n° 08591 | Fiche technique | 11475 caractères | 11475Temps de lecture estimé : 8 mn | 03/02/05 |
Résumé: Entre leurs mains | ||||
Critères: ff fhhh fsoumise fdomine soubrette exhib vidéox photofilm odeurs facial fellation cunnilingu anulingus fist double fdanus fsodo attache bondage yeuxbandés fouetfesse piquepince | ||||
Auteur : Fabienne (Fabi) |
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Ensuite, la femme en noir me désigna à la soubrette qui m’emmena dans une autre pièce. Elle m’indiqua une chaise en bois un peu bizarre et je m’assis docilement. Elle passa son doigt sur mon visage maculé de sperme et le goûta. Je soupirais, elle sortit me faisant signe de ne pas bouger. Un long moment après Marjorie arriva, elle lécha mon visage avant de me faire partager le sperme ainsi récolté en m’embrassant. Elle s’assit en face de moi. Elle était vraiment désirable dans sa robe rouge.
Et Marjorie quitta la pièce. Je la suivais cognant la barre de fer qui emprisonnait mon cou et mes poignets aux murs du couloir. Nous entrâmes dans une pièce peu éloignée de la salle où se trouvait Anne. Deux moniteurs vidéo me permettaient de la voir, elle était toujours écartelée sur la table gynécologique. La soubrette était entre ses cuisses et sa main disparaissait presque entièrement dans son sexe. Mon amante se tordait de plaisir sous l’assaut appliqué de la jeune femme. La femme en noir s’approcha munie d’une petite cravache et lui asséna des petits coups sur les seins. Je n’en revenais pas, Anne en redemandait, elle se cambrait pour présenter ses seins, elle bombait le torse autant que ses liens le lui permettaient. La femme en noir fit signe à la soubrette qui se retira puis elle fit coulisser le manche de la cravache dans le sillon béant d’Anne. Elle lui demanda quelque chose, Anne remua les lèvres et le premier coup tomba sur sa chatte. Comme avant Anne se cambrait pour offrir son intimité aux coups secs. La femme en noir s’arrêta et sortit de la pièce. Elle entra dans la pièce où nous nous trouvions et me regarda, puis dit à Marjorie de me préparer avant de ressortir.
Marjorie m’enleva la barre de métal et m’emmena vers une chambre située à l’étage. Elle me désigna la douche et m’invita à me laver. Je profitais de l’occasion pour lui demander où étaient les toilettes. Marjorie ne me répondit pas et me dit de me presser. Une fois lavée et séchée, elle me montra des vêtements qu’elle avait préparé pour moi. Une jupe courte et une veste de tailleur échancrée, des bas noirs, un porte-jarretelles, un bustier noir sans bretelles qui laissait voir mes tétons, un string fendu ne cachant rien de ma chatte et des chaussures à talon noir. Pendant que je m’habillais, la femme à la caméra nous avait retrouvées et filmait ma préparation. Marjorie me plaça un fin collier d’acier autour du cou et le referma à l’aide d’un cadenas. Je sentais la toile de la veste de tailleur contre la pointe de mes seins. Elle m’embrassa, je lui rendis son baiser et passais mes bras autour d’elle. Elle me repoussa brusquement puis elle se mit en face de moi.
Marjorie m’emmena dans un grand salon lumineux, meublé avec goût et me dit de rester debout au milieu de la pièce. Cinq minutes après, elle revint et me banda les yeux. Je sentais la présence de la femme à la caméra et celle de Marjorie. Puis un bruit de pas se rapprocha. Je sentis des mains se poser sur mon corps. C’étaient des mains d’hommes, elles étaient caressantes. Marjorie m’ordonna d’écarter les jambes et les mains se glissèrent aussitôt sous ma jupe ne tardant pas à trouver mon sillon. Marjorie me demanda de me pencher pour montrer mon cul. Les mains me malaxaient les fesses, je sentis un doigt devant ma bouche je le léchais, l’enduisant bien de salive car je devinais bien ce qui allait m’arriver. Je ne tardais pas à sentir un doigt me fouiller. Des mains se saisirent de ma tête pour la redresser. Je sentis quelque chose de chaud sur mon visage. Un des hommes promenait son sexe tendu sur mon front, mes joues, mon menton et évitant ma bouche. Marjorie m’ordonna de le sucer et je n’hésitais pas à m’exécuter. Je retrouvais sur son sexe un goût spécial que je connaissais bien. Il venait certainement de prendre Anne. Je m’appliquais excitée par cette idée. Il prit ma tête entre ses mains pour me forcer à le sucer à fond. Des doigts s’activaient toujours dans ma chatte et mon cul pendant qu’on me baisait la bouche. On me malaxait les seins, triturant sans ménagement mes pointes. L’homme que je suçais explosa dans ma bouche. Je buvais le précieux nectar jusqu’à la dernière goutte. On me redressa pour me débarrasser de ma jupe et de ma veste. Puis Marjorie m’ordonna de m’accroupir et de laisser mes mains dans le dos. On me présenta de belles hampes que j’embouchais docilement. Je léchais, aspirais, suçais, mordillais espérant recevoir leur sperme dans ma bouche. Je sentais des formes et de goûts différents, chaque queue était une découverte. Je comptais quatre sexes et passais de l’un à l’autre. Marjorie m’ordonna de me relever et les quatre hommes me soulevèrent et m’allongèrent sur une table jambes écartées, offerte. Je sentais le parfum de Marjorie près de moi.
