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n° 08691Fiche technique9253 caractères9253
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/02/05
Résumé:  Deux collègues de travail continuent de se découvrir.
Critères:  fh collègues anulingus pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Kiki86      

Série : Jean-Marc et Angélique

Chapitre 02
Jean-Marc et Angélique



Elle s’assoie sur le haut de mes cuisses, prenant mon sexe de sa main droite, commençant à le caresser, jouant avec mon gland à l’entrée de ses grandes lèvres. Avec un tel traitement, il ne me faut que peu de temps pour retrouver ma vigueur, et elle, un sourire plein d’envie. Elle se penche vers moi et me dit :



Sur ces mots, tenant toujours ma verge, elle s’empale d’un coup à fond. Elle ferme les yeux, pose ses mains sur mon torse et son corps se met en mouvement. Doucement, elle monte, jusqu’à se dégager, et d’un coup sec elle redescend. Je sens son vagin se contracter à chaque descente, son souffle s’arrêter, goûtant la jouissance de cet instant.



Elle se redresse, accentuant la pression sur mon sexe et se penche en arrière, posant ses mains sur mes chevilles, restant caler à fond et faisant des mouvements de bassin, en avant, en arrière, en cercle.



Elle me regarde, dans son regard une lueur de lubricité. Je tends mes mains vers ses seins, les caresse, pinçant les tétons. Je me redresse, prend son cou, la ramène vers moi. Ma bouche se dirige vers ses seins, qu’elle a si beaux et qui me narguent. Je les lèche, les suce, mordille. Son souffle s’accélère, ses mouvements deviennent plus rapides. Je sens son excitation couler le long de mes cuisses.



Nous basculons sur le côté, je peux ainsi, m’occuper de ses seins et de son petit cul, de son si joli petit cul. Je commence par lui caresser les fesses, m’aventurant à la conquête de son petit trou. Il est complètement humide.



Son souffle est fort, sa voix cassée, elle est au bord de la jouissance, moi aussi d’ailleurs. Je force sur son anus, le doigt rentre avec facilité. Ce n’est donc pas un territoire inexploré. Je sens son vagin se contracter. Elle me mordille le cou.



J’introduis un deuxième doigt, je sens mon sexe rentrer et sortir. Mes doigts s’activent, sortant, rentrant rapidement, entrant en compétition avec mon sexe.



Son cri a dû réveiller tous mes voisins !


Elle se rejette en arrière, son corps tendu au maximum, emprisonnant mes doigts, m’enserrant en elle. Ses mouvements sont saccadés, son souffle se fait court, elle est en train de jouir, son sexe se liquéfie. Il ne m’en faut pas plus pour jouir en elle à mon tour.



Nous nous blottissons l’un contre l’autre et sombrons délicatement dans les bras de Morphée.


La fraîcheur de l’air me réveille. Je me lève, vais fermer la fenêtre, reviens dans la chambre. Les volets n’étant pas clos, l’éclairage extérieur me permet de contempler ce corps, cette femme étendue sur mon lit, une cuisse remontée vers elle, me dévoilant ainsi son sexe, lisse, épilé, souillé par les traces mêlées de mon sperme et de sa jouissance. J’ai envie de…


J’ai surtout envie de manger, mon estomac crie famine ! Direction le réfrigérateur ! Le bruit réveillant Angélique je la vois bientôt entrer dans la cuisine, totalement nue. Oh qu’elle est belle. Elle le sait et elle en profite, marchant langoureusement, s’arrêtant, s’étirant, faisant ainsi ressortir ses arrogants petits seins, cambrant à l’exagération ses hanches, mettant en valeur ses fesses, son si joli petit cul qu’il me tarde d’explorer. Oui, tout à fait, et en profondeur !


Elle me sourit.



Effectivement devant ce spectacle, mon sexe s’est remis au garde à vous.



Elle ouvre la porte du réfrigérateur.



Et là je n’ai pas pu résister. Ce n’est pas de ma faute ! Mettez-vous à ma place ! Imaginez, vous êtes assis à table, relativement excité par une ravissante, mais il faut le dire, petit chatte en chaleur, et la voilà qui se penche pour chercher je ne sais quoi, ce qui a pour effet de me mettre son si joli petit cul (je sais, je me répète) juste à côté de moi, presque à la hauteur de mon visage ! C’était inévitable, je lui ai posé mes mains sur ces jolis globes et j’ai avancé ma bouche, langue en avant pour en prendre possession !


Me voilà agenouillé, léchant son trou, descendant sur son sexe déjà humide. Courant avec ma langue de l’un a l’autre, explorant chaque trou, pénétrant chaque recoin de sa féminité, titillant cette rosette tant convoitée, suçant ces lèvres gonflées de plaisir, joignant le geste à la dégustation, j’introduis mon pouce dans sa chatte, caressant son clito avec mes doigts libres.


Elle pousse de son côté, envoyant sa croupe au-devant de mes assauts. Cambrant encore plus ses reins pour que je la fouille encore plus en profondeur.



Elle bouge son cul de plus en plus vite, se branlant avec mes doigts.



Je me lève, mets mon sexe contre son petit trou et sans ménagement je pousse un grand coup, forçant le passage et la pénétrant complètement. Elle se crispe, pousse des petits cris de douleur, se mord les lèvres, ferme les yeux, retient son souffle. Je commence mes mouvements de va-et-vient, de grands mouvements. Je sors presque complètement et je rentre en elle sans ménagement jusqu’au fond. Je sens mes couilles qui butent à chaque fois sur sa chatte humide. Son corps se relâche peu à peu, les soupirs remplacent les cris, maintenant elle m’accompagne dans le mouvement, augmentant ainsi les sensations au retour. Elle est à moi, soumise à mon bon vouloir. J’appuie sur son dos pour augmenter la cambrure, l’arrête dans son mouvement et je me mets à la pilonner, augmentant la cadence. Son souffle est devenu rauque.



Je ne l’imaginais pas si crue, moi non plus d’ailleurs, mais il est clair que ce langage m’excite autant qu’elle. À la vitesse où je la pilonne, sans ménagement, le plaisir monte en moi de façon rapide, intense, presque animal.


J’ai joui au fond de ses reins, par de longues et puissantes saccades. Je n’avais jamais joui autant, si intensément. Je me suis retiré, regardant cet anus béant, vivant, palpitant, ce corps repus de plaisir. Je lui ai mis une claque sur les fesses, l’ai prise par la nuque et embrassée fougueusement, mordant ses lèvres, combattant sa langue et j’ai pris la direction de la salle de bain, j’avais besoin d’une bonne douche.



Oui, j’en avais besoin, j’étais en train de tomber amoureux ! Moi, l’éternel célibataire ! Amoureux de cette femme, de ce corps. Je pris le temps d’une douche réparatrice. Des bruits me parvenaient de l’appartement. Une porte se referma. Une porte ! Non, la porte d’entrée !



Pas de réponse.



Toujours pas de réponse.


Je sors de la salle de bain, fais le tour de l’appartement. Il est vide, elle est partie. Un mot est sur la table.


« Merci pour ce bon moment, ce fut une soirée et une nuit merveilleuse. Mais nous deux ce n’est pas possible. Adieu. »


Désolé ma toute belle, mais je ne baisse pas les bras si facilement. Je te donne rendez-vous demain au boulot…..