n° 08492 | Fiche technique | 16733 caractères | 16733Temps de lecture estimé : 10 mn | 19/01/05 |
Résumé: Sophie a été généreuse en plaisir avec moi, mais je ne compte pas en rester là... | ||||
Critères: fh massage intermast init | ||||
Auteur : Fortino Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La mousse de Sophie Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Sophie est invitée chez mes parents, et je la surprends en train se masturber dans son bain. Découvert, je bénéficie de sa part d’un envoûtant massage très érotique.
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Ce matin là, je prends rapidement conscience que je n’ai pas rêvé, et l’odeur du sperme qui a séché sur mon ventre et ma poitrine, au contact de ma chaleur corporelle, dégage une odeur qui atteste au bas mot que j’ai eu une éjaculation violente et abondante. C’est cette même odeur sucrée, aux relents de confiture, que mes caresses solitaires laissaient parfois dans mes draps coupables. Non ce n’était pas un rêve, et au risque d’utiliser des clichés, je me rends compte que rien ne sera jamais plus pareil.
Que va-t-il se passer au petit déjeuner, comment faire face au regard de celle avec qui j’ai eu ces étranges contacts hors de toute parole, de tout regard ?
Sur le chemin de la salle de bain, je suis fixé par des voix qui parviennent du rez-de-chaussée :
Et bien à mon avis, cela devrait bien se dérouler car, si elle connaît aussi bien le reste du corps humain que le sexe de l’homme, elle devrait être au top niveau…
Et la porte claque derrière la belle Sophie, mon initiatrice discrète et envoûtante. Libéré du poids de l’incertitude et de la perspective de gêne à la croiser, j’entre dans la pièce vide et me déshabille.
Dans ma douche, je caresse machinalement mon sexe tout en lavant les vestiges de mon plaisir de la veille. Je ressens les conséquences du plaisir prolongé et extrême de ses attentions de la veille. Manque d’habitude ou sensibilité passagère, le plaisir de ma caresse a des relents de douleurs, comme si mon corps demandait une pause. En continuant de me doucher, je me prépare à la journée….
Difficile de se concentrer sur les cours avec toutes ces images dans ma tête ! Quelle suite donner à cette histoire ? Les quatre heures de la matinée passent très vite et je n’ai cessé de rêver à ses mains, l’odeur de ses doigts perçue brièvement, la douceur de ses caresses. Tel un automate, sans même répondre à un camarade qui m’appelle du fond du couloir, je prends le bus qui me ramène chez moi. Le mercredi a au moins l’avantage de n’être qu’une demi-journée de cours.
Arrivé chez moi, pas de voiture devant l’entrée, comme d’habitude, ma mère fait la tournée des activités extrascolaires pour mes frères et sœurs plus jeunes: conservatoire de musique, salles de sport, entrecoupées de courses, le tout judicieusement planifié et mené à tambour battant. L’occasion pour moi de faire le point et de réfléchir à ce qui m’arrive.
Je monte les escaliers machinalement, me dirigeant ver ma chambre, quand soudain j’entends de la musique R&B qui filtre de la chambre à la porte entre baillée… la chambre de Sophie. Un oubli ? Difficile à croire, je n’ai rien remarqué ce matin. Je m’approche à pas de loup… C’est bien elle. Elle s’est changée. Un T-shirt écru, un pantalon noir, ses cheveux sont prisonniers d’une pince dorée, les coudes campés sur le bureau, elle a l’air concentrée sur un livre. Des révisions sans doute, après l’épreuve de ce matin, elle prépare déjà la prochaine.
Dans ma tête, j’appuie sur le bouton « Pause » de l’espace temps. Je suis à la croisée des chemins, je dois faire mes premiers choix d’homme. Avec au choix « faire comme si de rien n’était » et gâcher une histoire aussi enivrante que prometteuse, ou bien franchement l’aborder, et pourquoi pas, laisser parler mon corps ? « Play ».
