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Sous la douche

Quelle soirée ! Je n’avais pas encore repris mes esprits et pourtant tout semblait si réel. J’arrivais dans la salle de bain souillé encore de mon propre sperme. Une salle de bain avec une douche immense, tout en longueur, une gigantesque vasque ; il avait dû s’en passer des choses à cet endroit. Rien que d’y penser, je frissonnais de plaisir !

Je rentrais donc pour me doucher en refermant la porte derrière moi, afin de ne pas mettre d’eau partout. Je ne voulais laisser aucune raison à ma jolie trans pour me chasser de chez elle, j’avais terriblement envie de rester et de connaître la suite des événements. Je n’aimais pas tellement les surprises avant ce soir-là, mais j’étais tout excité justement de ne pas connaître la suite des évènements.

Tout à coup, j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir, c’était elle qui venait m’apporter une serviette :

"Tiens, une serviette pour t’essuyer… et surtout lave-toi bien partout et frotte, je veux que ça brille !"

Elle pris une chaise et vint s’asseoir juste à-coté de la cabine de douche. Celle ci étant transparente elle pouvait épier tous mes faits et gestes. Je pouvais la voir également, mon fantasme qui venait de me faire jouir comme un fou était juste en train de me mater.

Je commençais à me mouiller à me savonner à bien frotter comme elle le désirait.

• — J’aime quand tu te savonnes comme ça, lave-toi bien le sexe et nettoie bien ton petit trou du cul !

Elle se leva de sa chaise et commença à se déshabiller. Je restai bouche bée devant tant de beauté. De dos elle était aussi magnifique que de face, elle avait une croupe extraordinaire. Plus la soirée avançait moins j’en revenais, cette histoire était trop extraordinaire pour être vraie.

Et pourtant, elle se trouvait devant moi, nue !

• — Ça m’a excitée, me dit-elle, je ne pensais pas que te voir nu en train de te toucher en te savonnant allait me réexciter aussi vite, je vais passer à la phase B plus vite que prévu !

Hein la phase B, kézaco la phase B !?!

En deux temps, trois mouvements, elle se retrouva dans la douche. Elle s’approcha de moi et vint me rejoindre sous l’eau. Ses deux mains attrapèrent ma tête et sa bouche vint se coller contre la mienne. Sa langue s’agita, elle m’embrassa langoureusement. Je sentis mon sexe se dresser en même temps que le sien. Ils s’entrechoquèrent, et elle se retira de ma bouche pour m’observer.

• — Toi aussi, dis-moi, ça t’excite ! Tu aimes ça, hein ! Tu ne vas pas être déçu !

Elle revint pour m’embrasser de plus belle. Sa main droite descendit et attrapa mon sexe pour commencer à me branler doucement. Sa main gauche quant à elle, était posée sur mes fesses. Ses doigts commencèrent à fouiller ma raie. Bientôt, elle découvrit mon anus et se mit à caresser doucement avec son index les bords de mon orifice. Puis, je sentis son doigt pénétrer doucement mon anus. La sensation était bizarre mais pas désagréable. Elle faisait doucement sans me brusquer et avec brio. Bientôt ses deux phalanges avaient complètement envahi les lieux et le va-et-vient commença. Tout mon corps frissonnait, elle était en train certainement de me préparer à la sodomie…

J’essayai d’en faire de même avec mes deux mains, mais sa réaction me fit comprendre que je devais rester sage en la laissant faire. Sa langue tournait toujours dans ma bouche, sa main n’avait pas quitté mon sexe et continuait à le branler ; son autre main me dilatait petit à petit l’anus. Elle faisait toutes ces actions avec maestria et on sentait qu’elle en avait l’habitude. Je n’étais pas tombé sur une débutante ! Tant mieux !

Quand son majeur vint se rajouter à son index, mon corps réagit un peu brutalement : je la repoussai et je laissai échapper un petit « aie » qui ne lui plut guère.

A ce moment là, elle arrêta net ses trois actions et recula d’un pas en me laissant seul sous l’eau qui dégoulinait sur ma tête.

• — Tu peux encore choisir, mon coquin, ou tu t’en vas et je ne veux plus jamais te revoir, ou tu te laisses faire sans dire un mot et tu me laisses tout organiser du début à la fin. Si tu acceptes de rester, tu devras être mon esclave encore plus qu’avant et tu devras tout accepter ! Quelle est ta réponse ?
• — Je suis désolé pour ma réaction, je veux rester, dis-je sans hésiter, mon corps vous appartient !

Oulala ! J’étais peut être allé un peu loin, j’étais quand même puceau avec les hommes et avec les trans, il ne fallait pas qu’elle y aille trop fort. Remarquez, elle avait dû le voir, elle serait peut être indulgente.

• — Bonne réaction mon chéri, tu es donc à moi maintenant. Mets-toi à quatre pattes et montre moi ta croupe.

Je m’exécutais lui laissant admirer mon cul qu’elle n’allait pas tarder à maltraiter pour mon bonheur et sûrement aussi pour le sien.

Je lui offrais mes fesses et elle ne tarda pas à renfourner son index, puis elle rajouta son majeur. La douleur laissait peu à peu place à une sorte de plaisir. Elle le sentait, et elle accéléra progressivement le mouvement.

