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n° 08508Fiche technique21832 caractères21832
Temps de lecture estimé : 13 mn
21/01/05
Résumé:  Je fais tomber mon amie dans un piège, et elle aime ça...
Critères:  fh ff fffh médical fsoumise fdomine soubrette voir exhib photofilm fetiche fellation cunnilingu anulingus fdanus sm attache bondage baillon yeuxbandés piquepince
Auteur : Fabienne  (Fabi)

Série : De découvertes en découvertes

Chapitre 09 / 12
Entre les mains de Marjorie




Chacun de nos mouvements était perceptible. Nos tétons devenus hypersensibles reliés par cette chaînette nous faisaient délicieusement souffrir. Anne commençait à se frotter contre la ferronnerie à laquelle je l’avais attachée. À tâtons et ne pouvant pas se retourner, elle cherchait à l’aide de ses fesses un rebord métallique susceptible de lui convenir. Pour lui faciliter la tâche, je m’avançais pour lui donner un peu de mou, les chaînettes étaient longues, mais pas tant que ça. Elle était magnifique en train de cambrer ses fesses pour presser sa raie contre le métal froid. Elle faisait des mouvements de bas en haut et ne pouvant la voir de face, je m’imaginais le contact de la barre de métal torsadé contre son anus, entre ses lèvres.


Soudain, un bruit de véhicule la tira de ses caresses. Une voiture approchait.



Un grand break noir entra dans la cour et se gara. Le conducteur que je n’avais pas vu, coupa le moteur. Personne ne sortit de la voiture.



Une autre voiture arrivait ne tardant pas à faire crisser le gravier qui recouvrait une partie de la cour. Enfin, quelqu’un sortit de la première voiture, c’était une belle femme, aux cheveux noirs, aussi beaux que ceux d’Anne, elle portait un tailleur noir et ses longues jambes étaient gainées de noir également. Sans un regard dans notre direction, elle se dirigea vers la deuxième voiture, un homme que je croyais avoir déjà vu quelque part sortit et après avoir embrassé la femme en noir il ouvrit la porte de sa voiture. Marjorie en sortit, elle était vêtue d’une robe rouge moulante, de bas résille et de chaussures à talons vertigineux. Elle s’était teint les cheveux en roux, ce qui allait très bien avec sa peau blanche et sa tenue rouge. Elle embrassa la femme sur la bouche. La femme en noir se dirigea vers sa voiture ouvrit la porte et une autre femme en sortit, vêtue en soubrette, elle portait le même collier métallique que moi. Elle baissait la tête et suivait docilement la femme en noir. Anne me demanda ce qui se passait, je lui détaillais l’arrivée des différentes personnes, lui avouant que Marjorie était présente.



Marjorie se dirigeait vers nous, elle me souriait. Elle m’enleva la chaînette et m’embrassa fougueusement plongeant sa langue dans ma bouche. Je lui rendis son baiser en me frottant contre elle. Ensuite, elle se tourna vers Anne et lui enleva également les chaînettes. Elle massa ses seins gonflés sans ménagement.



