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Temps de lecture estimé : 17 mn
08/01/05
Résumé:  Il va sans dire que la semaine qui suivit cette douce expérience, fut perturbée par le souvenir de ce troublant dimanche...
Critères:  fh jeunes extraoffre volupté voir exhib intermast pénétratio init
Auteur : Mijanoo  (Homme quarantaine)

Série : Solène

Chapitre 02 / 03
Solène 02- Mémorable première fois

Il va sans dire que la semaine qui suivit cette douce expérience, fut perturbée par le souvenir de ce troublant dimanche. Mon esprit vagabondait ailleurs pendant les cours et mes études s’en ressentirent. Vers la fin de semaine je me ressaisis et la joie revint en moi, à la pensée que ce prochain dimanche serait peut-être capital. M’ayant fait approcher du paradis, dont je rêvais durant toute mon adolescence, Solène m’avait laissé supposer me faire une petite surprise.

Bien que mes camarades me posaient force questions sur cette si belle fille qui venait m’attendre, le dimanche, je leur trouvais à répondre en rougissant, qu’il ne s’agissait que de ma cousine ; ils la trouvaient tous splendide et me taquinaient en me demandant


’’ Tu ne te l’ais pas encore baisée, moi, à ta place je n’hésiterais pas un instant ?


Moi je la trouvais si troublante dans sa beauté racée que je sentais bien qu’elle était pour moi inaccessible.

La routine du lycée repris ses droits, nous n’avions pas de place à l’ennui avec un emploi du temps très chargé imposé par le directeur un peu gaullien qui disait que notre génération devrait s’imposer dans un travail de recherche, et de connaissances pour que la France se redresse après la guerre et impose sa propre technologie industrielle pour devenir une puissance économique. Heureusement la gym. Du jeudi, permettait de se défouler, me donnant à fond, en course, aux sauts, aux agrès, de façon à donner un maximum de tonicité à mes muscles, et pensant que devenant un homme, il me faudrait assurer devant une femme. Cette pensée me donnait un courage fou, me réchauffait le cœur par un trouble diffus et bienfaisant qui m’envahissait.


Le lendemain eut lieu un incident, où l’un d’entre nous ne voulant se dénoncer, la soirée se passa sous la menace d’une colle générale de toute la classe. Je passais une mauvaise nuit, songeant à la belle Solène qui ne viendrait pas dimanche et j’en ressentis une grande amertume.

Après l’étude du samedi matin, un surveillant vint nous annoncer la levée de la sanction qui avec étonnement était remplacée par un travail d’intérêt général, le nettoyage de la cour je crois me rappeler. Ouf ! Pour rien au monde je n’aurais manqué cette rencontre de dimanche où m’attendait une surprise au dire de ma douce correspondante.

Nous voici donc ce dimanche après le repas, une impatiente attente me rend nerveux, quand alors j’aperçois Solène vers la grille d’entrée, mon cœur bat la chamade.

Elle se dirige vers moi, me saluant d’un air distant, signe discrètement la fiche de sortie, me prend par la main, m’entraînant à l’extérieur de l’austère établissement :


’’J’ai vu sur ta fiche de sortie : tu devras être rentré pour 18 heures, nous n’avons pas de temps à perdre’’ ! Me dit-elle.


Je pensais qu’elle m’avait réservé un petit travail dans sa villa et que le temps serait compté ; c’est alors qu’elle me prit le bras, me gratifia de son regard perçant, et malicieux et plaqua ses lèvres fiévreuses sur les miennes ; je me sentit flageoler sur mes jambes, puis m’interpellant :’’ Comment me trouves-tu "- Oh ! Vous êtes splendide "! lui dis-je. C’était pourtant vrai, la belle Solène m’impressionnait tellement par sa grande taille moulée dans son élégant manteau en trapèze fendu sur le coté, ses longues jambes serties de bas fins et sombres juchées sur de magnifiques talons aiguille qui résonnaient sur le trottoir à chaque pas, que je ne pouvais m’empêcher de la vouvoyer. Il faut dire que son visage fin, ses boucles d’oreilles en pendentif scintillant au soleil, contrastait avec ses cheveux longs couleur de geai, son parfum discret, qui en faisaient une femme mûre et sûre d’elle. J’étais très fier d’avoir une si belle femme à mon bras, et tout en marchant, me demanda


’’Comment s’est passée cette longue semaine,’’.


