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n° 08652Fiche technique20036 caractères20036
Temps de lecture estimé : 13 mn
11/02/05
Résumé:  Est-il possible de faire machine arrière ainsi entourée ?
Critères:  fh ff campagne ascenseur fsoumise fdomine soubrette exhib intermast fellation cunnilingu anulingus fgode légumes pénétratio fdanus jeu aliments ecriv_f
Auteur : Fabienne  (Fabi)

Série : Et pourquoi pas continuer ?

Chapitre 01
Que vais-je choisir de faire ?



Anne semblait ravie de nos découvertes, elle posa sa main sur ma jambe. Je trouvais personnellement que nous avions été très loin et très vite. Tout se bousculait encore dans ma tête. Anne percevait mon trouble.



Je sortis de la voiture pour ouvrir le portail. Une fois la voiture garée, Anne et moi nous avons guetté l’arrivée de la camionnette. Le bruit de moteur ne tarda pas et j’indiquais à Alia l’endroit ou garer la camionnette. Marjorie et Alia sortirent quelques affaires du véhicule. Marjorie s’approcha de moi et déposa un petit baiser sur mes lèvres en me remerciant pour mon hospitalité. Je leur proposai de boire un pot. Assises sur le banc de la terrasse, Marjorie, Alia et Anne discutaient bon train lorsque j’arrivai avec quelques boissons et un petit en-cas. Alia avait descendu le zip de sa combinaison noire et laissait entrevoir un magnifique décolleté dans lequel Marjorie, et Anne ne manquaient pas de lorgner. Sur la table, trois cassettes vidéo semblaient être le centre de la conversation.



Anne me sidérait, elle était quand même limite nympho. Son aplomb restait inchangé par les circonstances. Evidemment, la conversation tourna rapidement autour de ce qui nous avaient réunies. Marjorie disait à Alia qu’Anne était une véritable fontaine.



Anne sourit et après avoir rapidement résumé notre conversation dans la voiture, se lança dans son histoire.



Je commençais à être un peu émoustillée, je voyais la main de Marjorie sous la table et je me doutais de l’endroit où elle était posée. Pour ne pas être en reste, j’enlevai mes chaussures et sous la table je fis du pied à Anne qui visiblement n’attendait que ça.



Alia et Marjorie s’étaient rapprochées et se caressaient mutuellement. Moi, je n’en pouvais plus et me glissant à côté d’Anne j’entrepris de l’embrasser doucement dans le cou.



Je laissai les trois filles sur la terrasse pour aller refaire un peu de café. Revenant sur mes pas, je jetai discrètement un œil sur l’évolution de la soirée. Alia était face à Marjorie qui lui dézippait maintenant sa combinaison. Ses seins superbes et pointus ne tardèrent pas à attirer la bouche de son amante qui fit un signe à Anne. Cette dernière ne se fit pas prier et s’approcha des deux femmes et lécha doucement l’autre sein couleur d’ébène. Alia se redressa pour quitter son pantalon, elle était maintenant nue et Marjorie et Anne se déshabillèrent mutuellement en s’embrassant. Le spectacle était magnifique, les peaux très blanches contrastaient avec la peau d’Alia. Les mains touchaient palpaient, caressaient et je ne tardais pas à glisser ma main sous mon pantalon. J’avais une idée en tête et je montais rapidement pour changer de vêtements. J’enfilais des dim-ups noirs, des chaussures à talon, une petite jupette noire et une chemisette blanche. J’hésitais à me servir des pinces ou d’autres ustensiles mais me rappelant que je les avais emmenés plus tôt, je n’en disposais pas de toutes façons. J’avais l’air d’une soubrette, mon collier de métal toujours cadenassé autour de mon cou. Satisfaite du résultat je gagnais la cuisine. J’y trouvais quelques ingrédients nécessaires à la bonne poursuite de la soirée et posai le tout sur un plateau.


