n° 08460 | Fiche technique | 16080 caractères | 16080Temps de lecture estimé : 10 mn | 13/01/05 |
Résumé: Je me retrouve en vacances à la montagne, et j'en profite pour découvrir de nouveaux plaisirs... | ||||
Critères: f ff inconnu magasin essayage fsoumise exhib noculotte fmast intermast cunnilingu anulingus 69 fgode pénétratio double fdanus piquepince ecriv_f | ||||
Auteur : Fabienne (J'ai 30 ans et j'aime rêver avec mon ami) |
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Je me réveillais le lendemain matin, le t-shirt collant à ma poitrine, le sperme avait séché dans la nuit et la sensation n’était plus aussi agréable, je décidais donc d’aller me laver. J’en profitais également pour me refaire le maillot, histoire d’être nette. Je regrettais presque la venue de mon amie, qui m’empêcherait de donner libre cours à mes fantasmes. Après le petit déjeuner, toujours nue, je décidais de me donner encore un peu de plaisir pour ne pas passer ma journée frustrée. Je cherchais donc dans la maison tout outil susceptible de me convenir. Ce n’était pas terrible, et je décidais d’aller voir dans l’appentis s’il n’y avait rien de mieux. Le soleil n’était pas aussi brillant qu’hier mais la journée promettait quand même d’être belle. Je m’habituais facilement à ma nudité, le sentiment de gêne ou de peur avait été fortement ébranlé par ma rencontre d’hier.
J’aimais le contact un peu rude du gravier sous mes pieds, sentir le vent sur tout mon corps. L’appentis était utilisé comme atelier, étendoir à linge et réserve de bois et était par conséquent abrité. Sur le sol de terre battue et recouvert de sciure je découvrais de nouvelles sensations, en pénétrant une nouvelle fois dans un lieu où on n’était théoriquement pas nue comme un ver. Au milieu se trouvait un billot de bois dans lequel était fichée une hachette destinée à fendre le bois. Son manche luisant garantissait l’absence de toute écharde. Elle était profondément fichée dans le lourd billot et je me disais que c’était là un outil tout à fait indiqué… Parcourant l’atelier du regard, je caressais le manche de la hachette comme si c’était un sexe en érection. Accroupie devant ce manche je m’imaginais un solide bûcheron généreusement membré, posais ma bouche sur ce manche et commençais à le lécher. Je me disais que j’étais devenue complètement folle mais j’étais tellement excitée que je ne contrôlais plus rien. En équilibre je me frottais contre le manche en me triturant les seins. Le manche de la hachette était un peu gros et il avait du mal à passer, aussi je me suis retournée, pour trouver une position plus confortable et je me suis accrochée à une corde à linge. Ainsi, les choses étaient beaucoup plus simples et le manche disparaissait à vue d’œil dans mon sexe trempé. Par contre il m’était impossible de me caresser les seins. La vue des pinces à linge me donna une idée, je me relevais et saisis une pince à linge en bois, je n’avais jamais essayé ça, ça devait être douloureux mais j’étais tellement excitée que j’ai tiré sur mon téton droit, et que j’y ai placé une pince à linge. La douleur était immédiate et brûlante et je retirais la pince de suite. Mais en même temps, cela me faisait mouiller comme une fontaine. Je replaçais la pince sur la pointe de mon sein, cette fois-ci plus délicatement, la douleur était toujours présente, mais je décidais de la garder et fit de même avec mon autre téton. Le spectacle d’une femme se torturant les seins et se godant avec le manche d’une hachette devait être assez unique dans son genre.
