n° 08423 | Fiche technique | 29961 caractères | 29961Temps de lecture estimé : 18 mn | 07/01/05 |
Résumé: Un jeune homme découvre le sexe avec une femme mûre | ||||
Critères: fh fplusag jeunes couple profélève école volupté voir intermast fellation init | ||||
Auteur : Mijanoo (homme quarantaine) |
DEBUT de la série | Série : Solène Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Je suis le troisième garçon d’une famille composée de cinq frères. Nous étions dans les années 50 et habitions un petit village, où ma mère et mon père travaillaient dur pour nous élever.
Le jeudi jour sans école dans ce temps là, il nous fallait faire des travaux au jardin à la belle saison ou en forêt en fin d’hiver pour y couper le bois qui alimentait le fourneau qui faisait office de cuisinière et assurait aussi le chauffage ; nous étions heureux d’être ensemble, entre frères, mon père disait que cela nous développerait physiquement de pratiquer ces travaux que je n’appréciai guère. Ainsi toute mon enfance s’est passée à vivre entre les garçons, car le contact avec les filles à l’école était très épistolaire, occupés que nous étions à jouer entre nous. Je m’adonnais au bricolage et étais souvent l’auteur d’inventions que nous concevions avec mes frères. Découvrant ma passion, mon père envisagea de me mettre en pension dans une école professionnelle dans la grande ville voisine, juste l’année où l’on passe le« certificat d’études »à l’école primaire.
Admis sans problème, me voici donc pensionnaire dans un lycée technique où règne une discipline de fer, avec pour seule distraction la sortie une fois par mois à la maison, et les autres dimanches la possibilité d’aller en ville si un correspondant veut bien venir nous chercher à l’école même et l’après–midi seulement ; mon père trouva le fils d’un ami qui aidait ses parents dans un commerce de la ville ; c’est lui Emile qui fût désigné pour venir me donner un après-midi de liberté chaque dimanche, mais attention retour impératif pour 18 heures car au-delà c’était la « colle » assurée pour le dimanche suivant.
Pour fréquenter cette école, on dut me faire un costume sur mesure bleu marine, avec les traditionnels boutons dorés, la redingote assortie pour l’hiver, chez le couturier attitré du lycée. Il va sans dire que le port de cet uniforme et de la casquette assortie était obligatoire pour sortir de l’établissement. L’ensemble du personnel du lycée était essentiellement masculin, et pendant toutes ces années de dur d’apprentissage, nous n’avons pas eu de contact avec la gent féminine, et comme je n’en avais n’eu guère avant, disons que je ne connaissais rien de femmes. Le soir, seul dans mon lit, je les voyais comme un mythe inaccessible qui me faisait rêver, et le directeur misogyne nous évitait tout contact avec du personnel féminin qu’il se gardait d’employer.
Si, pourtant en terminale on nous octroya une jeune professeur d’histoire pour une heure par semaine. Alors au dortoir le soir, cette femme vint alimenter nos fantasmes jusque là basés sur des souvenirs fugaces des belles filles aperçues dans la rue les soirs d’été, ou dans des magazines que nous apportaient les externes en cachette des surveillants.
Les commentaires allaient bon train en récréation, surtout ceux de nos camarades marseillais qui eux avaient vu mieux dans leur bonne ville, mais surtout qu’ils avaient déjà une solide expérience sexuelle ; L’occasion était belle pour eux, de nous exposer leurs exploits sur la plage en été, en y ajoutant force détails croustillants en ’’parlant avec les mains’’, comme savent si bien s’exprimer les volubiles méridionaux.
Le dimanche c’est donc Emile qui venait me « sortir » et comme je me rendais chez lui après être allé au cinéma, sa mère me présenta sa grande fille qui vint m’embrasser avec ardeur sur les deux joues en me disant avec un sourire sensuel et moqueur aux coins des lèvres :
Alors, je rougis, d’abord parce que je n’étais pas militaire, et que notre tenue nous était imposée ; elle n’avait pourtant pas tort car je commençais à devenir un homme et je présentais assez bien dans mon élégante tenue, mais aussi en découvrant sa délicieuse odeur de parfum à la violette, et que se penchant vers moi, je vis dans son décolleté deux jolies formes globuleuses et douces que j’aurais aimé caresser.
