n° 08596 | Fiche technique | 28590 caractères | 28590Temps de lecture estimé : 17 mn | 05/02/05 |
Résumé: Nous nous retrouvons seules... | ||||
Critères: ff douche fsoumise fdomine exhib vidéox photofilm fetiche chaussures intermast rasage fellation cunnilingu anulingus 69 fgode fdanus fsodo jeu champagne uro sm attache piquepince orties ecriv_f | ||||
Auteur : Fabienne (Fabi) |
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Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi, nous étions épuisées toutes les deux et les émotions vécues nécessitaient un repos salvateur. Anne me tira du sommeil en m’embrassant tendrement. Elle se leva et enleva son harnais, ses bracelets ainsi que son collier et gardant ses chaussures elle se dirigea vers le couloir pour revenir quelques instants plus tard en m’annonçant que la maison était déserte. Nous sortîmes sur le perron, ma voiture était garée dans la cour. Je proposais à mon amante de rentrer chez nous, ma curiosité de découvrir ces lieux étranges pouvait attendre et j’aspirais à un peu de tranquillité. Les clés étaient sur le tableau de bord, par contre le sac contenant des vêtements de rechange avait disparu. Un mot était glissé sous l’essuie glace. Je pouvais lire : « Je vous retrouve ce soir vers 23H, ne soyez pas sages… Marjorie ». Saisie d’un doute, je me dirigeais vers le portail pour vérifier qu’il était ouvert. Il était bel et bien fermé et la hauteur du mur interdisait toute tentative de sortie. J’informais mon amie que nous étions prisonnières et je dis à Anne qu’il y avait une douche au premier et des vêtements à disposition et nous montâmes.
Arrivées dans la salle de bains, je me déshabillais, me débarrassant des dessous portant les traces de nos ébats. Par contre je ne pouvais ôter le collier métallique fermé par un petit cadenas. Qu’à cela ne tienne, je rejoignais Anne sous la douche chaude. Elle me savonna tendrement et nous nous enlaçâmes amoureusement. Ce moment de réconfort nous était nécessaire et sans un mot nous comprenions que nous avions vécu quelque chose qui nous rapprochait davantage.
Une fois séchées, Anne me demanda si je n’avais pas vu une cuisine, elle mourait de faim, il est vrai que nous n’avions rien mangé depuis la veille. Uniquement vêtues de nos chaussures, nous commencions le tour de la maison à la recherche d’une cuisine ou de quelque chose d’équivalent et également de vêtements décents. Nous trouvâmes effectivement une cuisine et de quoi nous préparer un petit déjeuner solide. Nous terminions notre petit déjeuner et Anne prise d’un fou rire se retourna vers moi :
A mon grand étonnement elle en resta là et me proposa de visiter la maison. Une fois à l’étage, nous cherchions dans la chambre de quoi nous vêtir, et Anne ne tarda pas à trouver des ensembles très seyants. Elle me tendit une combinaison de résille recouvrant tout mon corps sauf ma tête, ma poitrine et mon entrejambes. Elle m’aida à l’enfiler et je lui tendis à mon tour, une robe aussi transparente que courte et moulante. Je lui demandais ensuite de mettre des bas. Nous nous embrassâmes et nous partîmes enfin à la découverte de ce lieu si particulier. Le silence était presque étouffant et seul le bruit de nos talons sur le carrelage rythmait notre progression. Plusieurs portes étaient fermées, mais il semblait que l’étage du dessus était réservé aux chambres permettant aux occupants de se laver et de se reposer. Au rez-de-chaussée, nous avions déjà vu quelques pièces, notamment le beau salon dans lequel nous avions passé un si bon moment, la cuisine et la petite pièce où on pouvait voir les moniteurs vidéo désormais éteints. Une foule de cassettes était rangée sur une longue étagère et je regardais les indications, les désignant à Anne.
