n° 08444 | Fiche technique | 10512 caractères | 10512Temps de lecture estimé : 7 mn | 10/01/05 |
Résumé: Une promenade en intérieur : de l'humiliation au plaisir... | ||||
Critères: grp jeunes copains école humilié(e) voir exhib strip intermast fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Frspanko Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Résidence Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
La remarque de Béné nous surprend tous. Véro essaye encore de gagner du temps en rappelant que les gars n’ont pas encore testé le six-coups. L’un après l’autre nous mettons notre vie en péril, mais le sort nous est favorable.
Béné prend les choses en main : « Si nous descendons dans le hall et faisons le grand tour au rez-de-chaussée est-ce que cela vous satisfait ? »
Le tour du rez-de-chaussée, nous n’en attendions pas tant, Véro non plus, à en juger à sa mine affolée.
Béné prend Véro par la main et se dirige vers la porte. Nous entendons un bruit dans le couloir, Véro résiste. « Tu vas voir le succès que nous allons avoir ! » Il est vrai qu’avec environ dix pour cent de filles dans la résidence, elles vont faire sensation auprès de tous les gars frustrés.
Béné ouvre la porte et entraîne Véro. Le couloir est vide, nous les regardons s’éloigner. De dos le spectacle est surprenant. Véro, blonde à la peau claire et un peu plus grande, présente sa silhouette élancée mais le regard se porte sur ses cuisses rougies et surtout sur ses fesses, écarlates et marquées des lignes sombres laissées par la cravache. Béné, un peu plus petite, est légèrement bronzée, ses cheveux bruns tombent en dégradé sur le haut de son dos. Elle a les hanches plus accentuées et ses fesses sublimes sont traversées d’une ligne rouge, pour le reste sa peau n’a pas marqué : avantage des brunes !
Un bruit de porte, Véro se crispe, Nat sort de sa chambre. Il faut vous dire que, même s’il n’y a pas de règlement précis, la tradition veut que cet étage soit celui des filles. Coté effet de surprise c’est un succès, Nat les regarde, les yeux écarquillés. « Ne t’en fait pas, nous ne sommes pas folles, c’est juste un pari perdu ! » Béné n’a visiblement pas convaincu Nat : « C’est quoi ce pari idiot ? » Véro lui explique le principe de notre jeu. Nat se tourne vers nous avec un regard complice qui en dit long sur ses pensées, pensées motivées par le fait de voir deux garçons sortir de la chambre d’une fille qui vient d’en sortir nue avec une copine !
Béné et Véro ont repris leur chemin, vers l’escalier.
N’ayant pas assisté à cette promenade, je vous transcris ce que Véro m’en a raconté. La parole est à Véro.
De l’escalier jaillissent trois copains. Ils mettent quelques secondes à réaliser notre tenue (ou plutôt son absence) et s’arrêtent brutalement de parler. Je rêve de disparaître dans le sol et mets une main devant mon sexe. Béné préfère la jouer décontracté : « Qu’est-ce qui vous arrive ? Vous n’avez jamais vu de filles à poil ? » Les trois gars s’approchent, Je ne sens rougir sous leurs regards. L’un tend la main, Béné l’arrête : « C’est juste pour les yeux ! On a perdu un pari. »
Béné fait un pas en avant, cherche à forcer le passage. L’un des garçons me regarde, j’ai gardé la main posée sur mon sexe : « Elle a quelque chose à cacher ! Si on les fouillait ? » Ses copains sont d’accord, pour avoir le droit de passer, il faut passer à la fouille ! Béné est la première : penchée, les mains à plat sur le mur, les jambes écartées (ils ont vu trop de films américains !). Un des gars se poste derrière elle et commence la fouille : ses mains palpent tous le corps, du haut vers le bas. Elles insistent tous particulièrement au niveau des seins. Arrivé en bas, après un regard vers les autres, il reprend : il pose la main sur le sexe de Béné, le palpe soigneusement, s’insinue délicatement entre les lèvres puis déclare qu’elle n’a rien sur elle.
C’est mon tour. Je dois prendre la position, un autre gars commence à me fouiller, il est très méticuleux, il palpe longuement ma poitrine, pour cela il est collé à mon dos ; enfin pas vraiment au dos… plus bas, je sens son sexe à travers son pantalon qui s’incruste entre mes fesses. Puis ses mains descendent, il se met à genoux pour mieux contrôler, je sens son souffle sur mes fesses. Il pose une main sur mon sexe, ses doigts glissent entre les lèvres et les écartent, il écarte les petites lèvres. Je ressens un mélange de gêne et d’excitation… Il pose un doigt à l’entrée de mon vagin… « Pas ça ! » Il n’insiste pas. Le troisième qui ne souhaite pas être en reste, met en doute la qualité de la fouille. J’ai droit à une nouvelle inspection de détail. Il finit lui aussi par mon sexe, je suis maintenant toute excitée. L’inspecteur termine avec les doigts bien mouillés, il le fait remarquer et je sens que je pique un nouveau fard.
La route est enfin libre et la promenade peut reprendre.