Sa robe très courte et près du corps mettait en valeur sa taille fine, et ses formes arrières rebondies sur deux jambes harmonieusement fuselées, gainées de bas fins de couleur sombres qui lui donnait un charme sensuel. Solène était une très belle et grande fille de 30 ans environ. Je me dis en moi-même, saisi d’un trouble charmant que si je pouvais tenir un jour dans mes bras une femme aussi éblouissante, quelle merveille ce serait alors.
Elle savait bien que je n’étais pas militaire, mais cela me fis l’impression que je devenais un adulte ; C’était la première fois qu’une fille me parlais à ma propre personne ce qui me fit frissonner de savoir que je pourrais maintenant plaire à une femme. Mais stop à ces supputations ; elle est mariée et je me dis : tu es trop jeune pour satisfaire une femme aussi adorable, alors n’y pense plus ravale tes désirs et retourne à tes études.
Ce soir-là j’eus du mal à m’endormir en revoyant la scène de ce dimanche, mais j’étais heureux d’avoir pu converser avec une jolie fille et me promis que ce ne serait pas la dernière fois ! J’étais un garçon timide, que n’arrangeait pas la contrainte disciplinaire du lycée qui annihilait en nous, toute initiative, et c’est pourtant cette qualité qui sied à l’homme pour conquérir la gent féminine.
Solène m’avait si bien mis en confiance que je me mis à fantasmer sur le fait, que, malgré ma grande timidité je pourrais un jour parvenir à embrasser une fille sur la bouche, voir la caresser et pourquoi pas aller au-delà ?
Le dimanche suivant je rentrais dans ma famille. Avant midi mon père m’appelle pour me faire rencontrer et remercier son généreux ami qui m’accueillait chaque dimanche ainsi que Madame qui venait déjeuner à la maison à l’invitation de mes parents.
La conversation porta sur le fait que leur fils Emile devait faire un stage de perfectionnement pour son travail, le privant de venir me chercher au lycée. Sa grande fille Solène, mariée et qui habite dans le quartier du lycée voulait bien me prendre en charge le dimanche. Sa mère nous fit part des déboires du mari de sa fille qui passionné de rugby, avait sur un mauvais placage dut être opéré du « bas-ventre »et qu’il était en voie de guérison. En outre le pronostic n’était pas bon en ce sens qu’il aurait du mal à accomplir son devoir conjugal. Mais étant membre du bureau du club de rugby, il passait tous ses dimanches après-midi sur le stade comme arbitre et organisateur de la troisième mi-temps. Je mis le nez dans mon assiette en entendant cela, puis une douce chaleur m’envahit en pensant que je pourrais rencontrer à nouveau leur jolie fille, et qui sait, peut-être l’embrasser, moi qui allant sur mes 18 ans, ne connaissait rien des filles.
Le dimanche suivant, j’étais tout émoustillé lorsque le surveillant vint m’avertir que ce sera Mlle Solène sœur d’Emile qui sera autorisée à me « sortir », comme ses parents en avaient averti la direction du lycée dans la semaine.
Lorsque vers 13 heures l’on m’appelle, les quolibets de mes camarades qui m’entourent me font honte, à la vue d’une superbe fille aux cheveux couleur noir remontés en ’’choucroute’’, en manteau sombre de bonne coupe évasé vers le bas, juchée sur des souliers à talons hauts, à la démarche ondoyante, venir auprès de moi et me conduit vers la sortie. Elle-même très gênée, s’arrête peu après sur le trottoir désert, le long du mur longeant le pensionnat et me prenant par l’épaule m’embrasse quatre fois sur les joues en y déposant du rouge à lèvres ce dont elle s’excuse. Elle m’avoue qu’elle-même n’a pas osé m’embrasser devant mes camarades de peur de leurs quolibets.