Je retrouvai Alia et Marjorie enlacées, Anne était entre leurs jambes et passait de l’une à l’autre leur faisant une magnifique démonstration de ses talents. Je m’avançais et déposant le plateau sur la table, je leur dis que j’étais à leur disposition. Anne se leva et m’embrassa langoureusement, Alia et Marjorie s’approchèrent de moi et commencèrent à me caresser. Trois paires de mains s’activaient sur mon corps et sous ma jupe et mon chemisier. Anne jeta un œil sur le plateau et avisant Alia et Marjorie leur demanda de se tenir debout devant elle. Elle se saisit d’une bombe de chantilly et avec un plaisir manifeste et partagé tartina avec application le corps de nos amies. Puis Anne fit de même en s’enduisant de crème et me dit :



Et sans hésiter, je plongeai vers ces corps, léchant habilement les seins, les ventres, les cuisses, de mes amantes. Alia me demanda d’arrêter puis elle indiqua à Anne et Marjorie de se mettre à quatre pattes sur la table. À son tour elle prit la bombe et recouvrit leurs fesses de crème. Anne et Marjorie écartèrent les jambes pour qu’elle puisse aussi recouvrir leurs chattes brûlantes de crème sucrée. Plaçant l’embout directement dans leurs sexes, elle appuya doucement et les fourra de crème, j’étais impatiente de les lécher, et je me précipitai vers ces fesses appétissantes sous le regard d’Alia. J’aspirai leurs chattes où le goût de la chantilly se mélangeait de plus en plus à celui de la cyprine. Puis, Alia se mit à quatre pattes, se cambra, demanda à Anne de lui écarter les fesses et à Marjorie de garnir le plat pour leur soubrette préférée. Mon amie sépara les deux globes charnus en me jetant un regard de convoitise. Marjorie s’appliqua, elle enduisit les fesses, le sillon et le sexe de son amie avec soin, comme elle avait introduit l’embout dans le sexe puis dans l’anus d’Alia pour la remplir de crème.


Je n’hésitai plus une seconde et léchai avidement la crème le long du sillon allant jusqu’au clitoris gonflé d’Alia mais sans m’attarder. Une fois propre, je ramenai du bout de la langue la crème vers son anus et son sexe. Alia gémissait de plaisir sous mes petits coups de langue. Je l’excitai encore plus en plongeant ma langue dans son sexe en feu. Elle était délicieuse, son odeur intime un peu musquée me faisait chavirer, je l’achevai en enfonçant ma langue dans son anus. Alia jouit brusquement et je continuai à la goûter, alternant entre sa chatte et son cul. Ensuite, Marjorie et Anne me demandèrent le même traitement, la bombe de chantilly étant vide, elles la remplacèrent par du nutella. La couleur était moins appétissante mais devant mon hésitation, Alia me fit signe, elle m’observait. Je lui obéis et commençai par les fesses de Marjorie qui m’encouragea en se cambrant. Elle ne tarda pas à jouir sous mes coups de langue et je pus enfin m’occuper d’Anne, me réjouissant à l’avance de savourer le fruit de son orgasme. Pour ma plus grande déception, au moment ou Anne allait exploser, Alia m’écarta et avec Marjorie elle doigtèrent Anne pour la faire jouir. Je voyais avec envie ces doigts noirs et blancs qui s’activaient dans sa chatte et son cul. Alia rapprocha un grand verre du sexe d’Anne qui ne résista que quelques instants avant d’éclater. Alia remplit presque à ras-bord le verre avec le nectar d’Anne puis le posa sur la table en m’interdisant d’y toucher. Après, elle m’allongea sur la table et elles s’occupèrent toutes les trois de moi. Anne avait apporté des légumes et, après m’avoir fait lécher une carotte de belle taille, elle me l’enfonça dans l’anus. Alia avait défait les boutons de ma chemise et me pinçait les seins, mordillait mes tétons, tandis que Marjorie, à califourchon sur mon visage, m’offrait son intimité et qu’Anne, alternant ses doigts, sa langue et quelques légumes judicieusement choisis me godait comme une folle. Puis, les trois femmes changèrent de place. Alia me goda avec une courgette énorme en pinçant mon clito. J’étais aux anges, je ne savais plus qui me faisait quoi : ma bouche, mes seins, ma chatte et mon cul étaient à leur merci et je ne tardai pas à être secouée par un orgasme dévastateur. Marjorie me fit nettoyer tous les objets qui avaient visité mes trous, puis je me relevais, titubante. Alia me tendit le grand verre et me recommanda de partager. Je bus avec délice le précieux nectar avant d’embrasser tour à tour mes amantes. Puis, je leur indiquais la chambre où nous nous écroulâmes, harassées et enlacées.