n° 08641 | Fiche technique | 11304 caractères | 11304Temps de lecture estimé : 8 mn | 10/02/05 |
Résumé: A l'occasion du mariage d'un couple d'amis, je revois une ex très excitante. | ||||
Critères: fh voiture amour volupté fellation pénétratio init ecriv_f | ||||
Auteur : Titecanaye (Jeune femme aux multiples fanstames) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Chaudes retrouvailles Chapitre 01 | Épisode suivant |
C’était déjà l’été, les saisons avaient défilé sur le calendrier depuis que j’avais reçu leur faire-part de mariage.
Léa et Francis étaient de bons amis de lycée. Nous avions toujours gardé le contact, malgré les années, tout comme ils avaient gardé le contact avec Violine, mon premier amour. D’ailleurs, elle serait sûrement de la fête, elle aussi. Rien que de m’imaginer à nouveau face à elle, mes jambes se dérobaient.
Le souvenir de nos premiers baisers, de nos premières caresses, cachés dans les petits recoins de l’école, ne m’avait jamais quitté. Notre première nuit était restée à jamais au fond de mon cœur. Quel supplice après dix ans de se remémorer tout ça ! Maintenant elle est mariée, à ce que Léa m’avait annoncé, depuis déjà quelques années ; elle m’a rayé de sa vie et moi je reste l’imbécile d’étudiant, toujours tremblant au son de sa voix, à la vue de son corps et à tout ce qu’il me rappelle.
« Rendez-vous à 15h30 à la Mairie », ça me laisse encore plusieurs heures devant moi pour fignoler ma présentation. Classique, distingué, détendu ? J’ai tout de même envie de lui en mettre plein la vue, je ne suis plus le gringalet à peine sorti de l’adolescence ; je veux qu’en me regardant, elle s’en morde les doigts de ne pas être restée avec moi… Elle a toujours préféré les hommes distingués : optons pour le costume. Qui a dit que les hommes n’étaient jamais coquets ?
Je n’aurai jamais cru que faire ces trente kilomètres serait si dur, j’en ai pourtant fait de long trajet, mais aucun ne m’a autant rapproché de mon passé. Par chance, le parking n’est pas encore plein, j’échappe aux longues manœuvres pour me garer ! Je me sens vraiment à l’aube d’un examen, le stress, l’estomac noué, tout est là pour me dire de rentrer… Pourtant, non, j’ai trop envie de la revoir.
J’aperçois Francis, et de nous deux, je me demande bien lequel est le plus nerveux, il connaît l’attachement que je porte encore à Violine. Il m’a vu et vient au-devant de moi pour entamer une conversation banale, histoire de tuer le temps et d’oublier la pression du moment… en attendant la mariée.
Un peu plus loin, seule, dans une fraîche robe d’été, je la remarque. Les dix années qui viennent de s’écouler n’ont en rien consumé sa beauté. Elle rayonne. Et je me prends à envier d’autant plus son mari. Francis ne perd rien de mes regards et me lance sans détour :
Le concert de « ohhhh », « ahhhh » me ramène vite à la réalité : la voiture de la mariée est arrivée. Violine est déjà en pleine conversation avec un cousin (trop entreprenant à mon goût) de Francis, lequel me regarde à la fois amusé et désabusé.
La cérémonie se passe vite. Violine étant le témoin de la mariée, j’ai le loisir de la regarder sans me priver. Tout le monde se retrouve au vin d’honneur, à quelques pas de la mairie, et l’occasion de pouvoir enfin la saluer se présente. Je ne me fais pas prier.
Mais quel trouble de la voir rougir à une bise amicale, alors que je me pensais le plus ému des deux ! Nous sommes seuls au milieu des trois cents invités, un coin de paradis où rien ne nous atteint. Nos échanges verbaux sont d’un banal déconcertant, mais nos regards et nos gestes sont à la fois gauches et pleins de sous-entendus.
Les mariés reçoivent quelques paquets et remercient une bonne partie des invités qui ne seront pas là au dîner. Les bouteilles se vident… et la salle se désemplit peu à peu pour laisser place au cercle un peu plus restreint de la famille et des amis proches. Les photos des mariés ont été prévues au bord de la mer… et c’est l’heure d’y aller. Je propose à Violine de l’emmener et elle acquiesce sans hésiter.
Le long cortège de voitures nous balade à travers la campagne. Les klaxons ne se taisent que rarement et Violine se penche pour appuyer elle-même sur le mien. De là, j’ai une vue imprenable sur son décolleté. Sous sa robe rose, un ensemble rouge partagé entre tissu transparent et dentelles, enrobe ses deux seins. Je guide la voiture comme je peux, tous mes sens sont en éveil. De l’odeur de son parfum, au toucher de sa main, qui prend appui sur ma cuisse. J’en bénis celui qui a décidé que le klaxon serait à la gauche du conducteur.