C’était le signal, les quatre hommes m’ont prise comme une chienne, brutalement, ils défonçaient ma chatte, mon cul, ma bouche. Ils étaient infatigables, je n’en pouvais plus, je leur criais de m’enculer, de me défoncer, j’étais leur chienne, leur pute. Ils éjaculèrent tour à tour dans ma bouche, j’avalais tant que je pouvais mais un long filet de sperme coulait le long de ma gorge. Marjorie m’enleva mon bandeau souillé et je voyais sortir les quatre hommes qui m’avaient donné tant de plaisir. Marjorie me dit de me mettre couchée au bord de la table et de soulever mes jambes. Elle m’attacha ainsi à l’aide d’une corde de nylon qu’elle avait fait passer entre mes seins, les comprimant. Anne entra, elle avait les yeux bandés, elle était vêtue d’un harnais de cuir enserrant sa poitrine, une lanière disparaissait dans sa chatte. Je voyais sur sa peau blanche les marques de la cravache. Ses chevilles et ses poignets étaient munis de bracelets métalliques tout comme son cou. Elle portait également des chaussures à talons. J’espérais que Marjorie nous ordonne de nous gouiner mais deux hommes firent irruption dans la pièce et forcèrent Anne à s’agenouiller puis à sucer leurs sexes. Anne n’était plus qu’une esclave entre les mains de Marjorie qui, la tirant par les cheveux, guidait sa fellation. La femme à la caméra continuait à tout filmer comme si de rien n’était.
Puis les deux hommes s’approchèrent de moi et me pénétrèrent tour à tour. Ils étaient bien plus gros que leurs prédécesseurs et je craignais qu’il ne se contentent pas de ma chatte. Pendant ce temps, Anne léchait Marjorie qui avait quitté sa robe et qui lui présentait sa chatte. Je pouvais enfin admirer son corps, ses belles jambes gainées de rouge. Après m’avoir limée jusqu’à l’épuisement sans jouir, les deux hommes s’écartèrent de moi. Marjorie défit la lanière de cuir qui comprimait le sexe ruisselant de mon amante. Un des hommes s’assit dans un large fauteuil et guida Anne pour qu’elle s’empale sur sa queue. Le deuxième s’approcha et sans ménagement poussa Anne vers l’arrière et lui faisant face la pénétra en même temps. Anne poussa un cri de surprise, la chatte écartelée par deux bites. Elle ne tarda pas à pousser des gémissements de plaisir alors que Marjorie lui pinçait les tétons, les faisant tourner entre ses doigts. Anne éclata en râlant libérant des flots de mouille impressionnant.
Les deux hommes n’avaient toujours pas joui et ils revinrent vers moi. Ils caressèrent mon anus et je commençais à m’inquiéter un peu. Marjorie fit venir Anne entre mes cuisses et lui ordonna de me lécher le petit trou. Anne n’hésita pas une seconde et me lécha avec application, faisant rentrer sa langue au maximum en moi. Ensuite un des hommes se présenta devant mon oeillet luisant de salive et de mouille et commença à me pénétrer. En même temps Marjorie s’accroupît au-dessus de mon visage et plaqua son entrejambes contre ma bouche. Je ne me fis pas prier et dégustais sa chatte et son cul alors que l’homme avait passé son gland dans mon cul. Marjorie lui dit de bien m’enculer et ordonna à Anne de s’occuper de mes seins. Je ne savais plus où j’étais, mon anus déchiré par cette queue énorme, mes seins léchés, aspirés et triturés par mon amante et le sexe de ma maîtresse sur ma bouche. L’homme entra d’un coup et resta en moi, je crus défaillir, la douleur laissa place à une chaleur agréable et il commença à me limer. Puis il laissa la place à son comparse qui me pistonna vigoureusement. Mes cris étaient étouffés entre les jambes de Marjorie. Anne me pinçait maintenant le clitoris entre ses doigts, de plus en plus fort, glissait ses doigts dans ma chatte en feu pendant que les deux hommes me défonçaient le cul. Je jouis à plusieurs reprises, mes étalons étaient à toute épreuve, ils n’avaient toujours pas éjaculé et restaient durs comme du fer. Marjorie leur dit de finir et le premier explosa dans mon cul alors que le deuxième explosait sur les seins d’Anne qui le branlait. Nous étions maculées de sperme et une fois libérée, Marjorie me fit nettoyer la poitrine de mon amante. Je ne me fis pas prier et léchais amoureusement tout ce nectar. Ensuite Anne nettoya mon anus et partagea un long baiser avec Marjorie.
La femme en noir entra et nous dit que nous nous retrouverions en d’autres occasions puis sortit et Marjorie la suivit. Nous étions seules, plus un bruit ne se laissait entendre dans la maison. J’enlevais le bandeau des yeux de mon amie. Epuisées nous nous embrassâmes et nous nous écroulâmes dans un canapé, enlacées.