Sa main gauche me donnait des fessées de plus en plus forte et les doigts de sa main droite se frayaient un passage dans mon anus tout serré.

• — Accompagne mes doigts, bouge tes fesses pour me montrer que tu aimes ça !

Je m’exécutai et je reculai mes fesses pour mieux me faire pénétrer. La jouissance avait dépassé la douleur et l’appréhension.

• — Oh tu m’excites à bouger comme une petite salope ! Tu es fin prêt à recevoir ma bite ! Je vais me régaler avec ton petit cul !

Elle retira ses doigts, sortit de la douche, ouvrit un tiroir et en retira une capote. Elle revint dans la douche :

• — Tourne-toi vers moi, dépêche toi… Allez maintenant, lubrifie mon sexe avec ta salive !

Elle me présenta son sexe devant ma bouche et en un coup de rein, elle le mit au fond de ma gorge. C’est elle qui imprimait la cadence, son gland sortait et rentrait dans ma bouche comme des coups de boutoir. Elle diminua le rythme pour laisser son gland toujours en contact avec ma langue. Je pris sa bite dans ma main pour la branler tout en la suçant, elle apprécia. Je la branlais d’une main et de l’autre je caressais ses boules. Au bout d’un petit moment, elle retira son sexe et me donna le préservatif.

• — Allez mon joli, enfile-le-moi, mais rien qu’avec ta bouche, je ne veux pas voir tes mains et tu as intérêt à y arriver sinon la sanction sera lourde pour toi !

Les difficultés commençaient ; déjà que je n’avais jamais mis de capote sur quelqu’un (à part sur moi) avec les mains, en plus, il fallait que je ne me serve que de ma bouche !

Je mis le préservatif sur son gland, et commençai une habile pipe en essayant de le dérouler. Je la pipai quelques secondes puis appréciant mon travail elle m’interrompit :

• — C’est bien mon chéri, tu es un brave garçon, je vais finir moi-même, retourne-toi à quatre pattes et écarte bien ton cul !

Je me retournai et je sentis son gland à l’entrée de ma grotte. Je sentais que celui-ci s’avançait, la douleur était de plus en plus présente au fur et à mesure que sa bite s’engouffrait.

Les deux premiers aller-retours furent très difficiles puis la vitesse de ses va-et-vient commença à s’emballer.

• — Oh oui c’est bon mon chou, je sens que tu commences à aimer ça, bientôt tu me supplieras de ne plus arrêter !

Je sentais que la sodomie me donnait des frissons presque du plaisir, et plus on avançait et plus je sentais que sa bite rentrait bien dans mon cul : le plaisir commençait à se faire ressentir !

• — Ça y est, tu te régales, tu es une petite salope en fait, tu aimes ça te faire enculer, tu aimes quand on passe par le petite porte, je veux t’entendre dire que tu aimes ça, je veux t’entendre crier que tu aimes être soumis comme une petite pute ! Allez dépêche-toi !

Il est vrai que j’adorais ça mais l’avouer était difficile ! Le plaisir montait tellement que je me lâchai :

• — Oh oui, j’adore ça ! Vas-y, continue, défonce mon petit trou, j’aime ça, quand tu m’arraches le cul, je suis à toi, fais ce que tu veux, mon trou est pour toi !
• — Tu vas me faire jouir, toi, continue à crier comme une petite chienne !

Je continuais à délirer, ses coups de bite étaient de plus en plus forts et de plus en plus agréables. Ils étaient accentués par mes mouvements de hanche qui permettaient à son sexe d’aller plus profond que jamais, de découvrir des territoires inconnus.

La sodomie sembla durer une éternité. Mais quel bonheur ! Mon dépucelage était extraordinaire… Elle me mit sur le dos et, en me tenant par les jambes, elle me pénétra d’une autre façon. Je voyais son sexe entrer et sortir de mon anus qui mouillait de plus en plus.

Je sentis sa bite grossir dans mon cul, elle se retira, enleva sa capote d’un coup sec, puis se branla énergiquement tout en se rapprochant de ma bouche. J’avançai ma tête en ouvrant grand ma bouche pour en recevoir le plus possible.

Son sexe s’engouffra dans ma bouche et le venin chaud coula encore une fois dans ma gorge.

J’astiquai soigneusement pour ne rien oublier et ne rien gaspiller.

• — J’ai bien apprécié mon chéri pour une première c’était plutôt pas mal.

Elle prit la pomme de la douche et se lava ; elle me regardait d’un air songeur. Elle m’embrassa et sortit de la douche, me laissant finir pour ma part.

Quand je sortis la rejoindre, elle ne s’était pas rhabillée et se trouvait nue sur son lit. Elle me pria de prendre mes affaires et de partir. Je quittais son appartement heureux, mais un peu triste que ce soit fini.

Mes fesses étaient assez douloureuses.

Je voulus la revoir mais, allant sonner chez elle, un autre soir, ce n’est pas elle qui m’ouvrit mais un homme…

J’espère la revoir et repasser des soirées inoubliables !!

Fin