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n° 08553Fiche technique9276 caractères9276
Temps de lecture estimé : 6 mn
28/01/05
Résumé:  Jerome est le pote avec lequel j'allais à la piscine. Après quelques exercices, je découvre avec lui le plaisir de me branler avec un autre mec... et quel plaisir !
Critères:  h hh hbi piscine hmast init
Auteur : David Swim      

Série : Mon pote Jérôme

Chapitre 01 / 02
Une bon moment après la piscine

Jérôme était un bon pote de fac avec lequel j’allais régulièrement à la piscine. Non seulement, je le trouvais très sympas mais j’aimais beaucoup son physique : 1 m65, dans les 60 kilos, tout en muscle car il pratiquait beaucoup de sport (il était d’ailleurs ceinture noire en judo), brun, cheveux très courts, yeux marrons et un sourire vraiment craquant.

Il m’avait d’ailleurs confié qu’il regrettait vraiment sa petite taille et d’avoir un physique si banal.



Franchement, je ne me suis jamais trouvé « beau gosse ». Avec mes 1m84, 72 k, j’ai plutôt toujours pensé que je faisais grand sec, et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je tenais à me mettre à la piscine et me muscler.

J’aimais beaucoup nager avec Jérôme. Non seulement, il m’entraînait et me donnait des conseils pour mieux nager mais je pouvais aussi en profiter pour le voir en maillot de bain. Pas un poil de graisse, complètement imberbe, ses abdos étaient dessinés discrètement : il représentait ce à quoi je voulais ressembler.


Une fois que nous avions terminé nos 3 km de brasse, nous nous adonnions à divers jeux d’étirement, de musculation des bras et surtout à se faire boire la tasse, ou lutter dans le petit bassin. C’était l’occasion pour lui et pour moi de se serrer virilement.


Après nos baignades et exercices, venait le moment de la douche. Jérôme n’était absolument pas pudique, tout mon contraire. Là, où je faisais tout pour me cacher, lui, se contentait d’enlever son slip en 2 temps 3 mouvements, et sans aucune gène, exhibait sa virilité. Pour ma part, je n’osais pas regarder. La première fois, j’aperçus juste quelque chose qui « pendouillait » mais ne m’attardait pas sur son entrejambe.

A mesure que nous allions à la piscine, j’attendais avec impatience ce moment où je pourrais jeter un œil furtif et voir si son pénis était plus gros que le mien (et oui, l’éternelle comparaison).

C’est à peu près à ce moment là, que je compris que si Jérôme me plaisait physiquement, je devais très certainement l’intéresser tout autant. Je comprenais également de plus en plus ses intentions



Ma dernière réplique le fit marrer et il n’insista pas.

De retour de la piscine, nous avions l’habitude d’aller tantôt dans son quartier où il y avait de nombreux cinémas, tantôt chez moi pour se faire des jeux vidéo ou se passer un film. Ce jour là, mes parents n’étant pas là, nous décidions de nous mater un bon film d’horreur série B.

Arrivés, à la maison, Jérôme se précipita dans la cuisine pour prendre un truc à bouffer tandis que je mettais le magnéto en marche. À son retour, il me jeta un coup d’œil taquin



Aussitôt dit, je mis en route la cassette qui tomba pile sur une scène où l’on pouvait voir un mec éjaculer sur une superbe blonde



Je ne pouvais qu’acquiescer, mais je ne voulais pas perdre une miette de la scène suivante, une de mes préférées : 5 bellâtres se masturbant sur une fille brune qui attendait d’être aspergée.

Je commençais à bander. Jérôme ne quittait pas l’écran des yeux et je voyais à travers son jean, que le film avait le même effet sur lui que sur moi.



J’étais soufflé par sa question et son aplomb. En même temps, j’étais fasciné car je me demandais jusqu’où cela nous mènerait.



Jérôme esquissa ce sourire ravageur qui dévoilait tout son charme et s’exécuta aussitôt. Il enleva son T-shirt pour dévoiler ce torse imberbe que je connaissais trop bien, puis son jean, ne conservant que son caleçon et une bosse bien dessinée qui marquait l’empreinte de son sexe bien raide. Il entrouvrit son caleçon pour faire sortir son pénis dur décalotté par la force de son érection.



C’était extraordinaire, je voyais pour la première fois un mec, en vrai, se branler. Son sexe me paraissait beaucoup plus gros que le mien, il était vraiment droit, comme un pieux sans aucune courbure, épais, car il semblait bien l’avoir en main.

Ma réaction fut immédiate. Je fis tomber également mon t shirt et mon pantalon ainsi que mon caleçon.

Jérôme se branlait lentement, et ne regardait plus que moi. Il enleva complètement son caleçon et je découvris alors qu’il avait très peu de poils au niveau du sexe. Plus tard, il m’avoua d’ailleurs qu’il préférait se raser les testicules ainsi que légèrement le pubis.



Mon excitation était à son comble, à mesure que je me branlais, je sentais le désir insoutenable monter en moi. Je reluquais son corps magnifique, sa bite si raide, ses couilles bien pendantes qui oscillaient avec le va-et-vient effréné de sa main droite. Je sentais sa respiration qui s’accélérait. Sa main gauche caressait son torse, ses tétons, saisissait ses testicules.



A ce moment précis, je vis ses abdos se contracter, son visage se crisper, et une première giclée de sperme atterrit à hauteur de son sein gauche. Elle fut immédiatement suivie de 2 autres jets tout aussi puissants qui vinrent s’étaler sur son bras gauche, puis une nouvelle rasade de semence jaillit de son pénis bien ferme et finit sa course sur ses abdos. Son sperme était très blanc et épais, il termina son éjaculation par 2 petites giclettes qui dégoulinaient de sa main droite vers son nombril.

J’étais abasourdi de voir mon pote jouir ainsi devant moi, mais je ne pouvais plus retenir mon désir. J’étais tellement excité que mes couilles me faisaient mal. Contrairement aux siennes qui étaient bien pendues depuis le début, les miennes étaient relevées, complètement collées à la base ma verge. J’avais l’impression que mon sexe allait exploser tellement j’avais envie de jouir. Au moment où Jérôme se remettait de son orgasme, je me vidais littéralement les couilles. Le sperme jaillit de ma bite avec violence et vint finir sa chute sur mon épaule gauche pour la première giclée. Le deuxième jet fut tout aussi puissant et atterrit sur mon sternum. Au bout de 5 autres giclées, mon torse était recouvert de ma semence tiède. Elle était moins consistante que celle de Jérôme, plus claire et plus légère surtout et c’était peut être la raison pour laquelle j’avais éjaculé plus fort que lui.



J’étais épuisé mais toujours excité de voir son corps saillant, son pénis débandé et ce sperme si épais répandu sur son corps. Je fantasmais à me masturber sur son torse virile.

Nous reprenions nos esprits et décidâmes aussitôt de nous doucher…


… un autre moment torride qu’il me faut vous raconter !