Un peu plus tard Anne s’est réveillée et sans un mot s’est levée, elle est descendue je ne sais pas ce qu’elle est allée faire. Mais j’étais tellement bien sous la couette que j’y suis restée et je me suis rendormie.
Anne, comme elle me le raconta plus tard, venait d’avoir un message sur son portable, c’était Marjorie, lui expliquant qu’elle aurait bien aimé lui parler. Anne la rappela de suite depuis la salle de bains.
- — Allo, c’est Anne !
- — Oui, bonjour, tu as eu mon message ?
- — Que souhaitais-tu ?
- — En fait je voulais faire un petit cadeau à Fabienne, mais je ne sais pas si elle a déjà ce genre de choses.
- — Et à quoi pensais-tu ?
- — À des objets un peu personnels…
- — Comment ça ? Elle se souvint des pinces trouvées dans la chambre de son amie.
- — Je ne sais pas si tu sais mais Fabi aime beaucoup la lingerie un peu spéciale, alors je me disais qu’un petit complément…
- — Tu sais je ne la connais pas si bien… Anne commençait à trouver ça bizarre.
- — Ecoute, je vais être franche, nous sommes amantes.
- — Ah ? Anne était déçue, elle se sentait trahie.
- — Mais attention, ce n’est pas une relation passionnelle, nous sommes ensemble uniquement pour le sexe. C’est tout.
- — Ah.
- — Tu sais je crois qu’elle t’apprécie vraiment et je ne veux pas du tout prendre ta place,
- — Je ne sais pas trop
- — À l’entendre parler, elle est folle de toi, et ça j’en suis sûre.
- — On ne tombe pas amoureuse comme ça, du premier coup !
- — Je sais que tu n’en penses rien sinon, tu m’aurais déjà raccroché au nez.
- — …
- — Ecoute, je vais te raconter les circonstances de notre rencontre. Et elle lui raconta dans les grandes lignes leur relation pour le moins ambiguë omettant cependant quelques passages concernant les photos et leurs coups de fils.
- — Je n’y crois pas, elle est tellement douce, tendre, je l’imagine mal se changer en nymphomane !
- — Attends, regarde les photos sur son portable et tu comprendras.
- — Je ne sais pas trop…
- — Vas-y, tu seras fixée ! Et Anne prit le portable de son amie et regarda les photos, toutes les photos…
- — Je n’en reviens pas… mais ça ne fait pas mal ces pinces ?
- — Si, un peu mais c’est un plaisir intense en même temps. Les photos te plaisent ?
- — …
- — Alors ?
- — Je ne sais pas. Je ne te connais même pas !
- — Moi non plus mais attends ! Et elle lui envoya une photo d’elle, nue sur le portable de Fabienne.
- — C’est toi ?
- — Oui, comment me trouves-tu ?
- — Tu es belle.
- — Envoie-moi une photo de toi maintenant.
- — Je ne sais pas comment on fait… attends. Mais elle savait très bien comment faire, et se prit en photo
- — Tu es pas mal non plus, mais j’aimerai voir tes seins.
- — Je ne sais pas,
- — Allez, montre-moi ! Et Anne quittant sa nuisette se prit en photo, nue dans la salle de bains.
- — Tu as un corps magnifique, mais dis-moi, tu es excitée ?
- — Je ne sais pas…
- — Si tu le sais, les photos et mon récit, t’ont plu non ?
- — Euh oui,
- — Tu sais il n’y a pas de mal à se faire un peu de bien…
- — …
- — J’aimerai voir ton sexe. Et Anne, comme un automate photographia son sexe et l’envoya à Marjorie.
- — Il te plaît ?
- — Tu as un peu trop de poils à mon goût.
- — Ah, tu crois ? Anne regardait sa toison dans le miroir et glissa un doigt sur sa fente.
- — Sinon, tu penses que Fabienne a déjà des ustensiles un peu spéciaux ? Je voudrais lui faire une surprise.
- — Euh… oui, j’ai vu des pinces ! Et je sais qu’elle a des boules de Geisha. Elle se confiait à cette quasi inconnue et n’en revenait pas de discuter aussi librement.
- — Comment le sais-tu ?