Le hall n’est jamais vide, notre arrivée fait impression. À nouveau c’est Béné qui explique la situation. Nous sommes contraintes de faire le tour des présents, les mains sur la tête. Devant chacun ou chacune, nous devons présenter le devant puis le derrière, souvent des mains s’égarent. Béné commence à être plus qu’excitée, moi aussi mais j’ai plus de mal à l’accepter. Les regards et les commentaires, inévitables, entraînent une humiliation grandissante. Je ne peux écarter de mes pensées que je resterai, dans l’esprit de tous, la fille qui s’est baladée à poil.
Il reste à faire le tour de l’étage, un couloir dessert les salles communes, les clubs et les escaliers. Nous commençons le tour et sommes suivis par quelques amateurs. Le couloir est libre, le tour s’annonce rapide. Une porte s’ouvre, l’auditorium, nous sommes invitées à entrer. Tout un groupe est présent, la musique est douce, les lumières tamisées, sur une des banquettes un couple s’embrasse.
On nous invite à improviser un spectacle. Béné est déchaînée. Elle se met à danser au rythme de la musique, elle se déhanche, prend des pauses suggestives et d’autres poses que sa nudité rend parfaitement obscènes. Son succès est immédiat. Ma gêne rend ma prestation visiblement très décevante. Les garçons n’ont des yeux que pour Béné. Même celui qui embrassait sa copine a arrêté, ce qui met celle-ci en rogne : « Je ne t’intéresse plus ? Tu préfère mater une fille à poil ? » L’absence de réponse lui paraît être une confirmation… « Si c’est ce que tu veux… » Pour le plus grand plaisir des spectateurs, la voilà qui se déshabille. Son copain qui se réveille un peu tard, n’arrive pas à l’en dissuader. Elle nous rejoint. Pour créer plus d’animation, un des gars propose de nous noter. Sans surprise, je suis bonne dernière et Béné en tête. Les deux gagnantes sont invitées à rejoindre la bande sur les canapés, elles sont accueillies à bras ouverts par des garçons qui se serrent pour leur faire de la place et dont les mains ne restent pas inactives.
Je reste seule debout. « Quel gage donne t’on à la perdante ? » La question soulève un débat, certains vont jusqu’à proposer (pour rire j’espère) de me faire sucer tous les demandeurs (ou demandeuses). Ils finissent par se donner un défi : me caresser le plus longtemps possible, sans me laisser jouir. Je dois m’allonger sur le dos, sur une table basse. Des garçons et même une fille m’entourent. Les caresses commencent, mes seins, mes cuisses, l’intérieur de mes cuisses. Les sensations sont très agréables et me font rapidement oublier ma gêne initiale. La fille se met à me caresser les seins, tout en douceur, elle laisse ses doigts tourner autour de mes aréoles, les pointes se tendent, elle les prend entre ses doigts et les pinces puis les relâche puis les pinces encore. Je sens mon corps réagir, l’excitation monte. Un gars s’est installé entre mes jambes, il entreprend de me caresser le sexe. Je sens le plaisir monter, je vais jouir devant tout le monde quand soudain :
« Stop ! »
Toutes les mains se retirent, ils me laissent retomber, reprendre mon souffle. Puis les caresses reprennent, je sens une langue sur ma vulve, des bouches sur mes seins, une autre sur la mienne. Le plaisir monte à nouveau très fort…
« Stop ! »
C’est la fille qui surveille mes réactions ! La frustration est terrible ! Je me débats, ne me contrôle plus. Mon sexe est une fontaine. À nouveau une langue glisse entre mes lèvres et taquine mon clito pendant que les caresses reprennent. Je me sens venir…
« Non ! N’arrêtez pas ! Je n’en peux plus ! »
Les caresses reprennent et cette fois-ci, ils ne m’abandonnent pas. Je jouis comme jamais. Mon corps se cambre. Je pousse un grand cri et m’effondre. J’entends alors des applaudissements. Ils ont eu leur spectacle, j’étais la vedette et je ne regrette rien !
Béné de son côté semble ne pas s’être ennuyée, quand je relève enfin la tête je la découvre à genou devant un garçon qu’elle est en train de sucer. Le sexe tendu entre et sort de sa bouche. Il jouit soudain et son sperme gicle et se répand sur les seins de Béné qui a eu juste le temps de se redresser.
C’est heureuses et satisfaites que nous sortons de l’auditorium. Nous finissons le tour comme dans un rêve, la main dans la main, sans prêter attention aux réactions des rares personnes que nous croisons.
De retour dans ma chambre nous retrouvons Jacques et Marc en grande conversation avec Nat.
…
Véro ouvre la porte, elle entre avec Béné. Elles semblent épuisées.
Nat est avec nous, elle est venue vers nous dès le départ des filles, très intriguée par la situation. Nous lui avons raconté notre jeu. Elle a commencé à nous raconter ses souvenirs de punitions, de défis et d’humiliation datant de son expérience dans une école privée… (Je vous les raconterais peut-être un jour).
Véro nous détaille la promenade. Béné et Jacques nous quittent rapidement, Nat les suit (c’est une copine sympa !). Le récit de Véro m’a donné une érection que j’ai du mal à cacher. Véro, que sa narration a excitée de nouveau, en profite pour me caresser. Nous nous retrouvons nus, au lit, ensembles, pour notre plus grande satisfaction…
Frspanko
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