n° 08594 | Fiche technique | 21886 caractères | 21886Temps de lecture estimé : 16 mn | 05/02/05 |
Résumé: La découverte des qualités de ma nouvelle colocataire. | ||||
Critères: fh frousses noculotte strip fmast anulingus fdanus fsodo | ||||
Auteur : Ed Benelli (Pésentation? Auteur en devenir!) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mes petites aventures de locataire Chapitre 01 / 07 | Épisode suivant |
J’habite Montréal depuis deux ans déjà. Je suis universitaire et j’en ai pour encore un moment à vivre en appartement en colocation avec des inconnu(e)s.
Alors que j’habitais encore un quartier pauvre, que j’allais déménager bientôt et que je me cherchais un appart et les colocs qui vont avec, j’ai eu un téléphone de ma grand-mère. Deux des cousines du frère de la mère de la tante du père de ses voisins (les voisins de ma grand-mère) avaient hérité d’un grand et très beau duplex dans un coin nanti de Montréal. Je viens d’une toute petite ville, si bien que ma grand-mère avait des liens directs avec les deux cousines du frère… etc. J’ai pu visiter le logement le premier.
Logement… Plutôt un paradis plus qu’abordable.
Le quartier était réputé beau, propre, paisible, un entourage fantastique. Le duplex avait une toute petite pelouse à l’avant et un tout petit terrain à l’arrière. Elles me proposèrent d’entretenir les pelouses, leur jardin (dont je profitais un peu des légumes) et de pelleter la neige en hiver pour réduire mon loyer, ce que j’acceptai sans attendre. Il y avait aussi un garage, mais j’ai pas un sous pour me payer une voiture alors je m’en balance, ma partie de garage, je décidai de la louer.
Les deux cousines avaient décidé d’habiter en haut. Ce qui me réjouissait, et vous comprendrez pourquoi. Sous le balcon qu’elles empruntaient pour grimper chez elle, il y avait la porte d’entrée. Bon. Ensuite, le « vestibule » disons. À gauche, l’escalier pour descendre à la cave. Passé la garde-robe du « vestibule », à droite, le petit couloir, qui menait à la première chambre (à gauche) et à la cuisine, à droite. Bon je vous ferai pas une pub, ni ne vous ferai saliver, elle était très bien la cuisine et très bien la chambre. À gauche, la salle de bain, plutôt correcte, mais rien d’exceptionnel. Puis, passé la cuisine, la salle à manger (à gauche) avec son passe-plat, très pratique ce passe-plat. Dans la salle à manger, la porte vitrée pour passer à la terrasse. Encore vers le fond (à droite) une autre chambre. Ensuite, au fond, le salon (à droite) et la bibliothèque (à gauche).
Le salon est très grand et très illuminé parce qu’une bay-window s’ouvre devant et en plus, une tourelle munie de trois autres fenêtres au coin offre la vue sur le côté (un parc). [Vous comprendrez que l’immeuble était d’un style ancien.] Dans le salon, la bay-window et la tourelle sont munies de bancs très confortables.
La bibliothèque. Elle faisait mon plaisir et faisait pâlir d’envie mes ami(e)s qui ne vivaient que dans de tout petits logements insalubres avec à peine une cuisine. Moi j’avais une bibliothèque. Des panneaux coulissants carrelés de vitres givrées, s’ouvrait sur une bibliothèque pas très grande, mais quand même. Dans le coin sans fenêtre, la grande bibliothèque de cèdre, une table devant et une grande banquette dans le coin opposé, faisant un mur complet et l’arrière, sous les fenêtres.
Bon, descendons à la cave. Deux chambres forment un corridor de part et d’autre. Une seconde salle de bain et Ô Dieu ! Une table de billard (mon hobby préféré). Un foyer et un bar : on fut donc tout désigné pour toutes les soirées entre amis. Ensuite, fermée d’un mur, la salle de chauffage : poêle et bois de chauffage, chauffage d’appoint et un établi.
Tout cela, je le payais à un prix dérisoire, mais quand même trop important pour moi seul. J’aurais pu ne prendre qu’une seule personne de plus pour partager les frais, mais j’optai pour trois, tout le monde y économiserait.
Je me devais donc de trouver la bonne personne à temps. J’avais un mois et demi, ce que j’estimais largement suffisant. Je ne voulais pas n’importe qui non plus et, c’est avec les clés de mon futur appartement en poche que j’allais aux différentes rencontres.
Je crois qu’en un mois, j’ai du rencontrer trente sept personnes. Je m’attendais à ce que se soit facile, mais j’ai affronté : les cons, les « nerds », les poufiasses, les trop studieux, les pas assez studieux, trois junkies qui me menaçaient de venir squatter, j’en passe.
