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n° 08628Fiche technique18902 caractères18902
Temps de lecture estimé : 12 mn
09/02/05
Résumé:  Après mon partiel, je revois Carole dans une chambre d'hôtel.
Critères:  fh fagée poilu(e)s hotel odeurs fellation préservati fsodo hdanus hgode
Auteur : Enzolitto      

Série : La copine de ma mère

Chapitre 02 / 02
La copine de ma mère à l'hôtel

Ah Carole….si tu savais comme j’ai bien dormi après la soirée que nous passâmes ensemble. La nuit fut agréable et la douceur du vin berça mon sommeil dans des profondeurs érotiques, sensuelles et excitantes… Je nous revoyais pendant cette soirée dans ton appartement, mais dans mon rêve, j’avais des préservatifs et on utilisait toute la boîte jusqu’au dernier.


Toutes les bonnes choses ont une fin et les rêves n’échappent malheureusement pas à la règle ; mon réveil vint me tirer du lit pour me rappeler mes obligations d’étudiant. L’alcool de la veille, mélangé à une nuit très courte, avait laissé des traces, puisque j’avais l’impression étrange mais néanmoins familière que ma tête allait exploser.


Une bonne douche, suivie d’un café, me remit dans un état présentable et me rafraîchit les idées. Un partiel m’attendait et je ne pouvais surtout pas me permettre d’être en retard. Déjà que j’allais rarement en cours, je me devais au moins d’aller passer mes partiels et d’essayer de les réussir. Une tartine avalée, je sortis directement prendre le métro et une fois assis dans le wagon, je sortis tout de suite un livre de révision, histoire de voir si je ne pouvais pas apprendre à la dernière minute l’information essentielle qui me permettrait de réussir mon partiel. Je me dis toujours que je peux lire au dernier moment un point du cours dont je me souviendrai et qui fera la différence au moment du partiel, donc a chaque fois j’essaie de me trouver une petite place assise et, malgré le bruit qui règne dans les transports, j’essaie de me concentrer et de lire tranquillement quelques lignes. Je dois quand même avouer que ça ne ma jamais servi puisque je n’arrive pas à trouver la concentration nécessaire dans un endroit public pour retenir des informations.


Ma station arrivait et je dus cesser ma lecture pour me rendre à ma fac qui se trouvait à quelques minutes de la station. J’arrivai quelques minutes en avance et je m’assis en discutant avec deux amies arrivées depuis plus d’une heure pour être sûres de ne pas être en retard.


Une fois la salle d’examen remplie et le silence installé dans la salle, la distribution des sujets commença et, dès la première lecture de l’énoncé, je sus que je ne validerais pas cette matière. En effet, la nuit précédente avait été si agitée que je n’avais pu finir la fin du chapitre et c’est malheureusement sur cette partie que le prof nous interrogeait… J’en avais bien lu une infime partie dans les transports mais après la nuit arrosée que je venais de passer ma mémoire me faisait défaut et je ne me souvenais même pas des grands lignes que je venais de lire. Je courrais à la catastrophe. Je me ressaisis rapidement et je relus le sujet et me mis à écrire quelques légers souvenirs qui remontaient à la surface de mon esprit. En une quinzaine de minute, j’avais déjà fait le tour du sujet ainsi que le tour de mes idées, je remis ça bien au propre sur ma feuille et je rendis ma feuille une fois le délai minimum d’une heure de présence dépassé.


C’était un partiel de plus que j’avais loupé. Je ne regrettais pas d’avoir sacrifié ma soirée pour la passer avec Carole car la nuit que nous avions passée ensemble était tout simplement magique. J’avais réalisé un fantasme et pas avec une grand-mère mais avec une charmante femme mûre. Un doute me saisit d’un coup : Comment est ce que j’allais faire pour la revoir ? Nous nous étions quittés sans avoir pris le temps de nous donner nos numéros.

De toute façon, je me rassurais en me disant que je finirais bien par la recroiser à la maison et qu’au pire, je passerais faire un petit coucou à ma mère à son travail : ça me donnerait une occasion de voir ma chère Carole.


