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n° 08404Fiche technique20155 caractères20155
Temps de lecture estimé : 12 mn
05/01/05
Résumé:  Conclusion parfaite d'une attirance sexuelle non maîtrisée.
Critères:  fh fplusag poilu(e)s intermast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Bodding            Envoi mini-message

Série : La leçon de piano

Chapitre 02 / 02
La leçon de piano

Je terminais l’épisode 1 de mon histoire de leçon de piano comme suit :


Je me suis emparée, dieu sait comment, de sa verge qui se mit à palpiter dans ma main comme un animal vivant. Je ne me souvenais plus comme c’était dur et chaud (et bon ..) une queue d’homme.

La main de mon coquin devenait de plus en plus fureteuse et s’était maintenant introduite sous le tissu de mon slip et folâtrait sans vergogne dans ma toison cherchant mon petit bouton. Ce n’était pas un novice !!


Il me dit : " Merde alors, ce que tu es fournie du barbu… (traduction : ce que ta toison pubienne est abondante ! "


C’était bien la première fois au cours de mes nombreuses leçons privées de piano que je cédais ainsi à l’attirance sexuelle pour un élève.


Il faut dire que cela faisait deux ans de veuvage au cours desquels j’avais essayé de maîtriser mes envies mais cette fois, John m’attirait. Il était comme un jeune étalon sauvage, sans retenue mais plein d’une force animale et croyait que tout lui étais dû.

Son langage « moderne » qui aurait dû me heurter, au contraire, me plaisait et rendait encore plus probable ma totale reddition.


Au stade où nous en étions, sa main enfouie sous ma jupe et folâtrant sous mon slip et moi tenant son sexe.. j’aurais encore pu mettre le holà et tout stopper sous le prétexte d’un égarement passager. Mais non, pourquoi arrêter ? J’avais besoin de ce contact sexuel, j’avais besoin de cette main qui allait commencer à fouiller mon intimité, j’avais besoin de cette queue vibrant sous mes doigts, j’en avais besoin en moi… je le voulais et au diable les conséquences !


John, avec beaucoup de délicatesse, a retiré la veste de mon tailleur et, sa bouche toujours sur la mienne, il entreprit de défaire les boutons de mon chemisier qu’il fit rapidement glisser de mes épaules… je lui laissai toute l’initiative.

Il fit tomber ma jupe à mes pieds et je me suis retrouvée devant lui, déjà un peu échevelée, en soutien-gorge, slip, bas et porte-jarretelles…tentatrice ou tentée ?


Pour ne pas être en reste, j’ai fait glisser son boxer-short le long de ses jambes.


Je me plaisais à ce long baiser. John avait la langue très mobile et explorait toute ma bouche, jouait avec ma langue, buvait ma salive, me mordillait les lèvres, ouvrant grand sa bouche, la refermant, captant et suçant ma langue… c’était un vrai régal, d’autant plus que sa main n’était pas inactive et continuait des caresses précises sous mon slip. Le petit coquin avait trouvé mon bouton d’amour blotti au fond de ma toison et ne se privait pas de le gâter par des petits pincements de doigts, des caresses du pouce, et le massait comme pour la masturbation d’un sexe miniature.




Il ne le savait pas mais j’avais déjà eu deux orgasmes, le premier lorsque sa bouche avait rejoint la mienne et le second lorsque sa main s’était introduite sous mon slip.


John cessa de s’occuper de mes lèvres et, se détachant un peu de moi, il me regardait ainsi quasi nue devant lui. " Tu es belle, me dit-il. J’aime les matures comme toi. On peut leur faire tout ce qu’on veut, elles aiment tout ! Mais une comme toi, c’est rare. T’es sexy en plus et t’as envie…. Je vais te faire grimper aux rideaux.. tu vas voir… ouvre bien les cuisses que je te sente mieux … "


Et le plus beau c’est que j’ai ouvert les cuisses comme il me le demandait !


