n° 08681 | Fiche technique | 17818 caractères | 17818Temps de lecture estimé : 11 mn | 14/02/05 |
Résumé: Je décide de me consacrer à mon amante. | ||||
Critères: fh ff ffh inconnu campagne caférestau fsoumise fdomine exhib noculotte odeurs fmast fellation préservati pénétratio fdanus jeu yeuxbandés piquepince ecriv_f | ||||
Auteur : Fabienne |
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Je me réveillais alors que le soleil était déjà haut dans le ciel, Alia dormait blottie contre moi. Anne et Marjorie étaient manifestement déjà levées. Je déposai un baiser sur sa bouche pulpeuse, elle entrouvrit les yeux et me sourit. Puis elle me rendit mon baiser. Ses lèvres charnues avaient la couleur d’une cerise, elle était vraiment à croquer. Alia se leva et m’annonça qu’elles devaient partir rapidement pour emménager dans leur nouveau logis.
Marjorie nous appela pour le petit déjeuner. Anne et Marjorie déjà habillées, nous regardèrent avec envie, Alia et moi, nues, dans l’escalier, mais le temps les pressait et à mon plus grand regret, nous nous retrouvâmes attablées. Je devinais sans peine dans le regard d’Anne qu’elle avait fait l’amour avec Marjorie. Je sentais sa jambe me caresser sous la table. Alia et Marjorie une fois le petit déjeuner terminé, se faufilèrent vers la salle de bains et moi je me faufilais vers Anne pour l’embrasser langoureusement. Je sentais sur son visage, l’odeur du sexe de Marjorie, presque un peu âcre. Je voulais enlever sa robe mais d’un geste elle m’arrêta me faisant signe d’attendre encore un peu. J’obtempérais, si j’avais su, j’aurai sauté sur Alia tout à l’heure, pour ne pas être aussi frustrée. Nos amies ne tardèrent pas à sortir de la salle de bains et après nous avoir embrassées, elles nous quittèrent non sans nous avoir rassurées en nous promettant des retrouvailles proches.
Nous regardions la camionnette s’éloigner, Anne serrait ma main dans la sienne. Une fois à l’intérieur, je l’embrassai, espérant pouvoir enfin la débarrasser de sa robe. Cette fois, elle repoussa ma main et m’indiqua un siège. Curieuse, je m’installai et Anne se posta devant moi, me tournant le dos. Elle déboutonna lentement sa robe pour révéler un curieux ensemble de fines chaînettes brillantes. Son corps était parcouru par un réseau apparemment inextricable de liens et d’anneaux. Une chaînette passait entre ses fesses, et disparaissait dans ce sillon que j’aimais tant. Elle se retourna doucement en me souriant. Ses jolis seins étaient emprisonnés eux aussi, ses tétons étaient recouverts d’un morceau de scotch noir mais je devinais facilement qu’ils pointaient malgré cette barrière. Les chaînettes disparaissaient entre ses jambes, Anne écarta les cuisses et je pouvais voir ses lèvres pressées par le métal brillant. Elle s’agenouilla et embrassa mes pieds, puis les lécha longuement. Je jouais le jeu et écartais les jambes pour lui permettre de continuer plus haut. Anne enfouit son visage entre mes cuisses et me dévora. Mes soupirs se transformèrent rapidement en halètements et elle m’envoya au ciel alors que j’appuyais sa tête contre mon sexe. Elle se releva, m’embrassa et se blottit contre moi.
J’étais fâchée contre elle, et elle le sentait.
Je savais très bien que je ne pouvais résister à son offre.
J’allai vers la salle de bains et réalisai que j’avais toujours mon collier en voyant mon reflet dans le miroir. Je demandais à Anne si elle pouvait aller chercher une pince à côté pour m’en débarrasser. Elle revint avec une vielle pince un peu rouillée mais qui était suffisamment solide pour couper l’arceau du petit cadenas. Une fois ôté, je mis le collier dans mon sac à toutes fins utiles. Anne commença à ôter ses chaînes, je l’arrêtai, lui intimant de les garder. Anne obtempéra sans broncher et nous nous prîmes une douche en nous caressant mutuellement.
J’avais pris soin de demander à Anne de mettre des vêtements appropriés : une robe cachant l’essentiel, à savoir les chaînettes qui ornaient son corps, et des talons hauts. J’enfilai pour ma part un body bien échancré et un short très court puis je demandai à Anne de lacer mes chaussures. J’adorais ça, ses mains caressaient mes pieds, nouant les fines bandelettes de cuir autour de mes chevilles et de mes mollets.
Une fois prêtes, les affaires dans le coffre, je fermai la maison et nous quittâmes ce coin de verdure pour rejoindre l’autoroute. Après deux heures de route, nous nous arrêtâmes sur une aire de repos pour nous délasser un peu. Pas mal de regards se tournaient sur notre passage, des regards envieux ou un peu outrés… C’est vrai que nous étions vêtues de façon assez provocante et le fait qu’Anne me tienne par la main devait faire fantasmer pas mal d’hommes (et de femmes peut-être). Anne reprit le volant et ma main posée entre ses cuisses, j’en profitai pour faire un petit somme. Une fois réveillée, nous approchions déjà de Lyon et Anne proposait de nous arrêter pour manger un brin. J’avais faim et j’acceptai avec joie sa proposition. Elle sortit de l’autoroute pour rejoindre un petit resto de campagne. Notre arrivée ne passa pas inaperçue, et les serveurs s’empressèrent de nous guider vers une table. Il restèrent cependant tout à fait corrects et, finalement, ils ne pouvaient faire autrement que regarder ce que nous leur montrions. À la table à côté de nous, un homme, la cinquantaine, nous jetait de temps à autres un œil amusé. Il avait un regard pétillant et par curiosité, je le regardai de façon plus insistante. Il ne détourna pas son regard et me sourit. Je décidai de lui en montrer un peu plus et je commençai à faire du pied à mon amie. La disposition des tables permettait une certaine discrétion et seul cet homme et les serveurs pouvaient voir mon manège. L’homme me fit un petit signe de tête témoignant son approbation. Je m’enhardis un peu et déposai un rapide baiser sur la bouche d’Anne, un peu surprise de mon initiative mais ô combien satisfaite. Je remontai ma jambe le long de celle de mon amante qui ne faisait plus du tout attention à son assiette et écarta ses cuisses. Je lui expliquai que nous avions un spectateur.
