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n° 08481Fiche technique12325 caractères12325
Temps de lecture estimé : 8 mn
18/01/05
Résumé:  Balade avec mon amie.
Critères:  f ff vacances telnet volupté exhib nudisme noculotte fetiche piquepince
Auteur : Fabienne

Série : De découvertes en découvertes

Chapitre 05 / 12
Une initiation en douceur



Je sortais de la douche un peu calmée et passais une petite robe boutonnée sur le devant. Anne avait préparé un petit en-cas et nous nous sommes installées sur la terrasse. Elle avait une jupe en toile kaki et petit gilet croisé. Elle ne portait pas de chaussures. Après quelques verres la discussion devint un peu plus axée sur nos expériences réciproques et j’avouais à Anne que je la trouvais plus sûre d’elle.



Et je partis chercher de la crème à la salle de bains. Revenue sur la terrasse, Anne était accroupie et me montra la chaise en face d’elle.



Je m’accroupis devant elle et Anne s’installa confortablement, j’étais aux anges, je passais mes mains sur ses pieds et elle me guidait, me disant d’appuyer à tel ou tel endroit. Mes grandes mains me permettaient presque d’enserrer totalement ses chevilles délicates et elle semblait apprécier mes caresses. Elle fermait les yeux et se laissait aller. Soudain je repensais à la position qu’elle avait adoptée sur le rocher et essayais de faire de même. Je lui soulevais donc doucement un pied et tentais de voir plus loin. Pour me faciliter la tâche, elle écarta légèrement les jambes comme je l’avais fait plus tôt et je voyais maintenant sa culotte. Ses soupirs me rassuraient, elle avait l’air absent, elle s’abandonnait à mes massages. Je m’arrangeais pour que la pointe de ses orteils frôle mes seins en plaçant ses pieds presque contre mon ventre. Je déposai un baiser sur le dessus de son pied et le reposais pour prendre l’autre jambe et recommencer le même manège. J’aimais tellement lui faire plaisir et je ne doutais plus de son bien-être. Ouvrant les yeux, elle me demanda de reprendre ma place dans le fauteuil et se plaça devant moi.



Elle massait mes jambes et mes pieds, le délassement était total. Tant de douceur, de tendresse, je baissais les yeux et la voyait absorbée, concentrée. Parfois le bout de ses doigts arrivait presque au niveau de mon sexe, je ne sais pas si c’était intentionnel mais je mouillais sérieusement. Anne m’écarta doucement les jambes pour se placer entre elles. Elle me massa le ventre, partant de mes pieds ses mouvements étaient d’une lenteur exquise et m’envoyaient loin, loin dans les nuages. Il faisait nuit, nous étions bien et je décidais de lui faciliter la tâche en déboutonnant ma robe. Anne écarta les pans de ma robe découvrant mes seins qui pointaient. Elle repris ses caresses montant jusqu’à ma poitrine, effleurant mes seins du bout des doigts. Je soupirais d’aise. Parfois elle passait son pouce sur mon mont de Vénus avec une infinie douceur. Elle ne pouvait plus ignorer mon état, le visage à quelques centimètres de mon corps. La nuit l’empêchait peut-être de constater que ma chatte était trempée mais je suis sûre qu’elle s’en doutait. Son corps entier touchait le mien je sentais la chaleur de sa poitrine contre mes jambes, mon ventre. Soudain, elle se leva.



Elle me regardait, debout, la poitrine nue en me souriant. Elle me laissait atterrir.



Nous discutâmes encore un bon moment puis Anne me dit qu’elle avait besoin de se reposer, nous nous levâmes. J’étais devant elle, la robe déboutonnée laissant voir mon corps, elle s’avança vers moi et déposa un doux baiser sur mes lèvres avant de monter. Et de rentrer dans sa chambre.


Je montais moi aussi totalement détendue et ne tardais pas à m’endormir. Je me réveillais tôt le matin, j’avais rêvé de Marjorie, j’étais debout, nue, au milieu de son magasin, elle était en face sur moi et fixait des pinces sur mes tétons, ça faisait un mal de chien, elle les vissait toujours plus, je la suppliais d’arrêter, tombant à genou devant elle. La douleur me réveilla en sursaut, la main sur un sein. J’avais du me pincer durant mon rêve, je n’osais pas regarder sur la table de nuit où Anne avait laissé la pince qu’elle avait trouvée parterre. Je savais pertinemment que je ne pourrai résister. Je descendis aux toilettes, puis passais mon visage sous l’eau froide. En remontant je pris mon téléphone, des messages avaient été laissés.


Des photos plus exactement… Mes seins, ma bouche, mon sexe, mon anus, mes doigts. J’étais mal à l’aise… et en même temps excitée. Je prenais une des pinces et la plaçait sans serrer sur mon clitoris. Je pris une photo que j’envoyais à Marjorie.


Le téléphone ne tarda pas à sonner.



Je m’exécutais, lui racontant ma journée d’hier avec Anne, tous les détails sur son corps et ce faisant, je rattrapais le temps perdu et mes jouissances manquées d’hier. Marjorie m’excitait, en me faisant imaginer qu’Anne me possédait.



Elle avait raccroché, je remontais après avoir enlevé les pinces et trouvais Anne sur le pas de la porte de ma chambre. Elle était vêtue d’une courte nuisette et me sourit :



Et nous nous blottîmes l’une contre l’autre