- — J’ai vu une des pinces, et elle m’avait demandé de lui rapporter sa trousse de toilette et je les ai trouvées dedans.
- — Petite coquine, tu as fouillé ?
- — Euh, oui, c’est vrai.
- — Et tu as essayé les boules de Geisha ?
- — Non je n’ai pas osé.
- — Tu devrais.
- — Je ne sais pas.
- — Tu es mouillée,
- — Quoi ?
- — Tu mouilles ?
- — Euh oui. Anne était hypnotisée par cette voix étonnamment impérieuse, elle avait envie de l’écouter, de lui obéir.
- — Alors mets-les !
- — Tu crois ?
- — Oui et avant, lèche-les pour qu’elles glissent bien ! Et prends des photos.
- — Oou-oui … ! Et Anne se mit à lécher les boules de Geisha, prit une photo puis les introduisit dans son sexe ruisselant.
- — Maintenant va réveiller ton amie et donnez-vous du plaisir !
- — Je ne sais pas trop…
- — Vas-y ! Tu ne le regretteras pas ! Mais ne dis rien de nos conversations !
Et Anne monta, nue, sentant les boules de Geisha en elle, elle se mit devant Fabienne endormie, prit sa main et la posa sur sa toison.
Je me réveillais, sentant un contact doux et chaud, ouvris les yeux. Anne était devant moi, nue, les jambes légèrement écartées et elle appuyait ma main sur son sexe. Elle ruisselait, je me levais face à elle, toujours la main plaquée sur son entrejambe, je sentais comme une petite chaînette entre mes doigts et commençais à la masser.
Anne me regarda, nos poitrines se touchaient, je l’embrassais, doucement, voulant goûter chaque instant, sa langue était brûlante. Je descendis, embrassais ses seins tendus, léchant les tétons, les aréoles. Elle gémissait sous ma langue adroite et caressait ma tête. Je la couvrais de baiser, je léchais son ventre, le sillon étroit de sa poitrine, reprenant sa bouche, puis elle posa un pied sur le rebord du lit, m’encourageant à descendre plus bas, je découvrais enfin son sexe, trempé, duquel pendait la chaînette des boules de Geisha que je lui avais demandé de me rapporter.
Je tirais doucement sur la chaînette pour la faire passer sur ses lèvres gonflées. Puis j’embrassais son sexe, posant ma bouche grande ouverte sur son sexe et jouant avec ma langue sur son petit bouton, la glissant aux côtés de la chaînette. Elle n’en pouvait plus et je l’ai allongée sur le lit. Elle a écarté les jambes pour me permettre de continuer, son goût était exquis, un peu salé, je la buvais littéralement et je la voyais caresser ses seins, les serrant l’un contre l’autre. Abandonnant son sexe, je m’allongeais à ses pieds et commençait à les masser avec mes seins un peu comme elle l’avait fait hier. J’embrassais ses chevilles, je léchais ses jambes remontant vers son sexe sans y toucher. Elle devenait folle, se contorsionnant, les jambes écartées et relevées vers ses épaules, offrant à ma vue son sillon trempé et son petit anneau plissé. Je massais maintenant mes seins contre son sexe et prenant mon téton entre mes doigts, je le pointais sur sa chatte. Je passait le long de sa fente récoltant sa mouille sur mes seins. Puis je plaquais ma langue et me mit à la laper de bas en haut. Elle écarta ses poils de ses mains pour me montrer qu’elle aimait ça et je recommençais de plus belle, léchant même son petit anneau mais sans rentrer la langue. Soudain elle me supplia de retirer les boules de Geisha, et je les retirais avec mes dents. Dès la première, elle m’aspergea de mouille, c’était une vraie fontaine, je la nettoyais de ma langue et en sortant la deuxième je plaçais ma bouche sur son sexe pour ne pas perdre une goutte. Ensuite je me dirigeais vers sa bouche et l’embrassais partageant son nectar.
