n° 08634 | Fiche technique | 21184 caractères | 21184Temps de lecture estimé : 15 mn | 10/02/05 |
Résumé: J'apprends à connaître davantage ma coloc; rien de mieux qu'une partie de billard pour détendre l'atmosphère... | ||||
Critères: fh frousses cunnilingu pénétratio jeu | ||||
Auteur : Ed Benelli (Toujours le même. L'exercice, l'Exercice !) Envoi mini-message |
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Après cette plus que brève partie de fesses, Sandra et moi fûmes plutôt calmes. Il se passa deux ou trois semaines très paisibles, au cours desquelles nous nous vîmes peu, pris par nos occupations.
Je ruminais sans cesse les possibles réactions qu’elle avait eues. J’avais 21 ans, elle 25 et peut-être avais-je été très mauvais selon ses expériences. Peut-être riait-elle de moi avec ses amies. Je n’y croyais pas trop toutefois. J’étais moi-même extrêmement fier d’avoir baisé avec elle et de l’avoir fait jouir ainsi.
Il fallait toutefois rester l’esprit vif, pour moi, il n’y avait que sexe et amitié (un terrain très glissant). Nous n’étions pas au même niveau et je voulais que la relation reste d’abord conviviale. J’étais prêt à mettre un terme à tous futurs ébats si je sentais la moindre faille, la moindre pensée doucereuse. Il était question d’abord de colocation, puis d’amitié, ensuite de sexe et certainement jamais d’amour. J’osais espérer que la réflexion était la même dans sa tête.
Les rares fois où nous nous croisâmes dans l’appartement, nous parlions des futures entrevues pour trouver notre troisième comparse. Sinon, c’était « bonjour, au revoir », tout simplement.
Je rêvais sans cesse à ses seins, qui m’étaient secrets et mystérieux. Je les ai imaginés tatoués, veinés, boursouflés, laids, beaux. J’extrapolais plus souvent qu’autrement la main sur mon sexe, le caressant lentement.
Ces deux semaines furent vides sexuellement. J’avais tant envie d’un corps que je prenais aucun plaisir à me vider dans des mouchoirs. J’avais envie de son corps, du côté face qu’il me manquait. Je n’avais même pas goûté son parfum. Je ne savais rien de ce qui m’attendait devant.
Puis, un soir, alors que j’aurais dû aller patiner avec mon meilleur ami, il se mit à pleuvoir des torrents. J’annulai mon patinage et me préparai, seul, à un mercredi soir sympa et solitaire.
J’adore la pluie qui tambourine sur les fenêtres, le tonnerre et tous les éléments naturels qui tempêtent. Je m’assieds donc sur la banquette de la bay-window, observant la pluie tomber drue sur les trottoirs et les passants courir pour se mettre à l’abri. La fin d’après-midi sombre s’en allait à grands pas, quand, toujours installé contre la fenêtre, je vis ma colocataire se ruer hors d’une voiture, pour se diriger vers l’entrée. À ce moment la seule pensée qui me vint à l’esprit fut : « Ma soirée sera peut-être moins solitaire que prévu. » (Si, si, je vous jure.)
J’entendis la porte claquer et quelques jurons bien sentis :
J’évacuai du salon en riant, marchant vers l’entrée.
Je vis sa tête apparaître au coin du mur du vestibule, elle me transperça d’un regard noir. Je ne me démontai pas outre mesure. Je m’adossai au garde-manger, tandis que je l’entendais s’empêtrer dans ses bottes.
Je gloussais doucement.
Je me dis alors qu’envenimer la situation n’avait rien de bon. Je ne la connaissais pas suffisamment pour savoir si elle m’en voulait pour mes propos.
Je faisais la moue songeuse quand elle émergea du vestibule, imbibée d’eau. Je dus contenir mon embrasement de peine et de misère. Son t-shirt gris à col en V, arborant un Naughty Girl on ne peut plus mérité, moulait sa poitrine et dévoilait le soutien-gorge. Ses pantalons taille basse étaient si bas qu’on voyait clairement le maillot de bain qui lui servait de sous-vêtement. Déjà serrés, ils étaient devenus des collants sombres. Ses cheveux cascadant sur ses épaules, aplatis sur sa tête, elle était magnifique. Les pointes rousses dégouttaient doucement et on aurait dit que son crâne flamboyant luisait.