Je lui ai enlevé son t-shirt et il était maintenant nu devant moi, la verge glorieusement dressée, le gland bien découvert. J’avais peu l’habitude des sexes d’hommes mais celui-ci me semblait majestueux, remontant en croissant vers le nombril…


John m’avait enlevé le soutien-gorge et s’était mis à me sucer les seins, à les soupeser, à jouer avec mes pointes dressées, les titillant du pouce. Il me mordillait, me faisait des suçons… J’avais le corps arqué, offrant ma poitrine à celui qui n’était encore qu’un gamin ….


Pour lui faciliter l’accès, j’avais fait glisser mon slip, et mon amant en avait profité pour bien me pénétrer de ses doigts. Il eut un mouvement de surprise au contact de mon humidité très abondante et me dit : " Merde, ce que tu mouilles… t’en avais envie, ma salope. Tu vas voir lorsque t’auras ma queue entre tes cuisses ! J’aime tes nibards (lire seins !) ils sont doux et tu les laisses peloter sans faire de manières… "


Son langage me plaisait mais je n’osais pas encore lui répondre sur le même ton…


Je m’étais un peu collée à lui et je guidais sa queue dans ma pilosité, jouant avec elle, la faisant atteindre, frôler mes lèvres vaginales en m’étant à nouveau emparée de sa bouche où cette fois c’était moi qui menais une véritable sarabande, un vrai ballet de langue…


Je ne sais combien de temps nous avons ainsi joué avec nos corps. Je découvrais un John expérimenté déjà et très attentif aux plaisirs de sa compagne, sachant jouer de son corps (mieux qu’au piano !) comme du sien.


Je lui ai demandé :" Comme tu me fais du bien… comment as-tu une telle expérience de la femme ? Cela mérite le double de ton âge … as-tu déjà eu de nombreuses maîtresses ? "




La réponse ne se fit pas attendre : " Tu sais, ma salope, toutes les copines de ma mère y sont passées… dès qu’elles ont goûté de ma queue elles en parlent aux autres et c’est la fête !! J’en ai même eu trois dans le même lit, à se disputer pour savoir laquelle je baiserais. Finalement, chacune a eu droit à sa dose ! Ma mère en rit encore (un peu pincée quant même) car elles lui ont tout raconté. Ce qu’elle ne sait pas c’est que ses copines trouvent que je baise mieux que mon père ! "

" Dis, ma belle, t’as pas envie de bien me sucer ? J’aime ça. Vas –y… "


Que faire d’autre puisque moi-même j’en avais envie …. Ben oui, j’avais envie de manger cette queue, de m’en repaître…..


Moi, à 46 ans, veuve, professeur de piano, je me suis retrouvée à genoux devant ce grand dadais, en train de lui sucer la queue (comme il dirait vulgairement !).


Miam, que c’est bon ! J’avais aussi oublié le goût d’un sexe d’homme bandé, bien enfoui dans ma bouche. Je m’en délectais, retrouvant vite toutes les techniques qui ravissaient tant feu mon mari. Tantôt quasi toute entière dans ma bouche, tantôt suçant uniquement le gland décapuchonné, tantôt léchant toute la hampe ou bien jouant de ma langue autour du gros bourrelet du prépuce… je me régalais sûrement autant que John. Celui-ci me caressait le cou et les épaules et passait sa main dans mes cheveux …


Cette masse de chair vivait dans ma bouche comme si elle avait une vie propre, semblant encore durcir, semblant encore grossir sous mes caresses. D’une main je soutenais les bourses, les palpant, les faisant rouler sous mes doigts, les soupesant, m’en amusant comme d’un jouet et, quelquefois, mes doigts s’aventuraient le long du scrotum dont je suivais le relief, rejoignant presque ainsi la raie fessière. John semblait apprécier car il haletait et son bassin s’agitait comme pour accompagner ma masturbation buccale …


Une fois, comme par inadvertance, mes doigts se sont égarés un peu plus haut, atteignant son anus et s’amusant à en sentir le pourtour…


John dit alors : " T’es une belle branleuse, voilà que tu veux mon cul maintenant.. vas-y, il aime ça ! Tantôt je te mettrai ma bite au même endroit. "


Je n’osais le lui dire, mais sa vulgarité verbale décuplait mon plaisir. Dans nos rapports sexuels, mon mari et moi, pourtant très libérés, conservions une certaine retenue, au moins de langage. J’ai compris ici qu’une raisonnable vulgarité pouvait être érotique.