Je lui racontais que la permission de sortie avait faillit être supprimée et que c’était une chance de me retrouver avec vous, tout en beauté et d’une si grande élégance. Comprimant sa petite main froide dans la mienne, elle se serra contre moi, jusqu’à l’entrée de sa villa :’’On se tutoie maintenant si tu le veux bien’’! me dit-elle


Me conduisant jusqu’au salon, on dépose nos manteaux, puis me propose un dessert qu’elle avait préparé, en compagnie de Lucien son mari qui me met en confiance et me fait asseoir ; Lucien me fait la démonstration d’une lunette de visée qu’il venait d’acquérir et braquée sur la montagne devant la fenêtre du salon, il me fait découvrir mille détails de la montagne d’en face.

Prenant congé de nous, pour comme chaque dimanche œuvrer au sein du club de rugby, il nous dit revenir plus tôt ce soir et que Solène devrait me communiquer un message discret. Je suis fort surpris et même gêné, croisant le doux regard de sa femme, qui me rend un petit sourire malicieux du coin des lèvres, pour me mettre en confiance.


Installés tous deux au salon face à face, en rougissant je lui demande, quel pouvait être le contenu du message ; elle me rend simplement un sourire, alors que son jeu de jambes fait un doux crissement au contact de ses bas veloutés, et s’approchant de moi, elle me gratifie d’un court baiser qui m’enfièvre. Elle me demande d’utiliser la lunette de visée, pendant qu’elle se referait une beauté. Elle se dirige à la salle de bain, cependant que je découvre au télescope des chamois venant brouter dans une prairie d’altitude à l’orée de la forêt. L’œil rivé à la lunette, j’observe longuement les magnifiques paysages de la montagne, lorsque je me sens soudainement baigné par de douces effluves parfumées à la violette ; C’est Solène qui, parvenue jusqu’à moi à pas de loups, arrivant par derrière, se met à m’entourer les yeux de ses deux mains aux longs doigts effilés, alors que dans mon cou des picotements de poils soyeux me procurent un frisson.

Me dégageant la tête de la lunette et relâchant lentement sa douce étreinte elle me dit :’’


’’Voici la surprise, et pour toi seul’’ !


Complètement affolé de la découverte, me retournant je découvre une Solène toute en beauté, dans un splendide manteau de chinchilla sombre, le chignon fait à la mode de style ’’choucroute ’’porté très haut, de splendides pendentifs ruisselants sur les lobes des oreilles me laissent pantois d’émotion et en plus de ses atouts déjà forts séduisants, elle me fusille de son regard envoûtant mis en valeur par de faux-cils noirs accentuant son concupiscent regard de biche . Reculant d’un pas elle me dit en ondulant devant moi :



Moi le visage rouge de timidité et la gorge nouée d’émotion de lui bafouiller :



Me prenant par la main, elle approche son visage enduit d’un fond de teint qui lui fait une peau superbement veloutée et comme bronzée, elle me balbutie à l’oreille :



Alors je me sens défaillir d’émotion en pensant qu’elle m’avait choisi, avec aussi l’idée piquante pour elle de renouveler l’acte majeur d’une ’’première fois’ avec le grand timide que j’étais ; mais je me dis qu’elle aussi, avait un grand besoin de s’assouvir, avec un mari qui ne pouvait lui procurer tout le plaisir qu’elle attendait en vain de lui.





Elle m’invite alors à venir nous asseoir au salon, elle dans le divan, moi dans le fauteuil en face. Les jambes en coton, et la tête en feu il me fallait éclaircir quelque peu cette situation assez insolite, aussi je la questionne d’une voix saisie d’émotion:



Elle va baisser le rideau qui plonge le salon dans une douce pénombre, me prend par la main dans l’odeur suave de son parfum, et on s’installe tous deux dans le profond canapé du salon .