Quand elle me dépassa, faisant exprès de secouer sa chevelure pour m’asperger, je ne pus m’empêcher de plonger les yeux dans le col de son chandail, qui laissait voir la peau mate et à peine sèche de son buste.
Je suivis d’un air possédé ses mouvements de hanche jusqu’à sa chambre, où elle disparut. Une érection grandiose bourdonnait dans mon jean et je décidai de prendre un bon verre d’eau pour tenter de la faire passer. (Rien n’indiquait que j’avais la moindre chance.)
Question de me racheter de l’avoir piqué au vif, je décidai de nous préparer un petit quelque chose. Je plongeai dans le frigo, l’oeil à aux aguets.
J’avais besoin de quelque chose de rapide. Je saisis quelques fruits et de la crème glacée.
Je l’entendais qui grondait et qui tempêtait dans sa chambre. Tout à fait déchaînée.
J’entendis des bruits sourds de boîtes qui tombent et je me souvins alors que sa garde-robe était peut-être un peu trop pleine. Je souris.
J’avais laissé traîné dans le frigo une bouteille d’un mousseux très doux et je l’ouvris prestement, avec le « pop » bruyant. Elle lâcha un cri d’orfraie et je ne m’empêchai certes pas de rire, un grand rire puissant, pour être bien sur qu’elle m’entendit.
Je pris deux coupes et versai le mousseux, puis, pris du jus de canneberges et le mélangeai avec. Un résultat pétillant et délicieux.
Au moment où je terminais, elle sortait de sa chambre, vêtue d’un court et léger paréo et d’un autre t-shirt moulant et dévoilant le ventre. Elle n’avait apparemment que des vêtements d’allumeuse…
Elle se dirigeait vers la cuisine, à grands pas, faisant claquer ses sandales de plage.
Je la vis ébaucher un petit sourire amusé.
Elle regarde les bols et les coupes, sa colère parut s’évanouir et elle ébaucha un merveilleux sourire.
Nous nous installâmes à table, silencieux.
Elle partit d’un grand rire clair, la tête en arrière, la gorge découverte.
Sa colère disparut, la légère tension qui me taraudait s’évanouit.
En silence, accompagnés de la pluie et du vent dans les arbres, nous finîmes nos collations.
Je souris.
Elle s’étira langoureusement, tendant ses seins sous le chandail. Serrés de si près, que je vis bien qu’elle avait à nouveau laissé le soutien-gorge de côté. Les bras en l’air, elle ouvrit les yeux et me regarda un instant et reprit sa position.
J’espérai qu’elle aimait y jouer.
Je jubilais intérieurement.
Ensemble, nous prîmes la direction du sous-sol.
Il faisait frais et je la vis frissonner un instant. Je sautai sur l’occasion en lui serrant les bras, les caressant de mes mains. Elle me regarda, un sourire coquin aux lèvres.
Arrivés devant la table, je pris sur moi de préparer les boules tandis qu’elle se précipitait sur le bar pour nous verser un verre. Elle avait investi une bonne somme pour remplir le bar.
Elle s’approcha de moi lascivement, verres en mains, bougeant des hanches comme une danseuse de baladi. Je pris le verre et lui tendis la queue de billard. Elle la prit lentement, son regard fixé dans le mien.
Je rebandais tranquillement, sans me presser.
Malgré toute l’ambiance sexuelle, j’aimais jouer au billard et j’y étais plutôt doué et j’espérais qu’elle n’en serait pas à sa première partie.
Et bien non, vraiment pas. Elle enfila trois boules dès son premier coup. La partie risquait d’être intéressante.
J’observai le jeu. Une fois prêt, je me baissai sur la table et il ne lui vint à l’idée que de se mettre devant moi et de lever d’un doigt son chandail pour dévoiler son nombril. Je souris. Le spectacle de son ventre plat était délicieux, mais il m’en fallait toutefois plus que ça.
La boule entra dans le trou, Sandra eut un air dépité. Je savais maintenant que le jeu était truqué et j’en étais bien content.
Je me présentai à nouveau devant la boule blanche. Cette fois, elle leva d’un doigt son chandail et de l’autre main, descendit son paréo. Je vis la lisière d’un buisson roux et d’un doigt, elle jouait avec les poils courts. Le feu aux joues, je catapultai une boule verte contre la bande et elle tournoya sur place longuement.
L’air ravi elle replaça ses vêtements.
