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Petite annonce 5

Série No 5, dernière de cett série :

Entre son travail et les week-ends, il place une annonce et gère les courriers électroniques entrants. Je n’ai pas accès à quoi que ce soit, il me l’a interdit et je j’accepte de jouer le jeu. Voilà que tout est réglé et m’indique la journée de la rencontre.

Le jour venu, il s’assure à nouveau que la caméra est bien fonctionnelle, tout est parfait. Il a aussi prévenu mon partenaire que je n’ai aucun détail sur son âge, sa grandeur ou quoi que ce soit. Donc, je suis très nerveuse car j’ai aucune idée du type qui s’en vient à la maison.

Ça sonne à la porte, je regarde l’heure, ça doit être lui

• — Bonjour Florane, je viens pour l’annonce
• — Ne reste pas là, entre

Pas d’erreur sur la personne. Il semble un peu plus jeune que moi, mais de peu, il porte un pantalon de cuir, j’aime ça, je trouve ça sexy.

• — Viens avec moi, je te montre le chemin

Arrivés dans la chambre, il enlève son manteau long. Je découvre un homme avec le torse nu, un pantalon de cuir particulier, càd, les fesses à l’air et le devant aussi… Il a aussi un petit sac que je n’avais pas remarqué lorsqu’il est entré. J’ai presque la trouille, mais comme mon mari nous regarde, je sais qu’il viendra si ça tourne mal.

• — J’espère que tu n’as pas un fouet dans ton sac?
• — Non, de la corde!
• — Tu veux m’attacher? (et j’éclate de rire )
• — Certainement !

Tiens donc, je trouve cela amusant!

• — Florane, je veux que tu te déshabilles
• — Comme ça, là là ?
• — Si, ensuite tu t’étendras sur le lit

Je m’exécute, il est assis et je ne remarque aucun signe d’excitation de sa part. Je prends place sur le lit en prenant soin de bien me positionner pour que la caméra capte tout. Le voici qui vient vers moi et m’attache les poignets, je remarque que son sexe prend vie, ensuite il m’attache les chevilles. Oh, le monsieur aime ça, car son petit membre est encore plus vivant!! « Maintenant, tu es tout à moi ». Sans enlever son pantalon, il s’installe à genoux, jambes écartées au-dessus de moi, se penche et me tenant les bras et me place ses couilles presqu’en plein visage. Je les caresse avec ma langue du mieux que je peux étant donné le peu de mobilité que j’ai, ensuite, il se prend la queue et me la flanque dans la bouche. Je n’ai aucun contrôle sur la situation, c’est lui qui fait des vas et viens dans ma bouche et comme son sexe est assez long, il m’étouffe quasiment.

Ça dure un bon moment, il me semble que j’ai de la difficulté à garder ma bouche ouverte. Enfin, il se retire, je le suis des yeux et je ne parle pas, il enlève son pantalon et fouille dans son sac. Il en retire un tube, l’ouvre et en fait sortir la substance, on dirait de la crème, oui, c’est de la crème.

Je présume qu’il a sorti un gode du sac et va me l’enfiler dans un trou quelconque, ça me réjouis. Toujours allongée sur le dos, il me redresse les jambes et les écartes, il dépose la crème et glisse ses doigts pour en appliquer jusqu’à mon trou du cul. Yes! Alors, il va me la mettre dans le cul, ça m’excite beaucoup.

Il me replace les jambes sur la longueur, dépose le sac sur le lit et se place jambes écartées par-dessus moi et m’enfile sa longue queue entre mes cuisses et ma vulve, puis trouve son chemin jusque dans ma chatte. Ça coulisse à fond, je l’emprisonne en serrant les fesses et les cuisses, son sexe dur et long réchauffe mon intimité et chatouille mon clito à chaque mouvement. Je relâche un peu pour ne pas jouir, il me pistonne avec son sexe énorme et malgré tout, ça chatouille quand même mon clitoris,

• — Arrête un peu veux-tu?
• — Je te l’ai dit que tu étais toute à moi
• — J’vais jouir tout de suite sinon
• — C’est pas ce que tu voulais? Avoir un homme pour combler ton vide sexuel?

Après avoir entendu ces derniers mots, je resserre les fesses et les cuisses, mon clitoris, toujours stimulé par les mouvements de son sexe, se gonfle de plus en plus. Je me tortille, je gémis, il arrête,

• — Non, non, ne t’arête pas
• — Supplie-moi…
• — Je t’en supplie, continue que je jouisse

Satisfait de ma demande, il continue et ma petite perle bien gonflée explose. Il ne s’arrête pas et s’enfonce toujours en moi sans retenu, se retire et éjacule sur ma poitrine. À ma grande surprise, il se penche et lèche tout, suçant en même temps mes seins, puis il m’embrasse.

• — Tu me détaches maintenant ?
• — Non, je te l’ai dit que tu étais toute à moi !