Je la complimente sur son élégance, son superbe manteau et son bon goût du choix de son parfum que j’adore. Elle est très flattée et me dit qu’elle est fière de se promener avec un aussi beau jeune homme qui me dit-elle, la fait rajeunir de dix ans.
On marche ainsi un demi kilomètre main dans la main pour atteindre son pavillon ; la porte s’ouvre et c’est son mari Lucien, qui me salue, me disant avec un air moqueur : ah ! Vous êtes le beau militaire dont m’a entretenu ma femme et ma belle-mère ? Je suis en effet revêtu d’un uniforme et d’une casquette obligatoires dans ce lycée de garçons, genre tenue militaire russe que nous étions obligés de porter malgré nous, pour sortir en ville.
Venez prendre le café me dit-il, car je dois vous quitter pour me rendre au club où l’on m’attend pour un training d’avant match. Solène sera heureuse d’avoir de la compagnie cet après-midi ; si vous voulez bien lui aider à terminer les rideaux de la chambre, vous qui êtes bon bricoleur paraît-il et mettre en œuvre ce que vous apprenez au lycée technique !
Sur ce, il nous laisse seuls, et reposant ma tasse sur la table basse du salon Solène vient s’asseoir en face de moi dans un profond fauteuil ; elle croise et décroise ses longues jambes dans le doux bruissement du frottement de ses bas, laissant apparaître la partie blanche du haut de ses cuisses, provoquant en moi un trouble diffus, une chaleur inconnue monter dans ma poitrine et une excitation qui me monte au visage, me faisant rougir de plaisir. Je dois dire que j’ai devant moi un si séduisant corps de femme moulé dans une robe étroite et très suggestive et à la sensualité tranquille. Elle devine ma timidité et mon trouble, puis me questionne sur la rude vie du lycée et le manque de liberté des élèves, comme tel était mon cas et la monotonie de ne jamais rencontrer de femmes, ce qui devait être très frustrant pour nous les jeunes pensionnaires.
Elle vient s’asseoir près de moi sur le divan et me prenant par les mains me dit :
’’-Vois-tu, la vie est mal faite, je suis moi-même « en retard d’affection » d’avec mon mari depuis son terrible accident d’il y a six mois et le docteur que j’ai vu hier, lui donne peu d’espoir de guérison, sur le fait que nous ne puissions plus avoir de relations amoureuses normales’’. Il a reçu un mauvais coup de genou entre les cuisses lors d’un match de rugby et a dû subir une petite intervention chirurgicale, d’ailleurs mal faite, j’aurais dû le conduire dans un grand hôpital et je le regrette maintenant .
Je suis frappé de sa franchise, je lui fait part de ma sollicitude mais je sent bien qu’elle joue de l’innocence du grand adolescent que je suis, ce qui semble lui procurer un réel plaisir de pouvoir dominer ainsi le tout jeune homme ingénu que je suis.
Puis, passant furtivement le revers de sa main en-dessous de ma ceinture sur la bosse que faisait mon pantalon elle vient la poser sur ma cuisse constatant que de mon côté sa manœuvre avait bien atteint son objectif ; s’appuyant sur cette main elle se tourne vers moi, et sur son visage proche du mien je vois ses yeux en amande me fusiller du regard dans un sourire coquin qui me plonge dans un trouble exquis ; voyant ma grande émotion elle me prend le visage entre ses mains et dépose un baiser furtif sur chaque joue, mais assez près de ma bouche pour sentir ce goût inconnu de son rouge à lèvres . Je trouve cela délicieux.
Moi, rougissant devant une question aussi directe qu’embarrassante, je lui dis :
C’est en effet celui auquel je pensais sans espoir avant de m’endormir dans mes nuits de solitude au fond du lit d’un dortoir de lycée.!
Alors je crois défaillir, Solène me pose la tête contre sa poitrine et je sent la douceur de sa peau et l’élasticité tonique de ses beaux seins que je me garde de toucher, bien que ce ne soit pas l’envie qui me manque, mais ma timidité est là ! Stupéfait, elle me prend la main et la conduit sur son décolleté généreux ; je n’ose pas caresser cette peau veloutée si tentante mais elle m’y invite du regard ; alors quel délice cette douceur dont elle me laisse profiter à souhait !