Elle se pencha à son tour sur la table pour jouer. Je dois avouer que passer la queue de billard entre ses jambes aurait été une bonne idée, mais je trouvais l’entrée en matière trop forte.
Je glissai mes mains sur son dos, la sentant frissonner et lui soufflai à l’oreille. J’approchai ma bouche et saisis le lobe entre mes dents. Sandra souriait et son visage tourna au rouge, elle réussit tout de même.
Elle était forte, ma rousse. Je commençai à m’alarmer, la situation jouait grandement en sa faveur. Cette fois, quand elle fut penchée, je passai mes mains sur ses cuisses et remontai le léger tissu en le frottant sur sa jambe nue. Elle se mordit les lèvres et la boule blanche entra l’une des miennes.
Je m’installai. Sandra se pencha tout contre moi, frottant les pointes dures de ses seins sur mon dos. Elle jouait dur. Je considérais l’idée de clâmer le coup bas et de lui arracher ses vêtements sur-le-champ, mais mon orgueil de mâle ne le supportait pas. Je me dominai et la boule entra exactement comme je le voulais.
Je calculai longuement mon coup suivant, alors qu’elle se tortillait devant ou à côté de moi, usant de mains expertes la baguette comme d’un poteau. Ma concentration fut sans faille, malgré qu’elle fut collée tout contre moi, je réussis une combine et entrai deux boules. J’avais maintenant l’avance.
Alors que je visais mon avant-dernière boule, elle s’assit près de moi sur le bord de la table et remonta son paréo beaucoup trop haut, la garce, me dévoilant la totalité de ses cuisses soyeuses et même les bords de son string rouge.
Mon sexe se cabra dans mon jeans et je n’eus d’yeux que pour cette interminable cuisse ronde et douce et pour ce qui se trouvait au bout. La boule que je visais fit à peine dix centimètres tant je la manquai.
Elle sourit béatement et observa la boule blanche longuement. Je lui proposai un autre verre, ce qu’elle accepta. Je remplis les verres et le seau à glace tout près me donna une idée.
Je pris un morceau de glace entre mes doigts et plaçai son verre près d’elle. Elle était prête à jouer et je posai la glace contre sa nuque qui se hérissa, alors qu’elle poussait un petit couinement. Mais elle releva le défi et malgré le fait que j’appliquais la glace contre sa peau, la boule entra. Le jeu était délicieux et j’étais content de sa façon d’y participer.
Elle se prépara au second coup. Se penchant largement sur la table, son t-shirt remonta contre son dos, dévoilant le creux des reins. Alors qu’elle se plaçait, je posai ma main sur une fesse, la caressant, et déposai un baiser au coeur de cet endroit bouillonnant, goûtant sa peau veloutée. Je laissai fondre le reste de glace, jouant avec le glaçon du bout du doigt. Elle manqua de très peu et leva une tête en feu, les yeux pleins de désir.
Je plaçai ma baguette, pointant la boule blanche. Je me demandais ce qui m’attendait, alors que je regardais le jeu. Sa main vint tout bonnement se placer entre mes cuisses et remonta vers l’intérieur. Je soufflai. La boule entra de justesse.
Je soupirai d’aise quand elle se glissa derrière moi, se frottant contre mon dos. Dans mon boxer, mon sexe semblait chercher l’air. (mes poumons aussi)
Je m’installai pour la seconde et dernière boule, avant la terrible noire. Sa main reprit sa place sur ma cuisse, comme si c’était tout naturel et remonta plus rapidement pour saisir ma queue tendue et appliquer un mouvement de va-et-vient, jouant avec mes couilles du bout du doigt. Je faillis rompre le tapis de la table et en plus, j’entrai l’avant-dernière boule de Sandra. Je me maudissais, mais j’adorais.
Excitée, elle sourit, sûre de son triomphe.
Cette fois, c’était la bonne.
Elle écarta les jambes et se positionna. J’avançai la queue de billard sur son mollet et montai rapidement, amenant avec le paréo. Sa respiration s’accélérait et je montais encore, contournant ses genoux et appuyant contre ses cuisses. Le paréo relevé ainsi dévoilait sa douce anatomie et je pus à nouveau caresser son joli cul, cette fois à même la peau.
Elle soupirait, tremblotante, visant à grand peine.
La peste, elle réussit !
Abasourdi, je me demandai en vitesse comment même je pourrais en venir à bout.