Et Marjorie glissa ses mains vers la chatte d’Anne qui cherchait la même position qu’avant, une jambe sur le rebord du muret pour lui offrir son intimité. Elle la masturbait avec brutalité enfonçant sans ménagement plusieurs doigts dans son sexe. Anne ahanait, et se cambrait. Une autre voiture arrivait, elle stoppa et 3 hommes sortirent. Il se dirigèrent vers la femme en noir et l’homme toujours en train de se faire sucer. La femme en noir me montra du doigt et ils se dirigèrent vers moi. Sans un mot ils commencèrent à me caresser à me peloter, à se frotter contre moi. Un des hommes me libéra de mes menottes. Il utilisa ensuite mes bracelets pour attacher mes poignets à l’aide de chaînes qu’ils relièrent aux anneaux placés à mes chevilles. La chaîne passait par ma ceinture et ils pouvaient la raccourcir par le biais d’un jeu de mousquetons. Je me retrouvais donc agenouillée avec trois sexes à ma disposition. Je n’hésitais pas une seconde et me mis au travail, suçant, léchant leurs sexes, leurs couilles bien pleines, les prenant dans ma bouche. Marjorie avait enlevé le bandeau des yeux de ma compagne et la forçait à me regarder faire. Anne aurait donné cher pour être à ma place je crois. Ils me tiraient par les cheveux pour me forcer à les mettre en bouche complètement, je suffoquais presque. Je voulais qu’ils explosent dans ma bouche, qu’ils me prennent, qu’ils me sautent comme une chienne, j’étais prête à tout. Mais malheureusement la femme en noir arriva et leur demanda de s’arrêter. Il stoppèrent net, à regret… Une femme que je n’avais pas vue me filmait à l’aide d’une caméra munie d’un long micro, j’étais mal à l’aise. Elle leur demanda



Ils me mirent en laisse, la femme à la caméra me précéda en me filmant et il m’emmenèrent dans une vaste pièce carrelée de blanc et très éclairée. Là ils défirent mes chaînes et ma laisse me désignant une table gynécologique. Je m’installais, je n’étais pas rassurée et jugeant que je n’allais pas assez vite deux hommes se saisirent de mes jambes et les placèrent dans les étriers me recommandant de ne pas bouger d’un poil. Ils sortirent suivis de la camérawomen. Une fois seule, je remarquais que le plafond était muni d’un miroir qui renvoyait mon image et l’image d’une autre table vide située en face de moi. Les étriers n’étaient pas totalement écartés et ma position était encore relativement décente lorsque la soubrette arriva. Sans un mot elle retira mes pinces avec beaucoup de douceur et emboucha mes tétons pour les masser doucement avec sa langue. Elle enleva ensuite mon carcan et me massa les seins toujours aussi délicatement. Je la regardais faire dans le miroir lorsqu’ Anne arriva, en laisse, les mains déliées. Les deux hommes lui retirèrent sa laisse et lui ordonnèrent de prendre place sur une autre table faisant face à la mienne. Elle s’installa, écartant les jambes pour les placer dans les étriers. Elle me vît et me sourit. La soubrette s’approcha d’elle et lui ôta les pinces de ses grandes lèvres et la massa doucement. Puis elle libéra ses tétons et défit le carcan.


La femme en noir entra, accompagnée d’un homme en blouse blanche poussant un chariot métallique. Elle s’adressa à nous. Elle était belle, elle devait avoir la quarantaine, son tailleur lui donnait un air classe.



L’homme en blanc approcha son chariot de ma table. Il demanda à la femme en noir s’il n’était pas préférable qu’on nous attache mais elle lui répondit qu’ils aviseraient. Il mis des gants de latex et commença à palper ma poitrine. Il pinça fortement mes tétons, puis il écarta les étriers au maximum et releva le bas de la table. J’étais totalement offerte. La femme à la caméra était en face de moi et filmait les opérations. Après avoir constaté que j’étais trempée, il me dit qu’il n’était pas nécessaire de me lubrifier davantage et se saisit d’un spéculum d’acier. Il le fit pénétrer en moi avec une certaine douceur et écarta les pans de métal. Mon sexe béait comme une bouche prête à engloutir. Il posa sa main sur mon mont de vénus et commença à me masser doucement s’attardant sur mon clitoris.



La femme en noir devait observer Anne, elle lui saisit le poignet fermement et appela la soubrette qui arriva rapidement. Elle lui ordonna de faire en sorte qu’Anne ne bouge pas. La soubrette partit un instant et revint avec un chariot garni de cordes, de chaînes, de pinces, de fils de couleurs et d’appareils que je ne connaissais pas.