Après un long moment passé dans ces bras presque maternels elle se détache de moi en me disant :
Elle me précède dans l’escalier, j’ai la vision de ses fesses rebondies enveloppées dans sa mini robe bleue qui moule parfaitement un corps de rêve, et le bruissement de ses bas frottant à chaque pas, entre ses longues jambes fuselées dans des gestes si naturels pour elle, mais qui me procure une sacrée sensation !
Me voilà au sous-sol où elle me montre les outils et le matériel nécessaires à cette réparation . Nous remontons à l’étage, je renforce la structure supérieure en bois à l’aide de trous faits à la perceuse et de vis placées à bon escient, puis consolide les tringles en bois, pendant que Solène me tient le vieil escabeau de bois branlant. Je lui dis :
J’éprouve alors un bonheur de sentir pour la première fois la chair frémissante d’une femme sous mes doigts, même si c’est à travers des bas laissant deviner la fermeté et le frémissement de ses chairs .
Alors, elle se laisse glisser de l’escabeau sans que je détache mes mains coulissant le long de ses belles jambes, qui passent naturellement sous sa mini-jupe sur la zone libre de sa peau en haut des cuisses et là, je craque, devient rouge de plaisir de découvrir pour la première fois le velouté de la peau d’une femme, décuplé de sentir sous la main, un endroit aussi discret sous des jupes féminines, que je ne voyais jusqu’alors que dans mes pensées érotiques. Sautant la dernière marche, elle passe ses bras en s’agrippant autour de mes épaules puis enroulant ses jambes autour de mon bassin elle me foudroie de son sourire en me remerciant de mon aide. Je crois défaillir lorsqu’elle plaque brusquement ses lèvres humides et frémissantes de plaisir sur les miennes, ses deux bras autour de mon cou, mes mains enserrant fortement ses fesses, étant dans l’obligation de la soutenir. Enfin, pour la première fois je tiens une belle femme dans mes bras, c’est incroyable, mes pensées mythiques, se réalisent; et ne vous dites pas dans quel état je me trouve de sentir ce corps frémissant contre le mien, sous la puissance de nos baisers profonds et humides. Puis, elle se dégage de moi, me prodigue un large sourire des ses yeux en amande puis me demande :
A nouveau elle me caresse les cheveux, me gratifie à nouveau d’un long et profond baiser sur la bouche entrecoupé de nos deux souffles : ses lèvres brûlantes d’une grande douceur ont le goût de son rouge à lèvres et me dit que pour une première fois, je n’embrassais pas si mal que cela !.
J’ai l’impression qu’elle doit avoir déjà une bonne expérience des hommes ,et que je devais passer pour elle pour un timide néophyte !
Après un long moment de ce délice, je la dépose sur le lit et m’enhardis à aller plus loin.
Je commence à vouloir caresser ses cuisses d’une douceur incroyable Alors, elle me prend la main qu’elle repousse gentiment, puis se redressant elle me dit que j’avais eu droit à une bonne récompense, et nous poursuivons l’attache des voilages aux quatre pieds du lit, façon ’’bonne femme’’ et prenant du recul pour en apprécier l’effet en disant :
Je lui fais remarquer qu’elle pourrait inaugurer d’une si belle installation !
Elle rit aux éclats pour toute réponse, m’irradiant de son large sourire elle me fait remarquer qu’il y manque un éclairage avec des spots. pour donner plus d’intimité à cet ensemble.
Le soir tombe, et revenus au salon Solène me demande :
Elle va chercher son ’’Teppaz’’ qui faisait fureur à l’époque ; c’est une petite valise aux formes arrondies, dont le socle comprend le tourne-disques 45 tours vinyle, et le haut-parleur se trouve inclus dans le couvercle muni de charnières.
