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n° 08417Fiche technique9539 caractères9539
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/01/05
Résumé:  Un rêve bien réel...
Critères:  fh sport campagne collection fdomine voir exhib strip lingerie fmast fgode
Auteur : Meteor      

Série : Balade au bord de l'eau

Chapitre 02 / 02
Balade au bord de l'eau 2

Ah ! les promenades au bord de l’eau, elles nous réservent parfois bien des surprises !

De retour près de ma rivière préférée, j’avais eu la désagréable surprise de ne point trouver ma petite blonde de la semaine d’avant, celle qui m’avait fait don de ce spectacle si excitant et surtout si inespéré.

J’avais abandonné l’idée de la revoir et j’avais continué ma partie de pêche par une bredouille monumentale (ce n’est pas de ma faute, c’est la lune, paraît-il !).


2 semaines plus tard, jour pour jour, je m’étais de nouveau levé aux aurores pour exercer ma passion favorite. Le temps était incertain et je pensais me prendre une trombe d’eau sur la tête.


Après une heure, l’orage grondait et les premières gouttes commençaient à frapper le sol. Je m’en allais sous le pont , bien à l’abri des gouttes. Après 10 minutes, le ciel était noir et les éclairs illuminaient les alentours. M’appuyant sur la pile du pont, j’attendais, me remémorant le spectacle gracieux de ma joggeuse du samedi. Je revoyais son oeil brillant, sa toison châtain clair, et sa main parcourant sa chatte mouillée.



La voix me surprend et je fais un bond. Elle est là qui me sourit. Avec le bruit du tonnerre et de la pluie, voilà que je ne l’avais pas entendue arriver.

Je me remets de mes émotions.



Je la regarde, elle me semble un peu différente. Ça y est, ses cheveux sont libres sur ses épaules et elle s’est maquillée. Elle me paraît beaucoup plus belle qu’il y a 15 jours.



La voilà qui sourit et rougit devant mon trouble. J’ai vraiment l’air d’un idiot.



Pas gênée pour un sou….une fille qui sait ce qu’elle veut.



Je cogite et je me demande pourquoi cette fois elle me parle directement et me regarde droit dans les yeux.



Elle me sort une bombe lacrymo qu’elle dirige sur moi. Je me fige…..voilà qu’en étant tranquillement à la pêche, je vais me faire agresser au milieu de nulle part par une folle ! Mes pensées se bousculent dans ma tête….je ne bouge pas, d’ailleurs je n’ai pas bougé depuis que notre conversation a commencé.


Mon attitude semble la rassurer, je commence à la détailler plus attentivement. Elle porte cette fois un short plus long, un tee-shirt mouillé sous lequel je devine ses seins emprisonnés dans un mince tissu….un tissu en dentelle. Elle a toujours sa bouteille braquée vers moi, mais son bras descend tout doucement. Je devine la pointe de ses seins sous les deux épaisseurs de tissu, ils sont durs et tendus. Nos yeux se croisent.


A l’extérieur du pont, il pleut à verse, mais nous sommes en nage, le temps s’est assombri, l’orage gronde et nous sommes seuls.



Elle remonte tranquillement le tee-shirt en reculant légèrement pour s’appuyer au granit. Elle porte un soutien-gorge noir dont les bouts ont été découpés, laissant poindre la pointe de ses seins. Pas du tout un modèle de sportive…..



Elle ne sourit plus du tout et son regard est dans le vague, ses pupilles dilatées par le plaisir. Elle a toujours son tee-shirt qu’elle ôte, et elle se replie dans un coin du pont, là où on ne peut pas la voir.


Elle fait passer son arme en bouteille dans la main gauche et caresse ses seins durcis de la main droite. Les idées se bousculent dans ma tête. Je suis sûr qu’elle a choisi de percer son soutien-gorge pour pouvoir se caresser librement. J’ai soudain chaud moi aussi..


Et elle caresse doucement ses seins dont elle fait tranquillement rouler les pointes entre ses doigts, sans lâcher son arme de service.



Il faut dire que la bosse de mon pantalon ne laisse pas de doute…


La voilà qui baisse son short et je découvre un slip assorti à son soutien-gorge, un string noir qui ne laisse aucun doute sur la préméditation..

Elle caresse alors la surface du mince tissu protecteur, tandis que je suis toujours sous la menace de l’arme qu’elle tient toujours de la main gauche, avec laquelle elle continue à se tripoter les seins


Elle écarte le tissu et je découvre une moule toute ouverte et humide. Sa chatte est aussi belle que la dernière fois.


Ses doigts glissent sur sa petite fente, et je les devine humides par ce contact intime. Elle est drôlement bandante. Je m’approche…


Sa réaction est immédiate, elle lève son arme vers moi et commence à presser sur le bouton…je m’arrête.



Elle continue sa caresse sur sa toison, ses doigts entrent dans son intimité, elle pince ses seins et commence à haleter.



Je suis subjugué par cette femme qui s’exhibe sans retenue mais sans s’offrir vraiment. Elle me fixe et me dit tout en s’introduisant deux doigts de la main :



Elle fait descendre sa main gauche qui titillait ses seins et tenait l’outil en question et la fait glisser doucement. L’objet fait bien 20 cm de long et n’a pas une forme adéquate mais elle le fait habilement glisser sur ses lèvres humides, le remonte à sa bouche et le lèche. L’objet redescend et recommence son ballet entre les lèvres du bas.


Puis, miracle, il glisse et entre doucement dans sa chatte, elle écarte bien et pousse par petits mouvements saccadés, comme le ferait le sexe d’un homme. Il entre et sort doucement puis plus rapidement. Son autre main caresse maintenant un point bien précis, je devine le clito durci entre ses doigts pendant qu’elle se gode tranquillement devant moi.


Je ne bouge pas et la laisse faire, ma dernière tentative n’ayant pas eu l’air de lui plaire.



Je m’exécute et maltraite délicieusement les pointes durcies.


Elle crie soudain, se contracte, la bombe lacrymo tombe à terre tandis qu’elle jouit.

Après quelques instants elle se calme, je libère ses seins et recule.

Tranquillement, elle remonte sa culotte et son short, retrouve le tee-shirt tombé à terre. On dirait qu’elle a bu, ses mouvements sont lents et paraissent difficiles à contrôler.

L’orage s’arrête et la pluie aussi. Elle me regarde et je retrouve son sourire du début, celui du moment où nous nous étions croisés quelques jours plus tôt. Elle a le regard un peu triste et je devine derrière ses yeux une sorte de mélancolie. Je sais que je ne la reverrai peut-être pas. Je ne sais rien d’elle, ni elle de moi, c’est peut-être mieux comme ça. Nous avions été si proches et si loin en même temps.

Elle s’est avancée vers moi et m’a embrassé sur la bouche. Elle n’avait pas sa bombe lacrymo, restée a terre.



Elle s’apprêtait à repartir en courant, quand j’ai ramassé l’objet qui reposait à terre et portait encore son odeur.



Elle a repris l’objet, elle a éclaté de rire puis est repartie, l’orage était fini.