Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08654Fiche technique14889 caractères14889
Temps de lecture estimé : 10 mn
11/02/05
Résumé:  Deux collègues de travail qui se découvrent
Critères:  fh collègues volupté voir fellation
Auteur : Kiki86      

Série : Jean-Marc et Angélique

Chapitre 01
Prélude



Le soleil brille, la température semble clémente, une légère brise fait bouger les feuilles des arbres. Ce sera encore une belle journée de mai qui commence. Je me présente, Jean-Marc, vendeur conseil en nouvelle technologie dans un grand hypermarché de Tours, j’ai 34 ans, je suis physiquement dans la moyenne, 1m73, 80 kg, yeux gris bleu, cheveux coupé extra court. Mais bon, ce n’est pas le moment de flémarder, je dois aller travailler. Allez, debout, je mets en route la radio, il me faut toujours un peu de musique pour bien commencé la journée, ma trop fort, cool. Je me prépare mon thé, ouvre la fenêtre de l’appartement pour profiter de la douceur de l’air, la musique est langoureuse, je me mets à la fenêtre face au soleil, ferme les yeux, moment de bonheur simple, j’envie les lézards. La bouilloire siffle et me ramène à la réalité. Faudrait peut-être voir à se presser, il me reste 45 minutes pour être au travail. Une douche, je me rase, m’habille, mes clés, voiture, c’est parti !


10 heures, ma journée commence. Je suis rattaché à la boutique photo je m’occupe des appareils photos numériques, quel bonheur pour moi, car je n’ai que des collègues féminines, et je peux vous jurer que certaines le sont jusqu’au bout des ongles, et pour un célibataire comme moi c’est pas tous les jours faciles d’être concentré sur son travail. Je vais dire un bonjour à toutes ces charmantes dames en leur faisant obligatoirement une bise sur chaque joue. Faut bien que j’en profite un peu. Il y a Laurence une superbe blonde au labo photo, Sylvie une petite brune au labo aussi, Monique notre « mamie » au labo et à la caisse, Julie à la caisse et Angélique, notre dernière, elle est arrivée il y a tout juste 1 mois, à la réception des travaux photo et à la caisse. Aujourd’hui c’est elle qui m’accueille.


« Bonjour Jean-Marc, hum! Tu sens encore bon aujourd’hui, tu mets quoi comme parfum ? »

« JPG pour homme, il faut bien entretenir mon mythe ! »

« Ton mythe ? »

« Bien sur, le mythe du vendeur, beau gosse, charmeur, pour faire craquer toutes les jolies clientes ! »


Elle me regarde, souris, et va s’occuper d’un client qui attend au comptoir.


Je la trouve sympa, Angélique. C’est une charmante brune, qui doit faire dans les 1m65, 1m70, les cheveux jusqu’aux épaules, les yeux marron. Elle porte, comme toute, l’uniforme de l’enseigne, un chemisier blanc, et une jupe, qu’elle a d’ailleurs raccourcie me semble-t-il. Elle monte plus haut sur ces cuisses, qui au passage sont belles, et, en ce moment, gainées. Collant ou bas ? Bac j’espère, c’est tellement plus sensuel, plus érotique. Ah! Oui, je suis un accro à la lingerie. J’adore contempler de la belle lingerie et encore plus l’enlevé à sa propriétaire. Dernier habit de la femme, c’est pour moi le plus convoité, le plus beau, l’objet de l’imaginaire, de ce qu’il montre et surtout de ce qu’il ne montre pas…


Mais bon assez rêvassez, un client m’attend, en avant galérien, ton public t’attend, the show must go on !


17 heures, enfin j’ai fini. Je vais, obligatoire, dire au revoir à mes charmantes collègues qui restent. J’en profite pour récupérer des travaux photo. Justement, par chance, c’est Angélique qui est à la caisse.


« Je te souhaite un bon week. Tu as du encore en faire rêve plus d’un aujourd’hui avec le spectacle que tu nous offres ! »

En effet son chemisier est légèrement transparent et l’on distingue un joli soutien-gorge parme sous celui-ci.

« Il faut bien que je j’entretienne mon mythe ! »

Son regarde pétille, elle me regarde droit dans les yeux, un grand sourire illumine son visage.

« Ton mythe ? »

« Oui, celui de la jolie caissière qui vous fait fantasmer, à qui vous penser toute la journée, et qui vous charme avec son beau sourire ! »

Là c’est à moi de sourire.


Voiture, l’appartement, j’allume la chaîne, met un CD, ouvre la fenêtre pour profiter encore de la douceur de cette fin de journée. Enfin en week-end. Je me change, j’aime me mettre à l’aise, je passe un bas de jogging, j’enfile un tee-shirt, me sert un martini blanc et vais m’affaler sur le canapé.


Je sens encore son parfum, il est doux, enivrant. Elle à raison son sourire m’a charmé. Elle ma envoûté. Le mythe de la jolie caissière a fait son effet, me voilà en train de penser à elle. À sa silhouette, son visage, son sourire, ses cheveux. La semaine dernière elle est venue une journée avec un très joli chignon, dévoilant ainsi sa nuque. Je trouve ça très sensuel.


