n° 08470 | Fiche technique | 13665 caractères | 13665Temps de lecture estimé : 9 mn | 14/01/05 |
Résumé: Paul rencontre Sophie et découvre qu'il n'est pas le seul à apprécier les plaisirs solitaires | ||||
Critères: f h douche revede voir exhib fmast hmast | ||||
Auteur : Fortino Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : La mousse de Sophie Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
J’avais dix-sept ans et j’étais toujours vierge. Une éducation catholique m’incitait fortement à le rester, le mode de vie familial ne me donnait pas beaucoup d’occasions de ne plus l’être, limitant les sorties au-delà des heures propices. C’est donc naturellement loin des dangers supposés, au cœur même du domicile familial, que cette histoire m’est arrivée, me laissant un souvenir merveilleux, et changeant le cours de ma sexualité jusque là, restreinte aux plaisirs solitaires.
Mon père, médecin, avait été sollicité par le conseil de l’ordre pour accueillir chez nous un étudiant en médecine qui passait le concours de l’internat, et l’étudiant s’était révélé s’appeler Sophie, et être une grande et belle jeune femme de 1.75, brune aux cheveux longs, dotée d’un regard bleu cobalt qui semblait vous radiographier en permanence tant il était intense.
Arrivée tard un soir, sa poitrine généreuse, sa démarche fière et cambrée, ses jambes de déesse m’ont fait une forte impression. Elle était allée se coucher très vite, devant commencer le lendemain les épreuves du concours. Dans mon lit, je me rappelle en fermant les yeux son parfum au goût de miel, très envoûtant, et sa voix étrangement grave… et je commence à me caresser en pensant à ce corps très excitant que je rêve alors de toucher, de caresser, de pénétrer.
Mon plaisir solitaire est comme un marchand de sable pervers qui m’accompagne depuis ma puberté. À demi endormi, une main libère de mon pyjama mon pénis en érection, tandis que l’autre effleure l’intérieur de mes cuisses, remontant jusqu’à mes testicules, les prend en main fermement, puis relâche la pression et va taquiner l’espace qui sépare la base de ma verge et mon anus, très sensible. Insensiblement, j’écarte mes jambes comme pour attirer le plaisir entre elles, pendant que ma première main s’active sur mon sexe et le met en mouvement, décalottant le gland en douceur, le couvrant à nouveau, puis accélérant le mouvement, tirant sur sa peau avec force, à la limite de la douleur.
Les conséquences ne se font pas attendre, et je sens le plaisir poindre progressivement. Bien lubrifié maintenant, l’organe magique se démène au rythme de mes désirs, des images de Sophie qui s’accumulent dans mon esprit rêveur. En sous-vêtements, elle maintient ma tête entre ses cuises, et ma langue avide se fraye un chemin sous l’élastique de sa culotte humide, pour titiller ses grandes lèvres, puis son clitoris que mon insistance finit par faire sortir de son capuchon, comme en érection. Des films, des histoires lues çà et là m’ont initié à ces paysages pourtant jamais approchés dans la vie réelle. Ma main se crispe maintenant, le plaisir n’est plus loin et ma respiration en dit long sur mon excitation. J’hésite un instant à faire durer encore cet état fragile, puis je me résouds à libérer mon plaisir, et un orgasme silencieux raidit mon corps pendant que le liquide aux vapeurs érotiques jaillit sur mon bas ventre, libérant la pression accumulée.
Sophie est déjà installée à la table familiale pour le petit déjeuner quand je m’y présente à mon tour. Elle porte un chemisier très ajusté, un pantalon moulant, ce qui forme un ensemble assez sexy qui ne fait aucun mystère de ses charmes sans pour autant les mettre exagérément en avant de manière vulgaire ou provocante. Si elle savait comment je me suis caressé en pensant à elle, comment j’ai rêvé lui lécher la chatte, comment j’ai imaginé ses soupirs de contentement, son clitoris humide de désir… Mais elle n’en sait rien, bien évidemment.
« Sophie, ma femme et moi sortons ce soir… Vous pensez rentrer à quelle heure ? »
L’objet de mes désirs répond avec sa voix suave :
« Vers 18h00 je pense…. »
« Parfait, on se verra donc avant notre départ. Ça ne vous embête pas de rester seule avec les enfants ?»
Il faut dire que «LES enfants» n’est pas un euphémisme… 5 têtes blondes dont la mienne, âgés de 17 à 5 ans, cela fait du monde, et mon père craignait peut-être que nous la gênions dans d’ultimes révisions.
« Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude… on était 5 à la maison nous aussi! Partez tranquilles, cela ne me dérange pas du tout.»
Et de se fendre d’un merveilleux sourire, tout en me prenant à témoin :
« Tu me donneras un coup de main ? »
Moi qui m’étais endormi en lui donnant des coups de langues, cette évocation me donne immédiatement une envie de lui faire l’amour, là, tout de suite, et mon pantalon semble soudain peiner à contenir mon sexe qui prend du volume. Je m’assieds précipitamment :
« Bien sûr ».
La journée au lycée est longue, morne, et mes pensées divaguent, le corps de Sophie m’obsède complètement.
De retour à la maison, elle est là. Je la dévore des yeux, étudie la forme de ses seins qui tendent le tissu de son chemisier sage…
« Allez, tout le monde au lit » lance ma mère tout en enfilant son manteau, suivie de mon père. Il partent en nous souhaitant une bonne nuit.
Le dîner rangé, Sophie se dirige vers sa chambre :
« Paul, tu n’as pas besoin d’aide, je peux aller prendre un bain pendant que vous allez vous coucher ? »
« Bien sûr.»
Pas besoin d’aide ? Tout dépend de quoi on parle. Je m’eclipse avec mes frères et sœurs pour éviter de lui laisser deviner mon trouble trop visible… J’envisage un instant d’aller soulager ce désir qui me taraude, puis je change d’avis et me concentre sur la mise en route du processus de couchage des autres. Quand je quitte la chambre du petit dernier, je vois à deux mètres de haut la lucarne qui permet à la salle de bains de bénéficier d’un peu de la lumière du jour. Elle est éclairée car Sophie s’y baigne… Le couloir est silencieux, les enfants commencent leur nuit.
Le long du mur, un fauteuil me tend ses bras… J’hésite, puis d’un seul mouvement, me voilà sur son coussin moelleux, à la bonne hauteur, avec une vue plongeante sur le plus beau des spectacles.
Deux mètres plus bas, mes yeux curieux découvrent la forme parfaite du corps de Sophie, immergé dans un bain moussant, les yeux fermés. Je distingue entre les paquets de mousse une forme rectangle noire, ses poils pubiens qui semblent taillés avec soin. Au milieu des formes blanches, ses seins émergent fièrement, dressés vers le plafond, couronnés de petits tétons roses que je m’imagine instantanément sucer et mordiller.
Sophie est immobile, et ne me voit pas, car elle me tourne le dos, sa tête à la base du mur derrière lequel je me trouve. Je reste quelques instants à le regarder, puis je vois qu’elle a ouvert les yeux. D’une main, elle attrape un savon sur le côté, et commence à en enduire son corps.
Elle lève une jambe, et commencer depuis son pied à remonter ses mains avec grâce, pour étaler la crème lavante. Elle la repose, puis fait de même avec l’autre jambe. Au fur et à mesure que ses mains se rapprochent du haut de ses cuisses, des flashs se précipitent dans ma tête. Je l’imagine les remontant encore, se caressant cette chatte que je distingue… Mon sexe est encore une fois bandé et me fait presque mal tant il est gonflé par mon désir.
Ses mains ont quitté ses jambes qu’elle a sagement alignées dans l’eau. D’un coup, elle s’est assise dans la baignoire, me cachant son torse, mais je devine à présent le mouvement de ses mains sur son ventre, ses épaules, son cou. Tous ses mouvements sont délicats, et le spectacle est de pure beauté.
Parvenue à la fin de ses soins, elle s’immerge complètement, pour se rincer sans doute, et reste quelques instant sous l’eau, tout en passant ses mains sur son corps pour le débarrasser des restes de savon. Dans un bruit d’eau, elle revient à la surface, et reprend alors sa position initiale, allongée, la tête et ses seins seuls émergeant de l’eau qui a fini par avoir raison de la mousse et qui me laisse admirer plus facilement encore son corps.
Je crois alors qu’elle va quitter son bain, et je me prépare à l’idée de quitter mon poste d’observation pour ne pas être découvert si elle sort de la pièce, mais non, elle se prélasse encore dans l’eau. Puis soudain, mon imagination est rejointe par la réalité. En effet, si son bras gauche reste sagement le long de ses jambes, elle positionne sa main droite sur ses genoux. Semble les masser quelques instants. Puis, tendant l’index, effleure ses cuisses. Sur leur sommet d’abord, puis dans le creux qui les séparent. Sa main gauche alors se met en mouvement, et esquisse une petite danse sur son ventre. Puis remonte à la base de ses seins.