Finalement, avec précaution, j’ai introduit un doigt prudent dans son œillet et me suis mise à faire de petits mouvements légers…


Je dégoulinais entre mes cuisses ….




À certaines crispations de la verge dans ma bouche et à un changement de la salinité du goût, j’ai compris que mon lascar était prêt à jouir… Que faire, le retirer de ma bouche ou être le réceptacle de son sperme ?


Je n’ai pas eu beaucoup le temps d’hésiter car John me disait : " Je vais juter… continue à me sucer…" et, d’une main, il maintenait ma tête …


Je me dis qu’à tout prendre, autant tester pour une fois la semence d’un jeune étalon. Néanmoins, je voulais aussi jouir … jouir et jouir encore…. J’ai doucement poussé John pour qu’il comprenne que je voulais qu’il s’allonge sur le tapis, tout en conservant sa verge dans ma bouche… et là, je me suis mise sur lui en un habile 69, offrant mon sexe béant à son regard et surtout à sa bouche, à sa langue… je crois qu’il devait être inondé !!


Il s’est mis à me lécher et à introduire sa langue profondément dans mon vagin. Quelque fois il s’attardait à mon clitoris qui était douloureux tant il était dur et câliné..


Ne voilà-t-il pas que mon délicieux partenaire a quitté mon sexe pour aller promener sa langue à mon anus… il tournait autour comme une abeille qui butine… jusqu’au moment où sa bouche est revenue vers mon vagin pour une nouvelle caresse goulue tandis que d’un long doigt il m’avait pénétré par derrière. Sale gamin ! Merci, car c’était dantesque !!


Je n’en finissais pas de jouir et de jouir encore…


Aux soubresauts de son corps j’ai compris que le moment était venu. Effectivement, de longs jets brûlants se sont précipités dans ma bouche et jusque dans ma gorge.. il jouissait avec abondance et éjaculait un liquide épais…. Cela ne semblait plus devoir s’arrêter… J’ignore finalement s’il jouissait encore ou bien si c’était son sperme qui, dans ma bouche, suivait mes mouvements de succions.


Nous étions déchaînés et, sans nous être séparés, nous nous roulions au sol, bousculant quelques chaises au passage. Il continuait à jouer de sa langue dans ma chatte, son doigt explorateur toujours dans mon anus tandis que je conservais en bouche sa verge encore très rigide…. Cela a duré jusqu’à ce que, essoufflés tous deux, nous ayons repris une position plus correcte et nous avons fini en joignant nos bouches et en mélangeant ainsi nos sécrétions réciproques… ;


À son oreille, je me suis contenté de lui murmurer " merci ".


Inutile de dire qu’après cette partie assez homérique, mon porte-jarretelles pendouillait, tout-à-fait détaché, et que mes bas se tire-bouchonnaient sans élégance autour de mes jambes. J’ai eu vite fait de tout enlever.




John, en réponse à mon merci me dit : " Madre, que tu es douée… il y a longtemps que je n’avais plus giclé comme cela dans la bouche d’une femme (plein de délicatesse, ce gars !!) Les autres bonnes femmes n’aiment quelquefois pas et si je touche à leur cul, elles poussent des cris de pucelles effarouchées. Toi tu es une bonne !! " (merci du compliment !)


Après ces ébats, je me suis sentie fatiguée mais toute jeunette de caractère comme si la semence de John avait fait diminuer la différence d’âge !