Pour préciser, je cherche de préférence un étudiant, sympa, avec socialiser mais qui me colle pas comme une mouche, qui ont leur propre cercle d’amis, qui sort de sa chambre (il y a tellement de place) et de préférence une fille belle à regarder. Bon, j’accepte les gars, mais que voulez-vous, un gars, c’est moins propre… J’en suis la preuve vivante.
Alors bref, j’ai eu beaucoup de réponse, filles comme garçons, plusieurs tout à fait satisfaisante. La 23eme a être passée, une certaine Sandra, m’avait particulièrement plu.
Une rousse flamboyante, un beau visage, les yeux bleu pâle, un sourire charmeur et enjoué. Un corps plutôt parfait (je me trouvais d’ailleurs plutôt moche à côté). Tout à fait féminine, de bonnes formes voluptueuses là où il le fallait. Élégante cette fois, mais à la deuxième entrevue elle était plutôt sexy. Un autre point en sa faveur : elle était intelligente. Elle commençait un 2e bacc, celui-là en communications internationales. Le premier était en relations publiques… quelque chose du genre. Bref, elle avait de la conversation.
Elle partageait quelques-uns de mes hobbies : le cinéma, la bonne bouffe, la tranquillité (Ça peut être un hobby !).
Je sentais que j’allais bien m’entendre avec elle. J’avais rappelé en tous dix personnes et désolé pour les autres (nettement moins sexy) mais le corps fut ma faiblesse. Mais je sentais réellement pouvoir nouer une complicité ! D’autant plus que ce corps, je n’avais à ce moment aucune arrières pensées envers lui, il était simplement gracieux et beau.
Elle fut donc choisie. J’avais décidé de passer l’entrevue de la troisième personne avec le nouveau colocataire, question de familiariser en ce moquant des autres. Mais cette troisième personne fut choisie bien plus tard.
Le propos actuel est Sandra, cette rousse pulpeuse.
Elle a emménagé la deuxième semaine de mai. Le printemps était très doux et confortable. J’avais pu déménager sans encombre ni anicroche. Je leur ai donné un coup de main, à elle et ses trois amis.
Le soir, ses amis partis, nous nous sommes fait à souper pour communier et créer des liens. Les pâtes ! Rien de mieux, rien de plus simple.
Elle s’est rapidement aperçue que sans être un cordon bleu, j’étais plutôt habile et elle me laissa faire, tout en discutant et en sirotant sa bière, puis tout au long du repas.
Les sujets furent divers. Ses positions politiques, nationales comme internationales (je fus d’ailleurs heureux d’apprendre qu’elle était souverainiste et qu’elle savait pourquoi et qu’elle méprisait les gouvernements américains). On a parlé film, des dernières nouveautés, des potins inutiles, on a parlé musique, ses goûts, ses albums. On se marrait bien quand même. Je sentais une réelle chimie nous lier. Elle me parla de ses amis, de ses études, de sa famille. Elle aimait beaucoup ses parents et ses soeurs (deux m’a-t-elle dit). Elle avait fait plusieurs stages aux Etats-Unis et elle était bilingue. Une jeune femme que je découvrais de plus en plus brillante.
J’ai parlé de moi, de mes désirs de devenir auteur, ou scénariste. De mes rêves de grandeur. De mon patelin tranquille, de la campagne où j’avais passé toute mon existence jusqu’à ces deux dernières années. (Elle me fit la remarque flatteuse que j’étais en santé et musclé, ce qui me flatta beaucoup, cela va sans dire) Je lui parlais de mes études, de mes flâneries perpétuelles. Je fus content qu’elle ne soit pas moralisatrice et commence à me faire des remarques bidons comme quoi je devais aller à mes cours ne pas arriver en retard, le blabla habituel.
Puis, on a fini par parler sexe. J’ai abordé le sujet très subtilement, parce que je trouvais que les filles en avaient trop souvent peur.
Elle était très ouverte, mais timide disait-elle. Elle avait eu en tout quatre copains à long terme et une dizaine d’aventures sans lendemain. Elle aimait beaucoup baiser. Elle était quelque peu en manque (ce qui ne tomba certes pas dans l’oreille d’un sourd) et elle le comblait par quelques masturbations volées dans la douche le matin avant de partir.