J’entre dans la chambre en poussant la porte, pour la refermer derrière moi. Elle ne m’entend pas à cause de la musique. Elle est à un mètre de moi, le buste bien droit qui fait saillir sa poitrine généreuse, la tête entre ses mains, visiblement concentrée.
Je m’approche encore, à la toucher quand… satané miroir, encore un ! Là, sur le mur, placé au hasard, et qui permet de voir la porte et ceux qui y passent. Elle m’a vu, comme la dernière fois dans la salle de bain. De toute façon ma décision était prise. Maintenant au moins je ne risque pas de l’effrayer. Je pose mes mains sur ses épaules, lourdement, comme pour lui interdire tout geste. Elle soupire discrètement.
Enhardi, je commence à lui masser les épaules, je caresse le creux de ses clavicules et sa nuque dégagée de tout cheveu. Mon corps est plaqué derrière le sien, mon ventre contre son dos, mes mains à hauteur parfaite pour mon massage. Sous l’effet de la caresse, elle roule maintenant ses épaules. Je maintiens une main sur son cou, pendant que l’autre descend le long de son corps, appliquant une faible pression en partant de son aisselle vers sa hanche, avant d’intervertir de manière symétrique ma caresse. La première fois, étonné, puis la seconde, confirmé… pas de soutien-gorge sous le coton de son haut, j’en suis sûr !
M’attend-elle ou bien a-t-elle pour habitude de s’habiller comme cela ? M’écartant de son buste, je promène dans son dos une main douce puis plus ferme, et je lui arrache un premier gémissement, tandis qu’elle remonte ses épaules, comme pour accompagner le mouvement. Peu m’importe à vrai dire quelles sont ses intentions, seul compte le moment que je vis maintenant avec elle. Ma vie d’homme, c’est décidé, sera celle que je me choisirai !
En reprenant mon massage initial sur le haut de ses épaules, je me love à nouveau contre elle, et je vois poindre en vue aérienne ses seins magnifiques qui impriment sur le tissu qui les cache à mon regard une forme parfaite à tenter un diable. Ou un catholique élevé dans la rigidité morale…
Avec une main, puis l’autre, je descends cette piste vertigineuse, slalome entre les obstacles que j’y rencontre, et, une fois à droite, l’autre fois à gauche, sors de la coulée centrale pour me protéger sous le monticule que je viens de franchir. Mes doigts à la base de ses seins les taquinent, les soupèse, les empoignent enfin, avec délicatesse, mais fermement.
Dans cette étreinte, je sens dans ma paume les tétons durcis par le désir probablement, tandis que sa respiration semble hésitante, saccadée. Nous n’avons toujours pas échangé un mot. Miroir et silence se révèlent les maîtres mots de nos rencontres…. Désir et plaisir aussi !
Comme je l’ai vu faire dans son bain la veille, je positionne mon pouce sur ses extrémités durcies, et je les fais rouler dans mes doigts. Elle ouvre la bouche et murmure :
L’étoffe douce et soyeuse de son vêtement facilite mes caresses sur sa poitrine, alternant la prise en main complète de l’un ou l’autre sein, et la stimulation de ses tétons. Elle respire plus vite, maintenant, et sa bouche légèrement ouverte laisse échapper parfois un râle. Le sein nourricier de mon enfance s’est muté en organe sexuel, et son contact encore indirect m’excite terriblement.
Moi qui ai reçu tant de plaisir la veille, égoïstement centré sur moi, n’ayant pas un instant envisagé de partager avec elle les caresses qu’elle me prodiguait, je veux à mon tour la voir chavirer, s’abandonner à mes mains novicse mais très studieuses de ses réactions et de son rythme.
Pause.
Je m’adresse alors à l’homme que je suis en train de devenir dans un conseil silencieux :
« Paul, concentre toi sur son plaisir et le tien, laisse de côté les images d’Epinal, les conseils condescendants des copains de lycée, les films hot… »
Play.
