n° 08630 | Fiche technique | 15511 caractères | 15511Temps de lecture estimé : 9 mn | 10/02/05 |
Résumé: Ce texte est la suite de "Une bon moment après la piscine..." et raconte le plaisir intense d'une amitié bien virile sous la douche. | ||||
Critères: hh hbi jeunes copains douche voir intermast init | ||||
Auteur : David Swim |
Épisode précédent | Série : Mon pote Jérôme Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Mon meilleur pote Jérôme, et moi venions de nous masturber devant un film érotique. C’était pour tous les deux la première fois que nous nous adonnions à un tel exercice.
Nous avions tous deux éjaculé violemment sur nos torses, excités de voir l’autre s’astiquer le membre et jouir abondamment. Nos jus commençaient déjà à sécher, nous reprenions nos esprits et décidâmes aussitôt de nous doucher.
Jérôme se leva et se dirigea vers la douche, je le suivais sans vraiment réfléchir à ce que je faisais. Il pénétra sous la douche et se retourna à mon attention…
Il eut ce même sourire qui illuminait tout son visage, le rendant si craquant.
Si proche de lui, je commençais déjà à ressentir une nouvelle excitation. Pourtant, il ne faisait absolument rien pour m’émoustiller. Je crois que tout comme moi, il pensait encore à ce que nous avions fait, ce tabou que nous avions violé en pratiquant la masturbation sans aucune pudeur.
Jérôme me tournait le dos pendant qu’il se savonnait, et j’admirais l’eau chaude qui coulait le long de son corps imberbe. C’était amusant, mais bien que le voyant régulièrement en slip de bain à la piscine, je n’avais pas remarqué à quel point sa peau semblait si douce. Une irrépressible envie de caresser son épiderme me saisit et je faisais tout pour calmer cette ardeur. Mais qu’est-ce qui m’arrivait ?
Jérôme me fit face.
J’étais tellement heureux qu’on ressente la même chose… Jérôme devenait le frère que je n’avais jamais eu… quelqu’un avec lequel je puisse parler de sexe, de branlette sans tabou.
Jérôme approcha sa main de ma poitrine pour sentir mon pouls. Je crois que son geste était innocent, mais ce fut un nouveau déclencheur.
Je fixai du regard l’eau qui ruisselait sur lui. Les gouttes d’eau s’arrêtaient à la pointe de ses seins qui étaient très petits, beaucoup moins large que les miens. Par contre ses tétons étaient beaucoup plus marqués que chez moi. Ils pointaient fièrement et culminaient au sommet de ses pectoraux si bien dessinés. Je ne pouvais plus résister. Je sentais à nouveau mon pénis qui se gonflait et j’avais besoin de le toucher.
Je levai ma main droite et l’appliquai sur son cœur. Je sentis son sein dur sous la paume de ma main et je commençais doucement à descendre mon index et mon majeur au sommet de sa poitrine. Sa peau était vraiment douce, c’était enivrant. Mes deux doigts effleurèrent son téton et commencèrent un mouvement circulaire très doux. Jérôme se mit aussitôt à respirer plus fortement, et je sentis aussitôt qu’il bandait : son chibre se dressait, incroyablement raide entre nous deux.
Je continuai mes caresses très légères sur son torse humide. Je voyais comme il prenait du plaisir à chacun de mes effleurements de ses tétons. Le contact de mes doigts, les très légers massages circulaires sous l’eau chaude autour de ses embouts si durs, déclenchaient à chaque fois un frémissement de tout son corps. Son pénis réagissait avec tout autant de vigueur. Son gland s’était décalotté et je voyais que sa verge se tendait à chaque caresse de son téton. Avec ma main gauche, je saisis le bout de son sein droit et commençais à effectuer le même type de mouvement qui l’amenait peu à peu à la jouissance.
Jérôme, me regarda de ses yeux marrons perçants et sembla vouloir me demander une réelle faveur.
Il me tourna alors le dos, m’invitant à ce que je le branle par-dessus ses épaules.