Elle avait tenté la sodomie, ce qu’elle aimait bien (là je fus tout ouïe). Par timidité et par peur, elle n’avait jamais essayé avec une autre fille, bien que l’une de ses amies bisexuelles lui ait fait des avances. Elle m’avoua avoir quelques films pornos sur son ordinateur pour les jours dépourvus d’imagination. Je faillis lui en demander les titres, mais prouver une certaine connaissance dans le domaine n’était pas vraiment à mon avantage.
Au long de cette brûlante conversation, je commençai à ressentir un fourmillement du bas ventre que je contenais de plus en plus mal.
Je ne lui demandai pas son fantasme, je ne voulais paraître indiscret ou obsédé. Elle ne le mentionna pas non plus, ce qui me déçut quelque peu. Bien que cela ait pu enflammer le début d’incendie que je contrôlais tant bien que mal au coeur même de mon sexe (mon second cerveau comme elle disait elle-même).
Vers la fin elle semble me regarder différemment et m’annonça qu’elle allait faire la vaisselle alors que je m’ouvrais à elle comme elle s’était ouverte à moi. J’acceptai de bon coeur.
J’avais eu deux copines et quatre ou cinq aventures d’un soir… Je me flattais quelque peu de mon tableau de chasse, lui montrant les photos des jolies filles que j’avais savamment fait jouir. Elle sourit, pointant d’un doigt savonneux celles qu’elle trouvait belles. Je lui dis que j’étais en panne sèche depuis bientôt six mois et que j’adonnais aux plaisirs solitaires beaucoup trop souvent pour moi. J’étais désireux de chair fraîche. Elle rit.
Elle me fit un sourire charmeur et me dit que la soirée se terminerait sur un film. J’acceptai avec joie. Après le film, elle m’annonça qu’elle allait devoir me priver de sa présence, elle avait une interview tôt le lendemain pour un travail de réceptionniste « payant mais atrocement nul » ajouta-t-elle.
Elle se leva, et, d’une démarche féline à souhait, m’offrit la vue de ces formidables fesses qu’elle dandina. Elle me jeta un coup d’oeil en passant le coin, s’assurant que j’avais bien fixé ce qu’elle voulait que je fixe et que j’étais la bouche pantelante comme elle le voulait.
Une érection incontrôlable me prit et, plié en deux pour ne pas trop me faire voir, je décidai de rejoindre ma chambre.
La sienne était éclairée et la porte (volontairement je parierais) était entrouverte. Je dépassai sa chambre, mais l’impulsion fut trop forte, je dus aller me rincer l’oeil.
Je revins en catimini, louangeant le ciel pour ne pas qu’elle m’entende. J’arrivai à la porte et jetai un coup d’oeil.
Son lit était à gauche, dans le coin, sous la fenêtre. Des vêtements y étaient posés. Elle devait décider ce soir de ce qu’elle mettrait demain, pour l’entrevue.
Puis, elle revint dans mon champ de vision.
Elle était toujours habillée. Un pantalon moulant, noir et un t-shirt moulant bleu nuit. Elle passa ses mains agiles le long de son flanc et se tournant devant ce qui devait être un miroir, se mit de dos pour voir la courbure de ses fesses. Sandra caressa son cul doucement, les yeux un peu dans le vague. Alanguie, elle se retourna face au miroir et enleva son t-shirt, m’offrant la vue de son dos sublime et nue. Aucun soutien-gorge.
Quelle fermeté !
Je vis la courbure du sein devant, le mamelon pointé. Elle y passa la main délicatement, se frottant avec attention. Elle passa sur son ventre et passa la main sur le tissu de son pantalon. Mais elle décida de s’en débarrasser. Elle fit glisser le tissu sur sa peau satinée pendant ce que je crus une heure, d’une façon terriblement sensuelle, ce qui donna le coup de grâce à mon érection qui prit beaucoup trop de place dans mon slip.
Elle fit ce petit pas particulier, ce petit mouvement pour passer les pieds hors du vêtement qui me fait mourir. Un pied d’abord, doucement, puis le second et d’une flexion, le pantalon qui va valdinguer dans un coin.
Ne lui restait que ce tout petit string noir, qui disparaissait de ma vue entre ses fesses.
Avec un mouvement de tête, elle décida de s’en défaire aussi.
Je fondis.
D’un déhanchement enchanteur, elle fit tomber le string, du même petit pas le balança dans un coin et se regarda à nouveau, laissant ses doigts couler le long de son corps. Devant elle, les tiroirs ouverts, une commode semblait toute propice à s’appuyer. Elle y posa une main et, cambrant les reins et écartant les cuisses, elle mit plus de vigueur dans son petit plaisir.