Presque par boutade, car nous étions nus tous les deux, j’ai dit à John :

" Tout cela c’est très bien, mais je suis ici pour une leçon de piano et votre mère ne sera certainement pas contente d’apprendre que nous n’avons pas avancé dans votre formation »


Il se mit à rire et m’entraîna vers le siège du piano comme si nous allions faire un quatre mains !


C’est en effet un quatre mains… la gauche de mon élève était sur les touches, ainsi que ma droite, tandis que sa droite était blottie entre mes cuisses, les doigts un peu introduits dans ma chatte, et ma main gauche tenait solidement la jeune verge, quasi rebandée. On riait comme des enfants et nos bouches se sont jointes comme si nous avions encore besoin d’amour et de tendresse. Ce fut un baiser d’amoureux, non violent, au contraire quasi exempt de passion frénétique mais empreint de tout cet assouvissement sexuel que nous venions de vivre ensemble..


Je restais partiellement sur ma faim et John aussi certainement car nous n’avions pas accompli l’acte d’amour, je n’avais pas eu la verge de mon amant en moi. Il ne m’avait pas possédée, il ne m’avait pas (encore) pénétrée..


Un problème, c’est qu’il n’y avait pas de lit dans le salon et qu’à mon âge le canapé ou le tapis ce n’était pas très confortable !! John voulait m’entraîner dans sa chambre ou même dans la chambre de ses parents. Ce n’était pas possible . Vous vous rendez compte si la mère était rentrée plutôt que prévu et qu’elle trouve son fils en train de faire l’amour sur son lit avec sa vieille professeur de piano. C’était le scandale dans toute son horreur !!


Tout en réfléchissant à cet important problème : comment assouvir confortablement mes pulsions ? John et moi continuions à jouer chacun d’une main, réservant l’autre pour nos caresses…


John admirait mes seins. C’est vrai que j’avais une belle paire, bien proportionnée et encore bien ferme avec des aréoles bien dessinées autour de tétons très sensibles à la caresse.




Nous nous étions levés et toujours nus nous buvions le thé préparé par « madame mère » à notre intention.


John s’était mis derrière moi et me soupesait les seins, en aguichait les pointes et en appréciait la texture… Il me demanda de me pencher en avant pour mieux encore jouer avec ma poitrine, la faire ballotter à son gré… et, ce faisant, je sentais sa verge raide heurter mes fesses et je m’en suis emparée pour la guider le long de ma raie fessière, en une sublime caresse qui une fois de plus me fit jouir …..


Je n’en pouvais plus de désir… je voulais cette chair en moi.


Finalement, j’ai mis mes deux mains sur le piano et, ouvrant bien les fesses j’ai livré à mon amant le chemin de ma féminité.


Il a tout de suite compris et, m’agrippant solidement aux hanches, il m’a doucement pénétrée en cette position arrière que j’affectionne…. Ma toison très fournie tant au pubis que sur toute ma zone sexuelle constituait comme une caresse préalable à l’acte…. Enfin, cette queue tant attendue rentrait en moi… John alternait les caresses à ma poitrine pendant sous moi, avec un passage à mon clitoris et même des attouchements à mon anus.. il m’avait tout à sa portée et ne se gênait pas d’utiliser pour lui et pour moi tous les artifices de l’amour, tous les gestes, toutes les caresses…..


Qu’il était bien ainsi en moi… il s’activait sans précipitation, dans de grands mouvements du bassin, ses bourses heurtant mes fesses… De mon côté, j’ondulais aussi du bassin pour suivre ses mouvements, pour mieux encore sentir sa pénétration… nous étions bien tous deux et nous avions le temps d’arriver ensemble à notre jouissance … ;


John me dit : " Dis, ma chatte, t’es là pour jouer du piano… joue donc pendant que je t’enfile… ce sera marrant.."


Je n’en croyais pas mes oreilles, d’une telle proposition saugrenue…. Vous me voyez en train de pianoter pendant que la verge de mon élève va-et-vient en moi !!


Mais, au fait, pourquoi pas ? Au point où nous en étions !