Elle n’eut pas à se déplacer pour viser la boule noire, offerte. Aux grands maux, les grands remèdes !
Je descendis ma fermeture éclair, m’assurant d’attirer son attention et je libérai ma queue. Sandra ne put s’empêcher de tourner sa tête vers moi. Toujours le cul offert, je m’approchai, queue en main. Je caressai sa cuisse d’une main forte ou tiraillais les ficelles du string et je faisais passer ma queue contre ses fesses, puis dans sa raie, vers son sexe. Ma main s’approcha de sa chatte moite et écarta le tissu pour glisser entre ses lèvres.
Je la vis secouer la tête et se mordre la lèvre inférieure, son cul se balançant pour venir à l’encontre de mes caresses.
Je me penchai sur elle et lui chuchotai à l’oreille :
Elle expira profondément et se concentra. Je redoublai mes attentions, mon doigt entrant plus profondément dans sa chatte, à la recherche du clitoris.
Je n’en reviens toujours pas aujourd’hui, mais malgré toutes mes attentions, malgré tout le désir qui la brûlait, elle réussit à faire entrer la boule noire. J’étais bien content en fait, je n’aurais pas attendu un tour de plus.
Elle laissa tomber la queue de billard sur la table et soupira longuement.
Je la pris par les hanches et la soulevai sans difficulté, la retournant pour l’asseoir sur la table.
Elle posa les mains derrière elle, s’arc-boutant.
Son regard bleu était embrasé et je m’agenouillai devant elle, mes mains sur le bord du paréo que je détachai sans mal. Je me saisis aussitôt du string pour le tirer doucement le long des jambes et le lui enlever.
Sandra se perdit dans la sensualité et écarta largement les jambes, ondulant du bassin. Elle respirait fortement et son expiration fut si longue quand je soufflai sur son sexe que j’eus peur qu’elle ne perde conscience. Peut-être l’avait-elle déjà perdu…
Ma main droite vint entourer son sein gauche sur son t-shirt et le malaxa avec application, le frottant et le chatouillant du bout des doigts. Tandis que la gauche s’appliquait à tenir écarter les grandes lèvres. Je léchai le sexe lentement, la faisant frissonner et ses gémissements percèrent le silence. Puis, je titillai l’intérieur de sa chatte, partout. Les contours humides, plus en profondeur, le bouton rose gorgé de plaisir. Rien n’y échappait. Je buvais la liqueur qui s’écoulait, je mordillais le clitoris, je pénétrais sa chatte de ma langue.
Une de ses mains se pressait dans mes cheveux, l’autre se crispait sur la table. Je la regardais qui atteignait le bord de l’orgasme. Son front perlait de petites gouttes de sueur et ses lèvres bougeaient lentement, laissant échapper de longs râles. Je n’avais de cesse de la conduire près du gouffre, ensuite de ralentir ou même de stopper mes mouvements pour caresser chaque parcelle de son corps à porter de main.
Puis, je pénétrai son vagin de mon index. Elle expira à nouveau et gémit longuement. J’entrepris un très lent va-et-vient. Puis, j’y ajoutai mon majeur, un nouveau gémissement. Ma main quitta son sein pour venir recueillir son jus. Je remontai ce doigt luisant vers son sein que je voulais imbiber de sa saveur, elle prit vivement mon doigt et l’approcha de ses lèvres pour venir le sucer avec délectation. Le temps de débarrasser mon index de toute trace de mouille, la salle fut vide de tout son.
Puis ma main reprit son sein et Sandra recommença à gémir. Je prenais allègrement mon temps, sans que ma queue ne perde le tiers de sa dureté. Mais je voulais la faire jouir, la faire jouir longtemps.
Je sortis son clitoris et lui accordai toute mon attention, pointant ma langue pour le pousser et le faire tourner, le grattant ou le passant entre mes lèvres. Je le frottai longuement, lui donner de grands coups aussi, qui la faisait presque reculer sur la table.
Son bassin venait de lui-même chercher mes doigts, en petits mouvements saccadés. J’accélérai mon doigtage et bientôt, secouée de soubresauts, elle jouit du plus long des gémissements que j’aie entendu jusqu’à maintenant. J’étais béat devant cette plénitude, alors qu’elle gémissait encore et encore, la tête rejetée en arrière, sa gorge gracile appelant une lente caresse de ma paume.