J’enveloppe alors délicatement sa taille de mes deux bras, mes mains plongeant dans les poils soyeux du sublime manteau de fourrure qu’elle a conservé pour me faire plaisir, sentant au-dessous les formes rebondies d’un superbe corps de femme. Prenant l’initiative, c’est elle qui glissant ses doigts effilés derrière ma nuque vient plaquer ses douces lèvres sur ma bouche, nos deux langues se conjuguant dans une succion qui nous laisse tous deux le souffle court. Tu aimes ? me demande–t-elle en prenant du recul. Moi tellement stupéfait de ce qui m’arrive je reste sans voix. Alors elle me plaque ses lèvres sublimes au goût de rouge contre les miennes et nous nous embrassons longuement en mélangeant profondément nos langues, puis me dit :



J’ignorais qu’une telle méthode existait et cela me rassura complètement .

Il faut savoir que la pilule n’existait pas dans les années 50 et chaque femme devait prendre ses ’’précautions’’ : Solène faisait confiance à la méthode Ogino toute nouvelle à cette époque.

Reprenant notre souffle, et nous souriant mutuellement de notre bonheur, elle me prend une main qu’elle engage sous la chaude fourrure, me permettant de la remonter le long des bas nylon d’une texture rugueuse, puis poursuivant ma progression, j’atteint une zone de chair lisse et je caresse cette douceur admirable ; cette spécificité toute féminine que je découvre pour la première fois, fait monter en moi une grande chaleur interne, qui me provoque un début d’érection.

Je rougis aussi du plaisir que cela me procure, mon autre main glissant au niveau des ses fesses charnues que je sent palpiter à travers la tendre fourrure de chinchilla .

S’apercevant de mon état d’excitation Solène m’encourage guidant mon coude droit qui met en contact mes doigts avec une autre fourrure, celle-là, la pilosité humide de sa toison .


. Mon rêve ! Cette fois je découvre le véritable objet de mes fantasmes nocturnes ! M’enhardissant, j’approche lentement l’index à l’entrée du sanctuaire sacré que je viens de découvrir, puis l’introduis délicatement et là je vois ma tendre partenaire frémir de désir en me plaquant de nouveau les lèvres sur les miennes ; je ressent le goût parfumé de son rouge à lèvres gouleyant mêlé à celui de son parfum envoûtant. Pouvoir atteindre ainsi sans obstacle directement sa pilosité ; je me dis que la belle Solène avait anticipé le scénario en ne mettant pas de petite culotte, sachant d’avance l’émotion que susciterait en moi la surprise de cette affolante découverte.

Constatant avec plaisir ma réaction émotionnelle, et pour en vérifier l’effet, elle pose une main sur la bosse de mon pantalon qui se gonfle et durci davantage. Après mes profondes caresses sous le manteau elle me dégage la main droite et me dit de porter un doigt à ma bouche :


’’C’est ma liqueur, elle t’appartient’’ !


Je lèche donc cette suave mucosité qui scelle une union naissante puis elle m’embrasse de nouveau voulant aussi profiter de sa propre intimité déposée sur mes lèvres ; puis nos langues s’emmêlent dans de profondes étreintes, ses doigts agiles courant sur ma nuque et notre souffle devient plus court ; je sent le prélude à l’union prochaine de nos deux corps monter en nous, et j’en chavire de bonheur à l’avance.

Elle se dégage lentement de moi et un peu déçu qu’elle me repousse en un si merveilleux moment, elle me dit :


’’Je te dois une seconde surprise ’’,puis se levant elle m’entraîne par la main en haut du petit escalier plongé dans la pénombre .



Je me dis quelle sacrée chance j’avais, Lucien avait fait le boulot et de plus, il m’autorisait à caresser sa superbe femme !

Elle s’assoit sur le bord du lit, et pour corser l’effet d’érotisme qu’elle prend plaisir à me faire partager pour m’exciter encore mieux :



Timidement, je dégrafe lentement la peau duveteuse du splendide manteau soyeux et le spectacle découvert avec délice à chaque bouton que je détache me laisse pantelant d’émotion :

Solène est juste vêtue d’une courte nuisette de satin bleu brillant sous la lumière, maintenue par deux fines brides au bas desquelles un soutien-gorge noir à balconnets, brodé de dentelle, met en évidence deux généreux seins rebondissant par-dessus, formant une gorge délicieuse. J’ai toujours considéré qu’une femme qui met ainsi sa gorge en évidence, à la vue de tous, dissimule en elle le désir non avoué qu’elle aimerait montrer cette autre gorge intime si bien dissimulée sous sa petite culotte, mais que la pudeur lui interdit. C’est un point de vue tout personnel.