Je ferme les yeux, et elle là, je suis derrière elle, l’embrasse dans le coup, sa tête est penchée, elle se blottit contre moi, mes mains la caresse. Je respire ce doux parfum, je la goûte, j’aime le goût de sa peau…


Stop ! Faut que j’arrête là. Jean-Marc, mon bon Jean-Marc il est encore temps de se ressaisir ! D’ailleurs je me sens un peu à l’étroit dans mon boxer. Allez une bonne douche froide, un dîner léger et on sort, histoire de ce changer les idées. Je me ferais bien une toile moi ce soir, ça fait longtemps que je ne suis pas allé au cinéma. Il y a quelques films intéressant à l’affiche, Angélique m’en a même conseillé un. Aussitôt pensé, aussitôt mis en application, direction la douche et puis le reste.


Il y a du monde ce soir, une foule se presse devant chaque caisse, on avance lentement, mais bon la soirée étant douce les gens sont plus cool, discutent tranquillement, parlent du film qu’ils vont voir, du dernier qu’ils ont vu ou du prochain qu’ils vont voir. Je pense encore à elle, je sens encore son parfum qui m’enivre. Mais oui, je sens réellement son parfum ! Je regarde autour de moi, elle est là ! Elle est devant, 6 personnes devant moi ! Elle semble être accompagnée. Je ne peux m’empêcher de la fixer. Alors Jean-Marc ! Qu’est-ce que tu attends ! Le déluge ! Va la voir, tu en meurs d’envie ! Regardez moi ce grand nigaud qui n’ose pas !


« Bon vous rêvez ou vous avancez ! »

Perdu dans mes pensées je n’avais pas remarqué que le mouvement de la file d’attente. Par contre des personnes s’étaient retournées pour regarder ce qui se passait.


« Jean-Marc ! Jean-Marc ! »

Angélique m’avait vu et me faisait des signes de la main, n’invitant à la rejoindre.


« Salut, alors tu as suivi mes conseils ! »

« Oui, comme tu vois, je suis là »

« Je suis avec des amis, après on va boire un coup, et puis boîte, tu viens ? »

« Boire un coup pourquoi pas, pour la boîte je ne sais pas pour l’instant, on verra le moment venu. »

« Ok, tu t’assoies à côté de moi ? »

« Tu n’as personne ? »

« Si maintenant j’ai toi…. »

Sa phrase est restée en suspens, elle me fixe, ses yeux brillent, Angélique, oh! Angélique, que me fais-tu ?

« D’accord »


La lumière s’éteint, le film commence, je me sens comme un ado à son premier rendez-vous. Mon bras est sur l’accoudoir. Elle pose sa main sur mon bras, à ce contact je ne peux m’empêcher de sursauter.


« Détends toi, je ne vais pas te manger. Et puis on est grand, majeur, vacciné, et on en a autant envie l’un que l’autre. »

Je la regarde dans les yeux, le sourire a disparu, elle est sérieuse, pleine d’une envie débordante, elle approche son visage du mien, nos lèvres, telles des aimants se soudent dans un premier baisé sensuel, langoureux.


Je me sens bien, que c’est bon de sentir l’amour envahir son corps.

« Angélique… »

« Oui ? »

« Tu rentres avec moi ? »

« Maintenant ? »

« Oui… »


Elle me prend le visage dans ses mains, elles sont douces, chaudes, m’embrasse encore du bout des lèvres.


« D’accord…. »

Sa voix tremble un peu, un dernier baisé, nous nous levons et quittons la salle. Je lui tiens la main, je ne veux plus la lâcher, ne pas briser ce contact, ce lien qui nous uni, encore si fragile.


« Dis, tu es venue comment ? »

« C’est Gaëlle, une amie qui m’a conduite. »

« Viens, ma voiture est par ici. »


Le chemin du retour est entre rêve et réalité. À chaque arrêt nous nous embrassons, nos mains courent sur nos corps, l’envie sans cesse grandissante. Difficile de ce concentrer sur ma conduite. Enfin, j’arrive, le parking, je gare la voiture, éteins le moteur. Elle se penche pour m’embrasser, je lui mets un doigt sur la bouche comme si j’avais voulu qu’elle se taise.


« Attends, sinon je ne pourrais pas sortir de la voiture dans l’état que je suis. »


Elle me sourit, son visage déborde de son envie, son corps tremble sous ses désirs.

« Alors dépêchons-nous d’aller chez toi si tu ne veux pas que je te viole dans ta voiture ! »


Vite, on monte les marches, j’ouvre la porte et on s’engouffre dans l’appartement. À peine la porte fermée, elle me plaque contre celle-ci, m’embrasse fougueusement, se pressant contre moi.