A peine arrivé à la maison, le téléphone retentit :



On nageait carrément en plein délire ! Après la superbe nuit que nous avions passée ensemble, voilà qu’elle en redemandait et me proposait d’aller à l’hôtel.



Bon, j’avais le temps d’aller me préparer tranquillement et je décidai de commencer par prendre une bonne petite douche qui n’était pas de trop après toutes ces émotions. En sentant l’eau chaude couler sur mon corps, je pensais au corps de Carole serré contre le mien, se frottant, cherchant mes lèvres, ses seins lourds et ses tétons pointus qui pointeraient contre mon torse.


Toutes ces charmantes pensées provoquèrent alors chez moi une érection certaine. Je ne voulais pas me masturber avant de la voir pour ne pas perdre de la vigueur. Elle devait avoir couché avec pas mal de mecs donc je ne pouvais pas la décevoir. Quand on fait l’amour à une fille inexpérimentée, on peut se permettre de ne pas trop assurer puisque de toute façon elle n’a aucun élément de comparaison, mais elle, si je n’assurais pas, elle s’en rendrait compte immédiatement et cela mettrait peut être définitivement un terme à nos petits rendez-vous coquins.


Une fois sec et tout propre, la partie la plus difficile s’annonçait: je devais trouver quel style de vêtement j’allais mettre pour ce rendez vous. Est-ce que j’allais jouer le style étudiant avec un jean classique et des baskets ou bien est ce que j’allais jouer l’homme en mettant un beau pantalon avec une belle chemise ? Je décidai de m’habiller de façon naturelle puisque la nuit d’avant ça n’avait pas eu l’air de la déranger que je sois habillé décontracté. Peut-être bien d’ailleurs que si je m’habillais classe, elle n’aimerait pas et que ce qui l’excite, c’est de se taper un petit jeune plein de vigueur. Une petite touche d’un parfum que je réserve pour les soirées importantes, une petite touche de gel dans les cheveux pour fixer la coupe sur laquelle j’ai passé une demie heure et me voilà prêt. J’ai l’impression d’avoir oublié quelque chose mais je ne vois vraiment pas ce que j’aurais pu ne pas prendre. Je suis bien habillé, j’ai mon permis, un peu d’argent, c’est bon, je suis prêt à aller voir ma chère Carole… Ah voila, suis-je bête, j’allais encore oublier les préservatifs. Ce serait trop bête de laisser passer encore une fois Carole une nuit sans pénétration. Et bien que cela soit meilleur sans préservatifs, on ne peut pas dire que ça vaille la peine de prendre des risques pour dix minutes de plaisirs très vite oubliés.


Je n’étais pas encore sorti que ma mère arriva.



J’avais complètement oublié ma mère et je ne savais vraiment pas ce que j’allais pouvoir lui répondre. Je n’avais préparé aucun mensonge pour elle et son regard se fixa quand elle perçut une légère hésitation dans ma réponse.



Ca y’est, enfin dehors, dans la voiture un petit disque de musique classique, histoire de me détendre un petit peu et me voila parti pour ce fameux hôtel. Je ne connaissais pas et je ne savais pas si j’aurais du mal à le trouver. À peine eus-je fini la phrase que je vis cet hôtel somptueux dans lequel Carole m’avait donné rendez-vous. Il y avait même un voiturier qui, lorsque je ralentis, me fit signe qu’il s’en occupait. Je lui laissai donc la voiture, je me rendis vers la réception et je demandai le numéro de chambre d’une certaine Carole X…


Le temps que le réceptionniste trouve la fiche de Carole j’en profitais pour regarder les magnifiques tapis ainsi que les somptueux tableaux qui ornaient les murs de l’hôtel. Cet hôtel transpirait le luxe. Je m’étonnais que Carole, en étant une collègue de ma mère, puisse se payer une nuit dans un tel hôtel, dont la nuit devait coûter le prix de son revenu hebdomadaire.



Le réceptionniste me tira de mes pensées pour me ramener à la réalité, ce qui ne me déplut pas du tout, au contraire. J’aurais tout le loisir, plus tard de me poser ce genre de questions. J’allais passer une nuit torride avec le genre de femme dont beaucoup rêveraient.