Il me retourne à plat ventre, parfait, je suis toujours en bonne position pour la caméra. Il me retrousse le fessier, disons plutôt que je me retrouve les genoux sur le lit et je suis appuyé sur mes avant-bras. Sans gêne, il entre son majeur dans mon trou du cul, ouf, on repassera pour l’accueil ! Avec la crème, c’est sans difficulté qu’il l’enfonce, presque immédiatement, il insère 2 doigts. « vas-y mollo ». Il en fait qu’à sa tête et pendant qu’il me fourre avec ses doigts, il sort quelque chose de son sac, je souhaite qu’il y aille plus modérément avec le gode et je sens un tout petit truc s’introduire, puis le diamètre devient de plus en plus imposant, c’est un « plug ». En faisant de petits vas et viens, il le pousse toujours un peu plus loin à chaque fois. La sensation est assez agréable, puis lorsque je suis sur le point de l’absorber complètement, il l’enlève. Décidément, alors, je refais son petit jeu en le suppliant de continuer, il ne me répond pas.

Il fouille encore dans son sac, je sens un truc à l’entrée de mon cul, ça semble gros et essaie de l’introduire « Hé oh, c’est quoi ce truc? », « une belle grosse courge ma chère Florane ». Il me l’enfonce lentement, je ressens de la douleur, mais j’essaie de me décontracter pour mieux apprécier. C’est curieux comme sensation et ça semble énorme, « Tu me fais mal, arrête » « Tout à moi, j’ai dit ». Il reprend de la crème et me graisse généreusement le cul, il continue, je grimace et ressens de la douleur. Il coulisse la grosse courge sur toute sa longueur et mon trou commence à l’accueillir un peu plus aisément, il me bourre le cul sans cesse avec cette queue végétale, tellement, que sa texture et sa rigidité commence à changer.

Lorsqu’il la retire, ça me fait un bien énorme et je me replace à plat ventre. Je le sens qui s’installe à nouveau les jambes écartées au-dessus de mes hanches, il me plante sa queue dans le cul. J’apprécie mieux le diamètre, je voudrais écarter les fesses pour le sentir plus profondément en moi, mais mes attaches m’en empêchent. Il me lime le trou, j’aime ça et je suis aux anges car la caméra ne perd rien. Il est infatigable, ses mouvements sont réguliers et sans arrêt, je commence à être épuisée et commence à souhaiter que ça achève.

Il se retire et me redresse encore une fois le bassin. Debout sur le lit, il se rabaisse un peu et me bourre le cul à nouveau, il m’écarte les fesses pour m’enfoncer sa bite encore plus profondément. Je sens ses couilles frapper contre mes fesses, il va-et-vient toujours sans relâche, je n’en peux plus. Non, mais est-ce qu’il va me pistonner comme ça encore longtemps? C’est interminable…

Son rythme change, son souffle aussi, à nouveau j’ai le sentiment d’être la chienne de cet animal, mais cette fois-ci, la chienne ne veut plus jouer. Toujours plus profondément, toujours plus vite, puis un gémissement sort de sa bouche pendant que ses jets remplissent mes entrailles. Encore quelques mouvements, et nous tombons sur le côté.

• — Détache-moi stp
• — Tu crois que ton mari va aimer ?
• — QUOI ?
• — Tout était planifié ma belle Florane, c’est toi la vedette aujourd’hui !

J’ai une colère qui m’envahie et j’ordonne à mon partenaire de me détacher. Il le fait immédiatement. Le cul endolori, je quitte la pièce et me réfugie à la salle de bain. Je me coupe d’eux, je barre la porte et me fais couler un bain. J’entends la porte extérieure se fermer et mon mari veut venir me rejoindre. Je suis tellement en colère que je ne réponds pas.

Lorsque je sors de la salle de bain, je lui demande de ne pas m’adresser la parole. Il respecte mon choix et réalise sa bêtise. Le week-end passe et il retourne travailler à l’extérieur.

Lorsqu’il revient, ma colère est disparue, mais nous évitons le sujet. Le soir venu :

• — Je voudrais voir l’enregistrement
• — T’es pas obligée
• — Je veux le voir je t’ai dit
• — D’accord et je supprimerai cet enregistrement si tu le désires.

Nous nous installons devant l’ordinateur et il démarre la lecture. Je regarde et reste muette. La baise captée par la caméra donne une tout autre vision à cet acte, je dois avouer que j’aime ça.

• — Comment tu trouves ça Florane ?
• — C’est bien
• — C’est bien ? C’est pas bien, c’est super, j’adore, je t’adore

Nous écoutons l’enregistrement jusqu’à la fin et faisons l’amour comme des bêtes tellement nous sommes excités.

Mon mari ne m’a jamais redemandé un truc pareil, à vrai dire, il filme de nouveau, mais ce sont nous les acteurs !

Nous avons retrouvé une relation amoureuse, harmonieuse et stimulante. Comme quoi la vie nous réserve des surprises parfois !

Florane