Depuis trois minutes, elle gardait le même rythme, bougeant ses hanches et ses jambes, quelquefois elle prenait son sein, gémissant doucement. À la fin, dans le plus fort de ses attouchements, je l’entendis souffler mon nom. Là j’étais complètement atterré et perclus de douleur, mon sexe prenant des dimensions carrément inattendues.
Si ce n’était pas de moi qu’elle parlait, il me plu de le croire.
Sandra ne s’arrêta pas là et je l’entendis prendre son pied en couinant doucement, la tête renversée, les fesses offertes à un tel point que j’eus l’envie d’y mordre.
Mais, elle était rassérénée. Elle reprit lentement conscience et, s’observant, je vis ses lèvres s’ourler en un sourire béat de contentement.
Je devais partir, je sentais la découverte proche et je ne voulais prendre aucun risque, advenant qu’elle ne m’aie pas purement provoqué.
Sans perdre une once de dureté, je me dirigeai vers ma chambre, encore plié en deux, mais de douleur. Je devais me soulager, sinon, quelqu’un allait mourir.
Dans ma chambre, je me déshabillai et me coucher dans mon lit. J’hésitai pour me soulager. J’aurais aimé tout garder pour elle. Je sentais que cette première fois n’allait pas tarder. J’étais tellement troublé que je tombai dans un sommeil profond et salvateur, trois heures avant mon habitude, bandé comme un taureau.
Le lendemain, mon érection matinale me faisait mal, mais avait repris une taille normale. Je fus un peu désappointé, mais au moins, je pourrais réussir à la cacher dans un jeans. J’entendis du bruit dans la cuisine et regardai l’heure. Je me félicitai d’être réveillé si tôt, ce qui voulait dire que ma belle rousse était toujours là.
Je réfléchis quelques instants dans la chaleur de mon lit, à comment l’approcher sans avoir d’un lourdaud, sans perdre l’effet que j’avais eu d’abord sur elle. Je n’arrivai à aucune conclusion, mais je savais devoir apparaître confiant et me dévoilant suffisamment.
Heureusement, je ne suis guère timide et sans compter que je suis moi-même fier de mon corps, je me balade plus souvent qu’autrement torse nu. Je n’enfilai que mon jeans. Elle m’avait complimentée sur ma musculature, j’allais la lui exhiber.
Je sortis de ma chambre après avoir pris mes courriels, comme d’habitude, je ne devais pas me précipiter sur elle non plus tout de même.
Elle avait disparu. Je ne perdis pas contenance et ouvrit le frigo. Rien d’intéressant ou d’appétissant (Je m’étais réveillé avec une faim ravageuse).
J’ouvre le garde-manger, y prend pain et beurre d’arachide et me fait des tartines. Je passe à la salle à manger. Je l’entends qui revient.
Je lui tournais dos, je regarde dehors, par la porte patio, essayant de me donner une contenance que j’estime risible.
Je me retournai. Un spectacle pour les yeux et pour le sexe.
Je rebandai d’office.
Elle avait revêtu une très moulante et courte robe verte. Les fines bretelles laissaient presque à nu ses épaules (et on supposait une absence de soutien-gorge). Elle enlaçait son corps parfaitement.
La robe lui allait à mi-cuisse et elle avait mis de fins bas noirs. À ma hauteur, je voyais bien qu’il s’agissait de bas autocollants, il n’y avait aucune marque de jarretelle. Elle était divine ainsi, et elle le savait, elle tourna sur elle-même.
Je ne sais si elle le fit exprès, mais l’un de ses bas était plié au rebord.
J’avançai une main qui se devait tendre et assurée, sans tremblements puérils.
Main se posa sur sa cuisse, près du bord du bas. Elle expira fortement. Ce fut le déclic qu’elle savait ce qu’elle faisait. Mais je ne voulais rien gâcher de ce moment.
Lentement, je retroussai la robe un peu et m’appliquai à replacer le bas. Sa peau était très douce et j’y passais sans relâche les doigts. Maintenant, j’avais tout mon temps. Je posai mes mains sur chaque cuisse et les caressai doucement, et j’osai diriger mon regard vers son visage. Elle avait les yeux fermés, la bouche entrouverte. Je massai plus fortement ses cuisses, sa poitrine eut un soubresaut et elle sourit à peine.
Mes mains remontèrent, attirant avec elle le bas de la robe. Je redécouvrais, mais de près, le début de ses fesses. Les mains toujours sur ses cuisses, j’approchai ma bouche et mordit son cul par-dessus le vêtement. Elle expira à nouveau, bougeant un peu les cuisses, pour les écarter. C’est là que mes doigts sentirent un liquide chaud sur sa cuisse. J’avais les doigts tout près du sexe et elle mouillait comme une fontaine.