La soubrette passa des bracelets noirs aux chevilles d’Anne, puis elle les cadenassa aux étriers munis d’un anneau de métal. Elle passa d’autres bracelets à ses poignets et les cadenassa derrière la tête d’Anne. Enfin elle accrocha à son collier une lourde chaîne faisant le tour de la table.



Et je sautais à terre me dirigeant vers Anne. Je lui léchais les pieds, embrassant ses chevilles, puis je remontais, embrassais et léchais ses seins. Anne gémissait, je m’accroupis entre ses jambes et je lui dévorais la chatte, plongeant ma langue en elle. Anne se glissa un peu vers l’avant me présentant son cul. La soubrette manipula la table pour relever le bassin d’Anne et ainsi je pointais ma langue vers sa rondelle froissée. La femme en noir s’est rapprochée



La femme en noir dit quelque chose à la Soubrette et je sentis Anne frémir, je m’activais davantage aspirant de toutes mes forces son anneau, enfonçant ma langue à me faire mal. Anne cria et explosa, expulsant comme à son habitude des quantités impressionnantes de mouille que je sentais couler sur mes cheveux et dans mon dos. La femme en noir m’ordonna de continuer mon traitement et je lui obéis. Anne se tordait de plaisir sous ma langue, elle était à l’agonie quand la femme en noir me dit de me relever. Le petit anneau d’Anne était luisant de plaisir et dégoulinant de salive, de cyprine et de ses sécrétions anales. Je passais ma langue sur mes lèvres avant de reprendre place comme la femme en noir me l’avait ordonné.



La soubrette arriva et m’attacha à la table puis sur les ordres de la femme en noir elle prit une corde et me ficela à la table. Je ne pouvais plus bouger, elle avait immobilisé mon torse et enserré mes seins, faisant jaillir ma poitrine. Elle avait ensuite ligoté mes cuisses pour les écarter davantage avant de placer sur mes grandes lèvres de grandes pinces à bout large. Elle était délicate et les pinces assez larges n’étaient finalement pas si douloureuses. Elle accrocha ensuite les pinces aux cordes qui enserraient mes cuisses avec des chaînettes, m’écartant ainsi les grandes lèvres au maximum. Ensuite le médecin mit sur mes tétons deux petites pinces reliées à un fil bleu et rouge, puis plaça sur mon clitoris une bande adhésive de laquelle sortait aussi un fil bleu et rouge. J’étais inquiète, il le vit et me sourit.



Et je tournais doucement le bouton. Je sentais de légers picotements ça chatouillait un peu, je tournais encore un peu, je sentais des fourmillements. Le médecin me prévint que maintenant il reliait également les deux tubes métalliques occupant mon sexe et mon anus. Je bondis instantanément. C’était incroyable, comme si mille langues s’activaient sur mon corps. Je tournai encore un peu le bouton, c’était presque douloureux mais je ne pouvais plus m’arrêter, je criais sans retenue. La femme en noir proposa au médecin de me bâillonner et bientôt je sentis un contact contre ma bouche, mais ce n’était pas un bâillon, c’était un sexe tendu que j’engloutissais avec joie. Un des hommes nous avait rejoints et agilement se plaça accroupi au-dessus de moi pour me présenter sa queue. Je l’embouchais, le pompais, aspirais ses couilles, je le léchais risquant même un coup de langue entre ses fesses. Il appréciait mon attention et je le léchais avec application avant de le reprendre en bouche. Il éjacula sur mon visage, et mes seins. Je jouis en quelques secondes. Anne me regardait, envieuse alors que je nettoyais la queue poisseuse de mon bienfaiteur tremblant de tous mes membres.


Le médecin me libéra, enleva les appareils et mes pinces. Puis la soubrette me libéra. Je descendis de la table. Elle m’enleva son collier et passa une longue tige de métal derrière mon cou sur lequel elle referma un cercle métallique, m’emprisonnant puis elle attacha mes poignets aux extrémités de la barre métallique. J’étais entre leurs mains, Anne aussi, je le sentais et nous ne pouvions plus reculer.