L’orgasme ne tarda pas, mais j’avais encore envie de me donner du plaisir et cette fois j’avais envie de sentir quelque chose dans mon cul. Je m’allongeais à même le sol, et levant les jambes en les plaçant sur un établi je me doigtais le cul, léchant même mes doigts, tapotant les pinces sur mes seins. Je n’avais jamais envisagé la douleur lors d’un rapport, même lorsqu’un de mes amants me liait les poignets, cela restait très soft. Je découvrais une nouvelle facette de ma sexualité et j’avais l’impression que les barrières tombaient les unes après les autres. Saisissant une nouvelle pince à linge, un peu usée, je la plaçais sur mon clitoris gonflé. Je n’ai pas pu éviter un petit cri de douleur mais là encore la sensation de chaleur intense qui s’est instantanément dégagée m’a convaincue de laisser la pince en place. Il ne me restait plus qu’à trouver un outil adapté à mon anus. Mais rien ne convenait, tout était trop gros ou trop sale. Je suis donc retournée à l’intérieur. En cours de route j’avais perdu la pince qui me pressait le clito, je me suis arrêtée, baissée et je l’ai ramassée puis remise en place en écartant les jambes. C’est alors que j’ai remarqué que j’étais couverte de sciure, je m’étais roulée par terre et même mes cheveux étaient parsemés de copeaux de bois, mais qu’importe, je n’avais qu’une idée, m’occuper de mon cul en feu. Je ne trouvais même pas une petite carotte pour me satisfaire et me dis que j’achèterai les légumes en conséquence. Je me finis donc avec deux doigts dans le cul en titillant mes pinces à linge. Chavirée par un orgasme incroyable je m’assoupissais à même le tapis. En faisant un mouvement une des pinces s’est enlevée de mon téton et la douleur m’a réveillée aussi efficacement qu’un seau d’eau froide. Je retirai les deux autres pinces en massant doucement les zones meurtries. La violence de cet orgasme était impressionnante et je me disais qu’un godemiché me serait peut-être utile à l’avenir. Mais en réfléchissant bien, ce qui m’excitait le plus c’était de détourner l’usage premier des ustensiles que je m’enfonçais dans la chatte, et je me promettais de trouver ce qu’il fallait lors de mon passage au centre commercial du coin.
Mon portable sonna, c’était Anne, elle venait de prendre le train à Paris et serait là pour 15h30. Elle me trouva une voix bizarre,
Et je raccrochai, filai prendre une douche et commençais dans ma tête ma liste de courses un peu spéciale… Je ne savais pas trop quoi mettre et je me retrouvais dans la même robe qu’hier mais sans string, elle était assez longue pour que je reste discrète (à moins de faire du vélo). Je chaussais mes sandales à lacets et sautais prestement dans la voiture.
Arrivée dans un centre commercial proche de la gare, il me restait plus de 3 heures avant de retrouver Anne, je mangeais donc un morceau sur une terrasse avant d’aller flâner un peu dans les magasins. Période de soldes oblige, j’entrais dans un magasin de lingerie. À part quelques bas autofixants en promo peu de choses me plaisaient, j’aime beaucoup la belle lingerie et la vendeuse sembla s’en apercevoir
En rougissant, elle m’emmena dans l’arrière boutique, laissant le magasin à sa collègue. Arrivées au milieu de piles de cartons elle en ouvrit un et me proposa des dessous effectivement beaucoup plus osés, des culottes échancrées laissant voir le sexe, des porte-jarretelles, des ensembles transparents… J’étais surprise de trouver ça ici, et la vendeuse me confia, que seules quelques personnes faisaient leurs courses dans l’arrière boutique. Je ne pus résister à l’idée d’essayer quelques ensembles :
Je profitais de ce répit pour glisser un doigt dans ma chatte trempée et j’étais en train de le lécher quand la vendeuse revint portant un miroir.
Et je fonçais dans un magasin proche m’acheter des chaussures à talon noires réalisant que c’était pour plaire à une vendeuse qui me semblait un peu vicieuse. Au moment d’essayer les chaussures le vendeur à du remarquer ma culotte, mais n’a pourtant pas bronché. Après les avoir payées, il m’a gratifiée d’un grand sourire en me souhaitant une très bonne journée. De retour dans le magasin, la vendeuse qui se prénommait Marjorie, abandonna presque une cliente pour m’entraîner au fond du magasin.
Après un orgasme que j’ai tenté d’étouffer en plaquant ma bouche sur son sexe, nous nous sommes embrassées longuement et elle me demanda si nous pouvions nous revoir. Je lui donnais mon numéro de portable, pris le sien et m’habillais rapidement après avoir rangé les dessous qu’elle m’avait finalement offerts.
Il ne me restait plus qu’une heure pour mes courses et repensant à tout ce que je pourrais utiliser à des fins détournées, je me retrouvais néanmoins avec un caddie plein.