Elle dépose le dernier’’ Dalida’’ sur la platine et m’invite à venir dans ses bras, me fait une démonstration , puis après quelques pas hésitants, on se met à tournoyer et on réussit à finir une danse. Comme je suis musicien les progrès sont rapides ; elle met une musique syncopée, ce qui nous oblige à des tours très rapides, à la limite de nous faire tourner la tête, puis là elle m’entraîne sur le divan pour souffler un instant.
On danse encore longtemps sur des rythmes cubains ; après avoir pris un rafraîchissement, elle dépose un vinyle de slow sur la platine, allume une simple veilleuse et m’invite à danser en venant se plaquer contre moi en m’imposant des mouvements plus lents et très rythmés; je sent son corps vibrer sous mes mains appliquées sur ses hanches ondulant au rythme des violons et des bandonéons ; mon regard plonge dans le délice de sa poitrine généreuse et je sent mon sexe se raidir, me sentant gêné de ne pouvoir me contrôler me demandant quelle serait sa réaction. Avec étonnement, elle remue de plus belle, collant ses larges hanches contre mon ventre, et alors je sent flageoler mes jambes mon visage rougir. Malgré la semi obscurité elle devine mon embarras et me prenant doucement par la main qu’elle comprime dans la mienne, elle m’entraîne sur le divan.
Elle me prend les mains qu’elle dirige lentement sur ses cuisses en me disant :
Je les glisse alors sous son étroite jupe sur la partie de peau nue en lisière de ses bas d’où se dégage une douce chaleur, puis me retirant la main gauche elle vient me l’enfouir entre ses deux seins merveilleux ; là, je crois défaillir après toute ces excitations je n’y tiens plus de caresser ces deux endroits empreints d’une si grande douceur de peau que je découvre, comme dans mes rêves érotiques, mais là ce n’est plus de la fiction !. Elle passe sa main dans les cheveux derrière ma nuque en me susurrent à l’oreille le souffle court elle aussi :
Elle passe lentement en plusieurs fois le revers de sa main entre mes jambes, ce qui me fait vibrer de tout mon être, puis enveloppe entièrement la saillie de mon pantalon, alors, elle entreprend d’en dégrafer l’ouverture. Comme elle vient de me dire ’’d’abord’’, je crois qu’on aborde donc la ’’suite’’, ce qui m’électrise de bonheur et me fais la caresser avec plus de fougue. Mon membre raidi, jaillit par le côté de mon slip, au travers de l’ouverture de la braguette. Prenant un peu de recul Solène me gratifie de son délicieux et perçant sourire et me dit que l’on ne pourra pas aller plus loin dans nos effusions, cette semaine étant celle de ses’’ dérangements’’.
Alors elle dégrafe son corsage, fait passer ses deux seins majestueux par-dessus les balconnets de son soutien-gorge et me prenant derrière la tête vient me les offrir ! La vue de ces deux masses de chair me noue la gorge d’égarement ne pouvant croire ce qui m’est offert, et n’ose y toucher. Solène devine mon émoi et me dit à ma grande stupéfaction que je peux en disposer à ma guise. J’ose alors les caresser doucement puis plus voluptueusement sentant leur bout se durcir, je les fais pénétrer dans ma bouche trop étroite, même pour en contenir un seul, cependant qu’elle prend mon membre brûlant dans ses mains froides, ce qui me provoque comme une décharge électrique dans le dos.- Ah les mains de femme quelle bénédiction ! Ses doigts longs et fins, malgré les ongles longs et teintés de rouge vermillon, après avoir décapsulés le gland passent délicatement sur le méat pré-lubrifié par une goutte liquide qu’elle porte délicatement à sa bouche pour en apprécier l’onctuosité. ; cet hommage accroît encore mon excitation et fait gonfler mon sexe davantage. Elle se penche lentement sur le gland qu’elle vient de décalotter le fixe intensément ; la peau rose et tendue est maintenant à portée de ses lèvres qui le frôle une fois où deux, puis me demande :
Alors ses mains remontent derrière ma nuque et m’offre de nouveau ses seins gonflés de sève dont je sent durcir la pointe ; elle fait pénétrer sa langue dans ma bouche et nous embrassant fougueusement et longuement tous deux, elle me fait m’allonger sur le divan, puis elle-même, tête-bêche de façon à se trouver face à ma verge qu’elle introduisit dans sa bouche et en la titillant de coups de langue délicieux, ses doigts agiles parcourent délicatement le dessous de ma hampe raidie de plaisir. De mon coté, je masse avec vigueur ses fesses sublimement cambrées au travers de sa robe moulante et très courte, en embrassant ses belles jambes fuselées qui m’excitent tant avec ses escarpins qui font des allez-retour sur le cuir mat du divan confirmant l’excitation de ma partenaire.