J’ai conservé une position courbée permettant la continuation de la pénétration et les libres caresses de celui qui était maintenant mon doux amant et je me suis mise à jouer du piano… d’abord très calmement une belle mélodie et puis, sentant le rythme de John s’accélérer, je me suis lancée dans une œuvre de Brahms, vigoureuse, solide et avec un tempo accelerando….


John criait presque : " Oui, joue, continue… tu sens comme je te baise… ta chatte dégouline sur ma bitte.. je vais bientôt tout t’envoyer.. n’arrête pas … essaie de jouir avec moi…."




Jamais un homme (mais c’est vrai que j’en avais peu connus) ne m’avait parlé comme cela pendant l’amour… de John je supportais tout car sa vulgarité était nature et non provocante, il était comme il était… et c’était bien ….


Moi aussi je sentais la tension monter en moi et, jouant crescendo, j’ai osé aussi parler dans le même registre que lui : " Oui, c’est bon, tu es bien en moi… je vais jouir avec toi.. lâche-moi bien tout.. mais continue encore un peu… là, voilà… je suis prête… vas-y ! oui oui….


Je ne me reconnaissais pas, moi qui ai toujours eu un langage châtié !


Je voulais jouir, m’envoyer en l’air en même temps que finissait ma musique…. Pour activer l’arrivée de la jouissance de John je contractais mon vagin autour de sa queue, le relâchais comme pour un massage interne…. J’entendais maintenant mon amant couiner comme un petit chien et, s’agrippant solidement à mes hanches, donner des coups de boutoir pour exploser en moi….


C’était l’apothéose et Brahms devait se retourner dans sa tombe (la main sur son sexe !) en nous voyant ainsi terminer une de ses œuvres par une explosion de jouissance.


John se répand longuement en moi.. je sens sa semence chaude m’envahir et se mélanger à la mienne …. Cette fin de coït est merveilleuse car elle nous réunit encore plus… nous avons joui ensemble…


Un très long baiser suivi encore de caresses précises nous a fait nous calmer …..


Nus tous les deux nous nous sommes encore regardés, nous avons encore regardé nos corps qui nous avaient si bien fait jouir …. La queue de John avait conservé une dimension respectable mais elle pendait maintenant, débandée, sur les bourses.


Soudain , j’ai regardé ma montre… Malédiction, cela faisait trois heures que nous nous livrions à nos ébats… ; vite vite nous avons mis un peu d’ordre dans le salon, remis tout en place et après un dernier et doux baiser, je me suis rhabillée sans mettre ni culotte, bas et porte-jarretelles (dans quel état étaient-ils !!) sans me laver (ouh, la sale fille…) et sans me remaquiller… et vite un petit pipi.


John s’était aussi rhabillé et, très timidement cette fois, il m’a demandé : " Cela t’a plu ? Tu reviendras encore ? "


Il était subitement devenu timide !!!!


Ma réponse lui fut dite à l’oreille en un seul mot : OUI.




Il m’embrassa tendrement sur la joue pour un au revoir. Faudra que je fasse attention à ce qu’il ne tombe pas amoureux de moi, car je ne veux pas d’ennuis.


Quasi au moment où j’allais sortir ne voilà-t-il pas que la mère de John rentre plus tôt que prévu. Nous étions surprises toutes les deux. Elle me dit : " Tiens, vous êtes encore là. Vos deux heures sont cependant écoulées depuis longtemps. John a été sage au moins ? "


J’ai bredouillé une réponse comme quoi nous avions fait des exercices de solfège et que je n’avais pas vu le temps passer.


Au moment de sortir, madame mère me dit : " Tiens, n’aviez-vous pas des bas au début de cette après midi ? Vous les avez enlevés pour les exercices de solfège ?? "


Et à son fils : " Dépêche-toi d’aller prendre un bain, on dirait que le solfège de madame t’a épuisé…"


Cette garce connaît bien son fils !!


FIN BODDING