Arrivé à la porte, je remarquai qu’elle était entreouverte; je frappai, puis au son de sa voix me disant d’entrer, je poussai la porte et découvris la chambre très luxueuse dans laquelle nous allions passer une nuit inoubliable, du moins je l’espérais… Elle était dans la salle de bain et me dit de m’asseoir sur le canapé en l’attendant. Eh oui ! Un canapé dans une chambre d’hôtel, c’était du haut de gamme, là. Je m’assis et regardai la télé qui était déjà allumé, le temps qu’elle finisse de se préparer.



Elle avait mis un magnifique ensemble de sous-vêtements avec un string rouge, un soutien-gorge de couleur identique, avec des bas noirs qui mettaient en avant ses superbes jambes. Je crois que je ne l’ai pas encore décrite et ça me semble indispensable pour que vous imaginiez la nuit que nous avons passée. Carole fait 1m65, 58 kg, donc un peu ronde mais chez une femme de son âge les légères rondeurs font le charme de leur corps. Elle a d’ailleurs de superbes seins qui doivent faire du 95C et comme je vous l’ai dit, ils sont bien lourds et leur peau est ferme. Elle a de longs cheveux noirs, des yeux marrons et une touffe très poilue entre les cuisses.


Elle s’approcha de moi le temps que j’éteigne la télé et, plus elle était près de moi, plus je voyais les détails de son corps. Sous son string rouge je voyais l’épaisse touffe de poils dont certains, noirs et épais, dépassaient sur les côtés. J’été assis et quand elle arriva jusqu’à moi j’avais le nez collé à son string. Une forte odeur se dégageait de son string. Le genre d’odeur des femmes d’un certain âge, je sentais le désir dans cette odeur. J’embrassai son string et j’appuyai sur son clito à travers le morceau d’étoffe. Un léger commencement de gémissement sortit déjà de sa bouche alors même que je ne l’avais encore qu’à peine touchée. Ça promettait pour ce qui allait suivre. Je fis descendre lentement son string le long de ses cuisses et vis apparaître sa forte toison qui m’excitait temps. L’odeur devenait plus forte et mon excitation allait dans le même sens. Je plongeai ma langue dedans pour aller à la rencontre de son clito. Elle se colla à ma tête en caressant mes cheveux. La situation n’était pas très confortable, je lui proposai alors d’aller sur le lit immense qui occupait le centre de notre chambre.


Elle s’allongea dessus, les jambes écartées et commença à se masturber devant moi le temps que j’enlève mon pantalon. Le spectacle était particulièrement excitant car accompagné de ces petits gémissements qui me laissaient supposer son état d’excitation. Une fois nu, je pris les préservatifs de mon pantalon et les déposai sur le petit meuble proche du lit, histoire de ne pas avoir à les chercher le moment venu et prendre le risque de gâcher ce superbe moment. J’étais enfin prêt, mais je n’osais pas la déranger tant ses gémissements laissaient percevoir un orgasme proche. Je m’approchai donc entre ces jambes pour contempler cette masturbation en première loge. La forte odeur dégagée par cet acte accompagnait celle de la mouille dont ses doigts étaient entièrement recouverts. Son bassin s’activait dans tous les sens et j’entrepris de me branler légèrement en la regardant. Tout d’un coup, elle prit ma tête et colla sa chatte contre elle. Elle s’activa en se frottant sur mon visage et en quelques secondes jouit sur moi. Mon visage était recouvert de mouille. Le temps qu’elle se remette de son orgasme j’entrepris de la lécher tout doucement pour faire réapparaître lentement le plaisir en elle. Ce ne fut pas long à faire et pendant que je la doigtais en lui léchant le clito, un nouvel orgasme éclata en elle. Ma bouche était remplie de mouille et de poils. Je m’essuyai contre les draps et vins l’embrasser tendrement.