Anne trouva enfin le bon canal et l’image de la cassette apparut. On voyait Marjorie sortir d’une douche puis se sécher ses cheveux étaient alors blonds. Une femme noire splendide entra dans la salle de bains, on devinait sous sa courte robe un corps fuselé et souple. Elle s’adressa à Marjorie :
Marjorie se dirigea vers le lit, s’allongea et écarta les jambes montrant une toison blonde fournie. Alia la rasa intégralement. Un gros plan sur son sexe rasé terminait la séquence. Ensuite on pouvait voir Alia enlacer Marjorie, elles s’embrassaient et leurs gestes montraient une douceur qui ne pouvait être feinte. Marjorie se retrouva munie d’anneaux métalliques aux poignets et aux chevilles, ainsi que d’un collier de cuir. Elle chaussa des chaussures à talons hauts et Alia l’emmena dans l’escalier. Changement de séquence, Marjorie s’installait dans un fauteuil basculant et une jeune femme lui lia les poignets derrière la tête puis attacha ses chevilles la forçant à écarter les jambes au maximum. Une femme en blouse blanche apparût. Elle s’assit à côté de Marjorie et commença à lui palper les seins. Puis elle enfonça dans son sexe un long spéculum et l’écarta. On voyait en gros plan le sexe béant de notre amie. Elle subissait le même examen que Anne et moi. La bande s’arrêta,
Anne s’était rapprochée de moi et elle commençait à me caresser. Elle me demanda de passer une autre bande. Une terrasse, qui devait être située derrière la maison, à nouveau Marjorie, elle était vêtue d’un porte-jarretelles et de bas noir. Les mains menottées dans le dos, elle était au centre d’un groupe d’hommes et les suçait avec conviction. Ils éjaculèrent sur son visage, dans ses cheveux, sur sa poitrine et quittèrent la pièce. Alia arriva, elle avait un bustier de cuir ou de latex laissant jaillir ses seins et une minijupe qui ne cachait rien de son intimité.
Alia lui plaça des pinces sur les grandes lèvres qu’elle relia aux pinces de ses seins avant d’y accrocher une chaînette qu’elle tenait en main. À chaque mouvement de la chaînette, on pouvait voir Marjorie bomber le torse. Après quelques instants, Alia relâcha la chaînette et s’approcha de Marjorie. Elle l’embrassa langoureusement et entreprit de la nettoyer, la léchant sous toutes les coutures n’oubliant pas de titiller les pinces qu’elle avait placées sur le corps de Marjorie qui ne bougeait pas mais qui visiblement appréciait ce traitement.
Anne à côté de moi avait glissé un doigt sur ma fente et faisait de même de son côté, elle nous masturbait doucement, avec délicatesse. Nous soupirions d’aise. À l’écran, Marjorie était agenouillée sur le sol la tête entre les cuisses d’Alia. Elle ne ménageait pas ses efforts et on voyait le splendide corps d’ébène onduler de plaisir. Alia ne tarda pas à jouir bruyamment et plaqua la tête de son amante contre son sexe. Enfin elle se recula, et partit laissant Marjorie à genoux sur la terrasse. Elle revint, une coupe de champagne à la main et elle le tendit à Marjorie qui s’était relevée.
Et Marjorie prit le verre, le porta à sa bouche et but. Elle but à petites gorgées, savourant le champagne comme une récompense. Sa coupe finie, elle posa le verre et Alia l’embrassa à pleine bouche. La cassette s’arrêta.
Anne nous branlait toujours, introduisant son doigt dans mon sexe maintenant ruisselant. Je l’embrassais et elle m’entraîna vers la salle ou j’avais trouvé les accessoires tôt ce matin. Elle emmena des godemichés, une ceinture permettant de les accrocher à la taille puis je la suivis au salon. Elle m’allongea sur une table et entreprit de me lécher tout le corps. Ensuite elle reprit les anneaux qu’elle avait enlevé un peu plus tôt et me les mit aux chevilles et aux poignets. Enfin elle m’attacha à la table et sortit.
Elle revint quelques instants après avec une coupe de champagne qu’elle posa sur table basse. Elle me caressa la bouche, ses doigts étaient mouillés, je léchais ses doigts. Le goût était beaucoup plus salé et âcre que d’habitude et je devinais que ce n’était pas sa cyprine que je goûtais. Puis, grimpant sur la table elle s’accroupît au-dessus de ma tête me présentant sa chatte trempée. Elle appuya son sexe contre ma bouche. Après un moment d’étonnement, j’ouvris la bouche et je léchais son sexe longuement.