« Attend, s’il te plaît, attend, franchement je suis tellement excité que je n’arriverais pas à me contenir. Laisse moi faire. Passe au salon, mets de le musique et laisse-moi 5 minutes, je reviens. J’ai envie de toi, mais pas en 30 secondes montre en main. D’accord ? Tu veux bien ? »


« Oui »


« Ok, installes toi confortablement sur le canapé, je prépare tout. »


Je dépose un baisé sur ses lèvres. J’ouvre la fenêtre ferme le rideau. Je veux que ce soit parfait. Pas envie seulement de sexe pour le sexe, je suis et je reste un romantique dans l’âme. Je vais dans la salle de bain, commence à remplir ma baignoire. Il faut dire que j’ai une très grande baignoire circulaire à bulle. L’eau tiède coule, j’y incorpore des sels de bains, rose et jasmin. Je vais dans le placard du couloir, y prend des bougies, je les allume et les mets dans la salle de bain. Je baisse la lumière, je vais dans la cuisine, sort le saut à champagne, des glaçons, je débouche une bouteille, deux coupes, emporte le tout.


Angélique est toujours là, elle m’attend, écoutant un album de Sade, les yeux clos. Elle est belle, envoûtante. Tout mon corps la réclame, tout son corps dégage une sensualité, un érotisme, qui m’enflamme.


« Angélique ? »

« Oui ? »

« Viens…. »

Je lui tends la main, la guide dans la salle de bain. Nous somme debout, nous nous embrassons, et mutuellement nous nous dévêtissons. Son corps est vraiment magnifique, musclé, ciselé, elle doit faire régulièrement du sport. Elle porte un affriolant soutien-gorge en dentelle bleu roi assorti avec un boxer. Je prends un peu de recul, la contemple, me penche sur ses seins et y dépose un baisé plein d’envie.


Je lui enlève ces derniers remparts de sa féminité, prenant le temps de la caresser, de l’embrasser, ne laissant aucune zone de son corps inexploré. J’embrasse son coup, sa nuque, ses seins, son ventre ou je marque une pause, son dos, ses fesses, et enfin, l’objet tant convoité, son sexe, si doux, si chaud, déjà empli de l’humidité de son désir. Je l’embrasse, le lèche, l’explore, le goûte, le suce, m’en délecte à profusion, faisant monter un creux de ses reins un plaisir grandissant, envahissant, se transformant en un orgasme violent. Sont corps se contracte, se tends, son souffle s’affole, ses gémissements vont en s’amplifiant, ses mains sur ma tête l’emprisonne haut creux de ses hanches et puis elle se contracte par saccade, sa jouissance emplissant ma bouche, récoltée par ma langue inquisitrice. Son corps de détend, dans ses yeux le reflet du bonheur. Je ma relève, l’attire dans le bain, elle y entre et je me place derrière elle. Elle se love contre moi.


« Merci, c’étais bon. Mais toi…. »

« Mon tour viendra. »


Mes mains commencent à lui masser la nuque.


« Humm ! C’est bon ! Quelle bonne idée d’avoir préparé ce bain. »

Je prends une éponge et je commence à la laver, doucement, tendrement. J’active le mécanisme des bulles pour accentuer l’effet relaxant.


« Arrête, je veux juste que tu me prennes dans tes bras. Serre-moi contre toi. »


Nous restons ainsi, profitant de la chaleur relaxante de l’eau, de la musique envoûtante de Sade, des effluves relaxantes de la rose et du jasmin, et lentement nous nous endormons.


Dehors la nuit s’est installée, la température c’est rafraîchie, une légère brise souffle, l’eau du bain est presque froide, nous nous réveillons, en pleine forme, toujours amant, encore plus, dévorés par le même désir, pouvoir se donner enfin l’un à l’autre, sans retenue.


Nous sortons donc du bain. Je prends une serviette, je l’essuie. Elle prend la serviette, me regarde.


« C’est à moi maintenant de t’essuyer… »

Tout en disant cela, elle me caresse avec la serviette, séchant mon corps humide. S’appliquant à embrasser les zones devenues sèches. Elle commence par mes bras, mes pieds, remonte sur mes jambes, passe à mon dos, mes fesses, mon torse, mon ventre. Avec un tel traitement mon désir grandissant s’étend devant elle. Elle est maintenant à genou, une main caressant mon sexe en érection, plongeant son regard dans le mien. Je tends une main vers sa joue, la caresse.


« Allons dans la chambre. Je préfère. »


Nous prenons la direction de la chambre. Je l’allonge sur le lit et me mets à côté d’elle. Elle reprend alors la conquête de mon corps, caressant avec amour ce sexe toujours en érection, continuant d’embrasser et d’embraser mon corps. Sa langue joue avec moi, sa bouche me prend, m’avale, me caresse, faisant monter en moi ma jouissance. Tantôt lentement, tantôt rapidement. M’avalant complètement, m’aspirant, jusqu’à ce que je rende grâce, que je lui demande d’en finir, de me libérer. Sentant le désir venir, elle se retire tout en continuant de me caresser, laissant ma jouissance sortir en de brûlants jets sur mon ventre et ma poitrine.


Elle se couche sur moi, embrassant au passage ma poitrine.


« Viens en moi, je te veux »


Si vous voulez la suite dites le moi…