’impertinent… mais en avais-je envie ?
La main de John remontait insidieusement et ne s’arrêta qu’au contact de ma peau, en haut du bord de mon bas….
" Merde, dit-il, tu portes des jarretelles ! C’est bandant ! "
J’étais immobile, me laissant faire, comme pétrifiée.
Tout en remontant, il continuait à se caresser la queue …
Où sa main se trouvait, c’était le point de non-retour…. et j’ai laissé continuer la lente ascension. Le coquin s’attardait à ma cuisse nue, jouant avec les fermetures de mes jarretelles. Il prenait tout son temps, certain maintenant sinon de mon consentement, au moins de ma passivité.
Au point où j’en étais, j’avais envie de lui crier de monter plus haut et de s’occuper de mon nid d’amour… mais je me suis abstenue…
Il y est arrivé tout seul, comme un grand, allais-je dire ! et, comme négligemment, il s’est mis à caresser mon entrejambe, restant sur le tissu de mon slip maintenant détrempé.
Je n’y tenais plus et je me dis qu’à tout prendre, autant bien faire les choses !
Il était toujours assis sur le siège piano et je l’en ai fait lever. Vous voyez cela d’ici.. ce grand flandrin, sexe bandé au vent et moi, avec sa main loin sous ma jupe relevée .. quel tableau !
Je me retenais encore de toute initiative lorsque la bouche de John se posa sur la mienne et qu’il sortit un petit bout de langue pour pénétrer mes lèvres. C’était parti … ma bouche s’est ouverte comme une rose à la rosée du printemps pour recevoir sa langue mobile qui se mit à jouer avec la mienne.
Je me suis emparée, dieu sait comment, de sa verge qui se mit à palpiter dans ma main comme un animal vivant. Je ne me souvenais plus comme c’était dur et chaud (et bon ..) une queue d’homme.
La main de mon coquin devenait de plus en plus fureteuse et s’était maintenant introduite sous le tissu de mon slip et folâtrait sans vergogne dans ma toison, cherchant mon petit bouton. Ce n’était pas un novice !!
Il me dit : " Merde alors, ce que tu es fournie du barbu… (traduction : ce que ta toison pubienne est abondante ! "
Le seconde partie (prochaine) rentrera dans le vif des ébats (ce sera le cas de le dire !)
Bodding.