Comme j’étais plus grand de presque une vingtaine de centimètres, ça ne me posait aucun problème. Je me collais derrière lui, mon pénis bandé, qui me faisait mal tellement il était tendu, collé au niveau de sa taille. Je mis mes bras autour de son torse finement musclé, comme si j’allais le serrer fort contre moi. Je repris tout d’abord le massage de ses petits tétons si arrogants qui pointaient à chaque sollicitation de mes doigts. Bon sang ! Comme c’était agréable de sentir ses seins frémir. Ses pectoraux se crispaient au contact de ma main et rendaient son torse encore plus sexy.
J’appuyais ma tête sur son épaule gauche, pour avoir une vue plongeante sur son corps merveilleux que j’enviais tellement. Puis, je descendis ma main droite le long de ses abdos qui se contractèrent immédiatement : l’excitation était à son comble. Je m’attardais quelques instants sur chaque abdo, les effleurant, les dessinant de mes doigts, les comptant un à un.
Pour la première fois, je touchais un homme qui éprouvait un réel plaisir à chacune de mes caresses. Je profitais de ce corps qui ne m’appartenait pas mais auquel je voulais tant ressembler. J’aurais tant aimé être aussi bien sculpté.
Je sentis la main gauche de Jérôme au niveau de mes fesses et de ma taille qui marquait son impatience…
Alors je saisis sa bite de ma main droite. Quelle sensation ! Je tenais le sexe d’un autre mec…
Elle était incroyablement dure !
De par nos positions respectives, j’avais presque l’impression de me branler moi-même, et pourtant, c’était la verge de Jérôme que je commençais doucement à branler.
Son pénis n’avait aucune courbure, tout simplement rectiligne, et se terminait par un gland pulpeux, et très gonflé. Avec les mouvements de va-et-vient, je commençais à mieux évaluer sa taille. En fait, sa bite était un peu plus courte que la mienne, mais par contre, plus épaisse c’était indéniable. Je l’avais mieux en main, et cette pensée me fit bander encore de plus belle.
Je le branlai et le branlai encore, comme si c’était moi que j’astiquais. Avec ma main gauche, je parcourais son torse et je sentais que chaque mouvement sur sa verge le rapprochait de la jouissance absolue.
Je me mis à lui caresser les couilles, si bien pendues, rasées, et je jouais avec ses testicules en les faisant rouler doucement. J’avais l’impression que malgré notre branlette dans le salon, il allait encore m’étonner.
Ses paroles m’excitaient de plus belle.
L’eau et le savon faisaient un excellent lubrifiant. Je me concentrais sur son gland. J’essayais le plus possible de faire jouer la paume de ma main autour de la cime de sa pine dont la peau si lisse, si tendue était des plus sensibles (c’était aussi comme ça que j’avais mes meilleurs orgasmes).
Je m’étonnais moi-même de mes paroles. Il y avait encore deux heures, jamais nous n’aurions parlé si librement. C’était libératoire pour moi, mes pensées se mêlaient à mes propres fantasmes. J’essayais de savourer chaque instant : je branlais un autre mec et je voulais que son plaisir soit à la hauteur du mien.
Je sentis ses couilles qui se rétractaient, un frisson le parcourut jusqu’à la pointe de ses seins et d’un seul coup, son pieu devint encore plus dur. Je n’eus pas le temps de faire un nouveau mouvement de va-et-vient qu’un violent jet de sperme gicla de sa pine. Alors que je continuais à la branler, Jérôme poussa un profond « Ouiiiiiiii… hannnnn….. » et 5 ou 6 nouvelles giclées jaillirent. J’avais plaqué ma main gauche tout le long de ses abdos et je pouvais ressentir chaque tressautement qui l’animait, au moment de son éjaculation si forte.
Il m’accompagna de sa main gauche, comme s’il voulait se finir. Ainsi, sa main sur la mienne, nous n’arrêtions pas le mouvement de branle qui lui provoquait un plaisir si intense.
Je le sentis s’appuyer un peu plus contre moi : la jouissance devait être si soutenue qu’il ne pouvait presque plus tenir sur ses jambes.
Son sperme, bien blanc, épais, dégoulinait le long de ma main et j’étais presque déçu que l’eau commence déjà à effacer la trace d’un si bel orgasme.