J’ai du mal à le croire d’abord, mais il me semble bien que… sa main droite a maintenant disparu dans l’espace que ses jambes, qui se sont écartées, lui offre. Oui, elle se branle, sous mes yeux ! D’émotion, j’ai peur un instant de tomber de mon perchoir. Ma main à moi aussi caresse mon sexe tendu par dessus mon pantalon. Ses mains continuent à s’activer, l’une faisant rouler un téton entre ses doigts. L’autre effectuant un va-et-vient que je ne distingue pas très bien, mais qui revient toujours sur son pubis, pour s’enfoncer ensuite légèrement, sur son clitoris sans doute. Elle a les yeux fermés, elle semble apprécier ce traitement. Son ventre atteste de sa respiration rapide qui repousse à chaque inspiration l’eau qui le couvre. Elle écarte encore les jambes, très franchement cette fois, et je vois alors qu’elle s’est plantée trois doigts dans le vagin, et que son pouce masse son petit bouton. Ses mouvements sont de plus en plus rapides, sa main gauche malmène à présent ses seins, qu’elle empoigne successivement, tout en faisant glisser son pouce sur ses tétons.
Un clapotis de plus en plus marqué m’indique que ses mouvements sont plus rapides, saccadés. Elle accélère encore les va-et-vient de ses doigts dans son antre, et puis soudain, dans un grand bruit d’eau, elle s’immobilise, tous ses muscles tendus, saillants, le buste bombé comme pour aller au-devant de quelque chose. Elle jouit en silence, l’eau est immobile, sa main bouge encore un peu, puis elle se relâche, le corps à nouveau paisible, détendu.
Elle retire alors sa main de son intimité, et doucement, l’approche de de sa bouche, pendant qu’elle ouvre les yeux. Langoureusement, en prenant son temps, elle l’approche encore, pendant que ses lèvres s’ouvrent, et que sa langue se fraye un chemin au dehors comme pour accélérer la rencontre inéluctable entre ses doigts recouverts de son jus intime et cette langue vorace. Son regard est immobile, il fixe le mur qui lui fait face. Je suis comme prostré après ce spectacle incroyable, qui se conclut par une rencontre très sensuelle entre sa bouche et le fruit de son plaisir. Elle lèche doucement, mais consciencieusement, la main humide, le regard toujours fixe. J’ignore ce qu’elle regarde…
Tout à coup, je réalise que la baignoire est surmontée d’un miroir sur le mur qui nous fait face à tous les deux. Un coup d’œil vers celui-ci me confirme mes craintes : j’y vois le regard de Sophie, que l’éloignement de l’orgasme a rendu à son intensité naturelle. M’a-t-elle vu ou bien regardait-elle distraitement dans cette direction ? Je préfère quitter mon poste et je me précipite dans ma chambre voisine, encore abasourdi par ce que je viens de voir, fermement décidé à me repasser ce film extraordinaire dans une masturbation inévitable tant mon pénis est lubrifié et tendu.
Le bruit caractéristique de l’écoulement de la baignoire que l’on vide me conforte dans ma décision de rentrer sagement dans ma chambre. J’espère qu’elle ne m’a pas vu, sans quoi je risque d’avoir de sérieux ennuis. Oserait-elle se plaindre de mon voyeurisme après ce qu’elle m’a laissé voir, sa masturbation, au beau milieu de 5 chambres d’enfants à peine endormis ?
J’en suis là de mes réflexions, la couette couvrant mon corps animé d’un sentiment d’inquiétude d’être découvert, et d’excitation de ce que je viens de voir, quand un léger bruit se fait entendre à ma porte…
« Entrez ? »
Mon cœur bat la chamade, les ennuis vont commencer c’est sûr !
Sophie rentre dans ma chambre. Elle porte un peignoir sagement fermé, mais je sais qu’elle est nue en dessous, et je pose prudemment mes mains sur ma couette en son milieu pour ne pas laisser voir cette bosse visible à l’œil nu autrement.
« Je peux… ? » dit-elle en rentrant déjà dans la chambre.
« Oui… ». Je n’en mène pas large.
Elle se retourne, ferme la porte doucement, puis me fait face. Elle me fixe intensément, sans que je puisse dire avec certitude si elle est en colère, ou si sa venue est anodine si elle ne m’a pas vu.
Sans un mot, elle s’avance d’un pas, maintenant à un mètre seulement de mon lit. Puis elle lève une main, et fait un signe.
« Chut…. »
Faites-moi part de vos impressions et dites-moi si vous voulez connaître la suite…