Entre son porte-jarretelles sombre qui met sa évidence sa taille fine, son large bassin, et entre ses bas noirs transparents, on entrevoit la peau blanche et laiteuse de ses cuisses entre lesquelles sa toison noire fait un contraste violent sous la lumière : c’est donc bien vrai ma splendide partenaire ne porte pas de petite culotte !

Se remettant debout, la vision de sa large croupe rebondie qui s’évase sous une taille bien marquée et de ses deux seins volumineux font grimper rapidement mon taux d’adrénaline mettant mes joues en feu. Elle étale alors la pelisse sur le grand lit, poils au-dessus pour dit-elle que leur caresse soit plus intense sur la peau, et aussi pour que tu te souvienne mieux de cette première fois ! Ah quelles précautions minutieuses !


Puis venant vers moi, elle dégrafe les boutons dorés de ma veste, retire ma chemise, puis descend lentement le pantalon, en effleurant la raideur cachée dans mon slip ’’je vois que je te fais de l’effet, ça promet un bon moment que nous allons passer ensemble me fait-elle remarquer’’.



J’enfile alors cette magnifique liquette en satin mauve Solène me dit alors de la prendre dans ses bras’’ comme si tu venais de te marier et que je sois la femme de ta vie’’ me dit-elle ; je la transporte une main sous les fesses l’autre sous le dos, mes jambes flageolant d’émotion, et la dépose délicatement sur les poils satiné de la pelisse étalée sur le grand lit. L’émotion est à son comble de vivre en réalité une véritable nuit de noces !

Elle replie alors lentement au-dessus d’elle une longue jambe prolongée par sa chaussure à talon pointu, le genou venant plaquer contre un sein, découvrant en totalité son trésor caché au creux de sa toison dont l’écartement des lèvres me laisse admirer pour la première fois, un profond cratère rougeoyant d’excitation.

Me sentant tellement ému, je sent ma verge se durcir fortement, elle me prend une main pour me rassurer que je ne rêve pas éveillé et me dit :



Alors mes mains tremblantes d’émotion de découvrir un vrai corps féminin se mettent à courir sur toute cette chair palpitante, d’abord timidement puis passant et repassant sur sa nuisette étincelante sous la lumière, si douce au toucher, j’allonge mon bras entre ses cuisses déjà humides conduisant ma main jusqu’à venir malaxer la peau satinée de ses fesses, mes doigts enfilés sous les jarretelles pour mieux en apprécier les contours.

Ah la douceur de la peau féminine, c’est divin, moi qui n’a tenu que des manches rugueux d’outils durant toute la semaine, le contraste est frappant de sentir ce velouté dont chaque forme épouse en tous points la paume des mains amplifié de la sensation tactile diffusée aux extrémités des doigts . C’est un véritable encouragement à poursuivre l’exploration complète de cette beauté divine qui est incroyablement là, offerte devant moi !

Elle se retourne côté lit, la tête enfouie dans la fourrure, je fais glisser mes mains sur ses jambes fuselées depuis la cheville jusqu’aux fesses rebondies jusqu’à la rencontre de cette peau laiteuse que je mordille longuement ; c’est pour moi une toute nouvelle sensation délicieuse. Tournant la tête vers moi ’’ Veux-tu dégrafer la bretelle ici dans mon dos ? Mais bien sûr ! Mes mains tremblantes d’émotion s’empêtrent dans ce système de fermeture propre à un vêtement féminin nouveau pour moi, et passant elle-même ses mains en arrière, me fait une démonstration du décrochement simple de la bretelle qui laisse s’échapper deux seins magnifiques qui tombent sous son buste et plongent dans la douceur de la fourrure : je sais, c’est la première fois , je t’excuse, tu n’as pas grande habitude de dévêtir une femme .


Puis elle se retourne sur le côté, les enveloppant des ses deux mains, elle me les offre jusqu’à ma bouche trop étroite pour en contenir un seul et m’en empare goulûment, me disant d’un ton maternel’ ’Ils sont pour toi ’’! ’’Ah ! merci ’’ !