Elle me demanda de m’allonger sur le ventre et elle entrepris de me caresser avec ses seins, sa langue et ses doigts. Pas un centimètre carré n’y échappait. Elle embrassait et léchait mes pieds, c’était une sensation incroyable. Elle m’écarta les jambes et les fesses et du bout de la langue suivit mon sillon jusqu’à ma chatte en feu. Je me mis à quatre pattes et la suppliait de continuer. Elle ne se fit pas prier et me bouffa la chatte, aspirant, suçant, mordillant. Je lui demandais de me caresser avec ses seins et elle lécha ses tétons et les pinça légèrement pour les faire saillir encore davantage. Elle branlait ma chatte avec ses seins, parfois elle passait sur mon petit anneau et le titillait avec ses tétons et j’adorais ça ! Je ne tardais pas à jouir et elle me lécha comme une folle, labourant ma chatte avec sa langue, passant sur mon anus, elle planta sa langue en moi et j’éclatais dans un râle. Elle continuait à tourner sa langue dans mon cul un moment puis saisissant les boules de Geisha les enfonça dans mon sexe béant.
Puis elle m’embrassa à pleine bouche, me faisant à son tour goûter mes propres secrétions. En m’enlaçant, elle me susurra
- — Touche-moi, s’il te plaît, donne-moi du plaisir
- — Oui, je vais m’occuper de toi, te faire jouir. Allonge-toi et laisse-toi faire.
- — Je te fais confiance, fais de moi ce que tu veux.
- — Détends-toi, laisse-toi aller Anne. Et je l’enlaçais, la caressant sans cesse, l’embrassant, parcourant son corps avec sa langue gourmande.
- — Lèche-moi les seins, tu veux bien ? Et elle lui présenta ses deux seins qu’elle pressait l’un contre l’autre.
- — C’est bon, j’aime tes seins, tes tétons sont durs, tu aimes quand je les mordilles ? Mais Anne ne répondait pas, elle était complètement partie, la bouche, la langue et les dents de son amante ne lui laissaient pas de répit. Elle haletait de plus en plus
- — Je vais jouir, je viens, je viens ! Je me mis tête-bêche et commença à laper son sexe.
- — Je veux te boire, jouis dans ma bouche ! Et je plaquai ma bouche grande ouverte sur la chatte béante d’Anne qui n’en pouvait plus et explosa dans ma bouche.
- — Ne bouge pas. Laisse-moi faire. Et Anne posa sa bouche sur ma fente, la lécha consciencieusement, tirant sur la chaînette comme je l’avais fait plus tôt. Et elle pinça mon clitoris entre ses lèvres.
- — C’est bon, continue,
- — Ça ne fait pas mal ?
- — Non c’est bon, mordille-moi, vas-y, j’adore ça. Et Anne se mit à me mordiller les lèvres agaçant son bouton d’amour avec ses dents. Je m’étais rapprochée de la fente d’Anne et y glissa le pouce, puis étalant la mouille de mes autres doigts je massais son anus.
- — Mmmmm, continue, c’est bon ! Et pour me prouver qu’elle aimait ça, elle écarta davantage les jambes pour faciliter l’accès. Puis elle écarta mes fesses et fit glisser sa langue le long de ma raie, puis de ma fente.
- — Tu veux que je te doigte ? J’avais envie d’être en elle, de la posséder.
- — Oui, vas-y ! Enfonce-moi tes doigts ! Et quand j’enfonçai mon majeur dans son conduit serré, Anne fit de même avec sa langue dans mon anus. Puis elle retira les boules de Geisha pendant que je lui branlais les deux trous. Un orgasme nous secoua presque en même temps. Et ensuite nous nous nettoyâmes mutuellement en léchant nos corps, nos doigts.
Nous passâmes le reste de la journée ensemble, nous enlaçant et nous embrassant. Insatiables l’une de l’autre, nous étions déjà accros, et aucune gêne ne venait ternir nos ébats. Tout était prétexte à des jeux plus ou moins sexuels. Anne me demanda de lui raser le sexe, elle avait soi-disant peur de se blesser toute seule. Je l’invitai à s’allonger sur la table, jambes écartées et lui demanda pourquoi elle voulait que je la rase.
- — Ton sexe est si doux, j’ai envie d’avoir le même.
- — Tu sais, j’aime bien ta toison et je ne voudrais pas l’enlever
- — Alors rase-moi juste au niveau des lèvres.