Ma position est devenue inconfortable pour poursuivre notre étreinte. Difficile de la caresser plus avant dans cette situation. Je glisse mes avant-bras sous ses aisselles, et tels les fourches d’un chariot élévateur, ces derniers lui font doucement comprendre que je veux qu’elle se lève. D’un mouvement de jambe je fais rouler sur le côté la chaise sur laquelle elle s’était assise, tandis qu’elle obéit à mon invitation et se met progressivement sur ses jambes, en me tournant toujours le dos.
Pendant sa lente ascension, le sommet de sa tête ou sont noués ses cheveux dégage une odeur qui me rappelle instantanément, telle une marque de fabrique, les douces caresses de la veille sur ma verge encore endolorie. Ce souvenir fugace réveille d’ailleurs en moi, sur simple stimulation olfactive, l’attribut en question, qui gonfle progressivement le pantalon de toile que je porte aujourd’hui.
Cette protubérance semble attirée par le fessier qui vient de se positionner à sa hauteur, et elle, puis mon corps tout entier, se rapprochent de Sophie maintenant debout. Il la frôle, comme hésitant. Ce rapprochement fait contact, et c’est sans surprise mon pénis ambitieux qui fait mouche le premier, légèrement sous la ceinture. Sophie frissonne à ce contact, et m’invite indirectement à continuer mes excursions récentes.
Elle a laissé ses bras le long de son corps, et sans plus attendre, je l’enlace d’une étreinte protectrice, vaguement dominante aussi. Comme si elles s’étaient réparties les tâches, mes mains maintenant libérées de toute inhibition se dirigent l’une sur sa poitrine qui halète encore des émotions que je lui ai procurées, et l’autre vient agacer son ventre, ses hanches, ses fesses.
Je m’accroche à son sein comme à une bouée pour me sauver du trouble que ses fesses doivent pourtant lui signaler très clairement. Abandonnant un instant son téton bandé à bloc, je le malaxe, le pétris, l’étale sur ses côtes. Mon souffle à moi aussi s’accélère, et les rares cheveux que sa coiffure a laissés libres volettent au gré de ma respiration plus puissante. Mon ventre transmet en complète osmose le rythme croissant de mes palpitations pulmonaires.
Mes autres doigts, ayant flatté quelques instants ses cuisses, se posent à la base de son T-shirt et, après un temps d’attente pendant lesquelles ils s’y agrippent, le sépare d’un geste rapide du pantalon qui le maintient en place, le soulève d’un geste victorieux, comme pour indiquer que les jeux sont faits, que la chasse est ouverte, que le retour n’est plus possible.
Elle semble se plier sans férir à mes envies. Un petit sursaut l’a étreinte à ce moment là, et puis un léger soupir comme pour acquiescer. Parti à la découverte de son ventre qui s’offre désormais à ma main impatiente, je le survole à basse altitude, en rase motte, alternant les caresses et les chatouilles sur sa peau soyeuse.
Elle incline la tête en arrière sur mon épaule, comme abandonnée. Je remarque alors que ses paupières sont closes, et elle a fait poindre entre ses lèvres une langue curieuse, qui lèche le contour de sa bouche. Une caresse plus directe sur l’extrémité de son sein la fait sortir deux incisives pour se mordiller la lèvre inférieure dans un petit cri qui résonne merveilleusement dans mon oreille.
Comme un automate, j’engouffre alors une main entre son bas-ventre et sa ceinture, à la découverte des abysses se sa féminité. Ma main en cuillère, je couvre, mi protecteur, mi inquisiteur timide, son slip que je devine en dentelle.
« Paul, caresse-moi, oui…. »
Elle écarte un peu les jambes pour me permettre de me frayer plus facilement un passage. Elle commence à onduler ses fesses contre mon bas-ventre, écrasant de son postérieur délicat mon gland à vif et mes testicules chargés par l’excitation de la situation. Ses mouvements les massent tout en maintenant une pression forte mais délicieuse.