Puis, mon propre désir m’envahit et je voulus la pénétrer, là, tout de suite. Elle reprenait à peine ses esprits, le bras gauche au-dessus de sa tête, secouant ses cheveux, l’autre toujours derrière elle, la maintenant cabrée.
Je me remis debout et passai mes mains le long de ses flancs, caressant au passage ses seins durs d’excitation. Puis, fermement, je me saisis de son poignet gauche d’une main et de l’autre de son poignet droit, que je ramenai au-dessus de sa tête. Ses yeux s’ouvrirent et ils brillaient d’envie. D’une main je gardai ses poignets en l’air, je saisis ma queue de l’autre et l’approchai de sa chatte. Elle écarta encore les cuisses et je pus frotter mon gland rouge contre sa chatte luisante puis le plaquai entre ses lèvres.
Je passai ma main dans son dos, près des fesses, et la tirai vers moi, l’empalant sur mon sexe. Elle râla, dodelina de la tête et ferma les yeux, s’abandonnant. Le changement de situation m’excita davantage. Ce brusque passage entre la sensualité et la douceur, puis la brutalité me fit raidir encore plus.
Je fis passer ses mains, que je tenais toujours entre la mienne, dans son dos. Elle bomba la poitrine, offrant ses seins toujours couverts de son chandail. Je commençai à la bourrer lentement, profondément. À chaque coup, elle poussait un petit cri. Je la couchais lentement sur la table, ma main toujours derrière son dos. Ses seins étaient bombés et je me penchai pour les mordiller à travers le chandail. Elle courba encore son dos, lançant ses seins vers ma bouche, murmurant :
De mon autre main je caressais son dos, ses fesses.
J’accélérais très lentement, son sexe me faisait un bien fou et je voulais que ça dure. Elle contractait ses muscles et me serrait doucement, alors que je la pilonnais sans relâche. Je posai ma main libre sur son ventre, remontant le chandail sur son cou pour voir le mouvement de ses nichons qui remuaient en rythme. J’accélérais encore, les admirant qui ballottaient de plus en plus vite, d’un petit bond qui montrait leur fermeté. Du pouce, je grattai et j’agaçai son clitoris. Elle devint une houle terrible, en lâchant encore de petits cris secs à chaque coup de boutoir, son cul bougeait contre moi et mes couilles le heurtaient en claquant. Je la bourrais rapidement, la défonçant de grands coups puissants, sa mouille luisante et abondante prouvait son excitation extrême.
Elle fut emportée avant moi et à nouveau, elle eut un très long et profond gémissement. Elle se cabra plus encore, fermant les yeux et tous ses muscles se relâchèrent ensuite. Elle s’affala sur le tapis vert et ondula de l’entier de son corps.
Je pus enfin me laisser emporter par la jouissance et je sortis de sa chatte en feu. Je crispai ma main sur sa hanche et me vidai en trois longues et épaisses giclées qui s’écrasèrent sur son ventre et entre ses seins.
Je lâchai ses mains et caressai ses hanches. Je vacillais sur mes jambes et la jouissance s’atténuait dans ma queue. Elle ramena ses mains en avant. L’une secoua à nouveau ses cheveux, l’autre, d’un doigt, vint recueillir une longue lampée de ma semence et elle prit son doigt en bouche, sans jamais me quitter des yeux, pour le sucer avec fougue.
Je vins embrasser son cou, lécher la sueur qui y perlait, puis, je rabattis son chandail sur son ventre souillé et m’étendis près d’elle, caressant ses seins fermes de ma main, tandis qu’elle passait la sienne sur mon sexe qui avait repris sa taille normale.
Nous nous sommes assoupis un moment. Je la vis dans un brouillard se lever, le cul à l’air, les jambes flageolantes, aller finir cul sec son verre laissé sur la table et remonter à l’étage. J’en fus heureux. Je la suivis après une minute de repos et, enjambant ses vêtements qui traînaient par terre, rejoignis la cuisine où je bus un grand verre d’eau froide. J’entendais la douche et son eau qui coulait, j’imaginais son corps, ma semence qu’elle lavait.
J’étais bien content que nous ne soyons plus collés tout près, la relation me parut très claire et parfaite. Je me dirigeai vers ma chambre où je me laissai choir devant mon ordinateur. J’étendis mes jambes confortablement et, les yeux lourds, m’endormis du sommeil du juste.