Anne se releva et se plaça entre mes jambes, elle me malaxait la chatte de la paume de sa main. Elle prit un des godemichés et le présenta devant ma fente. J’étais bien mouillée et elle n’eut aucun mal à l’enfoncer en moi. Ensuite elle me mit un petit vibro devant la bouche pour que je le lèche. Je m’appliquais et une fois luisant de salive, Anne me l’introduisit dans l’anus, il n’était pas bien gros et je n’attendais que le moment où elle le mettrait en marche. Anne enleva sa robe et remonta sur la table un pied de part et d’autre de mon corps et écarta les jambes. Ensuite elle plaça sur ses lèvres de larges pinces puis fit de même sur ses tétons. Je la suppliais de me goder.
Et Anne toujours debout en équilibre au-dessus de moi commença à agacer mes seins avec la pointe de ses chaussures.
Et Anne m’enleva une de mes chaussures et se mit à la lécher embouchant le talon. Je n’en pouvais plus, je voulais qu’elle me prenne, qu’elle me fasse jouir. Elle me tendit ma chaussure et je lui montrais que moi aussi j’aimais faire ça. Elle se mit à califourchon sur moi, et sans me prévenir mit le vibro en route. C’était délicieux, il n’était pas lisse et je le sentais bien bouger en moi. Anne se redressa au-dessus de mon visage et se plaqua sur ma bouche. Je la léchais comme une folle alors qu’elle continuait à me triturer les seins avec ma chaussure. Je ne laissais pas son petit trou de côté espérant qu’elle ne tarde pas à jouir. Je sentais déjà qu’elle se convulsait, son corps se raidissait. Je redoublais d’ardeur et passant de son sexe à son anus sans arrêt j’innovais en lui mordillant son bouton d’amour. Anne m’arrêta, sortit le vibro de mon cul et le mit dans le sien puis elle m’encouragea vivement à continuer. Elle explosa sur mon visage agrippant mes seins à m’en faire mal. Je la buvais littéralement, mais ne pouvant pas tout avaler, son nectar coulait de la commissure de mes lèvres. Elle se releva et m’embrassa.
Puis elle se mit en face de moi et après avoir enlevé les pinces de ses grandes lèvres, elle mit autour de sa taille la ceinture à laquelle elle avait attaché le gode qu’elle venait de retirer de ma chatte. Mais elle ne me pénétra pas elle jouait avec la chaussure sur mon sexe, appuyant sur mon mont de Vénus.
Et Anne enfonça le talon dans ma chatte d’un coup. Prétextant que ça ne me remplissait pas, elle tourna la chaussure pour présenter sa pointe à l’entrée de ma chatte. Je l’encourageais et doucement elle me goda avec ma propre chaussure. J’étais bien détendue et cette fois, elle put la rentrer jusqu’au talon.
Soudain elle s’arrêta et sortit de la pièce. Elle revint avec une caméra et me filma en gros plan avant de placer la caméra sur un pied. Puis elle se plaça entre mes jambes et présenta le gode contre mon petit trou.
Et Anne sans ménagement s’enfonça dans mon cul jusqu’à la garde. Je poussais un cri, c’était délicieux ! Elle me remplissait et je sentais encore mieux la chaussure encore dans mon sexe. Soudain elle s’arrêta.
Et Anne sauta sur la table, m’embrassa tendrement puis défit mes liens, ôta la chaussure de mon sexe béant. Elle ne savait pas trop sur quel pied danser. Je lui demandais de me laisser les bracelets aux chevilles et aux poignets. Je ne savais pas moi-même quoi faire et pour gagner du temps je lui demandais de me masser un peu. Elle s’exécuta avec beaucoup de douceur et pendant ce temps je pris ma décision. Je me levais, pris la caméra et dis à Anne de me suivre et de prendre les cordes. Je mis ma chaussure luisante de mouille et je sortis dans la cour, une allée de gravier menait au jardin et je l’empruntais. Au bout de l’allée pas très entretenue, on pouvait voir une tonnelle de jardin, un peu défraîchie mais pour ce que j’avais en tête c’était parfait.