- — Ecarte bien les jambes, et ne bouge pas. J’enduisais son entrejambe de savon moussant et lui demandais d’écarter les fesses pour que je puisse aussi enlever quelques poils disgracieux. Glissant un doigt entre ses lèvres pour bien tendre la peau je la rasais délicatement. Puis je rinçais la mousse avec une éponge pour la laisser admirer le travail.
- — Voilà, ta peau est lisse, comment te sens-tu ?
- — C’est beau, mais je vais voir ça dans la salle de bains
Et elle disparût dans la salle de bains. (Elle me l’avoua plus tard, une fois là-bas elle avait envoyé un cliché de son sexe rasé à Marjorie.) Elle m’appela de la cuisine. Elle était toujours nue, appuyée sur la table et me demandais ce que j’avais fait comme courses.
- — Tu as faim ?
- — Oui, j’ai envie de me caler avec quelque chose de consistant, pas toi ? Je crois qu’elle m’invitait à utiliser les légumes que j’avais ramenés de mes courses.
- — Je crois que j’ai ce qu’il nous faut ici, et je sortis une carotte longue et fine. Tu veux la goûter ?
- — Oui. Anne s’approcha et passa sa langue sur le légume, je fis de même et nos langues se touchèrent. Puis elle se mit à quatre pattes.
- — Je vois ce que tu veux… tu mouilles déjà, je vais te la mettre. Et j’enfonçais la carotte dans son sexe ouvert.
- — Branle-moi bien,
- — Oui, tu vas voir comme c’est bon, mais la carotte est un peu petite non ? Je crois qu’elle n’est pas faite pour ta chatte. Et je lui léchais doucement l’anus, salivant dessus.
- — Oh, attention, pas trop fort s’il te plaît ?
- — Ne t’inquiète pas, je serai douce et appuyant la carotte luisante de mouille sur sa rondelle.
- — Mmmmmmh…
- — Détends-toi. Et j’enfonçais la carotte dans son petit cul tout blanc. Elle avait l’air d’aimer ça, je la faisais aller et venir doucement. Puis je la laissais sur la table, le cul à l’air avec une carotte plantée dedans.
- — Où vas-tu ? Reste !
- — Je reviens ne bouge pas. Et je partis chercher un nouvel instrument que j’avais acheté pour me satisfaire mais qui donnerait du plaisir à Anne. Je revenais bien vite avec une belle lampe de poche que je tendis à Anne, lui recommandant de bien la lécher. Elle était de taille moyenne et paraissait avoir été conçue pour ça
- — Mmmmh, regarde moi, tu aimes me voir comme ça ? Et elle emboucha la lampe, jouant avec sa langue.
- — Oui, tu es belle, je t’aime quand tu es cochonne, vas-y je te regarde. Et je la regardais lécher puis enfoncer la lampe en elle. La carotte ne tarda pas à être expulsé de son anus et je la ramassais puis me mettant devant Anne, je la mis en bouche, la suçant comme un sexe.
- — Viens partager égoïste ! Et elle se redressa pour lécher la carotte aussi et m’embrasser. Puis la lampe toujours au fond de sa chatte elle s’allongea et se mit à masser ses seins, pinçant ses tétons.
- — Attends, laisse-moi m’en occuper ! Et j’embouchais ses tétons, les mordillais, je les faisais roule entre mes doigts. Elle était complètement dingue de ça.
- — Mets-moi tes pinces ?
- — Que quoi, quelles pinces ?
- — Tes pinces, je les ai vues, mets-les moi s’il te plaît.
- — Je vais les chercher. Je n’en revenais pas, elle était pire que moi, je la retrouvais en train de se tirer sur les mamelons. Et la prévins que c’était douloureux.
- — Vas-y doucement mais mets-les moi. N’aie pas peur !
- — C’est toi qui me rassures… Et je plaçais les pinces sur ses tétons mais sans serrer trop fort. Elle cria, mais pas seulement de douleur.
- — Branle-moi ! Et je faisais des allers-retours avec la lampe pendant qu’elle touchait ses seins, les pressant l’un contre l’autre, triturant les pinces.
Anne était devenue dingue, elle n’avait plus aucune retenue et inonda la table de mouille. Elle avait les larmes aux yeux et je l’embrassais tendrement. Alors que je faisais mine d’enlever les pinces, elle arrêta mon geste.