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Temps de lecture estimé : 11 mn
19/01/05
Résumé:  Je découvre mon amie, elle est encore plus folle que moi.
Critères:  f ff vacances telnet contrainte revede exhib fmast massage intermast rasage cunnilingu anulingus 69 fgode légumes fdanus jeu piquepince
Auteur : Fabienne

Série : De découvertes en découvertes

Chapitre 06 / 12
Chaude comme la braise



Un peu plus tard Anne s’est réveillée et sans un mot s’est levée, elle est descendue je ne sais pas ce qu’elle est allée faire. Mais j’étais tellement bien sous la couette que j’y suis restée et je me suis rendormie.


Anne, comme elle me le raconta plus tard, venait d’avoir un message sur son portable, c’était Marjorie, lui expliquant qu’elle aurait bien aimé lui parler. Anne la rappela de suite depuis la salle de bains.



Et Anne monta, nue, sentant les boules de Geisha en elle, elle se mit devant Fabienne endormie, prit sa main et la posa sur sa toison.


Je me réveillais, sentant un contact doux et chaud, ouvris les yeux. Anne était devant moi, nue, les jambes légèrement écartées et elle appuyait ma main sur son sexe. Elle ruisselait, je me levais face à elle, toujours la main plaquée sur son entrejambe, je sentais comme une petite chaînette entre mes doigts et commençais à la masser.


Anne me regarda, nos poitrines se touchaient, je l’embrassais, doucement, voulant goûter chaque instant, sa langue était brûlante. Je descendis, embrassais ses seins tendus, léchant les tétons, les aréoles. Elle gémissait sous ma langue adroite et caressait ma tête. Je la couvrais de baiser, je léchais son ventre, le sillon étroit de sa poitrine, reprenant sa bouche, puis elle posa un pied sur le rebord du lit, m’encourageant à descendre plus bas, je découvrais enfin son sexe, trempé, duquel pendait la chaînette des boules de Geisha que je lui avais demandé de me rapporter.

Je tirais doucement sur la chaînette pour la faire passer sur ses lèvres gonflées. Puis j’embrassais son sexe, posant ma bouche grande ouverte sur son sexe et jouant avec ma langue sur son petit bouton, la glissant aux côtés de la chaînette. Elle n’en pouvait plus et je l’ai allongée sur le lit. Elle a écarté les jambes pour me permettre de continuer, son goût était exquis, un peu salé, je la buvais littéralement et je la voyais caresser ses seins, les serrant l’un contre l’autre. Abandonnant son sexe, je m’allongeais à ses pieds et commençait à les masser avec mes seins un peu comme elle l’avait fait hier. J’embrassais ses chevilles, je léchais ses jambes remontant vers son sexe sans y toucher. Elle devenait folle, se contorsionnant, les jambes écartées et relevées vers ses épaules, offrant à ma vue son sillon trempé et son petit anneau plissé. Je massais maintenant mes seins contre son sexe et prenant mon téton entre mes doigts, je le pointais sur sa chatte. Je passait le long de sa fente récoltant sa mouille sur mes seins. Puis je plaquais ma langue et me mit à la laper de bas en haut. Elle écarta ses poils de ses mains pour me montrer qu’elle aimait ça et je recommençais de plus belle, léchant même son petit anneau mais sans rentrer la langue. Soudain elle me supplia de retirer les boules de Geisha, et je les retirais avec mes dents. Dès la première, elle m’aspergea de mouille, c’était une vraie fontaine, je la nettoyais de ma langue et en sortant la deuxième je plaçais ma bouche sur son sexe pour ne pas perdre une goutte. Ensuite je me dirigeais vers sa bouche et l’embrassais partageant son nectar.


Elle me demanda de m’allonger sur le ventre et elle entrepris de me caresser avec ses seins, sa langue et ses doigts. Pas un centimètre carré n’y échappait. Elle embrassait et léchait mes pieds, c’était une sensation incroyable. Elle m’écarta les jambes et les fesses et du bout de la langue suivit mon sillon jusqu’à ma chatte en feu. Je me mis à quatre pattes et la suppliait de continuer. Elle ne se fit pas prier et me bouffa la chatte, aspirant, suçant, mordillant. Je lui demandais de me caresser avec ses seins et elle lécha ses tétons et les pinça légèrement pour les faire saillir encore davantage. Elle branlait ma chatte avec ses seins, parfois elle passait sur mon petit anneau et le titillait avec ses tétons et j’adorais ça ! Je ne tardais pas à jouir et elle me lécha comme une folle, labourant ma chatte avec sa langue, passant sur mon anus, elle planta sa langue en moi et j’éclatais dans un râle. Elle continuait à tourner sa langue dans mon cul un moment puis saisissant les boules de Geisha les enfonça dans mon sexe béant.


Puis elle m’embrassa à pleine bouche, me faisant à son tour goûter mes propres secrétions. En m’enlaçant, elle me susurra



Nous passâmes le reste de la journée ensemble, nous enlaçant et nous embrassant. Insatiables l’une de l’autre, nous étions déjà accros, et aucune gêne ne venait ternir nos ébats. Tout était prétexte à des jeux plus ou moins sexuels. Anne me demanda de lui raser le sexe, elle avait soi-disant peur de se blesser toute seule. Je l’invitai à s’allonger sur la table, jambes écartées et lui demanda pourquoi elle voulait que je la rase.



Et elle disparût dans la salle de bains. (Elle me l’avoua plus tard, une fois là-bas elle avait envoyé un cliché de son sexe rasé à Marjorie.) Elle m’appela de la cuisine. Elle était toujours nue, appuyée sur la table et me demandais ce que j’avais fait comme courses.



Anne était devenue dingue, elle n’avait plus aucune retenue et inonda la table de mouille. Elle avait les larmes aux yeux et je l’embrassais tendrement. Alors que je faisais mine d’enlever les pinces, elle arrêta mon geste.