Mes doigts ont trouvé leur place. Mon pouce et mon auriculaire, distraits, taquinent l’intérieur de ses cuisses. Mon index et mon auriculaire, prudents, flattent les grandes lèvres que la fine culotte ne parvient plus à contenir, et caressent consciencieusement les poils qui parsèment la chair fripée et douce. Mon majeur quand à lui, téméraire, flotte littéralement sur le voile de son sous-vêtement que ses sécrétions intimes ont trempé de désir et de plaisir. Taquin, il s’emploie doucement à séparer plus encore les lèvres intimes pour s’enfouir dans le sillon brûlant. Ma main se met en mouvement, chacun à sa place, tendrement. À la base de mon majeur, je sens se dresser son bouton d’amour, et chaque aller-retour fait maintenant vibrer Sophie.
Pas en reste, ses seins profitent en même temps de mon attention fidèle, et je m’aperçois que ses tétons et son clitoris sont stimulés l’un après l’autre à un rythme de plus en plus soutenu. Sa respiration s’en ressent, on dirait qu’elle coure le marathon, son front est humide, elle est en train de perdre pied, elle chavire.
Ma main bien enfouie dans sa culotte s’essaie à des mouvements circulaires, sans jamais oublier d’honorer à chaque passage son centre du plaisir devenu hypersensible. L’humidité est devenue générale, et des bruits de clapotis accompagnent désormais chaque mouvement. Mon index s’enfonce un peu plus dans son vagin, je lui pince à présent le téton pour adapter à l’inflation de son plaisir celui que j’offre à sa poitrine.
Tout à coup, elle lève un bras, le porte derrière ma tête, et s’en saisis. Sous l’effort, son corps se cambre plus encore, offrant ses seins de manière obscène, réduisant son contact avec mon corps à mon seul pénis au bord de l’explosion. Ma main descend encore, et c’est maintenant ma paume qui écrase le clitoris, sans plus lui laisser aucun répit. Mes doigts vont à la recherche du périnée, puis découvre les abords de son anus. Elle geint maintenant en continu, et ma main s’emballe.
« Oh, Paul, surtout n’arrête pas, oui….. »
Elle transpire, s’agite, puis plus rien, ou plutôt, ce court calme qui précède la tempête… Je sens alors ses ongles de la main qu’elle a placé sur mon cou me griffer sauvagement, ses jambes enserrent ma main baladeuse, et tout son corps s’arrête un instant de communiquer. Puis elle revient à la vie, et rattrape vite ce court instant de silence et d’inactivité.
« Oui….. oh oui….. oui….. ahhhhh »
J’accélère encore mes caresses, sans plus trop de précaution ni tendresse, juste l’impérative exigence de l’atteinte de plaisir.
« Ooooh…… Oooooh… oui….. Oui….. OUI !!!!!! »
Elle a hurlé sa jouissance quelques secondes encore, abreuvant ma main de sécrétions abondantes, et je n’ai pas pu résister à son évocation si explicite. Mon pénis entravé a à ce moment là se retrouve submergé par l’orgasme, toujours plaqué contre ses fesses, limité par le peu de possibilité de libérer ma semence.
Cette situation étriquée est pourtant très agréable, un peu comme quand, la veille, elle avait quelque peu empaqueté mon gland après l’orgasme. J’ai l’impression d’un orgasme quasi intérieur, mon pénis complètement fermé par mon prépuce maintenu en position.
Tout à coup, j’envisage le miroir qui m’avait découvert, et j’y vois l’image troublante de ces deux corps agrippés l’un à l’autre, ces poitrines haletantes dont on imagine bien les battements de cœur lourds. Boum.
Cette image, c’est mon passeport pour la vie adulte, intime et sexuelle, c’est l’abandon des entraves morales. Je n’hésiterai plus, je ne demanderai plus l’avis de quiconque. Dans ma vie sexuelle et dans les récits que j’en ferai. Je laisserai mon corps raconter l’histoire.
Ce bruit…
« Paul ? »
Ma mère vient de rentrer et m’appelle d’en bas… A regrets, et assez inquiet d’être déocuvert, je dépose sur son cou offert un baiser doux, puis je sors prestement de la chambre.
Fortino