Il ramena ses mains sur son torse, se caressa, se pinça les tétons alors que je continuais le mouvement, le décalottant et jouant avec son prépuce pour que la dernière goutte de sa semence, qui me faisait pensait à une gelée très blanche, puisse s’échapper. Son pieu commençait à ramollir et me semblait étrangement lourd. Mais surtout, je constatais que ses couilles s’étaient collées à la base de sa queue. Elles formaient presque un tout continu avec son sexe. Très vite, je perçus que le mouvement de branle déclenchait chez Jérôme des sortes de spasmes. Sa respiration s’était accélérée et il avait du mal à parler… J’avais presque l’impression que son corps aurait encore voulu éjaculer mais qu’il n’avait plus de jus.
Jérôme se retourna alors vers moi après avoir éteint l’eau. Il reprenait ses esprits. Sa jouissance m’avait donné une trique incroyable. Je crois que c’est un des moments où j’ai eu ma plus forte érection : vous savez, ces instants où vous avez l’impression que vous avez un sexe énorme, vous pourriez dominer n’importe quoi. C’en était presque douloureux tellement je bandais fort.
Il se mit alors à genou. Je crois qu’il voulut dans un premier temps me sucer ou embrasser mon sexe, mais il se retint et commença alors un mouvement affirmé de va-et-vient.
Ma bite était incroyablement raide. Avec la chaleur, mes couilles pendaient et oscillaient à chaque fois qu’il me branlait.
Il commença à jouer avec mes testicules, mais sa main gauche remonta assez rapidement au niveau de mes seins. Il exécuta le même type de mouvement circulaire que j’avais pratiqué sur lui, plus large car la circonférence de mes tétons était plus importante…
Immédiatement, le désir devint quasi insoutenable. Je sentais la sève qui s’accumulait dans mes couilles ballotantes et qui ne demandait qu’à évacuer. J’accompagnai son massage au niveau de ma poitrine, puis passai une main dans ses cheveux courts, pour l’inciter à continuer à m’astiquer aussi bien. À chaque mouvement habile de sa main droite sur mon pénis, j’avais l’impression qu’il augmentait la pression dans tout mon corps.
Soudain, et Jérôme le sentit aussitôt car il saisit mes couilles fermement, une vive décharge s’exprima à la fois au niveau de ma prostate et dans toute ma bite. Jérôme se mit alors à serrer doucement la base de mon sexe, formant un anneau avec le pouce et l’index, juste au niveau des couilles, comme pour m’empêcher d’éjaculer.
Ce fut à la fois une douleur et une incroyable jouissance. J’eus l’impression que l’orgasme durait beaucoup plus longtemps. Au moment où Jérôme lâcha la pression autour de mon zob, la jouissance fut particulièrement intense.
Jamais, je n’avais ressenti une telle sensation. Mes jambes plièrent quasiment sous le poids de mon orgasme et Jérôme dut me retenir légèrement pour ne pas que je vacille.
Mon foutre jaillit avec une force que je n’avais jamais vue auparavant et que je n’imaginais pas possible. De nombreuses giclées de sperme passèrent par-dessus son épaule, puis enfin, je continuai à me vider les couilles sur son torse. Il semblait prendre du plaisir à me voir littéralement l’asperger de mon jus. Je m’appuyai sur ses épaules et admirai mon sperme, clair, léger, dégouliner de son cou, le long de sa poitrine et entrer en contact avec ses tétons si désirables.
J’étais épuisé.
Je m’étais déjà branlé deux ou trois fois de suite en solo, mais jamais en ressentant un plaisir si marqué…
Après cette branle réciproque sous la douche, je peux vous dire que j’ai toujours cherché à renouveler ce type d’expérience avec un mec. Jérôme et moi avons refait une seule fois une branle à deux, puis plus rien..
Cette histoire s’est passée il y a plus de huit ans maintenant. Jérôme est parti en province et nous avons perdu contact. Avec du recul, je crois que nous avons pris peur de nous lancer dans une relation qui dépassait l’amitié.
Maintenant, je sais que j’ai vécu quelque chose de formidable : une relation de complicité masculine privilégiée.
Hétéro dans ma sexualité, j’ai tout de même cherché à retrouver un pote avec lequel je pourrais connaître de tels plaisirs, mais une telle relation de confiance n’est pas aisée à établir. Trouver un mec, un ami, avec une attirance physique réciproque, relève de l’utopie… mais qui sait ?