A son regard, elle a deviné mon trouble, le feu de mes joues n’est pas seulement dû au champagne, mais plutôt à la bosse qui se dresse dans mon pantalon. Je ne sais pas si je dois être gêné ou fier de cette protubérance. En tous les cas, Violine ne s’effarouche pas. Elle a toujours pris les devants lors de nos premiers jeux amoureux, j’étais à elle et elle le savait… là encore, elle sait tout le pouvoir qu’elle a sur moi. Elle domine. Elle prend l’initiative et passe sa main sur ma bosse, en de doux mouvements, précis, sans être trop appuyés. Mes veines sont tellement engorgées que ça en serait presque douloureux. D’un geste expert, la braguette saute, je suis toujours tendu dans mon slip mais j’ai déjà un peu plus de liberté. La conduite devient dangereuse avec une telle excitation et mon espiègle camarade ne cesse d’émoustiller mes sens. Nous devons maintenant être la seule voiture qui ne klaxonne plus. Je donnerais beaucoup pour me garer sur le côté et nous faire oublier du reste du cortège… malheureusement, Violine étant l’un des témoins, ils remarqueraient tout de suite son absence.
Je ne suis plus qu’un chauffeur, je la dépose et je reste dans la voiture. Mon sexe est tellement durci d’envie que rien ne pourrait le soulager véritablement, et autant oublier une masturbation en douce sur le parking de la plage. L’attente est interminable. J’aperçois Violine et Léa qui parlent un peu, à l’écart des groupes. Après quelques clichés, ma douce tentatrice revient en courant à la voiture.
Je ne me le fais pas répéter deux fois. Notre belle Normandie nous offre des coins de campagnes abandonnés, sûrement dédiés aux amants déchaînés. Je nous trouve un bois, dans un endroit reculé des promeneurs. J’avais pris soin de ne pas refermer ma braguette, mais de toute façon ça aurait été impossible dans l’état dans lequel j’étais lorsque nous sommes arrivés. Violine ne me laisse même pas le temps de reculer le siège pour avoir plus d’aise qu’elle m’a déjà pris en bouche ; elle imprime un rythme que je ne pourrai tenir, à croire qu’elle en a été privée pendant des mois ou que son mari n’ai jamais su lui donner une telle envie… Elle joue avec sa langue le long de mon gland jusqu’à mes bourses. Je ne sais pas quel parfum j’ai, mais je me sens sucette, l’idée qu’elle puisse me croquer me fait même sourire. Ses va-et-vient sur ma queue deviennent vite insoutenables, mais je ne veux pas jouir trop vite et écourter ce moment. Je la relève et l’embrasse, un baiser comme j’en ai rêvé depuis des années… le souffle coupé par l’excitation rend notre contact plus fougueux encore.
Je dégrafe le devant de sa robe et empoigne ces seins qui me font tellement envie, je sens à travers le tissu les tétons qui durcissent, je les pince et les caresse. Le contact de la dentelle me rend dingue. Je les dégage de leur prison d’étoffe et les porte goulûment à ma bouche, faisant jouer ma langue sur sa peau tremblante. Je ne sais pas ce qui lui plait le plus entre mordillements et légères aspirations, Violine halète de plus en plus.
De ses mains vacillantes, elle s’active sur ma bite en feu et j’essaye de lui rendre ce supplice en glissant l’une de mes mains sous sa robe. Comme elle est à genoux sur le siège de la voiture, j’immisce sans difficulté les doigts jusque vers sa culotte et le premier contact me confirme que tous ses dessous sont cordonnés, car je retrouve le toucher du tissu de dentelles. Elle est déjà très excitée ; je glisse mon index d’avant en arrière sur le textile déjà bien humide et sens les vibrations qui l’amènent au plaisir. Pas question de jouir trop vite, décidément que c’est dur ! Je retire sa main de mon entrejambe et je dégrafe sa robe complètement, je veux la voir nue, embrasser chaque parcelle de son corps qui m’est maintenant offert. Pour plus de facilité dans nos mouvements, nous passons sur la banquette arrière. Elle est belle…
Je glisse à nouveau mes doigts gourmands vers sa vulve trempée. Je l’ai à peine frôlée qu’elle se cambre, les seins en avant, comme un appel. Je l’attrape par les reins et viens l’asseoir sur moi. Doucement, elle s’empale sur moi, ses cuisses recouvrent les miennes et le mouvement de son bassin fait tinter ma ceinture. Ses ondulations sont un pur délice, je voudrais que ça dure encore et encore… Son excitation est à son comble, je sens sa mouille qui coule entre ses cuisses jusqu’à mon pantalon. Les amortisseurs de ma voiture en prennent un coup, nos mouvements s’accélèrent… Je tète chacun de ses seins goulûment et, tout en plaquant mes mains sur ses fesses, je guide ainsi mon plaisir et le sien. Mes mains malaxent ses deux globes tantôt les fermant, tantôt les écartant. Mes gestes dans la fougue restent un peu brutaux, mais Violine en semble encore plus troublée et excitée… Je ne vais plus tenir très longtemps, mais j’aimerais d’abord la sentir jouir, sentir les contractions de son ventre, sentir tous ses muscles se crisper, entendre de sa bouche qu’elle aime ce que je lui fais et crier son plaisir comme elle le faisait auparavant. Oh non, ça vient !! Je plaque encore plus mes mains sur son postérieur, je le fais aller de haut en bas dans une cadence endiablée. Je la sens qui grimpe, qui grimpe et elle jouit enfin, me pressant le visage contre sa poitrine, étouffant ses cris dans le creux de ma nuque. N’y tenant plus, je laisse aller mon plaisir et de longs jets viennent remplir son ventre.
Pendant, un instant, une minute ou peut-être dix, nous restons collés l’un à l’autre. Ses cuisses tremblent, la force de son plaisir a été tellement intense… Je couvre son cou et son visage de petits baisers, elle semble amusée.