Et Anne remonta un peu sa robe alors que je continuais à la caresser avec le bout de mon pied.
Anne était rouge comme une tomate.
Le pauvre vit tout de suite mon pied entre les cuisses de mon amie et vira au rouge pivoine. Le plus naturellement du monde, je lui commandai deux salades de fruits. Il ne tarda pas et se pencha pour admirer mon décolleté et le travail de mon pied sur l’intimité d’Anne qui se trémoussait. Il repartit, une bosse éloquente déformant son pantalon. Je dégustai mon dessert de façon très significative. Anne n’en pouvait plus et n’avait presque pas touché à sa salade de fruits. L’homme se leva et me fit un petit signe de la tête avant de quitter le restaurant. Je me levai à mon tour, payai et Anne me suivit dehors sous les regards envieux des serveurs. L’homme venait de rentrer dans sa voiture et m’adressa un grand sourire, je lui fis signe de nous suivre et je montai avec mon amante dans la voiture. Je cherchai des yeux un endroit susceptible de convenir à mes plans et je quittai la petite route pour emprunter un chemin de terre. À mes côtés, Anne se caressait, tirait sur les chaînes sous sa robe, je la laissais faire. Je garai la voiture près d’un bosquet, puis je sortis et je fis signe à l’homme qui nous suivait de rester dans sa voiture arrêtée à deux mètres derrière la mienne. Il joua le jeu. Anne sortit de la voiture et je l’embrassai langoureusement suçant sa langue. Puis, je mis un foulard sur ses yeux et la plaçai face à la voiture de l’homme. Je lui ôtai sa robe et dévoilai les bijoux enserrant le corps de mon amante. Je lui demandai de croiser ses bras sur sa tête et je me mis à la caresser, à triturer ses seins, regrettant de ne pouvoir mordiller ses tétons recouverts de scotch noir. Puis je me déshabillai à mon tour, ne gardant que mes chaussures et la fis s’agenouiller devant moi en lui ordonnant de me lécher. Je lui présentai mes trous sous le regard de l’homme qui devait se caresser lui aussi dans la voiture. Je lui fis signe de me rejoindre. Il sortit et s’avança vers moi, je posai ma main sur son sexe tendu à travers l’étoffe du pantalon puis le délivrais, libérant une queue de belle taille. Anne me léchait toujours consciencieusement alors que l’homme enfila un préservatif tiré de sa poche. Je pris la tête de mon amie entre les mains et la guidai vers ce beau pieu pour qu’elle le mette en bouche. Elle ne se fit pas prier et s’activa pour le plus grand plaisir de notre partenaire. Je la remplaçai, avide de prendre moi aussi ce sexe dans ma bouche. Pendant ce temps, nous regardions Anne se masturber en tirant sur les chaînes qui disparaissaient entre ses lèvres. Le sexe en feu, je me mis en levrette et demandai à l’homme de me pénétrer. Il le fit avec pas mal de délicatesse et se mit à me limer plus énergiquement que je ne l’aurais cru. Il savait se servir de son engin et me fit grimper au ciel alors qu’Anne m’embrassait et me massait les seins. Une fois remise de mes émotions, je couchai Anne sur le capot de la voiture de l’homme et lui écartai les jambes. Rapidement, Anne se mit à ahaner sous les coups de boutoir de l’homme qui n’avait toujours pas joui. Quant à moi, je m’occupai de ses seins et de son clito que je pinçais vigoureusement sous ses encouragements. Anne explosa comme à son habitude, l’homme, un peu surpris, recula avant de reprendre du service, non pas avec son sexe, mais avec sa main. Il la masturba, jouant habilement avec les chaînes et la doigta avec un plaisir évident, enfonçant son pouce dans l’anus d’Anne et ses doigts dans son sexe ruisselant.
Il n’avait toujours pas joui et je demandai à Anne de le sucer. Elle se remit à genoux et le prit en bouche. Je pris sa tête entre mes mains pour la forcer à le sucer à fond, c’était comme s’il baisait sa bouche. Anne gémissait et l’homme ne tarda pas à exploser dans la bouche de mon amie. Puis il se retira. J’ôtais son préservatif puis devant lui, je le vidais sur la poitrine de mon amante en étalant le sperme gluant. Puis Anne se releva, je la débarrassais de son bandeau puis l’embrassai à pleine bouche en frottant mes seins contre les siens. L’homme nous remercia et me passa une carte de visite avant de sauter dans sa voiture et de démarrer.
Je passai mes vêtements sur mon corps encore luisant de sperme et Anne fit de même. Nous reprîmes la route alors que le soir tombait. J’aimais le contact de mes vêtements sur ma peau souillée et cette odeur persistante. Je posai ma main entre les cuisses d’Anne, tout contre son sexe encore trempé. Elle me remercia pour cette expérience. Je lui assurai qu’elle ne resterait pas unique.