Mes mains remontèrent à nouveau, elles retroussèrent la jupe par-dessus les fesses et me les découvrit dans toute leur splendeur. À nouveau nue, elle n’avait pas mis de culotte ce matin là. Cette fois, mes mains se séparèrent. La droite se détourna et, passant sur les hanches, vint flatter son entrecuisse et fit pression. Sandra écarta encore quelque peu.
Ma main droite caressa son sexe, que je sentis épilé de près. Cette main, je la contrôlais mal dirait-on, parce qu’elle vint glisser sur les lèvres moites et sans grande précaution, un doigt entra dans son sexe humide et chaud. Elle gémit longuement. Je le fis tourner à l’intérieur, ne manquant pas non plus, de mon autre main, de caresser les fesses et les cuisses.
Son petit trou était bien près de ma bouche et je commençai à lui mordiller les fesses, à passer la langue dans sa raie et à sentir palpiter ce cul génial. Mes doigts revinrent sur cet anus dilaté et le titillèrent doucement. J’entrai le majeur. Elle souffla, relevant un peu une jambe et se cambrant encore.
Mon pouce droit vint se joindre à mon doigt et caressa le clitoris un moment. Puis, il quitta son vagin chaud et passa sur les fesses, avec l’autre main. Je salivai sur mon pouce gauche et ainsi, l’un plein de mouille et l’autre de salive, ils entamèrent un ballet près de l’anus frétillant, aidé de ma langue. Elle se cambra et posa les bras sur le passe-plat, dépourvue de force, envahie de plaisir. Elle gémissait maintenant, de très courts gémissements réguliers. Je la vis, fouiller dans son sac à main, tout près, d’une main tremblante. Elle en sortit un flacon, qu’elle laissa tomber rageusement, puis son porte-monnaie, qu’elle laissa choir par terre et enfin, elle tint entre ses doigts un préservatif.
Je massais toujours son anus avec tout mon savoir-faire. Je bandais encore comme une bête et je me levai, prenant d’une main le condom. Je défis ma ceinture et descendit ma fermeture éclair pour enfin sortir ma queue. Elle la contempla d’un regard avide et se lécha les lèvres. Toujours accoudée au passe-plat, elle dandinait à nouveau son cul magnifique et moi je dus l’abandonner un instant pour enfiler le condom.
Enfin paré, au paroxysme de ma faim de sexe, j’approchai ma queue tendue de son sexe.
Je posai une main sur le bas de son dos, tout près des fesses, l’autre tenant droit mon sexe.
Surpris, je fus trop content pour dire quoi que se soit. J’ai changé de direction et pointé entre ses deux fesses rondes et rebondies.
J’étais à peine sur son petit trou, qu’elle ondula du bassin de plus belle, gémissant intensément.
J’ai posé mon gland sur la cible et poussai. Bien lubrifiée comme elle l’était et détendue, mon sexe s’enfonça sans difficulté, lui arrachant des râles.
Je restai en suspend un instant, ne sachant plus trop que faire. Sandra prit les devant, reculant elle-même s’empaler en entier. Je ceinturai ses hanches de mes mains et entamai le va-et-vient. J’essayais de tourner doucement, question d’augmenter ses sensations. Elle râlait et soupirait comme une folle. J’accélérai et la pilonnai maintenant sans retenu. Je sentais moi aussi bien sur, les vagues de plaisir me vriller la queue et me faire vibrer.
Je continuai pendant un bon moment, moi silencieux, la respiration forte, elle gémissant fortement. Le plaisir monta très vite au même où elle se fit plus houleuse et que je sentis les muscles de son cul me serrer admirablement. Je passai une main sur son ventre, puis descendit sur sa chatte et son clitoris, que j’agaçai du doigt.
Elle eut une jouissance silencieuse. Elle ne poussa qu’un long gémissement plaintif et s’affaissa vers l’avant. Puis, je jouis à mon tour, remplissant le condom rapidement.
Je restai debout derrière elle. Je repris mes esprits plus vite et me dégageai de son cul aisément, maintenant à demi au repos. Je caressai au passage ses fesses douces et passai à la salle de bains me nettoyer et me débarrasser du préservatif. Quand je revins, elle descendait sa robe sur ses cuisses, le visage rouge, mais le sourire éclatant.
Je vins près d’elle et passer ma main dans ses cheveux pour la détendre.
Elle me donna un baiser au coin des lèvres et s’en fut pour son rendez-vous. Gageons que son patron en aura un moment à mater. Je crois qu’elle devrait avoir le travail.