Je pensais que nous allions faire une petite pause afin qu’elle reprenne ses esprit mais à peine m’étais je mis sur le dos qu’elle descendit entre mes cuisses et vint caresser lentement mon sexe, l’embrassa, joua un petit peu avec avant de commencer une très lente fellation. Elle voyait qu’elle m’excitait comme un fou et voulait à tout prix prolonger mon excitation au maximum. Elle me suçait et caressait mes couilles, puis mon anus. Elle remonta vers moi et me fit lécher son doigt en me regardant avec un léger sourire. Je ne savais pas où elle voulait en venir et je léchai assidûment son doigt comme elle voulait que je le fasse. Une fois le doigt bien mouillé, elle descendit entre mes cuisses et vint me pénétrer lentement avec son doigt jusqu’à me l’enfoncer au bout. Tandis qu’elle faisait des va-et-vient entre mes fesses, elle continua sa fellation. Je prenais vraiment beaucoup de plaisir une fois la douleur de l’anus disparu. Elle glissa un deuxième doigt puis un troisième. Là, je commençais à avoir très mal alors elle les retira et s’absenta quelques secondes dans la salle de bain.


Elle revint avec un tube de vaseline et une brosse pour les cheveux. Elle posa son doigt sur ses lèvres pour me dire de ne pas parler, puis étala du gel sur le manche de la brosse qu’elle vint plaquer contre mes fesses. Le gel était froid et me fit sursauter au premier contact puis avec le frottement contre mon anus je m’habituai à ce contact et elle le fit rentrer avec beaucoup d’aisance dans mon anus. Contrairement à ce que vous pouvez imaginez, les manches de cette brosse était vraiment très épais, au moins égal à la taille d’un sexe de taille normal. Elle poussa le manche au fond de mes fesses et reprit sa fellation sur mon sexe qui était vraiment très dur. Je bougeais même mes hanches à la rencontre du manche qui s’activait de plus en plus en moi. Elle me suçait de plus en plus fort et me baisait littéralement les fesses avec le manche. Je jouis alors dans sa bouche avec le manche au fond de mes fesses. J’avoue qu’une fois le plaisir redescendu je me trouvais un peu con avec le manche dans les fesses et mon sperme dans sa bouche.


Elle vint dans mes bras et nous passâmes un petit moment dans les bras l’un de l’autre avant que ma bouche retourne lécher le bout de ses tétons qui étaient toujours tout durs. Je la tétai comme un bébé et elle semblait apprécier. On se frotta l’un contre l’autre et mon sexe frôla l’entrée de son vagin. Elle avait envie que je la pénètre et je tendis le bras pour attraper les préservatifs laissés sur la table voisine. En quelques secondes, j’enfilai un préservatif et je me positionnai au-dessus d’elle. Elle était complètement lubrifiée par sa mouille et je n’eu aucun mal à rentrer en elle d’un simple coup de hanches. Pendant mes lents va-et-vient, je la regardais dans les yeux et j’admirai sa beauté de femme mûre. Elle avait les yeux presque fermés et tournait la tête dans tous les sens. Je mis ses jambes sur mes épaules et accélérai mon mouvement avec de forts coups de hanches contre elle. J’accélérai comme un fou et elle cria comme une folle. Je sortis ma queue de sa chatte et vins poser mon gland sur son anus. Je pris un peu du lubrifiant qu’elle avait ramené afin de lubrifier un peu plus la capote et son anus, et rentrai lentement en elle. Elle fronça les sourcils et fit mine d’avoir mal, mais elle me laissa la pénétrer. Je n’osais pas trop bouger car je ne voulais pas lui faire mal. Petit à petit, sa douleur disparut et je pus, comme dans sa chatte, accélérer et donner de gros coups de hanches.


Je n’avais encore jamais fais cette position : je la pénétrais par derrière et je pouvais admirer son visage de femme mûre qui se faisait enculer. Je ne tins pas longtemps à ce rythme et au moment où j’allais jouir dans la capote, je sortis mon sexe de son cul et je jouis sur son ventre. La vue de la capote vide mais salie des fesses de madame me dégoûta un peu mais je la jetai par terre et regardai son visage d’ange pour faire passer cette mauvaise vision. On s’endormit l’un contre l’autre et cette nuit fut formidable. Le matin, elle se leva très tôt pour se rendre à son travail et me laissa seul dans le lit.


De toute façon, j’étais encore sûr, à l’époque, que j’allais la revoir régulièrement. Je vous raconterais la suite plus tard…..


@ bientôt cher lecteur et merci de votre attention.