Pendant que je malaxe ces deux tendres masses de chair, ma partenaire ne reste pas inactive ; elle plonge une main sous mon slip pour faire connaissance avec mon membre turgescent qu’elle enveloppe de ses doigts fins et agiles, qui me provoque comme une onde de plaisir dans le dos ; voyant ma réaction elle me bascule sur le dos qui vient au contact voluptueux de la fourrure en ragondin provoquant de délicieux picotements dans le dos. C’est alors qu’elle vient me chevaucher face à moi, genoux repliés, en s’asseyant fesses sur mon ventre ,puis se redressant, elle retire lentement sa soyeuse nuisette par le haut et profitant de ses bras jetés en arrière, faisant pointer ses seins dans ma direction, d’un coup de tête, elle défait son chignon, laissant couler ses longs cheveux soyeux sur ses seins globuleux qu’elle m’invite encore à embrasser. Ah quelle beauté ce corps avec cette poitrine généreuse, sa taille étroite surmontant sa large croupe ! Elle conduit alors ma main vers sa fente si secrète, en écarte les lèvres humides, me demandant d’y introduire un doigt que j’enfonce délicatement dans ce conduit lisse chaud et très humide.

Je reste stupéfait de constater que mon index est tout juste assez long pour en atteindre le fond ; je ne pensais pas qu’un vagin féminin soit aussi profond de la sorte ! Et quelle sensation tactile que cette nouvelle douceur humide ! Reprenant mon doigt largement lubrifié par ses sécrétions, elle me le pose tout en haut de sa fente sur un petit mamelon assez dur me disant que je découvrais là un organe discret appelé clitoris, que je devais caresser très délicatement, et qui sert à exciter la femme durant les préludes amoureux. Je fais donc manœuvrer l’extrémité de mon index sur ce petit pénis interne, et je vois effectivement le résultat immédiat Solène se cabrant du dos en m’encourageant d’un sourire sensuel. Ma belle partenaire sentant ma verge durcie entre ses fesses porte son assise sur mes cuisses, et prenant délicatement mon membre entre ses longs doigts effilés me dit :


’’J’attendais depuis si longtemps, cet instant et toi aussi, qui va devenir vraiment un homme, que, je dois te l’avouer j’ai envie de toi !


Joignant l’acte à la parole, elle découvre du bout de ses doigts délicats mon gland à la peau rose et tendue, puis introduit délicatement ma verge dans cette fente tant convoitée et dont mes camarades disaient quel bonheur ce serait de s’y fourrer ! En effet le long coulissement chaud et humide qui enveloppe mon sexe tendu a l’extrême au plus profond de ce sanctuaire secret, ruisselant des sécrétions amoureuses de la belle Solène fait monter en moi une intense chaleur au ventre.

Pour mieux en savourer l’instant, elle reste un moment immobile, puis elle se met à onduler langoureusement de son large bassin que j’enserre de mes deux mains, comme le font les danseuses africaines ; cela ne fait qu’augmenter la sensation de bien être, dont ma partenaire ne reste pas insensible, car, elle augmente les cercles réguliers venant exciter elle-même son clitoris autour de ma hampe sur laquelle elle se trouve comme empalée.


’’Oh comme on se sent bien ’’me dit-elle. ’’Mais on doit être patient, et profiter du merveilleux moment d’attente car en amour vois-tu, l’attente décuple l’extase !


Dans un sourire concupiscent, qui me foudroie, elle sent que je suis sur le point de non retour, se soulevant lentement elle dégage en partie mon pénis dont elle écrase fortement la base entre deux doigts puis remontant la hampe elle pince avec force la base du gland ce qui provoque en moi comme une brusque douleur qui stoppe net mon envie furieuse d’exploser. Elle en profite pour se retirer lentement d’elle, à mon grand désespoir. Je comprends alors que ma belle partenaire possède une solide expérience amoureuse, mais surtout qu’elle en fait une application très soignée, sachant qu’un jeune puceau comme moi aurait beaucoup de mal à contenir son émotion…