Et elle se frottait la jambe en faisant la moue. Cet épisode détendit un peu l’atmosphère. Et une fois sous la tonnelle, je m’installais dans une chaise de jardin d’osier et demandais à Anne de nous apporter à boire. Elle disparût rapidement et pendant ce temps, j’installais la corde sur les poutrelles supportant la tonnelle puis, je plaçais la caméra. Anne arriva avec un plateau et deux verres et une grande bouteille de jus de fruits. Je lui dis de nous servir et nous trinquâmes. Ayant très soif, je renversais un peu de jus de fruit et Anne immédiatement s’approcha de moi et passa sa langue sur les petites gouttes. Je continuais ce jeu un moment faisant tomber des gouttes sur mes seins, mon ventre. Anne portait toujours son gode ceinture et j’avais envie de me rattraper, je lui dis de se mettre debout les bras croisés sur la tête et je passais rapidement ses poignets dans la corde que j’avais préparée à cet effet.
Et j’approchais les feuilles de sa poitrine, Anne me regardait incrédule puis ferma les yeux. J’effleurais ses tétons, mais aucune piqûre ne la fit tressaillir. Elle ouvrit les yeux et hilare, je l’embrassais. Elle me regardait un peu penaude.
Et je cherchais cette fois une vraie ortie, la saisissant à l’aide d’une feuille pour ne pas me piquer.
Et, délaissant la plante, je léchais ses seins endoloris, les enduisant de salive. Puis je m’installais en face d’elle dans une chaise en lui précisant que maintenant c’était à moi de la faire languir. Je me caressais en face d’elle, malaxant mes seins, glissant un doigt dans ma fente, ses seins luisant de salive m’excitaient. Je décidais d’essayer moi aussi et reprenant l’ortie je la frottais doucement sur ma poitrine. La brûlure était immédiate mais la sensation de picotement était franchement amusante. Je me relevais, allais vers Anne qui se trémoussait.
Et me tenant face à elle, je salivais sur mes seins puis les massais. Anne était folle, elle me suppliait de la laisser s’occuper de moi.
Et je me frottais contre elle, contre ses seins. Je l’embrassais langoureusement fouillant sa bouche. Puis, je serrais le gode entre mes cuisses et commençais des petits mouvements. Anne était dingue et me suppliait de la détacher, mais je n’en fis rien, je m’agenouillais devant elle et entamais une superbe fellation sur le gode en la regardant dans les yeux. Je soulevais sa jambe droite que je posais sur la petite rambarde de bois de la tonnelle. Ainsi j’avais accès à sa chatte dans laquelle j’introduisis mon pouce. Puis toujours le gode dans ma bouche, j’enfilais mon majeur dans son petit trou et commençais à la branler. Anne ahanait, maintenant, de façon presque inintelligible. Je m’arrêtais brusquement et je rapprochais la table pour prendre appui. Puis toujours en face d’elle, je m’empalais sur le gode avant de faire de délicieux va-et-vient. Je portais les doigts à ma bouche puis à celle d’Anne qui me pilonnait autant que faire se peut et, sentant l’orgasme monter, je me tournais.
Et je reculais sur le gode en râlant. Anne n’en pouvait plus elle tirait sur la corde qui tenait bon et en faisant des mouvements de bassin, elle me défonçait purement et simplement. En appui sur la table pour ne pas tomber je ne tardais pas à crier ma jouissance. Pantelante, je me retirais puis je m’agenouillais devant Anne pour prendre le gode en bouche. Je le léchais avec plaisir avant de partager un baiser avec mon amante. Puis je la débarrassais de la ceinture, poussais la table et m’agenouillais devant elle.
Anne explosa, comme à son habitude, elle m’inonda. J’étalais son nectar sur mon corps puis me redressant je l’embrassais. Puis je me remis à genoux devant elle.
Et me saisissant de mes chaussures, je commençais à me branler avec, enfonçant le talon dans mon cul et ma chatte. Anne laissa échapper un jet doré sur ma poitrine, c’était chaud, presque brûlant et terriblement excitant, je me branlais, éclaboussée par Anne. Je m’avançais sous le jet qui faiblissait, ouvris la bouche et me plaqua sur son sexe. Je jouis instantanément, sentant le liquide chaud dans ma bouche. Anne était en train de jouir à nouveau. Je me redressais, ruisselante puis, je partageais le liquide doré que j’avais gardé en bouche avec mon amante. Enfin, je la détachais et la serrais contre moi.