Elle poursuit la manœuvre en portant mon membre à ses lèvres pulpeuses qu’elle presse avec une douceur extrême, comme pour extraire le jus d’un fruit mûr. Elle suce, aspire, titille de la pointe de sa langue agile le gland décalotté. Alors que je n’y tiens plus, elle comprend que je suis sur le point d’exploser, elle me pince avec vigueur la base de mon membre turgescent entre deux doigts puis la base du gland, ce qui a pour effet de suspendre le processus, et se levant, vient vers moi, m’embrasser encore à pleine bouche ; alors que mon cœur bat une intense chamade, je lui fais part de son habileté et de son expérience, moi qui ne suis qu’un grand naïf en amour. Elle est tellement contente de cet hommage qu’elle me gratifie à nouveau de ses superbes seins globuleux à la peau si délicate et chaude, que j’embrasse sous tous les angles et me fait remarquer combien elle se sent si heureuse ! Puis s’allongeant, elle me prodigue de nouveau ses délicates caresses faisant monter à nouveau la tension de mon membre , puis le pince une seconde fois, mais, sentant le moment où je vais lâcher ma semence, elle me fait un superbe sourire et se retirant me dit :
’’– Je vais te faire connaître l’extase suprême ’’! puis elle engloutit ma verge au fond soyeux et chaud de sa bouche en fermant les yeux ; sa langue titille mon sexe en combinant le mouvement de ses douces lèvres, de ses doigts agiles pour faire monter en moi les plus fortes vibrations de plaisir, puis ses petits doigts parcourent mes bourses gonflées de sève ; alors, les prenant dans chaque main, elle les comprime délicatement par petits coups, en accélérant les allez et retours de ses lèvres et là, j’explose dans sa bouche dans une jouissance d’une fulgurante intensité que je découvre pour la première fois.
La puissance de mon jet me fit vibrer le corps tout le long de mes vertèbres et je sent le sien entrer en extase, puis nos deux corps se relâchent dans une douce quiétude.
Elle revient m’embrasser non sans avoir avalé une partie de mon sperme, pour me faire ’’goûter mon propre nectar d’amour’’ qui lui reste dans sa bouche. La caressant encore je lui dit toute ma reconnaissance de m’avoir prodigué une si intense et belle émotion.
Ce fut le point culminant de cette soirée, et je repris ma veste à boutons dorés et la redingote pour m’en aller seul dans la nuit froide pour regagner ma pension.
Solène vint m’accompagner sur le pas de la porte et m’embrassant une dernière fois me dit en me remerciant pour les travaux de la chambre:
Je regagnais mon lycée et ce soir-là mon esprit vagabonda longuement, me demandant comment son mari accepterait de prêter ainsi sa partenaire à un timide et jeune minet de dix-huit ans que j’étais alors.
Non cela n’était que fantasme pour lequel je ne me faisais pas beaucoup d’illusion!
De retour au pensionnat, dans ma solitude, tard dans la nuit je sentis une nouvelle jouissance envahir mes rêves, qui en réalité n’en était pas un, je venais d’éjaculer en solitaire à la suite de ce rêve érotique polluant mon pyjama et regrettais que ce ne soit pas dans les bras de Solène ! Cette expérience m’avait tellement excité, que je me sentais dorénavant adulte pour faire l’amour à une femme, une ou plusieurs fois… pourquoi pas !