Elle revient alors s’allonger lentement sur moi, relevant sa chevelure dans un geste tout féminin et nos langues se nouent à nouveau dans une effusion salivante, tandis que mes mains ne cessent de parcourir toutes ses parties proéminentes, fesses, seins, toutes ces délicieuses surfaces charnues agréablement veloutées, découvrant la femme comme une vraie œuvre d’art. La passion de nos deux corps à nouveau réactivée, elle recouvre sa position précédente, genoux sur les talons au-dessus de moi et reprend l’initiative d’introduire mon sexe gonflé et durci au maximum, dans sa profonde et affolante intimité sexuelle abondamment lubrifiée de ses sécrétions qui ruissellent sur mon ventre. Je constate ainsi que son excitation est au moins à la hauteur de la mienne et que nous additionnons parfaitement nos plaisirs mutuels.


Elle reprend alors les ondulations du bassin, auxquelles je réponds puissamment en cambrant les reins jusqu’au contact de mes bourses qu’elle écrase délicieusement à chaque pénétration; puis elle emprisonne fortement ma verge par les muscles internes de sa douce caverne, à chaque coulissement dans le sens de la sortie, elle aussi ne voulant plus échapper à cette exquise effusion finale que nous sentons imminente maintenant, tant notre va-et-vient augmente sa fréquence et que nous sentons les pénétrations s’engager au plus profond de nos êtres, pendant que je stoppe le battement de ses seins en les enfermant de mes mains avides de sentir cette chaude et délicate douceur de ces deux délicieuses masses de chair laiteuse.


’’Sent-tu comme c’est bon’’ me dit-elle.


Enveloppant alors mes mains dont les doigts s’enfoncent dans la chair blanche de ses fesses tendres, afin qu’elle ne puisse s’échapper, et après quelques nouveaux rapides allers-retours dans ce profond cratère en fusion, je sent un envahissement de bonheur qui va s’intensifiant me parcourir l’échine, jusqu’au paroxysme de la totale jouissance, projetant ma semence au plus profond des entrailles de cette si belle femme en jets si puissants et saccadés qu’ils me tétanisent de tout mon être.

Le corps de Solène lui aussi vibre à chaque éjaculation de mon sperme et elle vient me mordre voracement le cou dans une succion de ses lèvres luxurieuses. Poursuivant notre manœuvre jusqu’aux derniers spasmes dans une prodigieuse jouissance qui nous envoient à tous deux des ondes irradiant nos reins cambrés, nous retombons lentement sur le coté, Solène me prenant le visage dans ses mains fines, alors que j’enroule mes bras autour de son abondante chevelure, elle me chuchote :


’Ah ! comme tu m’as si bien fait jouir pour une première fois. As-tu aimé ? Tu me semble un élève consciencieux et doué !’’

’’Mais comment te remercier de l’infinie largesse de m’avoir su me donner en cadeau sublime, toutes les parties de ton corps, même les plus intimes’’

’’Eh bien vois-tu j’avais moi-même un si grand besoin de tendresse, mais surtout du regret de ne jamais au terme d’un vrai rapport sexuel, que Lucien ne peut me donner ; de plus je ne pouvais résister plus longtemps à un beau et fougueux jeune homme comme toi, que je savais d’autre part en manque d’amour : l’occasion était trop belle!


Elle se mit à pleurer de bonheur dans mes bras ; je comprenais la dualité de ses émotions faites de joie à l’instant de bonheur qu’elle venait d’éprouver en me montrant ardemment son savoir faire, mais aussi de tristesse, à la pensée que le quotidien avec Lucien ne lui apportait pas ce qu’elle était en droit d’en attendre et j’en fus très gêné, alors je la serrais délicatement dans mes bras. Ses grosses larmes roulèrent sur mes joues. Nous sommes restés ainsi un long moment dans la douce quiétude de’’ l’après’’.


Nous retournons lentement à la réalité, et dégageant nos deux corps si bien unis, tout en retrouvant un sourire, reprenant nos vêtements elle me dit :’’Je suis heureuse d’avoir fait de toi un homme, un vrai , alors Lucien te demandera une faveur !’’-’’ Ah ! il s’agirait de quoi ’’?- ’’Chut ! nous sommes Lucien et moi, complices d’un petit secret qu’il m’a interdit de te raconter, car je l’adore toujours mon Lucien ! Il sera ici vers 17 heures, et c’est avec lui que vous parlerez entre hommes !